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Le petit monde de So et de Fi
30 octobre 2014

Le traité des paradoxes

Présentation de l’éditeur

Nous vivons dans un monde de paradoxes. Les moyens de communication se multiplient, la vitesse gagne du terrain mais nous continuons à manquer de temps. Le jour de l'an à peine fêté, nous attendons Pâques et surtout les vacances. Chères vacances que nous savourerons d'autant plus après huit heures coincés dans un minuscule espace de classe économique, attendant l'applaudissement final pour nous ruer, avant même l’arrêt complet de l'avion, sur une cigarette tant convoitée. Recensant avec humour les tracas du quotidien, Le petit traité des paradoxes invite au détachement et à la légèreté. De la vie professionnelle aux fêtes annuelles, en passant par les médias, la mode et les cosmétiques, Sandrine Dauchez n’épargne aucun paradoxe et défend avec humour le droit à l’insouciance.

Je m’attendais à davantage d’analyses sur notre société de consommation par l’auteure Sandrine Dauchez. Il y a des banalités et pas vraiment de réflexions que nous ne nous soyons tous déjà faites. C’est un livre qui se veut drôle ou caustique mais je n’ai pas ri, ni même souri, je pense… Ce livre m’a fait un peu penser « aux tribulations d’une caissière » d’Anna Sam qui dénonce le comportement des clients et des consommateurs mais qui n’apporte pas vraiment de révélations ou de nouveautés.

Je classe ce livre en 204ème position (d’ailleurs juste après « les tribulations d’une caissière ») et ne lui donne pas d’étoiles.

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29 octobre 2014

Jecko désagrafé !

Depuis mon dernier billet du 16 octobre, nous sommes retournés voir le vétérinaire pour Jecko deux fois.

Mercredi dernier où sur les 7 agrafes, 5 lui ont été retirées. Il y a eu une ponction du liquide qui formait une bosse sous la cicatrice. La collerette était abîmée, je l'avais même rafistolée avec des bouts de ficelle (un labrador a une certaine puissance et "délicatesse" qui mettent à mal ce genre d'accessoire).

Là, c'est la deuxième collerette qui commence à avoir fait son temps aussi :

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Voici les deux agrafes (on voit encore une petite boule sous la cicatrice) :

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JP est retourné chez le vétérinaire aujourd'hui. Les deux dernières agrafes ont été retirées et Jecko doit garder la collerette jusque vendredi... Vivement !

26 octobre 2014

La Fraga

Présentation de l’éditeur

Venise, 1893. Le passé glorieux de la ville est derrière elle, mais sa beauté dégradée demeure saisissante... Il y a là de quoi faire basculer une vie. Celle de Mary Gordon, fille d'un pasteur de Nouvelle-Angleterre, qui, se formant à travers les épreuves, deviendra une femme libre, et un grand peintre.

Le roman de Danièle Sallenave est plein de références historiques mais on s’y perd parfois (souvent !?), tout comme dans les arbres généalogiques de certains personnages (beaucoup, beaucoup de personnages dans ce roman) qui ne font que passer dans l’histoire et que l’on ne retrouve même plus par la suite (!). Sinon, la vie de Mary Gordon a son intérêt par l’indépendance de ses choix à une époque où les femmes sont encore tributaires de leur mari et où, si elles ont le malheur d’avoir un enfant sans être mariée, se retrouvent en difficulté, parfois même mises au ban de la société.

Et puis, il y a parfois des phrases complètes en italien qui ne sont pas traduites... Il faut deviner ??

Je classe ce livre en 223ème position et ne lui donne pas d’étoile.

26 octobre 2014

J+2 Derniers soins et retour à la maison

Rassurez-vous, je ne vais pas commenter chaque jour de l'après-opération mais je tiens juste à raconter les toutes premières étapes...

Cette nuit a été bonne, l'infirmière de nuit nous a proposé de ne pas venir à minuit et à 3 heures, ce que nous avons accepté avec plaisir.

Nous avons pu dormir de 23 h à 5 h (nouvelle heure), soit 7 heures d'affilée !!!

Petit déjeuner où Antoine a tout mangé (sauf le chocolat au lait chaud qu'il n'a pas bu). Il y avait même un croissant (c'était dimanche !) :

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L'infirmière est venue à 9 h 30 pour retirer le drain. Antoine craignait d'avoir mal mais finalement il n'a rien senti. L'infirmière était surprise également, elle pensait qu'il aurait été enfoncé plus longuement que les 3 cms en question.

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Elle a ensuite changé les pansements.

Le kiné est passé et a installé la nouvelle attelle. Celle-ci permet à Antoine d'avoir le genou un peu plié. Il est sensé poser son pied gauche par terre en s'aidant des béquilles mais c'est encore douloureux.

Il doit aussi tendre davantage son genou.

On a pu quitter la clinique à 11 h...

Retour à la maison.

A partir de demain, visite d'une infirmière tous les jours pendant 10 jours et démarrage des séances de kiné post-opératoire à partir de mardi.

A suivre...

25 octobre 2014

J+1 doucement mais sûrement

Après une nuit entrecoupée par la visite des infirmiėres toutes les 3 heures (minuit, 3 h et 6 h), Antoine a de moins en moins recours à la morphine.

Apres une rapide toilette dans le lit, on vient le chercher pour une radio de contrôle. Visite de l'anesthésiste, du kiné pour une séance de 10 minutes :

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et du chirurgien qui nous redit que l'opération s'est bien passée.

Antoine n'a pas faim et ne mange pas grand chose du plateau repas.

JP arrive vers 16 h avec Theo. On lui retire la perfusion.

Du coup, Antoine sort doucement du lit (chaque mouvement est à anticiper) et s'installe dans le fauteuil.

Antoine tente alors une première sortie avec attelle et béquille. L'attelle provisoire, rigide et droite, ne lui permet pas de faire plus de 5 mètres car son genou en position tendue lui fait mal.

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Retour dans le lit mais en remettant le drap, je tire malencontreusement sur le drain. Antoine hurle de douleur. On appelle l'infirmière qui vérifie le pansement et nous rassure en disant que le drain n'a pas bougé.

Antoine retrouve une position qui lui est plus confortable. Sans l'attelle, il arrive à se mettre sur le côté voire sur le dos.

JP repart à la maison.

Antoine n'a rien mangé ce soir. Il a eu un cachet contre la douleur.

J'espere que ça ira mieux demain... Il est sensé sortir (!). Esperons que ce ne soit pas prématuré. Comptons sur la nouvelle attellle pour qu'il puisse faire le chemin jusqu'à la voiture...

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24 octobre 2014

J.0 - On va pouvoir compter en positif !!!

Voilà, c'est fait, Antoine a été opéré aujourd'hui pour réparer son ligament croisė.

Nous sommes arrivés à la clinique à 10 h.

L'aide soignante est venue le raser de la cheville à mi-cuisse :

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Antoine a ensuite pris sa douche avec de la betadone ou betadine (enfin l'antiseptique orange) et a enfilé la culotte, la blouse, les chaussons et le bonnet (crise de fou-rire quand il s'est trompé et a mis un chausson sur la tête...) :

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Il est ensuite parti au bloc à 14 h.

A 17 h, il n'était toujours pas revenu et j'ai commencé à trouver ça long. L'opération dure environ 45 minutes et il faut ensuite reprendre conscience dans la salle de réveil.

C'est seulement à 17h45 que je l'ai vu revenir. Il était encore dans les vappes et avait fort mal. Il a activė la pompe à morphine :

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JP est arrivé peu après.

Le chirurgien est venu le voir. Tout s'est bien passé. Antoine devrait pouvoir sortir dimanche.

JP est reparti à 20 h, moi je reste pour la nuit avec Antoine. On sera réveillé toutes les 3 heures...

On attendait cette opération depuis plus d'un mois... On comptait les jours, J-15, J-8, J-3,...

A partir d'aujourd'hui (J.0) on va enfin pouvoir compter en positif et en progrès d'Antoine au fur et à mesure des étapes de sa rééducation.

 

22 octobre 2014

Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier

Je vous livre mon propre résumé car la quatrième de couverture apporte peu :

Jean Daragane, écrivain vivant à Paris, reçoit un appel téléphonique d'un homme ayant retrouvé son carnet d'adresses. Ils se rencontrent et l’évocation d’un nom entraine l’écrivain à revisiter son passé qui lui revient par bribes.

L’obtention du prix nobel par Patrick Modiano m’a donné envie de le découvrir. « Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier » est un livre sur la mémoire et sur les souvenirs qui ressurgissent. Il y a de nombreux retours en arrière et la difficulté est de se situer entre les différentes périodes. Il y a beaucoup de zones d’ombre, un certain nombre de personnages dont on ignore qui ils sont vraiment et ce qu’ils deviennent. Quant à la fin du livre, elle est à la fois spectaculaire et insensée…

C’est bien écrit mais cela reste très confus. Cela me donne tout de même envie de découvrir d’autres livres de l’auteur.

Je classe ce livre en 205ème position et ne lui donne pas d’étoile.

20 octobre 2014

Tiburce, le chat qui parlait comme vous et moi

Quatrième de couverture

(…) De la survenue inopinée de Tiburce chez un jeune peintre installé dans le Lubéron à l'importance décisive qu'il finira par acquérir sur l'œuvre comme dans l'existence de cet artiste, c'est à une véritable aventure épique que nous convie l'auteur. (…)

L’idée de Philippe Ragueneau est géniale : qui n’a pas eu l’impression d’avoir un réel dialogue avec son chat ? En tout cas, ils savent très bien se faire comprendre quand ils ont faim ou soif, quand ils veulent entrer ou sortir, quand ils veulent des caresses ou qu’on les laisse tranquilles, … De là à imaginer qu’ils mènent notre destin, c’est aller un peu loin pour mon esprit (trop ?) rationnel mais j’ai passé un agréable moment de lecture.

Juste un petit extrait qui m'a fait sourire (comprendra qui voudra) :

Gustave et Honorine étaient frère et soeur, l'un veuf, l'autre vieille fille, mais l'on ne pouvait imaginer d'être plus dissemblables. Autant Gustave était fantasque, imprévisible, tumultueux, imaginatif, désordonné, impulsif, bordélique et heureux de vivre, autant Honorine était terre à terre, méthodique, autoritaire, maniaque, bougonne et volontier pessimiste.

Je classe ce livre en 178ème position et lui donne une étoile.

19 octobre 2014

Le trompettiste était une femme

Quatrième de couverture

Joss Moody, légendaire trompettiste de jazz, noir, meurt le 21 juillet 1997. Son entourage est abasourdi. Ce n'est pas tant la nouvelle de sa mort qui plonge les gens dans la stupeur qu'une révélation bien plus brutale : Joss Moody était une femme. Sophie Stone, jeune journaliste, veut fixer l'insaisissable vérité du jazzman disparu. Elle interroge toutes les personnes qui ont côtoyé le trompettiste dandy. Millie, son épouse, qui avait soigneusement gardé le secret, parle de Joss comme s'il avait vraiment été un homme. La situation était doublement compliquée pour elle, mais doublement excitante aussi : vivre avec un génie et vivre avec une femme. Colman, son fils adoptif, est à la fois bouleversé et furieux : " En fait, si mon père avait cherché l'immortalité, il n'aurait pu concocter plan plus rusé. " Cette description méthodique d'un mystère au pays de la " soupe de brouillard " et du porridge révèle avec maestria l'étrange fluidité de la mémoire et du destin. Peut-être le plus beau des souvenirs est-il celui que l'on choisit...

C’est un roman polyphonique mais un peu cacophonique aussi à mon sens car il faut parfois plusieurs paragraphes dans le chapitre pour comprendre qui parle. Parfois, c’est indiqué dans le titre du chapitre, ce qui simplifie nettement la compréhension (!) et parfois non (?). En plus, il n’y a pas de sommaire et il est difficile de retrouver un élément de l’histoire si on cherche à faire un retour en arrière.

Bref, le roman de Jackie Kay est un peu confus. Il y a des longueurs et quelques vulgarités. Je suis restée sur ma faim car on ne sait pas à quel âge ou à quel moment précis Joséphine décide de devenir Joss et on ne sait pas vraiment pourquoi non plus, à savoir si c’est uniquement le fait qu’il n’y avait alors que des hommes musiciens de jazz. Quant à l'histoire de son père à elle/lui, elle reste partielle et n'éclaire rien (en tout cas, elle ne m'a pas permis une meilleure compréhension du tout).

Je classe ce livre en 208ème position et ne lui donne pas d’étoile.

18 octobre 2014

Octobre... Octobre ??

 

Avec 24°C au thermomètre et un grand beau soleil, JP a décidé de faire un barbecue. Il est vrai qu'au mois d'août, on ne l'a pas utilisé beaucoup...

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Mes deux hommes en train de se régaler (merguez et sausisses au maroilles !!) :

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Et puis ensuite, j'ai repris la taille de la haie du voisin que j'avais commencé le matin. La partie la plus difficile d'accès étant celle qui dépasse de l'autre côté de notre dépendance (enfin du local à chaudière et de l'atelier de JP) et dans ces cas là, vu que JP a le vertige, c'est bibi qui s'y colle :

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Vous remarquerez le ciel sans nuage !!

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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