Synopsis : Vincent est un célèbre entrepreneur à qui tout réussit. Un jour, une panne de voiture sur une route de montagne interrompt provisoirement sa course effrénée. Pierre, qui vit à l’écart du monde moderne au milieu d’une nature sublime, lui vient en aide et lui offre l’hospitalité. La rencontre entre ces deux hommes que tout oppose va bouleverser leurs certitudes respectives. Et ils vont se surprendre à rire. Au fond, vivent-ils vraiment chacun les vies qu’ils ont envie de vivre ?

Petit mari et moi avons bien aimé ce film d’Eric Besnard. Rien de bien transcendant mais on passe une heure et demie agréable et on ressort avec le sourire. Il s’agit de la rencontre d’un homme d’affaires surmené avec un homme des bois (ou plutôt des montagnes) dont les valeurs s’opposent a priori. Les deux acteurs campent admirablement bien leur rôle, surtout Grégory Gadebois, et c’est ce qui donne de l’intérêt à un scénario un peu pauvre.

Je classe ce film en 86^ème position et lui donne une étoile.

Synopsis : Alors que Jean, maire très conservateur d'une petite ville du Nord, est en campagne pour sa réélection, Edith, sa femme depuis quarante ans, lui annonce une nouvelle qu’elle ne peut plus taire… Au plus profond de son être, elle est - et a toujours été - un homme. Jean pense d’abord à une plaisanterie mais réalise rapidement qu’Edith est sérieuse et déterminée à mener sa transition jusqu’au bout. Il comprend alors que son couple, mais aussi sa campagne électorale, risquent d’être sacrément chamboulés…

Le scénario nous emmène avec élégance sur un fait de société très actuel. Catherine Frot et Fabrice Luchini sont bons dans leur rôle respectif, même si on a des doutes quant à la fin où le mari se met à finalement aimer sa femme devenue homme, cela manque un peu de crédibilité vu ses positions de départ diamétralement opposées. Le réalisateur a le mérite de parler d’un sujet compliqué avec humour et sans tomber dans les clichés.

Je classe ce film de Tristan Séguéla en 92^ème position et lui donne une étoile.

Après 6 puzzles rectangulaires de 1000 pièces, puis un de 2000 pièces, voilà à présent un puzzle carré de 1000 pièces.

Celui-ci m'a été offert par Antoine pour mon anniversaire. 

Il représente des oiseaux dans un arbre (et notamment deux mésanges) et des jolies fleurs colorées en bas.

Après le contour, j'ai fait le bas car les pièces étaient reconnaissables car foncées :

J'ai ensuite commencé à faire les oiseaux en essayant de les placer au bon endroit :

J'ai ensuite essayé de les relier entre eux :

ou de les relier au contour :

le plus difficile a été les feuilles :

le voici terminé au bout d'une semaine :

J'ai bien aimé la texture des pièces avec des formes un peu originales, leur façon de bien se positionner entre elles et leur brillance.

Merci fils, j'ai passé un bon moment sur ce puzzle !

Présentation de l’éditeur :

Une enquête inattendue pour une histoire entre romance 2.0, chick-lit moderne et beaucoup d'humour ! Romantique et naïve, Eva Brodemy vit avec ses poissons rouges. Elle rêve du prince charmant et d’une vie palpitante mais ne croit pas en ses qualités, que ce soit sur le plan personnel ou professionnel. Il faut dire que manquer d’assurance quand on travaille dans une banque n’est pas très bien vu, en particulier avec un chef d’agence autoritaire. Jusqu’au jour où être transparente derrière son guichet va s'avérer plutôt utile pour mener une enquête sans se faire repérer, alors qu’un de ses collègues dévoile un comportement suspect. Avec Apolline, sa meilleure amie frôlant la perfection, Eva nous embarque au cœur d'épisodes rocambolesques, ne pouvant compter que sur son courage, quasi inexistant et le soutien de Chris, son ami d’enfance à l’odorat aussi développé que son goût pour les garçons ! 

J’ai téléchargé ce livre de Lydy Williams car j’avais passé un moment sympathique et sans prise de tête avec « Le parfum du Mimosa » du même auteur.

Je n’ai pas du tout apprécié ce livre. C’est très peu réaliste, il y a des tas de situations complètement improbables. Et d’un autre côté, on comprend ce qu’il va se passer avant l’héroïne qui n’analyse pas très facilement les éléments qu’elle a en sa possession...

Bref, largement déçue par ce livre. En même temps, vu le titre un peu fantaisiste, j’aurais dû me méfier.

Je le classe en 575^ème position et ne lui donne pas d’étoile.

A Noël, avec les adultes de la famille de petit mari, on fait un tirage au sort et un adulte fait un cadeau à un autre adulte. Cette année les ados ont été rajouté au groupe.

Mon père Noël c'était Clémence. Elle m'a offert un puzzle, et un puzzle de 2000 pièces (!), le double de ceux que j'ai assemblés jusqu'ici. Je n'avais pas assez de boîtes pour disposer toutes les pièces alors j'ai trouvé des emballages supplémentaires :

Il s'agit de la représentation d'un tableau de Botticelli, "la naissance de Venus" :

Tableau que Clémence a étudié en cours. Elle m'a expliqué d'ailleurs certaines choses qu'elle avait abordées lors de son exposé.

Le démarrage du puzzle a été très difficile. Et puis petit à petit, une fois les personnages commencés, cela a été plus aisé.

Le voici terminé. J'ai mis un peu plus d'un mois pour y arriver. J'ai passé un bon moment.

Merci Clémence !

Présentation de l’éditeur :

Laura dira bientôt au revoir à sa trentaine. Récemment divorcée, sans travail et sans enfant, elle se retrouve dans l’impasse. Littéralement. Puisqu’elle n’a pas d’autres choix que de vivre dans la maison de feu sa grand-mère qui habitait un cul de sac, au fin fond de la Gironde rurale avec pour seules voisines, trois vieilles dames légèrement envahissantes. Une cohabitation forcée qui prend des allures de cauchemar pour la citadine qui n’a jamais aimé la campagne et encore moins les personnes âgées avec leurs habitudes agaçantes. Odette, Jacqueline et Madeleine, malgré l’isolement et les épreuves de la vie, ont chacune leur caractère et leurs passions. Laura a bien du chemin à parcourir avant d’accepter son passé, pardonner à son ex-mari et retrouver sa joie de vivre. Mais au détour d’une boite aux lettres, les gens peuvent parfois apprendre à s’apprivoiser …

Bon, le début du livre de Lydy Williams est beaucoup trop caricatural. L’héroïne fait sa mauvaise tête, râle sur tout et rien ne lui plaît. Le monde est trop injuste quoi ! Ensuite, ça va de mieux en mieux et toute l’histoire est assez prévisible. Cela ne m’a pas empêché de passer un bon moment de détente sans prise de tête car il y a quelques bonnes trouvailles et un brin d’humour.

Je classe ce livre en 550^ème position et lui donne une étoile.

Hier matin, au réveil, je demande à petit mari ce que l'on fait ce week-end. Je lui dis que j'aimerais bien une visite comme la dernière fois à la Piscine de Roubaix (Cf billet sur le musée de Roubaix).

Il me dit alors que l'on pourrait aller visiter la cathédrale d'Amiens que ni lui, ni moi ne connaissons.

Ni une, ni deux, nous voici partis.

La cathédrale vue de derrière :

La façade en gothique flamboyant :

Les portails finement décorés et sculptés (ils ont été sauvegardés pendant les guerres grâce à des sacs de sable) :

La cathédrale d'Amiens est le plus vaste édifice gothique en France (145 m de long et 70 m de large). Elle pourrait contenir deux fois Notre-Dame de Paris :

Une des clôtures du cloître :

Les vitraux (beaucoup d'autres sont incomplets suite aux destructions pendant les 2 guerres).  :

Vue depuis l'autel (à l'intérieur se trouvent les stalles du choeur) :

Au sol, le labyrinthe :

Nous sommes allés à l'office du tourisme et avons suivi une guide pendant une heure et demie dans les rues d'Amiens :

Vue depuis l'Horloge Wali :

L'horloge Wali :

L'université Jules Verne accolée à la maison du sagittaire (façade entièrement déplacée) :

Direction vers le quartier de Saint-Leu où la Somme est entourée de deux affluents :

Avec des maisons colorées :

La Somme :

la cathédrale plus avec un peu de recul :

Le quartier Saint-Leu avec des maisons à colombages des 15 et 16è siècles :

Vue d'ensemble du quartier Saint-Leu :

Nous avons mangé dans un bistrot une ficelle picarde avant de revenir pour une visite des tours de la cathédrale. Vue sur Amiens :

On passe devant la rose :

Avant d'arriver au sommet (57 m et 300 marches) :

Vue sur la flèche et la tour Perret plus loin :

Vue sur le quartier Saint-Leu :

C'était frais (5° C mais très joli). Encore merci à petit mari pour ses idées et nos envies communes de visiter des lieux nouveaux.

Le 30 janvier, j'avais mon rendez-vous annuel chez Kia pour la révision de ma petite Picanto.

Juste au moment où je me gare devant le garage :

50000 km tout pile !

Ma voiture a 8 ans et 50000 km, soit une moyenne de 6250 km par an. En même temps, je l'utilise principalement pour aller au travail le matin et revenir le soir, soit 22 km par jour et quelques autres déplacements. 

Ils ont changé la batterie (et tous les filtres habituels plus la vidange), qui commençait à faiblir, sinon tout roule.

Présentation de l’éditeur

Morin se demandait : « Qui est-ce ? ». Et mille suppositions, mille projets lui traversaient l’esprit. Il se disait : « On raconte tant d’aventures de chemin de fer. C’en est une peut-être qui se présente pour moi. Qui sait ? une bonne fortune est si vite arrivée. Il me suffirait peut-être d’être audacieux. N’est-ce pas Danton qui disait : “De l’audace, de l’audace, et toujours de l’audace”. Si ce n’est pas Danton, c’est Mirabeau. Enfin, qu’importe. Oui, mais je manque d’audace, voilà le hic. Oh ! Si on savait, si on pouvait lire dans les âmes ! Je parie qu’on passe tous les jours, sans s’en douter, à côté d’occasions magnifiques. Il lui suffirait d’un geste pourtant pour m’indiquer qu’elle ne demande pas mieux… ».

La présentation de l’éditeur des contes de la Bécasse de Guy de Maupassant se résume à un extrait du deuxième conte de ce recueil qui en compte 17.

On trouve des histoires de toutes sortes. il y en a de jolies, il y en a de cruelles aussi. Certaines sont encore très actuelles ! On peut en retirer certains enseignements et c’est ce que je vais garder de cette lecture.

Je classe ce livre en 326^ème position et lui donne une étoile.

Quatrième de couverture :

" Cher Joe Connor, je suis ton amie. Je te connais parce que ton père est venu chez nous et m'a montré ta photo. Je regrette beaucoup, beaucoup qu'il soit mort. " Joe Connor a amarré son bateau devant Black Hall, la ville des sœurs Renwick. Avec lui, c'est une cicatrice encore douloureuse qui se déchire à nouveau. Caroline, l'aînée, est bouleversée par la confrontation : elle qui fuit le souvenir des drames familiaux et qui a sacrifié à tout cela sa vie sentimentale, saura-t-elle reconstruire avec Joe la tendresse de leur correspondance d'enfants et effacer le mal ancien qu'ils se sont faits ? Cet amour ambigu, qui doit lutter contre les fantômes, diffuse dans tout ce roman son charme mélancolique.

Caroline, l’héroïne principale de ce roman, n’a quand même pas beaucoup de chance. Entre un homme qu’elle voit se suicider devant elle alors qu’elle n’est qu'une enfant, puis un autre qu’elle voit tuer par sa sœur lors d’un accident de chasse alors qu’elle est adolescente, puis un père alcoolique, une sœur qui suit le même chemin et un petit ami qu’il l’a été, franchement elle cumule les malheurs !!

Je classe ce livre en 371^ème position et lui donne une étoile parce que c’est facile à lire et permet de faire la transition entre deux lectures moins abordables…