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Le petit monde de So et de Fi
14 février 2024

Compter les couleurs

Présentation de l’éditeur :

Deux voix, deux visages, deux récits. À travers la lumière de leurs journaux intimes, Édouard et Élise se racontent et se répondent. Ils avaient le même âge quand ils se sont rencontrés, quand ils se sont aimés. Ils se retrouvent trente-trois ans plus tard. Quel est cet amour si fort, si puissant qu’il peut renaître de la déchirure ?

Alors là, c’est carrément l’arnaque. 5,99 euros pour 78 pages ?? 78 pages pour un roman dont j'ignorais en le téléchargeant sur ma liseuse qu'il est le début d’un autre que j’ai lu en 2021 et dont je n’arrive à faire le lien entre les deux, comme s’il manquait encore des bouts.

C’était prometteur mais tellement déçue. Le début a été écrit après la fin. Dans la suite, on retrouve Edouard mais pas Elise alors ? Franchement n’importe quoi.

Comment classer ce truc ? A la hauteur de ma déception ?

Je classe ce bout de livre en  630ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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4 avril 2011

A la recherche du bonheur

828 pages dévorées en 4 jours pour ce roman de Cathy KELLY même si le titre est un peu "cucul-la-praline" : "A la recherche du bonheur".

Hannah a choisi l'indépendance : trahie par son mari, elle se consacre désormais à sa carrière. Dévouée à des parents tyranniques, Emma a épousé l'homme de sa vie avec lequel elle souhaite de tout cœur avoir un enfant, mais celui-ci  tarde à venir. Léonie, elle, divorcée et mère de 3 enfants, voudrait refaire sa vie. Les 3 héroïnes se  rencontrent pendant une croisière sur le Nil où elle deviennent amies.

Ce n'est pas par hasard que dans le livre sont cités mes 2 romans préférés "Orgueil et préjugés" et "Jane Eyre" car l'auteur a dû les aimer autant que moi !

Bien sur, l'action du livre de Cathy KELLY se situe de nos jours et on se retrouve davantage dans les situations vécues (que les romans de Jane Austen et de Charlotte Bronte).

Il n'y a pas non plus trop de suspense, on se doute que cela va bien se terminer pour chacune d'entre-elles mais bon j'ai adoré !

Je le classe en 8ème position, juste derrière "les yeux jaunes des crocodiles" et lui décerne 3 étoiles (Je viens de rajouter mon classement que j'avais oublié à la première publication du billet, mais mon lecteur assidu de mari vient de me le rappeler par son petit commentaire).

10 août 2011

Nos séparations

C'est le deuxième livre que je lis de David Foenkinos, le premier était "La délicatesse" et je l'avais adoré (classé en 10ème position et 3 étoiles).

Ici, "Nos séparations" raconte l'histoire de Fritz et Alice. Ils forment le couple le plus improbable qui soit : lui est fils de hippies soixante-huitards restés fidèles à leurs engagements de jeunesse, elle est un pur produit de la bourgeoisie catholique. Ils vont se rencontrer, s'aimer, se détester, se déchirer, se perdre, se retrouver... Ils auront des enfants... mais pas ensemble.

C'est une belle histoire de passions et de déchirements... et l'auteur est un amoureux des mots et de leur définition.

Je classe ce livre en 18ème position et lui donne 2 étoiles.

15 juin 2012

84 Charing Cross Road

"84, Charing Cross Road" est la transcription authentique de la correspondance entre Helene Hanff, une américaine amoureuse des livres, et Franck Doel, un employé d'une librairie londonienne. Cet échange de courriers, commencé en 1949, va durer vingt années au cours desquelles naît une vraie complicité entre les deux correspondants....

Ce livre m’a fait penser au « cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates » car il n’y a rien d’autres que l’échange des lettres des différents protagonistes.

Maintenant, j’ai trouvé l’intérêt bien moindre car les correspondances se limitent d’un côté (celui de Hélène Hanff, vivant péniblement de sa plume aux Etats-Unis) à commander certains livres et à l’envoi de colis alimentaires car c’est encore le rationnement d’après-guerre en Angleterre et de l’autre (principalement celui de Franck Doel, bouquiniste Anglais) à lui envoyer les livres commandés quand il les trouve et la remercier pour ses colis dont il fait profiter l'ensemble des collaborateurs de la librairie.

Le fait que ce livre ait ensuite fait l’objet d’un film et d’une pièce de théâtre reste un mystère pour moi, cela ne doit pas être bourré de rebondissements…

Je classe ce livre en 75ème position et ne lui donne pas d’étoile.

Pour explication, le titre du livre est l'adresse de la librairie à Londres.

29 janvier 2013

Les bouts de ficelle

Dans Paris. Des regards échangés, des vies qui se croisent, qui s'entremêlent. Emma et ses jolies chevilles ; Jean, le beau et patient attaché de presse d'Irwing, écrivain génial, indiscipliné et sur la touche ; Paulo, amoureux de sa mère comme tous les enfants ; Monsieur Daniel, le vendeur de Kleenex. Mille destins suspendus les uns autres par un lien ténu et imprévisible, l'amour.

Bon, alors ça, c’est ce qui figure sur la quatrième de couverture…

Quant à moi, je suis complètement passée à côté de ce livre de Grégoire Polet, même si l’écriture en est fluide et agréable.

Trop de personnages qui se croisent pour pouvoir en aborder même un seul suffisamment de près. Bien sûr, on sait que les rencontres ne tiennent qu’à un fil et que l’on croise des vies tous les jours sur lesquelles on ne saura jamais rien. Mais voilà, en dehors de cela, j’ai juste eu le sentiment de survoler l’histoire de ces trop nombreux personnages…

Je classe ce livre en 134ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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6 février 2013

L'amour est déclaré

Quatrième de couverture :

(…) Après le léger passage à vide et l’héroïque victoire de notre héros sur les addictions liquides, chimiques et médicamenteuses, l’amour, qui semblait avoir enfin déserté sa vie, a pourtant frappé par surprise en la personne de Maud. Mais l’amour n’est-il pas la plus dangereuse des addictions et le plus périlleux des chemins ?  (…)

Ce récit me fait davantage penser à la rédaction d’un blog ou d’un journal intime plutôt qu’un roman. L’auteur raconte les évènements de sa vie, parfois sans rapport d’un chapitre à l’autre. En plus, on a l’impression qu’on devrait ne connaître que lui, alors que j’ai découvert Nicolas REY pour la première fois avec ce livre et n’en n’avais jamais entendu parler avant. Il est suffisant et prétentieux et m’a fait pensé à Frédéric BEGBEDER… et pas seulement pour le côté cocaïne…(et dire que j’ai acheté un deuxième livre de Nicolas REY !).

Seuls deux points positifs dans ce livre : le titre que j’aime beaucoup et l’épaisseur (on peut rapidement passer à autre chose !)

Je classe ce livre en 113ème position et ne lui donne pas d’étoile.

29 décembre 2015

La dernière leçon

Présentation de l’éditeur

Madeleine, 92 ans, décide de fixer la date et les conditions de sa disparition. En l'annonçant à sa fille Diane, et à son fils Pierre, elle veut les préparer aussi doucement que possible à sa future absence. Mais pour ses enfants, c'est le choc, et les conflits commencent. Jusqu'à la fin Madeleine gardera comme ligne de conduite la dignité, l'humour et la passion de la vie, pour leur donner à tous, et en particulier à Diane, une émouvante "dernière leçon".

Je suis assez partagée sur ce livre de Noëlle Chatelet (j'avais adoré le précédent "la femme coquelicot" ! J'ai d'ailleurs acheté celui-ci sans avoir lu le précédent et sans faire attention qu'il s'agissait du même auteur...). Une part de moi ne comprend pas que l’on puisse décider de mourir à 92 ans parce que « fatiguée » et non pas souffrante ni malade. Une autre se dit que peut-être que je comprendrais si j’arrive à cet âge là… L’auteure est la fille de cette dame qui programme la date de sa mort. Elle a 3 frères ou sœurs mais ils ne sont pas du tout présents dans le livre (!?) car il est question exclusivement de cette relation mère-fille très (trop ?) fusionnelle. On a le sentiment que le cordon n’a pas été coupé (même si je suis très proche de ma maman, j’ai du mal à comprendre cette dépendance si forte). Depuis l’enfance, elle a cette peur irraisonnée de perdre sa mère. C’est donc un cataclysme quand celle-ci lui annonce qu’elle veut mourir. Je trouve qu’il y a beaucoup de répétitions et d’atermoiements sur son propre sort : elle va devenir orpheline à 59 ans ! Qui va la protéger ? Je suis donc un peu déçue de ce livre. J’attendais moi aussi de recevoir cette « dernière leçon ».

Je le classe en 201ème position et lui donne une étoile.

3 janvier 2016

le liseur du 6h27

Présentation de l’éditeur

Peu importait le fond pour Guylain. Seul l’acte de lire revêtait de l’importance à ses yeux. Il débitait les textes avec une même application acharnée. Et à chaque fois, la magie opérait. Les mots en quittant ses lèvres emportaient avec eux un peu de cet écœurement qui l'étouffait à l’approche de l’usine.» Employé discret, Guylain Vignolles travaille au pilon, au service d’une redoutable broyeuse de livres invendus, la Zerstor 500. Il mène une existence maussade, mais chaque matin en allant travailler, il lit aux passagers du RER de 6 h 27 les feuillets sauvés la veille des dents de fer de la machine…

Jolie pépite que ce livre de Jean-Paul Didierlaurent qui me donne envie de découvrir d’autres oeuvres de cet auteur. Le début est un peu sombre peut-être et on craint une triste issue pour ce héros auquel on s’attache, mais au fil des pages (pas assez nombreuses d’ailleurs !), de jolies rencontres viennent égayer son quotidien et donner un sens à sa vie. L’histoire commence réellement à la fin du livre et on aimerait bien connaître la suite… mais cela laisse place à notre imagination.

Je classe ce livre en 16ème position (j’ai du mal à détrôner les 15 premiers et le côté un peu sombre du début m’en empêche) et lui donne 3 étoiles.

13 janvier 2016

Une dernière danse

Derrière les tours majestueuses de l Alhambra, les ruelles de Grenade résonnent de musique et de secrets. Venue de Londres pour prendre des cours de danse, Sonia ignore tout du passé de la ville quand elle arrive. Mais une simple conversation au café El Barril va la plonger dans la tragique histoire de la cité de Garcia Lorca et de la famille qui tenait les lieux. Soixante-dix ans plus tôt, le café abrite les Ramirez : trois frères qui n ont rien d autre en commun que leur amour pour leur s ur, Mercedes. Passionnée de danse, la jeune fille tombe bientôt sous le charme d un gitan guitariste hors pair. Mais tandis que l Espagne sombre dans la guerre civile, chacun doit choisir un camp. Et la fratrie va se déchirer entre résistance, soumission au pouvoir montant, ou fuite.

Mon attente était grande sur ce livre «Encore une danse » de Victoria Hislop car le précédent livre que j’ai lu d’elle, « l’ile des oubliés » est classé en première position dans mes livres préférés !!

Du coup, je suis un peu déçue pour plusieurs raisons :

Il y a tout d’abord beaucoup trop de similitudes entre les deux histoires : une femme mène une enquête sur une famille, dans un pays qui n’est pas le sien (l’une en Crête, l’autre en Espagne) et qui s’avère être leur propre famille.

Ensuite, il y a des hasards extraordinaires dans cette histoire qui font que l’héroïne va en Espagne dans la ville dont est originaire sa mère (alors qu’elle ignorait qu’elle venait de Grenade !), qu’elle rentre dans un café, LE café où l’homme qui le tient lui raconte une histoire, et cette histoire s’avère être celle de sa famille !!! Le « secret » est à mon avis éventé en page 535 alors qu’on n'est probablement sensé le comprendre que page 581… sachant qu’on subodore  tout cela bien avant…

Le fait qu'il y est deux périodes dans l'histoire (années 2000 et années 1930) est peut-être superflu. L'histoire de Sonia apporte peu, on aurait pu se contenter des évènements touchant la famille Ramirez pendant la guerre civile.

Côtés positifs car il y en a :

- C’est très bien raconté (même si je trouve qu’il y a des longueurs et des répétitions inutiles, j’ai mis 10 jours à le lire à cause de cela),

-  J’ai appris beaucoup de choses sur la guerre civile espagnole, ce livre est bien documenté et en fait presque un roman historique,

- On s’attache aux personnages, particulièrement bien décrits.

- La danse du Flamenco est expliquée et mise en avant,

- J’ai passé un bon moment de lecture (merci Bédi !)

Je classe ce livre en 148ème position et lui donne une étoile

18 août 2016

Epouse, mère et working girl

Présentation de l’éditeur

Découvrez le quotidien de Marie, une maman trentenaire qui travaille et qui court tout le temps... un peu comme toutes les femmes d'aujourd'hui d'ailleurs. Parfois heureuse, parfois déprimée, elle vous fera plonger dans son univers comme si vous y étiez. Elle pourrait être vous, votre sœur, votre collègue ou votre meilleure amie. Réaliste et sensible, c'est un livre qui rassure, qui détend, un feel good book dans lequel chacun, homme ou femme, de toute génération confondue, pourra s'y retrouver.

Ce n’est pas désagréable de découvrir le quotidien de Marie au fil des pages sous la plume de Sonia Dagotor. Il y a des passages assez drôles et je me suis reconnue dans les insomnies, les brushings et dans un certain nombre d’autres situations. Cela ressemble toutefois plus à un journal intime ou à un blog qu’à un roman.

Je classe ce livre en 181ème position et lui donne une étoile.

20 septembre 2017

Jules

Présentation de l’éditeur            

« À trente ans, Alice recouvre la vue. Pour Jules, son chien guide, c'est une catastrophe. Et en plus on les sépare. Alors, il se raccroche à moi. En moins de vingt-quatre heures, ce labrador en déroute me fait perdre mon emploi, mon logement, tous mes repères. Il ne me reste plus qu'une obsession - la sienne : retrouver la jeune femme qui nous a brisé le coeur. »

Entre une miraculée de la chirurgie et un vendeur de macarons, une histoire de renaissance mutuelle et de passion volcanique orchestrée, avec l'énergie du désespoir, par le plus roublard des chiens d'aveugle.

J’ai adoré. L’idée de départ est excellente, les personnages attachants (quelques surprises que l’on découvre au fil du livre). Il y a des passages un peu surréalistes (notamment chez le Docteur Vong) mais ce livre de Didier Van Cauwelaert est rafraichissant et divertissant. Cela donne envie de découvrir d’autres livres de cet auteur. Petit bémol sur la couverture, alors que Jules est un labrador, on nous met la photo d’un braque de Weimar…

Je le classe en 23ème position et lui donne 3 étoiles.

15 juillet 2017

Un fils en or

Présentation de l’éditeur

Anil prenait de plus en plus conscience de la place que Leena occupait dans son esprit… Il n’avait pas réussi à l’oublier au bout de tant d’années. Il voulait la revoir, voilà ce dont il était sûr, et pour cela, il était prêt à affronter sa mère. Il l’avait laissée contrôler sa vie une fois à ce sujet, mais il ne la laisserait pas recommencer. Il suivrait ce que son cœur lui disait. Anil est un jeune Indien qui commence des études de médecine dans le Gujarat puis part les compléter aux États-Unis. Sa redoutable mère rêve pour lui d’une union prestigieuse. Or, depuis qu’il est petit, elle le sait très proche de Leena, la fille d’un métayer pauvre. Quand celle-ci devient une très belle jeune fille, il faut l’éloigner, en la mariant à la va-vite. Les destins croisés d’Anil et de Leena forment la trame de ce roman – lui en Amérique, qui est loin d’être l’eldorado qu’il croyait ; et elle en Inde, où sa vie sera celle de millions de femmes victimes de mariages arrangés. Ils se reverront un jour, chacun prêt à prendre sa vie en main, après beaucoup de souffrances. Mais auront-ils droit au bonheur ?

J’ai eu un peu de mal à me glisser dans l’histoire, pas parce que c'était inintéressant mais parce que je n'étais pas suffisamment concentrée, mais ensuite j’ai beaucoup aimé ce livre de Shilpi Somaya Gowda. On vit les évènements avec les personnages et les situations, parfois terribles, sonnent justes. Je suis un peu déçue de l’issue du récit avec un personnage qui apparaît 12 pages avant la fin et qui prend une importance démesurée par rapport à sa durée de vie dans le livre… comme si l’auteure avait changé d’idée au dernier moment.

J’ai failli retirer une étoile pour cela, mais finalement non, j’ai juste un peu reculé ce livre dans le classement.

Je classe ce livre en 63ème position et lui donne 3 étoiles.

26 septembre 2017

Le reste de leur vie

Présentation de l’éditeur

Manelle, jeune aide à domicile, s'occupe des vivants, tandis qu'Ambroise, thanatopracteur par vocation, rend la mort présentable. A l'âge des questions sur la vie, ils consacrent la leur à faire du bien à de plus cabossés qu'eux, des gens comme tout le monde et toujours uniques... Au fil de hasards qui n'en sont pas, le vieux Samuel va permettre leur rencontre. Et d'une ville à l'autre, un joyeux road trip en corbillard s'engage, à la recherche d'un improbable et dénouement... Ce conte moderne régénérant se révèle une ode à la vie et à l'amour, à l'image d'Ambroise, le thanatopracteur amoureux des vivants. Et tout lecteur fermera ce roman heureux, ému et réparé. On pense à Ensemble c'est tout pour l'optimisme, la chaleur humaine et l'universalité de ce deuxième roman qui confirme l'art de Jean-Paul Didierlaurent.

J’ai adoré ce livre. J’ai retrouvé la sensibilité présente dans « le liseur de 6h27 » du même auteur. J’ai trouvé la fin un peu facile , un peu rapide aussi, mais j’aurais bien voulu que cela dure un peu plus longtemps… Les personnages sont attachants et plein d’humanité. C’est un livre qui fait du bien, en toute simplicité.

Je classe ce livre en 18ème position et lui donne 3 étoiles.

 

1 octobre 2017

Michaël Grégorio et Mon garçon

Avant-hier, nous sommes allés au cinéma voir le concert de Michaël Grégorio.

Voici les détails du synopsis : « Après avoir séduit plus d’un million de spectateurs, Michael Gregorio propose au public de vivre ou revivre ce spectacle exceptionnel au cinéma en France, en Suisse et en Belgique. Michael Gregorio a choisi le grand écran pour célébrer ses 10 ans de carrière ! Vendredi 29 septembre à 20h00 sera diffusé en exclusivité le dernier one man show du jeune artiste. Au programme de cette soirée, les meilleurs moments de ses trois spectacles revisités, des sketches inédits, de nouvelles voix, des invités exceptionnels et des surprises… Capté à l’AccorHotels Arena en décembre 2016, ce spectacle sera à vivre au cinéma en image HD et en son 5.1. »

On a adoré !! On a même eu envie d’applaudir mais dans un cinéma cela aurait fait un peu bizarre ! Michaël Grégorio est extraordinaire ! Il peut tout chanter de Amstrong à Christophe Willem, de Billie Holiday à de l’opéra ! En français ou en anglais, des titres anciens ou très récents. On a passé un super moment et les transitions sont intelligentes et drôles.

Je classe ce spectacle en 4ème position et lui donne 3 étoiles.

 

Et hier, nous sommes allés voir « Mon garçon » de Christian Carion avec Guillaume Canet et Mélanie Laurent.

Le synopsis est : « Passionné par son métier, Julien voyage énormément à l’étranger. Ce manque de présence a fait exploser son couple quelques années auparavant. Lors d’une escale en France, il découvre sur son répondeur un message de son ex-femme en larmes : leur petit garçon de sept ans a disparu lors d’un bivouac en montagne avec sa classe. Julien se précipite à sa recherche et rien ne pourra l’arrêter. »

JP et moi n’avons pas apprécié du tout ce film. C’est peu crédible, violent, long et pas clair du tout.

Je le classe en 29ème position (sur 33 !) et ne lui donne pas d’étoile.

12 novembre 2019

Hors norme

Synopsis : Bruno et Malik vivent depuis 20 ans dans un monde à part, celui des enfants et adolescents autistes. Au sein de leurs deux associations respectives, ils forment des jeunes issus des quartiers difficiles pour encadrer ces cas qualifiés "d'hyper complexes". Une alliance hors du commun pour des personnalités hors normes. 

C’est un beau film d’Eric Toledano et d’Olivier Nakache où l’on voit des personnes altruistes se battre, avec les moyens du bord, pour des enfants et des adolescents différents. Ils soulagent les familles, les hôpitaux et leur seule vraie rémunération est le progrès que les autistes font petit à petit grâce à leur patience et aux activités qu’ils leur proposent. Les jeunes qui les accompagnent apprennent également énormément à leur contact et progressent eux aussi face à leurs responsabilités et aux attentes que l’on met en eux. Cette histoire est d’autant plus touchante qu’elle est tirée d’une histoire vraie et que les deux protagonistes ont participé à la création du film auprès des réalisateurs.

Je classe ce film en 16ème position et lui donne 3 étoiles.

18 novembre 2019

Le Mans 66

Synopsis : Basé sur une histoire vraie, le film suit une équipe d'excentriques ingénieurs américains menés par le visionnaire Carroll Shelby et son pilote britannique Ken Miles, qui sont envoyés par Henry Ford II pour construire à partir de rien une nouvelle automobile qui doit détrôner la Ferrari à la compétition du Mans de 1966.

JP était surpris que je choisisse ce film de James Mangold car je n’aime pas les courses automobiles. En fait, je n’aime pas rester plusieurs heures à regarder des voitures tourner en rond sur une circuit. Mais j’ai bien aimé ce film qui raconte l’histoire de la concurrence de deux marques, Ford et Ferrari, ainsi que la différence de points de vue entre la Direction de Ford qui ne connaît pas grand-chose aux voitures de course et les professionnels sur le terrain depuis des années. Matt Damon et Christian Bale sont criants de vérité.

Je classe ce film en 64ème position et lui donne une étoile.

24 août 2019

Changer l'eau des fleurs

Présentation de l’éditeur

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués passent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu'elle leur offre. Son quotidien est rythmé par les confidences des visiteurs et la joie des fossoyeurs. Un jour, parce qu'un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l'on croyait noires, se révèlent lumineuses. Changer l'eau des fleurs est un hymne au merveilleux des choses simples. Après le succès des Oubliés du dimanche, Valérie Perrin, virtuose dans l'art d'explorer les sentiments, nous livre un deuxième roman bouleversant où suspense, sensibilité et justesse éclatent à chaque page.

Quatrième de couverture

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ? Après le succès des « oubliés du dimanche », un nouvel hymne au merveilleux des choses simples.

Alors, j’ai mis les deux résumés car je trouve que la quatrième de couverture résume mieux l’histoire (et encore pas tellement bien) de ce livre.

J’avais lu également le premier livre de Valérie Perrin « les oubliés du dimanche ». Je l’avais bien aimé aussi puisqu’il est classé en 108ème position avec 3 étoiles.

J’ai adoré cette nouvelle histoire ou plutôt ces histoires car il ne s’agit pas que de l’histoire de Violette mais de celle de tout un tas d’autres personnages. Il y a beaucoup, beaucoup de monde dans ce livre et il y a aussi beaucoup d’aller et retour entre le passé et le présent. Il faut s’accrocher et bien suivre ! Mais le tout est super bien ficelé, même si on se dit que Violette n’a quand même pas eu beaucoup de chance dans sa vie (sa jeunesse, son mari, sa belle-famille, sa fille, …). Les personnages sont particulièrement bien décrits et chacun avec leur personnalité, leurs forces, leurs failles, leurs expériences, leur philosophie, leur sagesse pour certains, … J’ai dû relire certains passages après avoir fini le livre pour bien m’assurer de certaines choses, de la chronologie de certains faits. Par contre, comme il n’y a que des allers et retours passé-présent, j’ai parfois eu du mal à retrouver les passages que je cherchais. Un sommaire même succinct aurait été intéressant avec tout au moins le nom de la personne qui s’exprime dans le chapitre pour pas trop dévoiler la suite...

Je classe ce livre en 4ème position (sur 523 que compte mon classement à ce jour) et lui donne 3 étoiles. J’avais envie de connaître la fin et en même temps envie de ne pas terminer ce livre pour poursuivre le bonheur de sa lecture. Je recommande !

2 novembre 2019

L'aile des vierges

Présentation de l'éditeur :

" L'aile des vierges ", c'est ainsi que l'on surnomme les chambres réservées aux domestiques à Sheperd House, illustre manoir du Kent où est engagée Maggie Fuller au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Petite-fille de suffragette, fille d'une sage-femme féministe, Maggie aurait pu prétendre à mieux que cette place de femme de chambre. Mais, en ces temps difficiles, la jeune femme cultivée et émancipée n'a d'autre choix que d'intégrer la petite armée d'intendants semblant vivre au siècle précédent. Elle aspire pourtant à un autre destin. Et elle n'est pas la seule au sein de Sheperd House... Contre toute attente, ce pourrait être le début de son long chemin vers l'amour et la liberté.

J’ai bien aimé ce livre de Laurence Peyrin. C’est le 3ème livre que je lis de cette auteure : « La drôle de vie de Zelda Zonk » classé en 243ème position avec 1 étoile et la suite de celui-ci « Hanna » classé en 83ème position avec 3 étoiles.

Pour « l’aile des vierges », j’ai surtout aimé la première partie du livre. L’indépendance, la liberté de pensée et les réparties de l’héroïne me la font apprécier. Ensuite, elle fait des choix que je n’ai pas toujours compris, comme s’il n’y avait pas eu d’autres possibilités. Mais bon, les héros de roman n’agissent pas toujours comme on le souhaiterait !

Cela reste une lecture agréable même si la fin est un peu rapide, il y aurait eu tant à dire sur les 58 dernières années qui nous sont présentées comme un résumé dans l'épilogue…

Je classe ce livre en 208ème position et lui donne 2 étoiles.

27 juin 2020

De Gaulle

Retour au cinéma après plusieurs mois du fait de la crise sanitaire. Il y avait peu de monde au cinéma et dans la salle (on était 12 !).

Synopsis : Mai 1940. La guerre s’intensifie, l’armée française s’effondre, les Allemands seront bientôt à Paris. La panique gagne le gouvernement qui envisage d’accepter la défaite. Un homme, Charles de Gaulle, fraîchement promu général, veut infléchir le cours de l’Histoire. Sa femme, Yvonne de Gaulle, est son premier soutien, mais très vite les évènements les séparent. Yvonne et ses enfants se lancent sur les routes de l’exode. Charles rejoint Londres. Il veut faire entendre une autre voix : celle de la Résistance.

JP et moi avons été déçus de ce film de Gabriel le Bomin. Lambert Wilson et Isabelle Carré sont très bons dans leurs rôles mais on n’apprend pas grand-chose. On s’attendait à plus. Plus de découvertes, plus d’informations sur la période, plus de connaissances. Mais c’est en fait une période très réduite qui est décrite pendant 1 h 49 de film.

Je classe ce film en 85ème position et ne lui donne pas d’étoile.

27 juin 2020

Le bruissement des feuilles

Présentation de l'éditeur

Mikki, dix-sept ans, vit coupée du monde depuis l'incendie qui a coûté la vie à ses parents. Sous le joug de son frère Kurt, un chrétien fondamentaliste, elle travaille comme serveuse dans leur restaurant et le soir, se rêve en héroïne de romans. Lors d'une escapade secrète en forêt, elle fait la rencontre de Leon, un gardien de parc naturel tout juste installé en Tasmanie. Les deux jeunes gens se donnent alors une mission extraordinaire : sauver les diables de Tasmanie de l'extinction. Au cœur de paysages somptueux, le combat inoubliable d'une jeune fille pour protéger la nature et se sauver elle-même.

J’ai beaucoup aimé ce livre de Karen Viggers. Par contre, je suis un peu restée sur ma faim avec la fin… En effet, on ne sait pas ce que devient vraiment Mikki, on ne peut que l’imaginer. Peut-être y aura-t-il une suite ? J’ai apprécié les personnages qui sont bien décrits et attachants ainsi que les paysages, on a envie d’aller en Tasmanie ! La défense de la nature est un vaste sujet et on voit, dans ce livre, le point de vue des différents protagonistes.

J’ai déjà lu un livre de cette auteur : « la maison des hautes falaises », classé en 418ème position avec 1 étoile.

Je classe ce livre en 131ème position et lui donne 3 étoiles.

2 juillet 2020

Tess d'Uberville

Présentation de l’éditeur

Jeune paysanne innocente placée dans une famille, Tess est séduite puis abandonnée par Alec d'Urberville, un de ses jeunes maîtres. L'enfant qu'elle met au monde meurt une semaine après. Plus de deux années ont passé et Tess, à présent âgée de 20 ans, est prête à un nouveau départ. Elle cherche de l'emploi en dehors du village, où personne ne sait rien de son passé, et assure un travail de laitière à la laiterie de Talbothays, et elle rencontre Angel Clare, en apprentissage à la ferme pour y apprendre la gestion laitière. Ils tombent amoureux l'un de l'autre. Le mariage se déroule gentiment. Ils passent leur nuit de noces où Angel confesse alors une histoire qu'il a vécue avec une femme plus âgée, à Londres. Quand elle entend cela, certaine au moins de son pardon, Tess lui parle finalement de sa relation avec Alec. Bien que Tess pardonne librement les écarts du passé d'Angel, il est si mortifié par le sien qu'ils se séparent. Il prend le bateau pour le Brésil y commencer une nouvelle vie. Une période très morne commence alors dans la jeune vie de Tess. Elle retrouvera plus tard Alec puis Angel.

C’est un classique que je n’avais pas encore lu. Ce n’est pas une histoire particulièrement gaie. Tess, souffre et expie beaucoup, beaucoup. L’auteur, Thomas Hardy, détaille énormément (en 600 pages tout de même) les lieux, les gens, les sentiments, les situations. Cela m’a fait penser au roman d’Emilie Brontë « les hauts de Hurle-vent » (pas très gai non plus et fort détaillé). J’avais écrit cela le concernant : « C'est un roman très sombre de par les personnages et les situations mais on a envie de connaître la fin, on espère une éclaircie ! » et bien, c’est exactement la même chose ici…

Je classe ce livre en 373ème position et lui donne une étoile.

6 juillet 2020

Loin de la foule déchaînée

Présentation de l’éditeur

Dans la campagne anglaise de l'époque victorienne, une jeune femme belle et libre, Bathsheba Everdene, féministe avant l'heure, doit diriger la ferme léguée par son oncle. Dans un monde rural hostile, mais inspiré par les magnifiques paysages de la province du Wessex où l'auteur est né, Bathsheba est courtisée par trois hommes : le berger Gabriel Oake qui deviendra son valet de ferme après avoir perdu son troupeau, un riche voisin William Boldwood à qui elle fera miroiter un engagement, et le beau Sergent Francis Troy. Plaçant l'amour et son indépendance au-dessus de la sécurité, de la richesse et des conventions patriarcales de l'époque, Bathsheba refuse d'abord tous les prétendants avant de finir par épouser Troy. Celui-ci se révèle être un mari totalement immoral et sans scrupules qui la trompe et dilapide sa fortune.

J’ai bien aimé ce roman de Thomas Hardy, beaucoup moins sombre que Tess d’Uberville, et avec une fin beaucoup moins tragique. La condition de la femme pendant l’époque victorienne est bien décrite et on se bat, au côté de l’héroïne pour sa liberté de choisir et de vouloir diriger elle-même sa ferme, chose encore inconcevable pour l’époque. Quant à l’amour, Bathsheba fait ses erreurs et apprend chaque jour un peu plus de celles-ci.

Sinon, je n’ai pas compris le titre du livre par rapport au roman.

Je classe ce livre en 184ème position et lui donne 2 étoiles.

19 juillet 2020

Code 93

Présentation de l’éditeur

Victor Coste est capitaine de police au groupe crime du SDPJ 93. Depuis quinze ans, il a choisi de travailler en banlieue et de naviguer au cœur de la violence banalisée et des crimes gratuits. Une série de découvertes étranges – un cadavre qui refuse de mourir, un toxico victime d'autocombustion – l'incite à penser que son enquête, cette fois-ci, va dépasser le cadre des affaires habituelles du 9-3. Et les lettres anonymes qui lui sont adressées personnellement vont le guider vers des sphères autrement plus dangereuses...

« Surface », lu récemment, m’a donné envie de découvrir d’autres romans policiers d’Olivier Norek. Dans « Code 93 » j’ai retrouvé des personnages intéressants et bien décrits, pleins de caractère. C’est écrit par un policier et on le ressent dans les rapports décrits entre les membres d’une même équipe de police, et également entre les différents services de police, de justice, de médecine légale, … L’intrigue et intéressante et pour une fois on ne découvre pas le coupable à la fin puisqu'on le suit dans le tiers final du livre.

Je classe ce livre en 249ème position et lui donne 2 étoiles.

22 juillet 2020

On se reverra

Présentation de l’éditeur

Les souvenirs, c’est comme les cadavres : tôt ou tard, ils refont surface. Qui est cet homme assis sur la plage en pleine tempête, sur le lieu d’un crime commis vingt ans plus tôt ? Il n’a pas de nom, pas de manteau, et a perdu la mémoire. Alice prend l’inconnu sous son aile et décide de l’héberger, sans savoir qu’il va bouleverser sa vie à jamais. Au même moment, dans la banlieue de Londres, Lily attend en vain le retour de l’homme qu’elle vient d’épouser et dont la police tarde à signaler la disparition. Parviendra-t-elle à retrouver celui pour qui elle a tout abandonné ?

J’ai bien aimé ce livre de Lisa Jewel avec les 3 histoires parallèles qui se retrouvent et s’entremêlent au fur et à mesure. J’ai trouvé des petites choses un peu bizarres ou peu crédibles mais je ne peux pas dire lesquelles sans dévoiler l'issue du livre. J’ai trouvé le lien entre la disparition d’un côté et la perte de mémoire de l’autre intéressante et on ne le voit pas tout de suite (le lien).

Je classe ce livre en 281ème position et lui donne une étoile.

 

28 juillet 2020

Surtensions

Présentation de l’éditeur

Cette sœur acceptera-t-elle le marché risqué qu'on lui propose pour faire évader son frère de prison ? De quoi ce père sera-t-il capable pour sauver sa famille des quatre prédateurs qui se sont installés dans sa maison ? Comment cinq criminels – un pédophile, un assassin, un ancien légionnaire serbe, un kidnappeur et un braqueur – se retrouvent-ils dans une même histoire et pourquoi Coste fonce-t-il dans ce nid de vipères, mettant en danger ceux qui comptent le plus pour lui ? Des âmes perdues, des meurtres par amour, des flics en anges déchus : la rédemption passe parfois par la vengeance...

Troisième volet de la trilogie de Victor Coste, capitaine au sein de la SRPJ 93. On y retrouve l’équipe de celui-ci dans une histoire où se s’entremêlent plusieurs histoires de criminels. J’ai apprécié l’intrigue et retrouver les protagonistes des deux premiers tomes. C’est bien ficelé, c’est réaliste et très humain, à l’image du héros principal.

Je classe ce roman policier en 203ème position et lui donne deux étoiles.

A quand un 4ème tome avec de nouvelles aventures du Capitaine Coste ?

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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