A l'encre russe
Quatrième de couverture
Nicolas Duhamel découvre à plus de vingt ans qu'un troublant mystère entoure ses origines. Pourquoi sa famille a-t-elle délibérément rayé un pan de son histoire ? Son père, disparu au large de la côte basque alors qu'il était encore enfant, n'est plus là pour lui répondre. Affecté par l'onde de choc de ces révélations, le jeune homme se lance sur la piste de ses ancêtres, jusqu'à Saint-Pétersbourg. De cette enquete découlera un roman qui rencontrera un succes phénoménal. Grace à ce livre, Nicolas pense en avoir fini avec les fantômes du passé. Pourtant, lors d'un séjour dans un hotel de rêve sur une île toscane, il verra s'accumuler orages et périls, défiler sa vie et se jouer son avenir.
Comme je l'avais indiqué à la fin de mon billet sur "Boomerang" que j'ai beaucoup aimé (et qui évoquait déjà un secret de famille), j'avais envie de découvrir un autre livre de Tatiana de Rosnay. J'ai trouvé "A l'encre russe" à la médiathèque, sans avoir vu auparavant les commentaires sur internet (j'aurais peut-être dû...).
Cette histoire parle de l'auteur d'un premier livre à succès, Nicolas, ayant du mal à retrouver l'inspiration pour un deuxième livre. Il a pris la grosse tête, passe son temps sur les réseaux sociaux pour voir si on parle de lui et a perdu tous ses amis. C'est alors que l'auteure nous raconte, par bribes, le sujet du premier roman du héros. Le problème, c'est qu'il y a plein de longueurs et de répétitions qui nous font penser que c'est en fait Tatiana de Rosnay qui n'a pas d'inspiration !!!
Le résumé en quatrième de couverture parle d'une quête du héros sur les terres russes de ses ancêtres, cette partie ne compte en fait qu'une vingtaine de pages à la fin et encore, on reste sur sa faim, à tel point que je me suis demandé s'il y avait un deuxième tome...
Il y a aussi un passage sur l'échouage du "Concordia" rebaptisé en "Sagamor" qui n'apporte rien et qui dessert même encore le livre.
Du coup, j'ai hésité entre ne pas mettre d'étoile et mettre un "moins" mais je ne serai pas aussi sévère car malgré tout il y a des passages intéressants.
Je classe donc ce livre en 193ème position et ne lui donne pas d'étoile.