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Le petit monde de So et de Fi
30 novembre 2014

Un dimanche comme je les aime

Ce matin, pendant que je commençais à ramasser les feuilles mortes, JP a fait un premier voyage à la déchetterie avec la remorque pour jeter diverses choses suite au déménagement de sa mère du foyer-logement où elle se trouvait en maison médicalisée. 

Il a ensuite fait un second voyage avec des déchets verts (les géraniums que je n'essaie plus de garder d'une année sur l'autre et autres plantes en jardinières ainsi que les premières poubelles de feuilles que j'avais remplies).

En ramassant les feuilles dans le fond du jardin, j'ai décidé de jeter deux chaises de notre ancien salon de jardin, un vieux banc, des bordures en bois très abîmées, des jardinières en inox dont on voyait à travers dans le fond et deux vieux pots de fleur... Du coup, JP a fait un troisième aller-retour à la déchetterie (il a fallu que j'insiste un petit peu :o) ).

A son retour, on a rentré les deux pots avec nos lauriers roses et les deux fushias dans le garage car il risque de geler bientôt.

JP a supprimé un groseiller à fleurs. En fait, il était tout penché malgré plusieurs tuteurs et n'avait pas vraiment une belle forme. Du coup, on a décidé de l'enlever.

JP m'a ensuite aidé à ramasser les feuilles (on a rempli la remorque une nouvelle fois) et 10 autres nouvelles poubelles (!!) que l'on emmenera un jour prochain à la déchetterie. On a eu fini vers 15 h. Jecko ne nous a pas quitté d'une semelle. Il a fait autant d'aller- retours que nous entre le fond du jardin et le garage.

Ensuite, j'ai sortie ma machine à coudre (je lui fait prendre l'air une fois tous les 6 mois !!) pour recoudre le tissu qui recouvre le sèche linge extérieur et que Jecko s'est amusé a détériorer. J'en ai profité pour faire l'ourlet d'un de mes pantalons et racourcir une jupe longue... Si, si !

Le jardin est propre. Il faudra renouveler l'opération du ramassage des feuilles mortes en dessous du saule pleureur et du noyer qui perdent leurs feuilles plus tard que les autres...

Vous allez penser que je suis un peu mazo d'aimer un dimanche comme ça (et vous aurez sûrement raison) mais c'est juste que je suis contente du travail accompli même si on risque d'avoir quelques courbatures demain... et une journée passée dehors au jardin c'est toujours bénéfique et ressourçant (enfin je trouve).

 

 

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27 novembre 2014

J+34 RV post-opératoire avec le chirurgien

Ce soir, Antoine avait RV avec son chirurgien préféré.

Un peu plus d'un mois après l'opération, il s'agissait du premier contrôle post-opératoire.

Le chirurgien a rappelé l'importance de travailler sur l'extension (car la flexion est plus facile à récupérer).

Il lui a remontré l'exercice consistant à marcher en posant un pied devant le bout de l'autre pied et ainsi de suite car ce mouvement oblige une extension complète du genou.

Il y a dit également de travailler les quadriceps en bougeant la rotule et favoriser ainsi la musculation de sa cuisse qui a beaucoup perdu en masse. S'il marche sans tendre vraiment, sa cuisse ne travaille pas.

Juste avant les séances de kiné, il lui a indiqué qu'il pouvait prendre un doliprane afin d'aller encore un peu plus loin lors des exercices d'extension...

On le revoit dans deux mois...

Antoine espérait qu'on le ramènerait à la maison parce qu'un prof qu'il a 3 heures demain est absent mais il a tout de même une heure d'espagnol, une heure de mathématiques et une heure d'anglais.

Il est rentré à l'internat en faisant la tête... Il m'a envoyé un texto pour me dire qu'il fallait pas qu'un prof l'énerve demain.

J'ai dû recadrer les choses au téléphone une fois revenue à la maison.

 

25 novembre 2014

La joie du bonheur d'être heureux

A 30 ans, Aimée est Responsable Marketing, connaît quelques incompréhensions conjugales et un licenciement. Elle sombre alors peu à peu dans une dépression. Pour Aimée commence un parcours mouvementé au cours duquel elle va essayer tout ce qui existe sur le marché du développement personnel et du bonheur clé en mains. L'occasion de mettre en application l'abondante littérature sur le sujet et va découvrir successivement et dans le désordre : "Les hommes mangent des mars et les femmes des Bifidus" de John Grave, la positivence et la guérisence grâce à la solution résiliente de Boris Cyrulgnik, la méthode révolutionnaire pour en finir définitivement avec tout d'Allen Kar, la spiritualité ensablée de Poelo Coalo, Comment guérir sans soigner grâce aux sushis de Servanne Chreiber, l'ouvrage culte de Jack Slalomé – " Allonge-toi et marche ! ", " Je suis con mais je m'estime " de Christophe André, Comment préparer et réussir son immortalité par le Dr Dukhan, Sans oublier l'Eglise de Chientologie de Don Rubbarb. Mais que se passe-t-il quand on les applique tous simultanément et à la lettre ?

Il y a plein de références dans ce livre et c’est à peu près la seule chose que j’ai aimée (même si tous ces auteurs sont scrutés à la loupe et tournés en dérision). On est sensé rire (rien que le titre déjà !), voire pleurer de rire mais cela n’a pas eu l’effet escompté sur moi (mais c'est bien connu, je n'ai pas d'humour ou en tout cas pas celui-là). Cela m’a fait penser « au traité des paradoxes » de Sandrine Dauchez que j’ai lu il y a peu de temps et qui ne m’avait pas amusé non plus. Le fait que ce soit une narratrice alors que l’auteur est un homme (Pascal Fioretto) laisse penser que ce sont les femmes qui sont le plus friandes de ces lectures et peut être les plus influençables ( !).

Bref, je classe ce livre en 237ème position (juste après « le magasin des suicides »…), et ne lui donne pas d’étoile.

23 novembre 2014

Un coup de vieux ? Finalement non, plutôt une bonne nouvelle...

Je viens de recevoir un courrier de l’assurance retraite me présentant la synthèse de mes droits à la retraite !!!

JP m’a demandé si cela me donnait un coup de vieux. En fait, pas vraiment, je suis plutôt contente !!

A priori, on doit recevoir le premier courrier à 35 ans puis tous les 5 ans. Je ne me souviens pas avoir reçu ce récapitulatif auparavant...

Enfin, bref, le document, qui arrête son décompte fin 2013, m’indique que j’ai déjà cotisé 93 trimestres soit quasiment 97 si on rajoute l’année 2014 (soit 24,25 années).

Sachant qu’en fonction de mon année de naissance, je dois cotiser 170 trimestres pour avoir une retraite à taux plein, il m’en reste 73, soit 18,25 années à travailler… à savoir jusqu’à mes 63 ans. Bon, je m’attendais à pire (ne parle-t-on pas de travailler à présent jusqu’à 67 ans ?).

Maintenant, on verra bien, je m’arrêterais sûrement de travailler avant. JP aimerait bien, lui qui est déjà à la retraite (si on exclut le fait qu’il travaille comme jury à l’AFPA quasiment à mi-temps -une semaine sur deux- depuis qu’il a quitté son activité salariée).

22 novembre 2014

Muchachas 2

Nous retrouvons les personnages de la trilogie des Yeux jaunes des crocodiles :

- Entre Paris et Londres, Joséphine connaît des problèmes de cœur avec Philippe,

- à New York, Hortense cherche l’Idée pour lancer la maison de couture et Gary partage sa passion de la musique avec Calypso,

- à Paris, Zoé est toujours amoureuse de Gaëtan,

- Entre Londres et New York, Shirley tombe amoureuse de celui qu’il ne faut pas.

- à New York, Helena est de plus en plus énigmatique

Je pensais que nous retrouverions Stella et ses proches dans le tome 2 puisque le tome 1 se terminait sur un évènement quelque peu inquiétant la concernant mais pas du tout !! Il n’est nullement question de ce personnage dans Muchachas 2. En effet, le tome 2 ne suit plus Stella mais la famille Cortès au grand complet. On a un peu de mal à suivre la logique de Katherine Pancoll si ce n’est une volonté marketing pour nous inciter à acheter le tome 3…

J'espère que le troisième tome liera enfin les deux histoires et trouvera une réelle fin (pas de rebondissements dans une troisième trilogie qui reprendrait les personnages de la 1ère (les yeux jaunes ») puis de la seconde (« les muchachas ») et dont l’auteure n’a même plus cherché à trouver de titres originaux.

Malgré cela, j’aime le style Pancoll et sa facilité à nous emporter dans son monde ou plutôt dans le monde de ses personnages aux caractères si variés.

Je classe ce livre juste après Muchachas 1, à savoir en 87ème position et je lui donne 2 étoiles.

 

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21 novembre 2014

J+28 Séances de kiné

Quasiment un mois après l'opération...

Antoine aurait dû garder son attèle et ses béquilles 3 semaines complètes, il ne les a gardées que 2 malgré nos conseils (!).

Il va voir le kiné après les cours et avant de rentrer à l'internat.

En position allongée, quand il tend la jambe, le kiné peut glisser deux doigts sous son genou. Il était à 4 doigts au début des séances donc un réel progrès :

IMG_1339

Voici la flexion du genou, encore difficile, mais en progression également :

IMG_1340

Antoine est allé à l'entraînement de judo 3 fois cette semaine pour muscler le haut du corps.

Motivé, motivé !!

18 novembre 2014

Muchachas

Dans Muchachas, on retrouve certains personnages de la trilogie « des yeux jaunes des crocodiles », à savoir Hortense et Gary à New York... puis Joséphine et Philippe à Londres, Zoé qui veut revenir à Paris pour vivre auprès de son amoureux et qui va jusqu’à fuguer... Du coup, sa mère accepte de revenir habiter sur Paris. On découvre alors de nouveaux personnages, Stella et sa mère Léonie, battue par son mari, Ray, avec la complicité de sa belle-mère…

Ma première difficulté a été de me souvenir de certains personnages de la précédent trilogie (cela fait un peu de temps et les personnages sont nombreux...).

Ensuite, je n’ai pas tout compris. En effet, l’histoire de Stella et de sa famille se suffisait d’elle-même et aurait pu faire l’objet d’un roman à elles toutes seules. Pourquoi y mêler les personnages de la précédente trilogie ? Le pire c’est que les 3 tomes « Les yeux jaunes de crocodiles », «  la valse lente des tortues » et «  les écureuils de Central Park sont tristes le lundi » avaient une réelle fin alors que là, l’histoire de Stella s’arrête en plan. Obligée pour connaitre la suite de lire Muchachas 2 puis 3 !!! Cela devient carrément du marketing…

Maintenant, on aime ou pas le style Katherine Pancoll. C’est bien raconté, les personnages sont bien cernés et ont vraiment une personnalité qui fait que l’on souhaite connaître ce qu’il va advenir d’eux. Donc, je vais forcément me fournir la suite à la médiathèque si disponible ou alors la télécharger sur ma liseuse.

Je classe ce livre en 86ème position et lui donne 2 étoiles.

15 novembre 2014

Rencontre parents-professeurs

Hier soir, se passait la rencontre parents/professeur au Lycée d’Antoine.

Nous avons vu 6 professeurs en un peu plus de 2 h 30... Un système de RV qui ne fonctionne pas du tout car, d’une part, certains professeurs arrivent en retard au premier créneau et, d’autre part, comme vous n’avez pas le professeur disponible à votre rendez-vous, vous allez en voir un autre et donc vous n’êtes plus à l’heure vous-même au rendez-vous suivant. D'autres parents vous passent devant car leur rendez-vous est avant le vôtre (invérifiable !). Autre souci, les entretiens devraient durer 10 minutes mais certains parents (ou professeurs) parlent pendant plus de 20 minutes, voire une demi-heure !! donc beaucoup, beaucoup d'attente...

Enfin, bref, nous avons commencé notre périple par la professeure d’anglais : celle-ci a fait un « erase » suite au problème de sms envoyé pendant son cours qui a généré une journée d’exclusion pour Antoine et trouve que depuis cet incident Antoine se comporte bien. Il est aussi capable de beaucoup mieux que ce qu’il fait actuellement. Elle pense qu’il a un fort potentiel en anglais parce qu’il ose parfois des phrases différentes de ses camarades. Il faut qu’il travaille mieux, par forcément davantage mais en fonction des conseils qu’elle donne pour les révisions entre chaque cours.

Nous avons vu ensuite le professeur d’histoire : Celui-ci pense qu’Antoine a de bonnes réflexions, utiles dans la rédaction des idées. Il va cette année travailler sur les techniques des exercices qui seront demandés au bac. Sa matière vaut coefficient 5.

Nous avons ensuite vu le professeur principal, en l’occurrence la professeure de français : elle a parfaitement bien ciblé Antoine. Elle sait qu’il fait le minimum pour avoir une moyenne correcte dans l’ensemble des matières. Elle constate qu’il manque de participation et qu’il est parfois « endormi ». Elle pense qu’il regrettera plus tard de ne pas en faire davantage maintenant malgré ses capacités. Elle dit qu’il a besoin de « câlins » c'est-à-dire d’une situation privilégiée avec les professeurs mais pour avoir cette situation privilégiée, il faut d’abord la mériter. Elle lui a parlé ensuite de trouver un objectif professionnel dès à présent afin de trouver une motivation pour travailler ses cours. Elle va prendre pour lui un rendez-vous avec la conseillère d’orientation (elle sait qu’il n’ira pas de son propre fait).

Nous avons vu ensuite la professeure de SVT. Antoine l’avait déjà l’année dernière et cela s’était mal passé. Cette année, elle tolère davantage de choses (Antoine n’a pas le classeur requis, est parfois un peu en retard, …) parce qu’Antoine se comporte mieux et qu'il prend davantage en note. Il est moins insolent ou moins contestataire. Ils se « supportent » donc tous les deux pour que l’année se déroule le mieux possible.

Nous avons vu le professeur de SES (Sciences économiques et sociales). Il pense qu’Antoine a un bon intérêt pour sa matière. Il faut se maintenir au courant de ce qui se passe dans l’actualité pour entendre les termes économiques utilisés dans un autre contexte que dans le cours pour les assimiler. Il trouve aussi (comme la professeure de français) qu’Antoine a parfois des périodes d’absences ou de mou. Antoine confirme qu’il est fatigué et espère que cela ira mieux quand il ne boitera plus et que la rééducation sera finie.

Nous avons terminé par le professeur de mathématiques (JP voulait partir, il en avait marre de patienter, j'ai insisté pour voir ce dernier professeur). Il y avait eu un incident dans sa matière, Antoine ne prenant pas en note, il a eu un avertissement. Malgré cela, le professeur constate dit qu’Antoine a des compétences en mathématiques et qu’il est meilleur qu’il ne le pense car du moment qu’il apprend les règles et qu’il utilise le vocabulaire adéquat, il s’en sort bien. Il dit qu’il n’a pas de problème avec les nombres comme certains de ses camarades. Il explique que l’année de première ES est consacrée à des révisions mais que l’année de terminale sera plus compliquée car avec des notions plus abstraites. Au bac, cette matière compte pour 5 de coefficient et il pense Antoine capable d’obtenir un 13…

En résumé, pas grand-chose de nouveau, Antoine est capable de beaucoup plus mais il manque de la volonté et du travail. Il faut qu’il cherche ce qu’il va faire après son bac et un objectif professionnel. Les choix vont devoir se faire rapidement. Une fois un objectif clair déterminé, il devrait avoir plus de motivation et d’envie pour certaines matières.

Nous sommes rentrés à 21 h 30...

12 novembre 2014

La maladie de Sachs

Quatrième de couverture

Dans la salle d’attente du Docteur Bruno Sachs, les patients souffrent en silence.
Dans le cabinet du Docteur Sachs, les plaintes se dévident, les douleurs se répandent.
Sur des feuilles et des cahiers, Bruno Sachs déverse le trop-plaint de ceux qu’il soigne.
Mais qui soigne la maladie de Sachs ?

C’est le troisième livre que je lis de Martin Winckler (après « le chœur des femmes » classé en 7ème position et « les 3 médecins » classé en 110ème position). J’aime beaucoup son humanisme, son humilité face aux patients, sa volonté de les soigner et de les soulager du mieux qu’il le peut. C’est un livre polyphonique où le médecin ne s’exprime pas en direct mais par la voix des patients, collègues, amis qui utilisent le « tu » pour parler de lui. On retrouve les patients au fur et à mesure et on les suit comme si on assistait aux consultations, on fait le lien au fil des pages entre certains d’entre eux et on voit le Docteur changer quand il rencontre une femme à aimer et dont il est aimé à un moment où il ne croyait plus en rien.

C’est un beau livre, avec parfois un jugement un peu sombre sur la médecine où sur ce que certains praticiens en font. Il est aussi plein d’espoir sur la vie quand on côtoie la mort si régulièrement comme le Docteur Sachs.

Je le classe en 66ème position et lui donne deux étoiles.

10 novembre 2014

Pastorale américaine

Présentation de l’éditeur

Après trente-six ans, Zuckerman l'écrivain retrouve Seymour Levov dit «le Suédois», l'athlète fétiche de son lycée de Newark. Toujours aussi splendide, Levov l'invincible, le généreux, l'idole des années de guerre, le petit-fils d'immigrés juifs devenu un Américain plus vrai que nature. Le Suédois a réussi sa vie, faisant prospérer la ganterie paternelle, épousant la très irlandaise Miss New Jersey 1949, régnant loin de la ville sur une vieille demeure de pierre encadrée d'érables centenaires : la pastorale américaine. Mais la photo est incomplète, car, hors champ, il y a Merry, la fille rebelle. Et avec elle surgit dans cet enclos idyllique le spectre d'une autre Amérique, en pleine convulsion, celle des années soixante, de sainte Angela Davis, des rues de Newark à feu et à sang...

J’ai pris ce livre de Philip Roth à la bibliothèque ou plutôt j’ai pris « la tâche » où il était indiqué qu’il s’agissait d’une trilogie qui commençait par « pastorale américaine » puis « j’ai épousé un communiste » avant de se terminer par « la tâche ». Je les ai donc empruntés tous les trois…

Je sais que je ne lirai pas les deux suivants (!).

J’avais lu des commentaires sur internet avant d’attaquer le premier livre et j’en avais lu un notamment qui disait que c’était compliqué. En fait, ce n’est pas tout à fait cela. C’est plutôt qu’il y a des longueurs, des détours, des extrapolations, voire des divagations, … Pour exemple, la fin du livre se termine par un repas entre « amis ». Ce repas dure 170 pages !! J’ai beaucoup de mal avec les gens qui s’écoutent parler et bien là je trouve que l’on a un écrivain qui s’écoute écrire…

Et puis, au départ, le narrateur est l’écrivain Nathan Zuckerman et il raconte la vie de Seymour le "Suédois" qu’il admirait étant enfant puis cela devient le Suédois lui-même qui raconte sa vie alors qu’on sait qu’il est mort peu de temps après avoir demandé à rencontrer l’écrivain pour parler de son père.

Le tout (580 pages) tourne autour du fait que Seymour et Dawn, malgré tout l’amour donné à leur fille Merry, très intelligente mais bègue, devienne une terroriste contre la guerre du Vietnam et à l’origine de la mort de 4 personnes.

Je classe ce livre en 260ème position et lui donne deux « moins ».

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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