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Le petit monde de So et de Fi
28 février 2021

Du fuel aux pellets

 

Notre chaudière au fioul arrivant en fin de vie, nous devions en changer.

L'ancienne chaudière au fioul :

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Avec ses cuves (1500 litres chacune) :

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Première étape, enlever les cuves et l'ancienne chaudière :

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Après avoir longtemps tergiversés, avec petit mari, nous avons opté pour un changement de type de chaudière.

Nous n'avons pas repris une chaudière au fioul, même si elle aurait été de nouvelle génération, à savoir à condensation mais une chaudière à pellets. 

Pendant l'installation :

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Le silot à pellets à gauche et la nouvelle chaudière à droite :

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La cheminée :

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Le local où il y avait les cuves et qui nous laisse à présent un bel espace de rangement :

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Voici une bonne chose de faite : une chaudière neuve et plus écologique.

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21 février 2021

L'éducation aux temps du coronavirus

Présentation de l’éditeur

Le 12 mars 2020, face à la pandémie, le Président de la République annonce la fermeture de tous les établissements d'enseignement. Le ministre de l'Education nationale exhorte à assurer la "continuité pédagogique" à distance. Comment, dans l'urgence et l'impréparation, confinés, enseignants et élèves, familles et étudiants font-ils dans les semaines qui suivent ? Que révèle cette "crise" de l'état du système d'enseignement ? Comment ce confinement sert-il à l'accélération des réformes gouvernementales en cours ? Treize spécialistes de l'éducation, de la maternelle à l'université, coopèrent et tentent de répondre à ces questions et d'ouvrir les chantiers de recherche que cette séquence inédite impose.

J’ai trouvé que ce livre était uniquement à charge contre le gouvernement et qu’il ne faisait que constater des éléments que l’on connaît déjà : la fracture numérique, la difficulté pour certains parents à aider scolairement leurs enfants, les différences selon le niveau social, l’isolement physique et psychologique qu’a imposé le confinement.

La « continuité pédagogique » demandée par le gouvernement a parfois été difficile à appliquer mais qu’aurait-il pu proposer d’autres ? D’ailleurs, les auteurs du livre critiquent les décisions venant d’en haut mais ils ne proposent, ne suggèrent absolument rien de ce qu’il aurait fallu faire. Si la recherche consiste à analyser une situation (qu’on connaît déjà) alors ils ont bien cherché mais qu’ont-ils résolu ? Le livre a été terminé le 1er juillet 2020, n'est-ce pas un peu tôt, a-t-on assez de recul pour analyser et apporter réellement quelque chose, n'est-ce pas un peu commercial ?

Les enseignants (la plupart) ont fait le maximum pour aider leurs élèves et c’est très bien. La situation a sûrement accentué les différences en fonction du niveau social, mais comment résoudre cela ?

Travaillant dans le milieu enseignant, dans une école d’enseignement supérieur, j’ai rencontré les mêmes difficultés avec les étudiants. Ceux qui avait un poste informatique défaillant, une mauvaise connexion internet, un ordinateur partagé par les parents ou la fraterie (et pour exemple, une famille privilégiant plutôt celui qui passait son bac que celui en 3ème année d’études supérieures).

Nos intervenants ont utilisé leur poste informatique personnel (ce qui n'est apparemment possible par les enseignants du public, selon les auteurs de ce livre, car tous les professeurs de l'Education Nationale n'en possèdent pas) et ont assuré les cours et modifé leur contenu, leurs supports de cours pour s'adapter à la situation.

On a fait le maximum, on a télétravaillé, on a prêté (et livré !) des ordinateurs aux étudiants, permis des connexions à distance sur les ordinateurs de l’école, assuré le maximum de cours en distanciel par visioconférence, reporté les cours où c’était impossible, adapté la pédagogie à cette contrainte qu’était le confinement lié à la situation sanitaire, apporté une aide psychologique par une ligne dédiée. Alors oui, c'est une école privée avec d'autres moyens que l'Education Nationale, mais même si on a trouvé la période compliquée, on s'est adapté au mieux. On a détricoté les plannings et retricoté, plusieurs fois, parce que l'on espérait toujours pouvoir revenir à l'école en présentiel avant la fin de l'année scolaire.

A aucun moment, on a incriminé le gouvernement, pour quoi faire ? Quel aurait été l’intérêt pour nos étudiants ?

Bref, se plaindre, c’est humain mais constatons plutôt le positif. Pour certains intervenants venant habituellement de loin, on a minimisé leur fatigue, les coûts de déplacement et d’hôtel et envisagé d’autres solutions qui perdurent encore à l’heure actuelle. Bien sûr, rien ne vaut un cours en présentiel, mais cette période a permis d’imaginer d’autres solutions ponctuelles ou durables, d’autres manières de fonctionner, des choses qui paraissaient impossibles, sont devenues possibles.

Je classe ce livre en 469ème position et ne lui donne pas d’étoile.

12 février 2021

Cessez de manger vos émotions

Présentation de l’éditeur

Vous surprenez-vous parfois à grignoter sans avoir réellement faim ? Craquez-vous davantage pour certains aliments sous l'effet du stress, de la colère ou de la tristesse ? Avez-vous l'impression de perdre le contrôle lorsque vous succombez à une " petite faim " ? Si votre alimentation est étroitement liée à votre état émotionnel, alors ce livre est pour vous. Isabelle Huot et Catherine Senécal vous proposent de faire la paix avec votre corps et de transformer votre relation avec la nourriture, pour enfin vous libérer du cycle de la compulsion alimentaire. Fortes d'une grande expérience, elles ont développé des exercices, des astuces et des outils pratiques qui ont fait leurs preuves. En repensant votre rapport aux aliments, en renouant avec les signaux naturels de votre corps et en modifiant les pensées qui génèrent de l'anxiété, vous retrouverez enfin le bien-être que vous méritez tant !

Alors, oui, ce livre d'Isabelle Huot et de Catherine Senécal m’a permis de comprendre ce qui déclenche mes compulsions alimentaires.

En gros, il y a trois raisons :

-          « Les émotions négatives (colère, solitude, ennui, anxiété, stress), (…)

-          Les restrictions qu’on s’impose, qu’elles soient mentales (s’interdire de manger certaines catégories d’aliments) ou alimentaires (s’interdire de manger en quantité suffisante), (…)

-          Se sentir gros ou ballonné, ce qui peut engendrer des difficultés à prendre soin de soi, un sentiment d’échec ou de l’autosabotage (…) »

Mon cas est la deuxième raison (et plus précisément la première partie de la deuxième raison).

Avoir entrepris et suivi strictement Weigth watchers, ainsi que reprendre le sport, le tout il y a 3 ans était une très bonne idée, j’ai perdu entre 12 et 13 kilos mais il est vrai que même si ce système de rééquilibrage alimentaire nous dit que l’on peut consommer de tout, quand on voit ce que « coûte » en « points » un morceau de chocolat ou une viennoiserie, on a tendance à y renoncer.

Et depuis quelque temps, je suis capable de manger, sans avoir faim, des choses sucrées de façon quelque peu désordonnée.

Donc, merci à ce livre d’avoir précisé dans mon esprit la situation que je rencontre actuellement, mais après, la mise en œuvre des solutions proposées me paraît plus difficile. Faire des journaux (de pensée, de restructuration cognitive, alimentaires, d’avantages et inconvénients), des exercices de résolution de problèmes, tout cela me paraît bien contraignant…

Je classe ce livre en 382ème position et lui donne 1 étoile.

6 février 2021

L'hôpital maritime

Présentation de l’éditeur

Que nous reste-t-il à la fin ? Que se passe-t-il quand un homme disparaît ? Où vont ses souvenirs, les visages, les paroles, les silences qu'il a connus ? A l'hôpital maritime des vies s'achèvent. Les paysages, les vivants et les fantômes les veillent.

Bon, un peu tristounet ce livre de Pascal Ruffenach, poétique mais tristounet. Forcément, cela parle de la fin de vie, de la fin d’une vie. J’avoue, il m’a un peu perdue parfois avec ses métaphores et j’ai sûrement manqué des choses ou des idées.

Je classe ce livre en 470ème position (sur 610 que compte mon classement) et ne lui donne pas d’étoile.

3 février 2021

Mémoire de fille

Quatrième de couverture :

"J'ai voulu l'oublier cette fille. L'oublier vraiment, c'est-à-dire ne plus avoir envie d'écrire sur elle. Ne plus penser que je dois écrire sur elle, son désir, sa folie, son idiotie et son orgueil, sa faim et son sang tari. Je n'y suis jamais parvenue." Dans Mémoire de fille, Annie Ernaux replonge dans l'été 1958, celui de sa première nuit avec un homme, à la colonie de S dans l'Orne. Nuit dont l'onde de choc s'est propagée violemment dans son corps et sur son existence durant deux années. S'appuyant sur des images indélébiles de sa mémoire, des photos et des lettres écrites à ses amies, elle interroge cette fille qu'elle a été dans un va-et-vient implacable entre hier et aujourd'hui.

C’est un peu étrange la façon dont l’auteure, Annie Ernaux, parle de cette fille de 1958, qui n’est autre qu’elle-même, comme si elle avait un regard extérieur et que cela ne la concernait pas vraiment. Son expérience doit faire écho à pas mal de femmes, en tout cas, il en a eu un chez moi. On devait toutes poser sur du papier notre première expérience, ou plutôt devrait-on dire notre non-expérience justement. Ecrire sur ce qui s’est passé permet peut-être de mieux comprendre et d’analyser, parce quand même, ce n’est pas anodin.

Je classe ce livre en 469ème position et ne lui donne pas d’étoile parce même si ce livre a éveillé des souvenirs ou des sensations, j’ai trouvé que c’était un peu trop bizarre de parler de soi de cette façon et si longtemps après les faits.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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