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Le petit monde de So et de Fi
8 août 2021

Quelqu’un de bien

Présentation de l'éditeur :

Généraliste dans le Luberon, Caroline Serval exerce son métier avec passion et dévouement, aux côtés de sa sœur Diane, secrétaire médicale. Devant la pénurie de médecins qui sévit dans la région, elle doit accepter de plus en plus de patients, au détriment de sa vie privée. Sa seule perspective est de recruter un confrère pour agrandir le cabinet. Cependant, qui acceptera de s'établir dans ce village de Provence, certes magnifique mais loin de tout ?Caroline et Diane fréquentent régulièrement les frères Lacombe. Paul et Louis vivent tous deux dans la propriété viticole de leur père désormais installé en maison de retraite. Paul, attaché à la terre et à la vigne, produit un vin nature, tandis que Louis, informaticien, vient de quitter Paris pour retrouver ses racines. Les uns et les autres assument leurs choix personnels, et pourtant l'adversité guette. Entre les vocations chevillées au corps, les élans du cœur et les lourds non-dits familiaux, ces quatre-là vont devoir reconsidérer leur existence pour avancer. L'occasion donnée à chacun de se demander qui il est réellement, et d'essayer de se prouver qu'il est quelqu'un de bien.

J'ai acheté ce livre de Françoise Bourdin suite à une publicité sur RTL.

Il y a des idées (cela parle de désert médical, de vigne, de Provence, ...) mais cela reste gentillet, limite fleur bleue. Aucune surprise, rien de bien folichon.

je classe ce livre en 480ème position et ne lui aucune étoile.

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12 août 2021

Arrête avec tes mensonges

Présentation de l'éditeur :

Quand j'étais enfant, ma mère ne cessait de me répéter : " Arrête avec tes mensonges. " J'inventais si bien les histoires, paraît-il, qu'elle ne savait plus démêler le vrai du faux. J'ai fini par en faire un métier, je suis devenu romancier. Aujourd'hui, voilà que j'obéis enfin à ma mère : je dis la vérité. Pour la première fois. Dans ce livre. Autant prévenir d'emblée : pas de règlement de comptes, pas de violence, pas de névrose familiale. Mais un amour, quand même. Un amour immense et tenu secret. Qui a fini par me rattraper.

J'ai aimé ce livre de Philippe Besson. Il y décrit un amour entre deux jeunes hommes dont l'un accepte son homosexualité et l'autre pas du tout. On oscille entre la réalité et la fiction car l'auteur imagine des endroits où il n'est pas forcément allé et des situations ou des pensées dont on ne lui a pas fait part mais c'est probablement ce que nous faisons tous.

Ce livre m'a donné envie d'en découvrir d'autres du même auteur, à suivre donc.

Je classe ce livre en 140ème position et lui donne 3 étoiles.

18 août 2021

Rouge

Synopsis : Nour vient d’être embauchée comme infirmière dans l’usine chimique où travaille son père, délégué syndical et pivot de l’entreprise depuis toujours. Alors que l’usine est en plein contrôle sanitaire, une journaliste mène l’enquête sur la gestion des déchets. Les deux jeunes femmes vont peu à peu découvrir que cette usine, pilier de l’économie locale, cache bien des secrets. Entre mensonges sur les rejets polluants, dossiers médicaux trafiqués ou accidents dissimulés, Nour va devoir choisir : se taire ou trahir son père pour faire éclater la vérité.

J’ai bien aimé ce film de Farid Bentoumi, ainsi que JP. Il est inspiré de faits réels, ceux des boues rouges rejetées en mer méditerranée et je me souviens du scandale d’alors (cette pollution persiste apparemment sous une autre forme). C’est très bien joué aussi bien par Zita Henrot que Sami Bouajila. Il montre la complexité des rapports entre les entreprises polluantes et les pouvoirs politiques sous forme de chantage pour le maintien des emplois.

Je classe ce film en 17ème position et lui donne 3 étoiles.

7 septembre 2021

un cadeau inespéré

Présentation de l’éditeur

Pour Louise, Noël aura une saveur particulière : c'est en effet le premier qu'elle passe seule avec Florent, son fils de dix ans, depuis son divorce. Et le jeune garçon, justement, décide d'offrir à sa mère un inoubliable moment de fête. Profitant d'un instant d'inattention, il part seul en forêt en quête d'un sapin. Mais, surpris par le brouillard, Florent s'égare... Sauvé in extremis par un voisin, il est raccompagné chez lui. Dehors, la tempête gronde. Et dedans, le réveillon risque d'être bien plus mouvementé que prévu...

Aucun intérêt que ce livre de Françoise Bourdin. Une histoire à l’eau de rose où les deux protagonistes sont « obligés » de ne pas s’apprécier au départ pour s’aimer ensuite, donc vraiment très caricatural. Quasiment digne d’un « Harlequin » où on nous a juste épargné les scènes de sexe où tout se passe si follement bien dès la première fois.

Je classe ce livre en 498ème position (sur 650 que compte mon classement) et ne lui donne pas d’étoile. Next !

15 septembre 2021

Ni d'Eve ni d'Adam

Avis et résumé de la FNAC :

Ici, la narratrice entreprend de donner des cours de français à des Japonais dans l'espoir de mieux maîtriser la langue nippone. Et voilà le tonique Rinri qui pointe son joli minois et entend progresser en français aux côtés d'une professeure compétente... Rinri ? C'est un étudiant un peu loser qui a raté son entrée dans les plus prestigieuses universités japonaises et qui est un le rejeton de la haute bourgeoisie tokyoïte. C'est surtout un jeune homme avec qui le dialogue des cultures s'établira, jusqu'à la relation sentimentale, avec son lot de conventions sociales délirantes, entre une mémorable présentation de la professeur à la belle famille et quelques quiproquos drolatiques.

J’avais déjà lu, il y a longtemps, « l’hygiène de l’assassin » d’Amélie Nothomb (classé en 411ème position avec une étoile). Comme je n’avais pas trop apprécié, je n’avais pas osé retenter l’expérience de lire un autre de ses livres. Et puis, dans une brocante, j’ai récemment acheté « Ni d’Eve ni d’Adam » et j’ai bien aimé. On découvre un peu de la façon singulière de penser et de vivre des Japonais, singulière parce que différente de la nôtre, mais intéressante. J’ai apprécié sa façon de raconter l’histoire de cette relation avec Rinri. Bon, les mots japonais non traduits m’ont agacée, on doit être sensés les comprendre…

Je classe ce livre en 192ème position et lui donne 2 étoiles.

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28 septembre 2021

Police

Présentation de l’éditeur

Un tueur assassine méthodiquement des policiers de la brigade criminelle d’Oslo. Leur point commun ? Trouver la mort le jour anniversaire et sur les lieux mêmes des crimes qu’ils n’ont pas résolus. La police est sur les dents, complètement dépassée, d’autant que son meilleur élément, l’inspecteur Harry Hole, n’est plus là pour mener l’enquête...

Heureusement que j’ai noté dès le début le nom de tous les personnages qui apparaissent au fur et à mesure et leur fonction ou parenté. Les personnages sont norvégiens, ce qui rajoute un peu de complexité avec des noms et prénoms un peu compliqués. Il y en avait une quarantaine… Je me suis reportée régulièrement sur mon papier pour m’y retrouver. Je pense avoir quasiment tout compris dans ce roman policier de Jo Nesbo, sauf ce qui entoure la mort d’un certain Gusto Hanssen (et des morts, il y en a beaucoup, beaucoup dans ce livre). Surtout que l’auteur en rajoute un peu en nous orientant volontairement sur de fausses pistes..

Je classe ce livre en 398ème position et lui donne une étoile.

3 octobre 2021

La Sage-femme des Appalaches

Présentation de l’éditeur :

Dans le milieu hostile des Appalaches, pendant la Grande Dépression, Patience Murphy exerce avec talent son métier de sage-femme et assume la tâche parfois difficile d’assister les femmes lors de leur accouchement. Elle est prête à tout pour suivre les pas de son mentor et instaurer un climat de confiance avec ses patientes, mais elle doit également s’affranchir de son lourd passé. Confrontée à des difficultés quasi insurmontables, des périlleuses mines de la Virginie occidentale aux terrifiantes menaces du Ku Klux Klan, elle devra lutter pour apporter la vie et un peu d’espoir dans un univers pétri d’épreuves.

J’ai bien aimé ce livre de Patricia Harman que j’ai acheté dans une station-service sur l’autoroute (je trouve qu’il y a toujours une bonne sélection de livres dans les stations-service ou dans les gares).

Cela m’a fait penser à « Angélina, les mains de la vie » de Marie-Bernadette Dupuy (et la suite) que j’avais beaucoup aimé aussi (lus en 2015) parce qu’il s’agit de l’histoire de sage-femmes et de femmes fortes.

Je classe ce livre en 123ème position et lui donne 3 étoiles.

19 octobre 2021

Les pétales de sang

Présentation de l’éditeur

Tami pensait avoir une famille parfaite. Jusqu'à ce soir tragique où la jeune femme, impuissante, voit son mari Scott se faire menotter sous les yeux de leurs deux fillettes terrifiées. Le choc est total : Scott est accusé d'un acte odieux, impensable. Et c'est sa meilleure amie Mirabelle qui a porté plainte. Qui croire ? L'homme qu'elle aime depuis toujours, le père de ses enfants ? Ou celle en qui elle plaçait une confiance aveugle, sa presque soeur ? Alors que Scott nie tout en bloc et que Mirabelle fuit les explications, Tami enquête. Et bientôt, le passé trouble de Mirabelle se dévoile… Mais aussi les nombreux secrets que Scott dissimule depuis tant d'années.

Alors je trouve qu’au début, ce livre, décrit comme un thriller psychologique, de Dorothy Koomson, est un peu long à démarrer (c'est peut-être pour cela qu'il fait 715 pages ?). On passe à chaque chapitre sur un personnage différent qui raconte son point de vue de l’histoire. J’ai trouvé qu’il y avait des longueurs et qu’il ne se passait pas grand-chose. Au milieu, j’ai commencé à aimer le personnage principal et avoir envie de connaître le dénouement en imaginant toute sorte de possibilités. A la fin, j’ai été déçue. On ne pouvait pas trouver la solution par nous-même. L’explication est par trop rapide et reste un peu confuse.

Je classe ce livre en 204ème position et lui donne 2 étoiles.

26 août 2016

L'autre qu'on adorait

Concernant le troisième livre que j'ai reçu dans le cadre des explorateurs de la rentrée littéraire, il s'agit de "l'autre qu'on adorait" de Catherine Cusset.

Voici ma chronique publiée sur lecteurs.com :

Rendez-vous de la page 100

Le livre débute sur la vie de Thomas, à l’âge de 17 ans, puis ses deux échecs à Khâgne, son parcours universitaire, ses expériences sexuelles et amoureuses. Son histoire nous est racontée par Catherine, la sœur de son ex-meilleur ami Nicolas, qui deviendra tour à tour, sa maîtresse, sa meilleure amie et même son « entremetteuse » vers une histoire d’amour passionnelle chaotique avec Elisa.

Ce rapport entre la narratrice et le personnage principal est un peu surprenant, comme si elle voulait garder le fil, voire même un certain contrôle sur la vie de son ex-amant. Le style de l’auteure est clair, rapide, presque tranchant dans sa façon de décrire les protagonistes et les évènements. La fin va être tragique (puisque c’est l’objet du premier paragraphe) et l’envie monte de découvrir pourquoi.

Chronique

Thomas trouve enfin un premier poste d’enseignant, pas forcément dans l’université dont il aurait rêvé. Les postes et les lieux de vie se succèdent car il n’arrive pas à rendre sa thèse dans les délais puis les autres travaux ou les livres attendus. Les amours aussi ne durent qu’un temps car il est possessif et manque de compréhension pour l’être aimé. Après Elisa, voici Ana, puis Olga et encore Nora. Il alterne les périodes d’allégresse et les périodes de profond désespoir. Ses amis, inquiets, lui conseillent de consulter, ce qu’il finit par faire. Il s’avère qu’il est bipolaire. L’explication de son mal-être et le traitement le soulagent un temps mais il continuera à s’enfoncer petit à petit jusqu’à l’issue fatale.

La narratrice nous raconte cette descente aux enfers de manière précise et détaillée comme si elle comprenait par personne interposée chaque situation que vit son ami. Elle conserve ce regard extérieur mais ressent les choses comme si elle était Thomas. C’est une gymnastique particulière de se placer ainsi à côté du personnage principal et d’observer sa vie à la loupe à la manière d’un anthropologiste.

Il y a d’autre part énormément de références dans ce livre et de citations (livres, musiques, films, …) qui donnent envie de découvrir d’autres univers.

J'ai personnellement suivi le héros à travers ses différentes expériences et comme dans un film où l'on sent que la fin est tragique, on voudrait faire quelque chose pour que le personnage corrige ses travers, ne s'enfonce pas inexorablement dans  un chemin sans retour mais bien sûr c'est impossible. On s'en agace presque !

J'ai trouvé quelques longueurs et des répétitions mais cela s'explique par le fait que Thomas s'enferre dans une spirale infernale en reproduisant les mêmes erreurs et c'est ce que l'auteure veut probablement nous transmettre.

Note sur 20 : 12

Ce qui fait qu'il est classé 224ème dans mon tableau et je lui donne une étoile.

Pour le quatrième et dernier livre, il faudra attendre un peu car je ne l'ai reçu que lundi et chroniqué hier.  J'attends donc la validation avant de pouvoir en parler... Je vous donne juste le titre et l'auteur. Il s'agit de "Au commencement du 7ème jour" de Luc Lang.

A suivre...

25 janvier 2009

Brushing et coiffure

Je ne sais pas me coiffer ! Pourtant, je n’ai pas un cheveu difficile, j’ai bien quelques épis en haut à droite, en plein milieu du crâne et en bas à gauche mais je ne sais pas me coiffer. Et je ne sais pas pourquoi vous avez beau expliquer aux coiffeurs (et j’en ai fait un certain nombre) que vous ne savez pas pour qu’ils tentent sur votre tête de jolies coiffures féminines et sophistiquées mais impossibles à refaire après un bon shampoing ! Vous me verriez faire un brushing (une demi-heure au minimum), vous auriez envie d’envoyer la cassette à Vidéogag : entre la brosse d’une main et le sèche-cheveux de l’autre, que j’éteins et que je repose à chaque nouvelle prise de mèche… On devrait prévoir des cours de coiffures (pour apprendre à se coiffer soi-même à l’école primaire ou au collège) tout comme peut être des cours de couture parce que moi à part les ourlets des pantalons…

25 janvier 2009

Au volant

Qui n’a jamais râlé contre celui qui roule à 30 km à l’heure (alors que c’est 50 autorisés), soit parce qu’il a le temps (et que vous non), soit parce que c’est un papi à casquette qui a oublié qu’il avait une 3ème, soit parce qu’un autre cherche son chemin et au lieu de s’arrêter et demander, il embête tout le monde et vous en l’occurrence. Qui n’a jamais protesté derrière une voiture stationnée en double file parce le conducteur est descendu chercher un paquet de clopes au bistrot, ou en train de déposer son enfant à l’école, ou en train de discuter avec un passant ou pire avec un conducteur dans sa voiture dans l’autre sens qui vous empêche de doubler. Qui n’a jamais pesté après une voiture qui prend à elle seule deux places de parking et que vous tournez depuis au moins 10 minutes pour en trouver une. Il y a un principe simple auquel tout le monde devrait penser : ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse… au volant, c’est pareil.

19 mars 2009

Envie de changer de tête

Envie d’aller chez le coiffeur et de tout couper. Mon chéri serait content, il me préfère avec les cheveux courts. Le problème c’est qu’à chaque fois je suis ravie sur l’instant et après je regrette parce que j’ai des épis un peu partout (je l’ai déjà dit ça) et que je ne sais pas me coiffer (je l’ai déjà dit aussi). Encore là, avec mon carré plongeant, j’arrive à peu près à les mettre comme je veux (grâce à ma super acquisition de brosse rotative chauffante) et quand j’en ai marre je les attache. Si je les coupe courts, je devrais remettre du gel ou de la mousse (à cause des épis) pour qu’ils se mettent comme il faut et je n’aime pas vraiment ça. Alors je me dis qu’il faut que je les laisse comme ils sont… mais là aussi j’en ai marre de faire un brushing tous les 2 jours et la queue de cheval (ou la pince) tous les 2 jours en quinconce. Alors je tourne en rond…

27 mars 2009

les amies d'enfance

Il y a un an à peu près, une amie d’enfance a retrouvé ma trace après 26 ans sans nouvelle. Nous avons échangé 2 ou 3 mails, puis re-mails à l’occasion de nos anniversaires (à 2 jours d’intervalle en novembre), puis re-re-mails à la nouvelle année et puis c’est tout. Alors, récemment, je lui ai envoyé  un message en lui expliquant que j’espérais davantage de nos retrouvailles et que j’aurais aimé que l’on corresponde davantage. Elle m’a répondu que « l’eau avait coulé sous les ponts depuis notre jeunesse », qu’elle avait sa nouvelle vie de famille à gérer et pas forcément beaucoup de temps à me consacrer. Quel intérêt alors de nous être retrouvées ? Est-ce que c’est trop vouloir que souhaiter avoir des nouvelles régulières (je n’en attendais pas tous les jours non plus) ? Est-ce incompréhensible d’avoir envie de savoir qui nous sommes devenues ? Est-ce impossible de redevenir amies ?

30 mars 2009

famille recomposée

Tant de choses à dire sur le sujet…

Rien n’est simple surtout quand on a 23 ans et que votre compagnon a déjà 5 enfants de 16 ans à 7 ans de 2 unions différentes. Des rapports forcément difficiles avec la 2ème maman à qui vous prenez un mari et des rapports plus faciles avec la 1ère que vous « vengez » quelque part de ce que lui a fait la 2ème. Des rapports plus difficiles également avec le 5ème enfant à qui vous avez enlevé le papa à sa maman et des rapports plus faciles avec les 4 premiers qui voient l’histoire se répéter d’un œil curieux.

Une situation difficile parfois avec le compagnon qui privilégie les rapports avec ses enfants et le sentiment de passer en 6ème position.

Un rôle d’autorité qui s’instaure à votre insu parce que le papa ne souhaite pas ce rôle car il est en compétition quelque part avec les mamans pour offrir des moments de joie et non pas des moments de rappels à l’ordre à ses enfants lorsqu’ils viennent à la maison.

Peu de moments à deux car les enfants sont là tous les week-ends et toutes les vacances mais aussi pendant la semaine, en somme quand ils le souhaitent, mais quand on choisit un homme qui est aussi papa, on se doit d’accepter ce partage permanent.

Ensuite, plus tard, pendant ma grossesse, Bédi viendra s’installer à la maison car les rapports avec son beau-père ne sont pas au beau fixe. Puis Nicolas nous rejoindra ensuite. La vie à 5 à la maison. On se serre un peu. On se supporte avec des hauts et des bas, avec des rires et des pleurs. Le « t’es pas ma mère » une fois et le « tu vis chez moi » en réponse ( !?). La période adolescente avec le « je monte dans ma chambre sans dire bonsoir » ou « je retrouve pas ce que j’avais mis au frigo pour ce soir !».

Je ne pense pas que l’amour puisse se décréter du jour au lendemain. Quoiqu’on fasse, la relation reste différente entre nos propres enfants et les enfants de l’autre. L’instinct maternel, s’il existe, peut difficilement se développer quand la relation n’est pas « légitime » au départ. Je veux dire entre belle-mère et beaux enfants… et on culpabilise.

Le départ de Bédi, puis de Nicolas. Vie à 3 pour la première fois.

Des rapports plus faciles maintenant qu’ils ont leur indépendance. Plus de compréhension mutuelle parce qu’ils passent par les étapes où on est passé avant eux. On comprend mieux ses parents en le devenant soi-même. L’expérience permet de prendre du recul.

Si c’était à refaire, je ne me laisserais pas prendre au rôle de la belle-mère qui râle pour maintenir un minimum d’ordre et de règles dans la maison. Je laisserais ce rôle au papa qui finirait bien par réagir. Je me prendrais du temps pour moi, histoire de rentrer plus zen, d’être plus disponible. Si c’était à refaire, je tenterai d’expliquer davantage les choses et de parler avec plus de diplomatie (je reconnais cela n’est pas mon fort).

Mais la vie est comme cela, on ne peut pas recommencer. J’aurai bien aimé parfois être conseillée par une femme ayant vécu les mêmes situations. On réagit en fonction de son expérience et au fur et à mesure…

4 mars 2009

Vive le collège (1)

sAntoine est revenu du collège avec une nouvelle punition aujourd’hui, donnée par une surveillante. La dernière était justifiée car la professeure de français lui avait fait copier à tous les temps de l’indicatif : "j’écoute mes camarades" et "je demande l’autorisation avant de prendre la parole".

Donc pour en revenir à aujourd’hui, il aurait embêté, avec 2 ou 3 autres copains, des élèves de 3ème.

Il me dit qu’il n’a rien fait mais qu’il n’a pas pu s’expliquer sous la menace d’un point en moins en comportement sur son permis par la surveillante. Un des ses copains aurait donné un coup d’écharpe (oh dites donc, quelle horreur !!!) à un 3ème et par peur de représailles de celui-ci, ce copain + un autre + Antoine se seraient sauvés en courant. La surveillante serait arrivée à ce moment précis.

J’ai tendance à croire ce que me dit Antoine. En effet, la dernière fois qu’il a bousculé un camarade dans la cour et que celui-ci est tombé mais n’a pas voulu dénoncer Antoine, c’est Antoine qui est allé voir la CPE pour se dénoncer lui-même !

J’étais prête à mettre un mot dans ce sens dans son carnet de correspondance mais JP me dit que je ne peux pas me battre contre tout et tous au collège.

Ils ont instauré un système tellement strict, à mon avis, que le dialogue n’a plus sa place et qu’il suffit de brandir la menace de points en moins sur le permis pour obtenir la réddition des élèves… enfin tout du moins en 6ème…

10 novembre 2010

Le tour du monde en 80 jours

Antoine, dans le cadre du cours de français, doit lire "le tour du monde en 80 jours" de Jules Verne. De ce fait, afin de pouvoir l'aider à faire les exercices s'y rapportant, j'ai lu (ou relu) le livre... et j'ai adoré !

Il y a tout dans ce livre : de l'aventure, des rebondissements, du suspense, de l'humour... et de l'amour.

Antoine, de son côté, le trouve "bien" (!) et aprécie surtout le personnage de Passepartout qui le fait rire.

Ce livre va rejoindre mon petit classement... Je lui mets 2 étoiles et le place en 8ème position.

16 décembre 2010

Le récital des anges

Je viens de terminer "le récital des anges" de Tracy Chevalier.

Une bonne partie du récit se passe dans un cimetière où les familles Coleman et Waterhouse ont des tombes mitoyennes. Leurs petites filles, Maude et Lavinia, vont se lier d'amitié alors que tout oppose les 2 familles.

La mère de Maude découvre un jour la cause des suffragettes et la vie des deux familles s'en trouvera bouleversée.

J'ai bien aimé la première moitié du roman. J'ai trouvé la seconde un peu trop sombre (en même temps le cadre s'y prête) et la fin m'a laissée sur ma faim.

Je classe ce livre à la 20ème place de mes lectures et lui donne une seule étoile. J'avais largement préféré du même auteur "la jeune fille à la perle".

19 janvier 2011

Permis à points mal en point

Ce

midi,

je découvre un message téléphonique sur le répondeur, laissé par la professeure principale d’Antoine.

 

Elle m’explique qu’en voulant retirer un point de comportement à Antoine sur le fameux permis à point, elle s'est aperçu que celui-ci a disparu du carnet de correspondance. Elle m’explique par ailleurs qu’Antoine ne s’est pas présenté à l’heure de retenue qu’il avait hier soir et que je n’ai pas dû en avoir connaissance car il n’y a pas de signature de ma part sur le carnet en face de cette observation. Il est vrai que je ne demande pas le carnet de correspondance tous les soirs. Vu le côté étourdi d’Antoine, je pense que je devrais m’y mettre..

 

Elle me demande donc s’il m’est possible de procéder à la recherche du permis à point à la maison et m’explique qu’au vu du nombre de points perdus, Antoine risque de passer en commission de discipline (à 6 points sur 12).

 

Je fais écouter de suite le message à Antoine, qui se décompose au fur et à mesure.

 

Pour le permis à point, il me dit qu’il l’a mis en pièce, chiffonné et jeté à la poubelle. Nous retrouvons effectivement celui-ci dans la poubelle de la salle de bains, effectivement chiffonné, en morceaux et qui plus est… humide. Je tente une sauvegarde dans du sopalin et met un dictionnaire dessus. On verra ce soir dans quel état je le retrouve.

 

Il me dit que le dernier point retiré par le professeur de maths concerne des bruits qu’il émet régulièrement. Nous avons constaté cela. Il l’avait déjà fait un moment il y a 2 ans et demi quand JP avait subi son opération du cœur. On avait mis cela sur le compte du stress. Il s’avère que depuis quelque temps, Antoine a repris ce tic. Doit-il être puni pour cela ?

 

Antoine m’atteste qu’il continue depuis la réunion parents-professeurs à faire attention à son comportement.

 

Pourquoi alors frôle-t-il les 6 points sur son permis ?

 

Je tente d’appeler JP sur son portable. Pas de réponse. Je laisse un message. On en parlera ce soir.

Je pense qu'il serait bon de prévoir un RV avec la professeure principale rapidement.

29 janvier 2011

La fée carabine

Je viens de terminer la lecture de "La fée carabine" de Daniel Pennac, deuxième de la saga Malaussène qui en compte sept, après "au bonheur des ogres".

On y retrouve Benjamin Malaussène, bouc-émissaire professionnel cette fois dans une entreprise d'édition, qui tente avec sa famille de désintoxiquer des grands-pères shootés et de poursuivre le gang qui leur vend de la drogue. La police va le suspecter de plusieurs crimes (encore !!) : une tentative d'assassinat sur une journaliste, qui est par ailleurs sa petite amie, des liens avec une vieille dame qui sévit dans le quartier, le meurtre d'un agent de police ainsi que dans le trafic de drogue ayant pour cible des grands-pères. Les inspecteurs Pastor et Van Thian enquêtent la-dessus...

C'est facile à lire, même s'il ne faut pas perdre le fil et recouper le lien entre les différents personnages. Je ne sais pas si dans les 5 livres suivants de la saga, Benjamin Malaussène est à nouveau suspecter de poser des bombes (comme dans le premier) ou de tuer de vieilles dames (comme dans le second) mais il faut croire que le sort s'acharne sur lui...

Je lui mets une étoile et le classe en 22ème position.

Juste avant, j'avais lu "au coeur de Bornéo" de Redmond O'Hanlon (pas d'étoile et classé en 38ème position).

1 février 2011

entretien au collège

Comme prévu, début de semaine dernière, petit rendez-vous avec la professeure d’EPS, professeure principale, et le professeur de mathématiques pour évoquer le comportement d’Antoine, qui s’était amélioré suite à la réunion parents-professeurs mais qui recommençait à se dégrader, notamment dans le cours de maths et avec les surveillants. Le professeur de maths avait même retiré à Antoine des points sur le permis pour cause de cris poussés en classe (cris d’animaux selon lui).

Nous y sommes allés avec JP et lui avons expliqué que ces cris n’étaient pas dirigés contre lui mais que c’est un tic. En effet, ces petits cris sont apparus la première fois au moment de l’opération de JP il y a 2 ans et demi et se sont arrêtés quelques temps après son retour à la maison. Nous les avions attribués à de l’inquiétude pour la santé de son papa. Nous avons vu réapparaître ce tic depuis quelques temps.

Le professeur de Mathématiques a eu l’air embarrassé d’avoir retiré des points à cause d’un tic et la professeure principale en a pris note. Nous avons convenu avec eux d’aller consulter notre médecin et peut-être un psychologue si besoin.

Ils ont tout de même l’impression qu’Antoine n’accepte pas les règles du collège et qu’il a ses propres règles comme s’il n’était pas habitué à en suivre (à la maison par exemple !!!). Je leur ai dit que non, que j’étais plutôt du genre sévère et autoritaire. Vous vous doutez bien que j’ai adoré cette suspicion !!!

JP, qui est le premier à trouver que le collège est parfois trop strict, n’a pas trop abondé dans ce sens. Je lui ai d’ailleurs fait remarquer devant les 2 professeurs et leur ai même indiqué que nous avions envisagé un instant de changer Antoine de collège. Il y a eu un blanc à ce moment précis… Antoine est peut-être turbulent, mais il reste un très bon élève !!!

D’autre part, je leur ai expliqué que lorsqu’Antoine était plus petit, à l’école primaire, il avait un tempérament trop gentil et se faisait parfois chahuter par les autres. Pour qu’il gagne en assurance, je l’ai orienté vers le judo, sport qu’il pratique et qu’il aime depuis plus de 5 ans maintenant. Il fait du théâtre également depuis 2 ans et je pense que ces 2 activités ont contribué à une prise d’assurance et une certaine confiance en soi. Le résultat à peut-être dépassé mes espérances ? Avons-nous pêché par trop d’excès ? Les 2 professeurs ont paru comprendre ma démarche.

Nous nous sommes quittés en nous promettant de nous tenir au courant, eux, du comportement d’Antoine et nous, du rendez-vous chez le médecin pour son tic.

Fin de semaine dernière, nous avons vu effectivement notre médecin traitant, qui n’a pas jugé utile pour le moment de voir un psychologue. Il a parlé longuement à Antoine et lui a prescrit un traitement à base de plantes pour tenter de réduire son stress. A suivre…

Depuis, Antoine a récupéré depuis l’intégralité de ses points en travail et en comportement (soit 12 de chaque côté). Il faut que cela dure… Je pense qu’il a eu peur de la commission de discipline qu’il a frôlé à un point près.

Enfin, une dernière chose, Antoine avait perdu en début d’année son livre son livre d’Histoire et son livre de SVT (ce qui lui avait valu un début difficile avec sa prof de SVT). Nous avions dû racheter les deux. Ce matin, il a retrouvé ces 2 livres ainsi que d’autres choses (une règle, des couvertures de livres, du papier canson, …) entre le tiroir du bas de son caisson et le bas du caisson !!!! Il va retourner voir la responsable du CDI pour récupérer l’argent, si c'est possible, … en espérant qu’il ne se fasse pas disputer d’être dans les couloirs au moment où il n’est pas sensé y être…

 

5 février 2011

Est-ce bien raisonnable ?

En plus du cours de renforcement musculaire que je pratique le mercredi soir depuis septembre, j'ai commencé depuis fin décembre des cours de judo.

Je me retrouve donc dans le cours d'Antoine, qui depuis la rentrée, suit le cours avec les adultes.

Les séances ont lieu le mardi et le jeudi soir pendant une heure et demie. Une semaine sur deux c'est Francis qui fait cours, une semaine sur deux, Didier (tous les deux ceinture noire).

La première partie (pendant une heure) est consacrée à l'échauffement, la seconde partie à l'apprentissage des prises et aux randoris (combats).

Lors de mes 4 premières séances, il m'a été principalement expliqué comment chuter (chutes avant et chutes arrière) que je pratiquais en dehors du reste du groupe et avec Véronique, une autre ceinture blanche.

Depuis, je suis l'intégralité du cours avec les autres, sauf qu'au niveau des prises, cela reste un peu plus limité pour moi (je n'en connais que 3 à ce jour).

J'ai pour partenaires régulières, Carole, ceinture verte, qui me donne plein de conseils et Alexiane, ceinture marron, toujours très douce.

Lors des randoris, nous combattons successivement contre l'ensemble des membres du groupe, et à part une ceinture orange que je n'aime pas pour sa brutalité, j'apprécie les autres pour leurs attentions envers la ceinture blanche que je suis.

Je ne suis pas encore certaine que ce soit vraiment raisonnable de commencer le judo après 40 ans mais jusqu'à présent (je touche du bois), je n'ai eu que des bleus, localisés principalement autour du genou droit (??) et des brûlures légères sur le dessus des pieds qui s'expliquent par le frottement sur le tatamis lorsque l'on rampe...

6 mars 2011

Le mec de la tombe d'à côté

"Le mec de la tombe d'à côté" de Katarina Mazetti raconte l'histoire de Désirée, bibliothécaire, qui se rend régulièrement sur la tombe de son mari où elle rencontre le mec de la tombe d'à côté. Benny vit seul dans sa ferme avec ses vingt-quatre vaches laitières. Malgré le choc culturel, c'est le début d'une histoire d'amour.

J'ai bien aimé l'histoire et le ton drôle et parfois caustique de l'auteur.

Je le classe en 11ème position et lui mets 2 étoiles.

Je m'aperçois que depuis que j'ai cessé de lire des livres recommandés sur le "journal des femmes" et que je suis plutôt mon instinct dans les rayons de la Fnac, je prends plus de plaisir et ne peine pas péniblement un mois sur le même bouquin. A suivre...

 

 

11 mars 2011

Au collège

Bilan de la première semaine au collège après les vacances d’hiver :

Mardi, Antoine a passé son heure d’histoire en permanence à copier une leçon car il n’avait pas ramené une punition qu’il devait faire pendant les vacances. Résultat : une heure de retenue jeudi matin et un point en moins en travail.

Mardi soir, j’ai puni Antoine en ne l’emmenant pas au judo (il ne m'avait pas dit tout de suite pourquoi son copain Dorian était passé à la maison pour lui remettre une certaine leçon d'histoire).

Mercredi, Antoine a passé une bonne partie de l’après-midi à faire la punition qu’il devait faire pendant les vacances, à savoir copier 12 fois un paragraphe du règlement intérieur.

Jeudi, retenue de 8 h à 9 h. Le professeur  d’histoire n’étant pas là pour donner les consignes, Antoine a passé une heure à faire des jeux de société ( !).

Ce matin, Vendredi, avant de partir à l’école, je vois Antoine faire une punition (conjugaison du verbe s’amuser à tous les temps). Je lui demande qui lui a demandé cela. Il me répond : "avec la professeure principale, je ne sais jamais si j’ai une punition à donner ou pas alors maintenant j’en prépare une à chaque fois !!!"

Tout va bien !!!

Il a rectifié le tir au niveau comportement (enfin j'espère que ça va continuer), maintenant, ce sont les oublis qu'il va falloir règler. Il a perdu un point en travail avant les vacances pour un oubli de livre en SVT (le 3ème)... Antoine a toujours été étourdi, je n'ai malheureusement pas trouvé encore de remède contre ça...

17 mars 2011

Les chaussures italiennes

"Les chaussures italiennes" de Henning Mankell raconte l'histoire de Fredrik Welin, soixante-six ans, qui vit seul sur son île dans la Baltique. Il s'est coupé du monde depuis une erreur qu'il  a commise en tant que chirurgien. Harriet, son premier amour, fait irruption dans sa vie et exige de lui qu'il tienne une promesse car elle est mourrante : lui faire découvrir un lac dont il lui a parlé. A partir de ces retrouvailles, plus rien ne sera comme avant.

J'ai bien aimé, je lui mets 2 étoiles et le classe en 12ème position.

J'aurais souhaité une autre fin car celle-ci laisse trop de place à l'imagination de chacun.

 

23 mars 2011

la vie au collège

Lundi soir, c’était la réunion parents-professeurs. Dans l’ordre, j’ai vu le professeur d’histoire, de Latin, de Technologie, d’anglais (JP est arrivé à ce moment là), de mathématiques, de français et d’EPS (toute seule car JP en avait marre mais comme c’est la prof principale elle avait le bulletin de notes).

En gros, ils ont tous constaté une amélioration du comportement d’Antoine et les notes sont bonnes, sauf en histoire où le professeur n’accepte pas qu’Antoine ait chuté de 4 points de moyenne (il avait la meilleure moyenne de son cours au 1er trimestre) et que son comportement se soit dégradé. Il considère qu’il a des capacités énormes et que c’est du gâchis.

Mardi soir, je trouve Antoine et Dorian à la maison en train de faire une scénette en français car JP ayant dit à la professeure qu’Antoine faisait du théâtre, celle-ci a proposé à Antoine et à 2 ou 3 volontaires d’écrire un dialogue sur Yvain le Chevalier. Ce matin, avant de partir travailler, j’ai tapé leur texte sur informatique en mettant des couleurs différentes en fonction des personnages qui parlent et on l’imprime en 4 exemplaires pour le donner aux copains. Ce midi, Antoine me dit qu’il a oublié d’emmener le texte au collège !!! Je suis donc arrivé 20 minutes plus tard que d’habitude au travail pour qu’il oublie les documents à la maison…

Petite anecdote : quand Antoine était petit et que je voulais qu’il devienne propre la nuit, on a mis en place un calendrier. Quand il faisait pipi, on mettait un nuage, quand il était propre, on mettait un soleil. Au bout d’un mois et demi, il était propre. Depuis quelques jours, j’ai remis en place le calendrier avec les nuages et les soleils, sauf que là c’est pour les oublis. A ce jour, il y a 4 nuages et un seul soleil !!! dans l’ordre : oubli de ses clés de la maison (je l’ai récupéré chez Vincent), oubli du sac de sport (ce sont ses copains qui lui ont rappelé avant qu’il n’entre dans la voiture), du carnet de correspondance au Centre de documentation (il a failli avoir une punition par la prof principale qui lui réclamait son carnet) et enfin cette fameuse pochette avec mes documents imprimés… Je suis pas sûre qu’il ne faille qu’un mois et demi pour qu’Antoine ne soit plus tête-en-l’air ( !)

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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