Antoine démarre son contrat en alternance chez Punch Powerglade (Général Motors) à Strasbourg le 16 août.

Selon lui, c'est trop long pour y aller en transport en commun. De ce fait, il a été question pour lui d'acheter sa première voiture.

Guillaume, l'ami d'Emeline, est mécanicien et a cherché la voiture sur internet. En allant avec petit mari voir une voiture dans un garage, ils en ont finalement trouvé une autre. Ce sera donc une 206+ diesel (217 000 km) que Guillaume a inspecté.

Hier, avec JP, nous sommes allés la récupérer (le temps pour le garage de réparer la courroie de distribution). Nous sommes allés la laver (pendant qu'Antoine travaille au centre de loisirs) :

Elle est relativement propre. On s'est occupé de l'assurance aussi.

La voici :

Je ne suis pas hyper rassurée. Antoine conduit bien mais ne sait pas trop se garer et dans Strasbourg, ville qui n'est pas vraiment faite pour les voitures mais plutôt pour les vélos, cela ne va pas être évident. C'est petit mari qui l'emmenera à Strasbourg.

Je croise les doigts pour qu'il soit prudent (Antoine, pas petit mari, là j'ai confiance en sa conduite). C'était tout de même plus rassurant de le savoir utiliser les transports en commun...

Il y a exactement 30 ans, jour pour jour, je disais à mon fiancé que c’était terminé, que je le quittais. Il n’a pas compris.

Il ne pouvait pas savoir que seulement 42 jours avant, j’avais commencé à discuter avec un collègue, venu du Nord (j’habitais près de Montargis), plus âgé que moi. On parlait de tout, il était cultivé, intelligent et me faisait rire aussi.

Alors, j’ai su que la personne avec qui j’allais m’engager dans la voie du mariage n’était pas la bonne. Je ne savais pas s’il allait se passer quelque chose avec mon collègue (qui était marié à l’époque) mais j’ai compris que mon fiancé, même s’il était extrêmement gentil, n’était pas celui qu’il me fallait, que j’allais m’ennuyer.

Ce collègue est devenu mon mari et le père de mon fils. Cela ne s’est pas fait en un jour. Il s’est séparé de sa femme (qui était sa deuxième épouse). Il avait (et a toujours) 4 enfants d’un premier mariage, 1 enfant lors du second. Il avait (et a toujours) 17 ans de plus que moi.

Nous sommes ensemble depuis près de 30 ans, mariés depuis 24 ans et jamais je n’ai regretté mon choix. Il est toujours cultivé, intelligent et drôle. Je l'aime infiniment.

Quatrième de couverture

Première résolution. J'aurai cet enfant. Je le veux. Cachée au fond de moi, sous mes tailleurs d'executive woman, il y a une femme qui désire être mère de toute sa chair, de toute son âme. Même si ce n'était pas prévu. Je vais prendre mon courage à deux mains et l'annoncer à Jean-Phil. Dont acte. Marianne et ses deux inséparables copines, des complices de toujours. Dressées pour réussir, elles ont tout sacrifié à leur carrière professionnelle. Jusqu'au jour où, à l'approche de la quarantaine, elles s'aperçoivent avec affolement que les années leur sont comptées pour rattraper le temps perdu... Un mari ? Un enfant ? Les problèmes ne font que commencer...

Bon, rien de transcendant dans ce livre de Valérie McGarry. C’est facile à lire et pas prise de tête mais un peu caricatural sur les femmes qui approchent la quarantaine et sur l'urgence de devoir faire des enfants et se marier.

Je classe ce livre en 530^ème position et lui donne une toute petite étoile.

La voisine nous a demandé d'élaguer le prunus qui dépasse dans son jardin (à droite sur la photo).

Hier, nous avons donc attaqué le chantier.

Avant de réduire l'arbre, nous avons enlevé les palissades qui entouraient la terrasse (vue de l'intérieur) au pied du prunus :

Vue de l'extérieur (le tronc du prunus, le lierre, la glycine et la bignone) :

Le pied du prunus avec le lilas devant :

1ère palissade enlevée, Guillaume (revenu dans le Nord pour deux jours) à la manoeuvre :

2ème palissade en cours d'enlèvement :

et la 3ème à présent à terre :

Il faut séparer le bois de la palissade des arbres qui l'ont vampirisée : 

Nouvelle vue sur le jardin sans la palissade :

Guillaume s'attaque au prunus :

Puis aux souches des glycine, bignone et lierre que l'on a supprimés :

Petit mari en action :

Voici le prunus, une fois l'élaguage terminé. J'ai envoyé une photo à la voisine qui nous a remerciés.

J'ai installé le salon de jardin sur la terrasse :

Voici le pied du prunus, on voit bien tout ce que l'on a retiré :

On voit à présent le ciel (terrasse au soleil le matin et à l'ombre l'après-midi) :

Vue offerte sur le jardin sans la palissade :

Il reste à voir ce que l'on fait au sol. Le carrelage est irrécupérable car le bouleau pleure dessus un liquide collant.

Des caillebotis ne sont pas la solution car les feuilles tombent entre les lattes. A voir ce que l'on va mettre...

Antoine a soutenu en juin son mémoire devant son Directeur de mémoire et une assesseure. Cela s'est très bien passé. Il avait répété plusieurs fois devant moi par visio. Il a respecté les 10 minutes imparties. Les questions qui lui ont été posées lui ont fait plaisir car elles relevaient des phrases qu'il avait écrites et qui étaient importantes pour lui.

A la fin de son passage, les deux examinateurs lui ont dit qu'il aurait 15/20 au mémoire et 17 pour la soutenance.

Il était très content (et moi aussi !).

Ses notes ont renforcé le bilan de son année scolaire (semestre 2 à 12,42 de moyenne, semestre 1 à 11,94) et il a donc validé sa quatrième année en master MEEF (ou master 1), option CPE. Il change d'orientation l'année prochaine et s'inscrit en master 2 "Ingénierie de la formation" en parallèle d'un contrat en alternance chez Punch Powerglide (General motors) à Strasbourg dans le service des Ressources Humaines et plus particulièrement au sein du service de la gestion des formations. Il continuera par ailleurs à mi-temps le contrat d'assistant d'éducation au CREPS.

Je ne sais pas s'il passera le concours de CPE l'année prochaine. Il en a encore la possibilité mais je ne sais pas si l'envie est toujours là car il pense que l'on formate les CPE de telle manière à ne pas révolutionner l'Education Nationale, c'est d'ailleurs ce qu'il a en partie dit lors de sa soutenance et l'assesseure a trouvé qu'il assumait cela en justifiant ses propos. 

Il a appris que l'année prochaine, il devait à nouveau faire un mémoire (ce qui n'aurait pas été le cas s'il avait poursuivi en master 2 MEEF). J'espère qu'il s'y prendra un peu plus tôt cette fois, car cela a été un peu (beaucoup !) la course cette année...

Cette année a été réussie au niveau de ses études, du judo également où il a fait une excellente saison.

Fière de toi, mon fils.

Présentation de l’éditeur

Dans le calme et la pénombre, au chevet de son père qui vient de se faire opérer des yeux, Charlotte Brontë écrit, se remémore sa vie, la transfigure. Elle devient Jane Eyre dans la rage et la fièvre, et prend toutes les revanches : sur ce père, pasteur rigide, désormais à sa merci, sur les souffrances de son enfance marquée par la mort de sa mère et de deux sœurs aînées, sur sa passion malheureuse pour un professeur de français à Bruxelles, sur son désespoir face à son frère rongé par l'alcool et la drogue, sur le refus des éditeurs qui retournent systématiquement aux trois sœurs Brontë leurs premiers romans, envoyés sous pseudonyme. Sheila Kohler se glisse dans la tête de Charlotte Brontë et de son entourage afin de décrire les méandres de la création. Sans se départir du style cristallin de ses précédents ouvrages, elle restitue avec finesse le climat qui a donné naissance aux œuvres des sœurs Brontë : Jane Eyre, bien sûr, mais aussi Les Hauts de Hurlevent et Agnès Grey, trois joyaux de la littérature anglaise.

J’ai bien aimé ce roman sur la vie de Charlotte Brontë et de ses sœurs. Il fait notamment revivre le personnage de Jane-Eyre (un de mes livres préféré) ou en tout cas relate la façon dont l’auteure, Sheila Kohler, pense qu’il a été écrit, de qui les personnages ont été inspiré, tout comme les autres ouvrages de Charlotte et de ses sœurs. On comprend mieux la vie difficile des 3 sœurs, les décès qui ont jalonné la vie de Charlotte et le succès qui n’a pas réussi à compenser tout cela. Elle se sera battue pour démontrer qu’une femme peut être écrivain, ce qui n’était pas chose aisée à l’époque.

Je classe ce livre en 147^ème position (sur 705) et lui donne 3 étoiles (mon classement compte 3 étoiles, 2 étoiles, 1 étoile, pas d’étoile, un « moins » et deux « moins »). Jane-Eyre est classé en 6^ème position, Agnès Grey en 159^ème position et les Hauts du Hurlevent (trop sombre pour moi) a dû être lu avant le démarrage de mon classement mais je n’en garde pas un super souvenir.

Présentation de l’éditeur

1940. Jérôme Debreuil, étudiant en médecine, a choisi la voie royale, la plus méconnue, la plus difficile : les hôpitaux de Paris. Il va cravacher jour et nuit pour passer tous les concours (internat, clinicat, assistant, agrégation, médicat) avant de diriger un service de pneumologie. Jérôme a épousé la fille d'un grand patron, ce qui est un sérieux atout dans son ascension sociale. Cinq enfants naîtront de cette union. C'est en suivant l'histoire de cette famille Debreuil, sur deux générations, leurs combats, leurs ambitions, leurs amours, leurs conflits, leurs drames, que nous découvrons l'évolution de la médecine et ses miracles qui ont pour noms pénicilline, streptomycine, cortisone, laser. Jérôme, la grande figure de cette saga, est issu d'un milieu modeste ; sa réussite n'en est que plus spectaculaire. Il traverse la Deuxième Guerre mondiale, l'Occupation, la Libération. Ses enfants prendront le relais jusqu'aux années quatre-vingt, deux seront médecins, un troisième, chirurgien.

464 pages que j’ai lues en 8 jours qui m’ont paru bien plus longs. On ne s’attache pas au personnage principal qui reste en permanence trop froid avec son épouse, ses enfants, ses collaborateurs. Après le père, ce sont les vies de ses 5 enfants qui sont décrites. Trop de longueurs pour moi, contente d’être arrivée à la fin pour passer à autre chose.

Je classe ce livre en 576^ème position et ne lui donne pas d’étoile.

Hier, avec Sandrine, Emeline et Isaline, nous sommes allés à Condé. On a tout d'abord mangé un sandwich (préparé par petit mari) et un "petit" dessert au Club de judo qui faisait son barbecue annuel. Antoine s'occupait des petits sur le tatami.

Puis, nous sommes allées à la fête des 10 ans du Bassin Minier au Patrimoine Mondial de l'Unesco (toujours à Condé). Il y avait plusieurs animations tout au long de l'après-midi.

Ici, devant la médiathèque :

Vue de la médiathèque, vraiment bien située :

On a testé les jeux anciens :

Puis un orchestre de cuivre a joué :

accompagné de 5 danseuses de Charleston :

La médiathèque donne sur un petit espace bien sympathique et super bien aménagé où on peut lire tout au bord de l'eau :

Une des rares photos où Emeline ne fait pas de grimaces : 

Sympa le canard en plantes grasses de deux couleurs :

Nous avons rejoint Laurent, un ami de Sandrine à Saint-Amand où nous avons dîné et sommes revenus à Condé pour voir les video mapping sur l'église :

Vidéo Mapping Condé 1
https://www.youtube.com

J'ai beaucoup aimé et je pense que les filles et Laurent aussi.

Il y avait plein de couleurs et cela racontait des histoires en musique :

Vidéo mapping Condé 2
https://www.youtube.com

Cela a super bien clôturé cette belle journée :

Les filles et Laurent devant le spectacle :

 Encore une belle journée passée ensemble ;)

Présentation de l’éditeur :

Delphine Perdrix aime les hommes, les bons petits plats et son chat Edward. Celui-ci le lui rend bien. Doutant des choix amoureux de sa maîtresse, il décide de lui trouver un mari. Il connaît déjà l'amant qu'il destine à Delphine ; un homme très bon, Sébastien Morin, l'a soigné lors d'une traversée vers la Nouvelle-France, en 1670... Edward espère qu'il s'est, comme lui, réincarné et qu'il habite maintenant à Paris. La tâche est ardue. Et si les humains avaient eux aussi neuf vies ? Sébastien est-il revenu en 1997 ou traverse-t-il une autre époque ? Edward a ainsi prisé le culte de Bastet, vécu les croisades, un passage de la comète de Halley, l'Exposition universelle à Londres sous Victoria, l'Occupation auprès de son adorée Rachel, les marchés d'Istanbul et les procès pour sorcellerie au début du XVIe siècle. Catherine Duval lui a même transmis un don : il est télépathe... Edward n'a qu'à flairer un homme pour deviner ses intentions ; aussi ne se méfie-t-il pas sans raison de James Anderson, un trop bel Américain qui rôde autour de Delphine. Cet homme est dangereux ! Edward parviendra-t-il à l'écarter et à faire le bonheur de la photographe ? De cette Delphine qui sent la chantilly, les feuilles d'un plant de tomates et la rose de Turquie ? Un roman d'amour sur fond de polar, avec un zeste de gastronomie, des esquisses historiques, beaucoup d'odeurs et le regard fidèle mais lucide d'Edward sur l'étrange race des bipèdes (sans plumes).

Bon alors, au début du livre de Chrystine Brouillet il y a des longueurs. Cela devient plus intéressant après l’accident de Delphine (page 209) et la fin est trop rapide (à partir de la page 290 jusqu’à la page 349), voire un peu bâclée. En résumé, long, bien et finalement trop succinct.

On s’emmêle un peu les pinceaux avec les différentes vies d’Edward qui nous sont livrées petit bout par petit bout, j’avoue que j’ai parfois lâché l’affaire et pas essayé de tout comprendre. Sinon, il y a de bonnes choses, comme la personnalité de l’héroïne Delphine, l’amitié avec Audrey et Géraldine, la description de son métier de photographe.

Je classe ce livre en 484^ème position et lui donne une étoile.