La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour Eiffel
Présentation de l’éditeur :
« Chaque seconde qui passait était une seconde de vie perdue pour Zahera. Car la maladie progressait à pas d’ogre et l’hôpital, là-bas, n’avait pas les moyens techniques de s’en occuper. La petite fille ne devait donc son salut qu'à sa volonté de fer, et à l’espoir, maintenant, que sa maman vienne la chercher au plus vite. » R. P. Alors que la jeune et jolie factrice parisienne Providence Dupois s’apprête à partir en Afrique chercher la petite fille qu’elle aime le plus au monde, un volcan islandais se réveille, paralysant l’ensemble du trafic aérien européen. D’aéroport en monastère tibétain, commence alors pour elle le plus haletant et le plus prodigieux des voyages. L’amour donne des ailes. Êtes-vous prêt à vous envoler ?
C’est trop loufoque pour moi. J’avais pourtant bien aimé de même auteur « L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea » auquel j’avais mis 2 étoiles. La aussi, il y avait un côté loufoque et absurde et des situations toujours à la limite du possible, mais dans « la petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour Eiffel », ce n’est pas à la limite du possible, c’est carrément impossible et donc l’auteur me perd complètement (même si on apprend la vérité -plus crédible- plus tard). Et puis, on vous met plusieurs fins, histoires de choisir celle que l’on veut pour pas être trop triste quand on connaît ce qui s’est passé. Donc bof.
Je classe ce livre en 623ème position et ne lui donne pas d’étoile.