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Le petit monde de So et de Fi
16 mai 2013

Persuasion

Retrouvailles d'Anne Elliot avec Frederick Wentworth, dont elle a repoussé la demande en mariage huit ans auparavant, persuadée par son amie Lady Russell des risques de cette union avec un jeune officier de marine en début de carrière, pauvre et à l'avenir incertain. Mais alors que la guerre avec la France s'achève, le capitaine Wentworth revient, fortune faite, avec le désir de se marier pour fonder un foyer. Il a conservé du refus d'Anne Elliot la conviction que la jeune fille manquait de caractère et se laissait trop aisément persuader.

J’aime toujours autant le style de Jane Austen. On retrouve le contexte du XIXème où les rapports homme/femme étaient plus codifiés et les liens entre les différents niveaux de classes sociales si importants. Concernant le récit proprement dit, pas beaucoup de suspens et pas beaucoup d’histoires dans l’histoire contrairement à d’autres de ses romans. Je l’ai lu avec plaisir mais ne l’ai pas « dévoré ».

Je le classe en 86ème position et lui donne une étoile.

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28 juillet 2013

Lîle des disparues

Quatrième de couverture :

Quand Chloé Marin, jeune et talentueuse psychologue, collabore à une enquête de police sur la mystérieuse disparition d’un jeune mannequin sur une petite île de Floride, elle ne s’attend pas à voir son propre passé ressurgir. Et surtout pas ces meurtres terribles qui l’ont brisée lorsqu’elle était adolescente, et qu’elle a essayé d’enfouir au plus profond de sa mémoire. Pourtant, à peine démarre-t-elle ses recherches qu’une série de crimes est commise, qui lui rappelle le drame dont elle a été témoin dix ans plus tôt. Mais le plus perturbant, ce sont ces visions qui s’emparent de son esprit. Des visions incroyablement réalistes de la jeune femme disparue implorant son aide. Dès lors, Chloé n’a plus le choix. Prête à tout pour faire la lumière sur cette affaire, elle s’associe à Luke Cane, un détective privé secret et mystérieux à qui elle a accordé sa confiance. Mais elle ne sait pas encore à quel point sa protection lui sera précieuse. Ni qu’elle est désormais la cible d’un tueur implacable. Un tueur qui n’est jamais loin.

J’ai choisi ce livre car recommandé en fonction de mes lectures précédentes sur ma liseuse ( !?). Entre-temps, celle-ci m’a lâchée et j’ai dû finir la lecture sur mon ordinateur, pas très pratique…

Pour en revenir à l’histoire, c’était un peu trop sanguinolent à mon goût. Dès les premières pages du livre, des jeunes gens se font trancher la gorge et si j’ai bien compté (mais j'en ai surement oublié), tout au long du livre on dénombre pas moins de 17 morts.

Il y a aussi beaucoup d’incohérences ou tout au moins des coïncidences frappantes.

Ce n’est pas un livre pour mon époux car dès le deuxième chapitre, il y a 20 nouveaux personnages. J’ai dû prendre des notes pour ne pas me perdre avec tous les noms des personnages.

Ensuite, il y a des fantômes dans le livre (oui, oui, des fantômes qui viennent parler aux vivants pour les aider), et je pense que c’est là que j’ai  carrément décroché et eu envie d’en finir au plus vite.

Enfin bref, vous l’aurez compris, je n’ai pas adhéré mais prise par l’envie de connaître la fin (!), j’ai tout de même mis une étoile à ce livre, (mélange de policier, de paranormal et d'eau de rose) de Heather Graham et le place en 84ème position.

11 août 2013

Inferno

Quatrième de couverture :

C'est l'une des plus grandioses oeuvres de la littérature italienne, L'Enfer de Dante, qui est le fil conducteur de cette nouvelle aventure. En Italie, plongé dans une atmosphère aussi opaque que mystérieuse, le héros de Dan Brown, Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard va devoir affronter un adversaire diabolique sorti des limbes de l'Enfer et déchiffrer l'énigme la plus complexe de sa carrière. Elle le fait plonger dans un monde où l'art et la science de pointe tissent un écheveau qui exige de sa part toute son érudition et son courage pour le démêler. S'inspirant du poème épique de Dante, Langdon se lance dans une course contre la montre pour trouver des réponses et découvrir en traversant les Cercles de l'Enfer ceux qui détiennent la vérité, avant que le monde ne soit irrévocablement changé.

C'est une histoire qui nous tient en haleine jusqu'au bout. L'auteur nous égare avec de mauvaises pistes et nous récupère ensuite tout au long d'une l'intrigue bien ficelée. Beaucoup de personnages ont un double visage... Le tout en nous faisant réfléchir aux conséquences de l'augmentation progressive de la population sur notre planète.

J'ai bien aimé ce livre de Dan Brown. Je le classe en 29ème  position et lui donne 3 étoiles.

1 septembre 2013

Les souvenirs

Le narrateur nous raconte ses souvenirs qui débutent avec le décès de son grand-père dont il était très proche puis l’obligation pour son père et ses oncles de mettre sa grand-mère dans une maison de retraite où elle ne se sentira jamais à l’aise. Elle finit par fuguer. Le narrateur la retrouve et lui permet de revivre une journée dans l’école de son enfance qu’elle avait été contrainte de quitter avant l’heure. Elle meurt juste après. C’est le début pour le narrateur de son histoire d’amour avec l’institutrice qui a accueilli pour une journée sa grand-mère.

C’est le livre de David FOENKINOS que j’ai le moins aimé parmi les 4 que j’ai lus (la délicatesse, le potentiel érotique de ma femme et nos séparations). Il nous parle de sentiments filiaux et de l’importance de se souvenir mais j’ai trouvé beaucoup de longueurs. Il nous parle de sa volonté de devenir écrivain et la difficulté de créer. L’histoire n’a rien de particulier sauf peut-être la fugue de la grand-mère et la possibilité pour elle de boucler la boucle en retournant dans son école. J’ai toutefois aimé les traits d’humour dont il fait preuve surtout dans les moments plus difficiles par lequel passe le narrateur.

Je classe ce livre en 95ème position et lui donne une étoile.

29 septembre 2013

La colline aux adieux

Quatrième de couverture

Depuis son mariage avec James, Ellen ne s'est plus rendue à Holly's Field, petite ville portuaire du Wisconsin sur les rives du lac Michigan, où résident les parents de son mari. Quand James perd son emploi, le couple, à cours d'argent, n'a d'autre solution que de quitter la Californie avec ses deux enfants pour retourner vivre là-bas...

La belle-famille d'Ellen est toujours aussi mal disposée à son égard, rendant sa vie intenable. Mais que peut la jeune femme face à ces liens familiaux, qui font d'elle une proie soumise à ceux qui l'ont accueillie sous leur toit ?

Bon alors que dire ?

Que je me suis ennuyée à mourir pendant 306 pages ? Que j’ai espéré un peu d’action à la 195ème page mais que cela ne s’est pas produit ? Que je suis contente d’avoir achevé ce livre pour passer à un autre ?

Oui, oui et oui.

Je classe « la colline aux adieux » (meilleur livre de l’année par le Chicago Tribune ?!) de Manette Ansay en 176ème position et lui donne un « moins ». Non, décidément aucune étoile pour ce livre… et je ne regarderai pas le film qui a été adapté du roman !!

 

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13 décembre 2013

Le don de l'ours

Présentation de l’éditeur

Imaginez un peuple vivant aux confins de l'humanité dans le désert arctique, un peuple oublié de tous où la solidarité est ancrée dans les gênes, dans la culture. Vivez l'histoire palpitante de leur brutale rencontre avec d'avides mercenaires, leur combat farouche pour préserver leur vie et leur liberté. Vibrez aux aventures de la jeune Sitchwaan, de son apprentissage du don de l'ours guidé par un puissant chaman. Ce don un bienfait ou une malédiction ?

J’ai trouvé le début un peu long mais une fois rentrée dans l’histoire, je n’ai pu m’en détacher jusqu’à la dernière page. C’est un roman d’aventure palpitant, les personnages sont attachants et on apprend des choses sur la vie dans le grand nord. L’environnement extrême nécessite une vie en communauté pleine de solidarité. La sagesse des chamans et les valeurs humaines développées au sein de ces tribus rajoute un côté philosophique à l’histoire.  

Je classe ce livre en 13ème position et lui donne 3 étoiles.

12 janvier 2014

l’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikéa

Présentation de l’éditeur (quelque peu allégée) :

Jatashatru Lavash Patel, fakir escroc, débarque à Roissy, direction Ikea, et ce aux fins d'y acheter un lit à clous. Taxi arnaqué, porte franchie et commande passée, y rencontre Marie Rivière, et s'y fait enfermer de nuit, nidifiant dans une armoire... expédiée tout de go au Royaume-Uni en camion. Digne véhicule qu'il partage avec une escouade de Soudanais clandestins. Appréhendés, nos héros sont mis en garde à vue. Réexpédié en Espagne comme ses compères, Ajatashatru Lavash Patel y percute, en plein aéroport de Barcelone, le taxi floué à qui il échappe à la faveur d'un troisième empaquetage en malle-cabine qui le fait soudain romain... et romancier (l'attente en soute étant longue et poussant à l'écriture). Protégé de l'actrice Sophie Morceaux, il joue une nouvelle fois la fille de l'air, empruntant une montgolfière pour se retrouver dans le golfe d'Aden puis, cargo aidant, à Tripoli. Une odyssée improbable qui s'achèvera festivement en France où Ajatashatru Lavash Patel passera la bague au doigt de Marie.

La lecture de « l’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikéa » de Romain Puertolas est plaisante. Les rebondissements sont improbables mais possibles donc on apprécie suivre le héros dans ses multiples voyages et rencontres. J’ai aimé la transformation du personnage principal qui va vouloir devenir meilleur au fil des pages. Ce roman évoque aussi les difficultés que rencontrent les clandestins dans leur quête d’un avenir meilleur pour eux et pour leurs familles restées au pays.

Par contre, ce livre m’a un peu trop fait penser à celui de Jonas Jonasson « le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » (classé 18ème dans mon classement avec 3 étoiles) par le côté loufoque et absurde des situations toujours à la limite du possible.

Je classe ce livre en 47ème position et lui donne 2 étoiles.

17 mars 2014

Tout son portrait

Présentation de l’éditeur

« Je sais que tu vas l’adorer, Ella. » Ella Graham est portraitiste. Grâce à ses œuvres lumineuses et émouvantes, elle connaît un début de célébrité. Mais  quand sa sœur cadette, Chloé, lui demande de peindre le portrait de son fiancé, Nate, Ella est consternée. Elle déteste Nate et se méfie de lui. Pourtant, au fil de leurs séances de pose, Ella comprend qu’il ne faut pas se fier aux apparences. En parallèle, Ella recueille les confidences de ses autres modèles : une veuve âgée qui porte un lourd secret depuis la guerre, une belle Française qui redoute son quarantième anniversaire et un homme politique séduisant qui a une confession à faire. C’est alors qu’un message totalement inattendu parvient à Ella : celui de son père, John, qui n’a pas donné de nouvelles depuis près de trente ans. Tandis que Chloé organise le mariage de ses rêves, Ella est face à un dilemme. Soit déchirer sa famille en révélant son secret ; soit laisser ce mariage la déchirer...

« Tout son portrait » d’Isabelle Wolff est agréable à lire même si on se doute rapidement de la manière dont va se terminer l’histoire. D’un côté, l’héroïne tombe amoureuse de l’homme que doit épouser sa sœur et de l’autre, elle découvre une version différente de l’histoire familiale. Le tout est un peu trop « gentillet » à mon goût.

Je le classe en 104ème position et lui donne une étoile (j’avais lu un précédent livre du même auteur "un amour vintage" et je l’avais préféré –placé en 84ème position).

 

1 juin 2014

Un genou à terre

Présentation de l’éditeur

Max jeune homme intelligent, vit depuis sa plus tendre enfance les brimades et l'exclusion. Alors qu'il effectue son service militaire, il va rencontrer son destin et son pire cauchemar. Se battre, se résigner ? Lorsque le destin s'acharne même les plus forts abandonnent. Une descente aux enfers qui va le pousser dans ses derniers retranchements. Pardonner, se venger, abandonner ou s'enfoncer dans un marasme indescriptible ? Max va devoir faire ses choix !

Je vous avoue que j’ai eu un peu peur dans les premiers chapitres du livre car le ton était tristounet et le personnage principal un anti-héros manquant a priori de personnalité et de volonté. J’ai pensé que j’allais m’ennuyer en sa compagnie comme lorsque j’ai lu « au-revoir la-haut » de Pierre Lemaître… le dernier prix Goncourt (mais il ne faut pas dire qu’on n’aime pas un Goncourt !).

Le début du roman était peu engageant, on y découvre Max, en surpoids, souffre-douleur, exclu des autres pendant son adolescence et lors de son service militaire. Petit à petit, on découvre cependant que Max est un jeune homme sensible, intelligent, attentionné et foncièrement bon. On s’attache à lui et on a envie de savoir ce qu’il va advenir de lui.

Il y a juste un petit truc qui me manque (et oui encore !) : une chose restera en suspens. Il est histoire de deux vengeances mais une seule aboutira…

J’ai énormément apprécié ce roman de Wendal Utroi. Je le classe en 17ème position et lui donne 3 étoiles.

29 juillet 2014

Boomerang

Présentation de l'éditeur 

Sa sœur était sur le point de lui révéler un secret... et c'est l'accident. Elle est grièvement blessée. Seul, l'angoisse au ventre, alors qu'il attend qu'elle sorte du bloc opératoire, Antoine fait le bilan de son existence: sa femme l'a quitté, ses ados lui échappent, son métier l'ennuie et son vieux père le tyrannise. Comment en est-il arrivé là? Et surtout, quelle terrible confidence sa cadette s'apprêtait-elle à lui faire? Rattrapé par le passé, Antoine Rey vacille. Angèle, une affriolante embaumeuse, lui apportera une aide inattendue dans sa recherche de la vérité.

C'est bien écrit, c'est fluide, c'est direct. J'aime !! 

Tatiana de Rosnay aborde dans ce roman plein de thèmes actuels, traités avec beaucoup de justesse : l'amour, la maladie, la mort, le divorce, l'adolescence, la communication parfois difficile avec ses parents ou ses enfants, les secrets de famille, ...

J'ai adoré et ce livre me donne envie d'en lire d'autres du même auteur.

Je le classe en 30eme position et lui donne trois étoiles.

 

1 avril 2014

Cherche jeune femme avisée

Présentation de l’éditeur

Quand il voit débarquer dans son cabinet la ravissante, mais ô combien extravagante, Gabrielle Géris, Adrien de Bérail est loin d’imaginer qu’il se laissera convaincre de l’embaucher comme baby-sitter. Veuf et très accaparé par son métier d’avocat, il lui faut de toute urgence une personne capable de prendre soin de ses deux chérubins, Paul et Sophie, tout juste âgés de neuf ans. C’est donc en dépit de ce que lui crie la raison qu’il accepte sa folle candidature. Une personnalité audacieuse et un toupet incroyable pour un petit mètre soixante sur talons… Qui sait ? La jeune femme pourrait bien se révéler être la perle rare…

Bon alors, j’ai passé un bon moment mais c’est un peu trop fleur bleue à mon goût. On n’a pas trop d’inquiétudes sur l’issue heureuse de l’histoire. Quelques bonnes trouvailles de l'auteure, Sophie Jomain, donnent un peu de relief à l’ensemble.

Je le classe en 107ème position et lui donne une étoile.

9 avril 2018

Tout le monde debout

Synopsis du film : Jocelyn, homme d'affaire en pleine réussite, est un dragueur et un menteur invétéré. Lassé d'être lui-même, il se retrouve malgré lui à séduire une jeune et jolie femme en se faisant passer pour un handicapé. Jusqu'au jour où elle lui présente sa sœur elle-même handicapée...

Mis à part le fait que je n’aime pas les scénarios basés sur le mensonge et sur des personnages qui s’enlisent dedans au fur et à mesure, il y a de bonnes trouvailles comme des expressions que l’on utilise fréquemment et qui prennent un sens différent dans la bouche d’un « faux » handicapé. Franck Dubosc et Alexandra Lamy sont très bons et elle, particulièrement rayonnante et juste. Un sujet difficile mais traité et réalisé avec délicatesse par Franck Dubosc.

Je classe ce film en 29ème position et lui donne 2 étoiles.

28 octobre 2018

Le jeu

Synopsis : Le temps d’un diner, des couples d’amis décident de jouer à un « jeu » : chacun doit poser son téléphone portable au milieu de la table et chaque SMS, appel téléphonique, mail, message Facebook, etc. devra être partagé avec les autres. Il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que ce « jeu » se transforme en cauchemar.

JP et moi avons beaucoup aimé ce film de Fred Cavayé avec Bérénice Béjo, Suzane Clément, Stéphane de Groodt, Vincent Elbaz, Grégory Gadebois, Doria Tillier, Roschdy Zem et Fleur Fitoussi. J’avais craint que cela ne devienne un peu glauque mais c’est juste drôle, voire caustique… Cela m’a fait penser à la pièce de théâtre devenue film de « le prénom » dans cette forme de Huis-clos où les protagonistes finissent par se dévoiler et se dire leur quatre vérités. Les 7 acteurs principaux sont superbes chacun dans leur rôle et particulièrement crédibles. La fin est surprenante. Bref, on a adoré !

Je classe ce film en 7ème position et lui donne 3 étoiles.

13 janvier 2019

Les invisibles

Synopsis : Suite à une décision municipale, l’Envol, centre d’accueil pour femmes SDF, va fermer. Il ne reste plus que trois mois aux travailleuses sociales pour réinsérer coûte que coûte les femmes dont elles s’occupent : falsifications, pistons, mensonges… Désormais, tout est permis !

J’ai beaucoup aimé ce film de Louis-Julien Petit avec Audrey Lamy, Corinne Masiero et Noémie Lvovsky (j'ai adoré le personnage de cette dernière !). Certaines femmes jouent leur propre rôle. JP a trouvé que cela n’apportait pas grand-chose de plus sur le sujet mais il ne s’est pas ennuyé non plus. Il y a 2 ou 3 scènes tournés sur mon lieu de travail. Cela fait bizarre !

Les actrices sont formidables et mettent tout leur talent au service de ce film bien documenté. La salle de cinéma était pleine et les gens ont applaudi. On sort de là en se demandant comment on peut aider !

Je classe ce film en 7ème position et lui donne 3 étoiles.

16 octobre 2018

Voyez comme on danse

Synopsis : Voyez comme ils dansent… Julien sent comme une présence hostile derrière lui en permanence. Alex, son fils apprend qu’Eva, lycéenne de 17 ans a oublié de le prévenir qu’il allait être père. La mère d’Eva, Véro, dans une sale passe depuis sa naissance pense  qu’elle va être obligée d’arracher le sac des vieilles pour nourrir le futur enfant. Elizabeth, dont le mari Bertrand s’est volatilisé, voit sa maison dévastée par une perquisition. Lucie exaspérée par les délires paranos de Julien, son mari, est au bord du burn out conjugal.
Serena, la maîtresse de Julien sent qu’il lui ment. Julien ne sent pas que Serena lui ment aussi. Loïc, fils ainé de Véro, seul élément stable de la bande ne l’est pas tant que ça.
Sans oublier un absent toujours très présent…

Il faut un peu de temps pour comprendre qui est qui et qui par rapport à qui. On suit les aventures de chacun avec une certaine bienveillance mais je serai incapable de raconter l’histoire et la finalité du film… Il y a de bonnes trouvailles dans les répliques et j’ai ri plusieurs fois. Après, je n’en garderai pas un souvenir impérissable.

Il y a beaucoup d’acteurs qu’on aime : Carole Bouquet, Karine Viard, Charlotte Rampling, Jacques Dutronc et William Lebghil (vu dans « Première année » où il était rayonnant).

Ce classe ce film de Michel Blanc en 42ème position et lui donne une étoile.

18 avril 2020

L'arracheuse de dents

Quatrième de couverture

Sous le plancher de sa maison de famille, un professeur retrouve par hasard les Mémoires inédits de son aïeule Lucile Bradsock, réfugiée en pleine Révolution française chez un célèbre dentiste parisien qui lui a appris le métier. Sa vie claque comme une épopée. Devenue l'une des premières femmes dentistes de l'Histoire, cette scandaleuse soigne Robespierre aussi bien que le fils du roi, avant de partir en Amérique sur un bateau négrier. Grâce à ses talents de praticienne et au fil de ses aventures entre les deux continents, Lucile rencontre Louis XVI, Washington, La Fayette ou Napoléon, tous décrits sous un jour inattendu. Prenant fait et cause pour les esclaves du Sud ou les Indiens de l'Ouest, ce Monte-Cristo en jupons cherche toujours à infléchir le cours de l'Histoire sans oublier de redresser les torts et de faire justice elle-même. Infatigable séductrice, Lucile Bradsock professe un goût immodéré de l'amour et des hommes. Sa devise : « Merci la vie ! ». Cette odyssée truculente est finalement un hymne à la joie.

Ce livre de Franz-Olivier Giesbert est un peu « too much » à mon goût. L’héroïne a rencontré tous les grands personnages historiques de France et des Etats-Unis de 1789 à 1876 : de Louis XVI à Washington, de Robespierre à Lafayette, de Napoléon à Red Cloud, de Fouché au Général Lee, de Charrette à Sheridan, et j’en passe énormément, … Il devient difficile de croire à cette multitude de rencontres qui ressemble davantage à un alibi de l’auteur pour relater et donner son point de vue sur les personnes et les événements de cette période. L’auteur a voulu tout traiter, trop sûrement et cela frise l'indigestion. Il y des moments où il digresse tellement sur un personnage historique que l'on perd presque le fil de l’histoire personnelle de l’héroïne.

Je classe ce livre en 416ème position et lui donne une étoile.

30 septembre 2019

La jeune fille sur la falaise

Présentation de l'éditeur :

En plein chaos sentimental, Grania Ryan quitte New York pour aller se ressourcer en Irlande, dans la ferme familiale. C'est là, au bord d'une falaise, qu'elle rencontre Aurora Lisle, une petite fille étrange qui va changer sa vie... En trouvant de vieilles lettres datant de 1914, Grania va découvrir le lien qui unit leurs deux familles depuis des années. D'une histoire d'amour impossible à Londres en temps de guerre à une relation compliquée dans le New York d'aujourd'hui, de la dévotion pour un enfant trouvé aux souvenirs oubliés d'un frère perdu, les destins des Ryan et des Lisle s'entremêlent tragiquement depuis un siècle. Mais quel est ce secret à l'origine de près de cent ans de chagrins ?

J’ai bien aimé ce livre de Lucinda Riley. Comme les précédents que j’ai lu de cette auteure, elle nous entraîne dans le temps et dans une longue saga familiale. Il y a des rebondissements inattendus et des choses un peu plus prévisibles mais globalement c’est un moment de lecture agréable. J’ai écrit au fur et à mesure pour m'y retrouver l’arbre généalogique avant que l’héroïne elle-même nous ne le propose 😉 et il n'y avait qu'une personne, dont elle n'avait pas encore parlée, qui n'y figurait pas.

JP m’a dit ce matin que nous n’avons pas le même cerveau. Cela serait trop « prise de tête » pour lui car il y a trop de personnages et il n’a jamais été très bon dans la généalogie… Pour la petite histoire, il n’a toujours pas terminé le livre qu’il a commencé pendant les vacances et qu’il avait choisi lui-même…

Je classe ce livre en 111ème position (sur 530) et lui donne 3 étoiles.

7 octobre 2020

Le jeu des garçons

Présentation de l'éditeur

Mathilde, Alice, Lucie et Éva nous ont ouvert la porte de La Cour des grandes. De leurs joies et peines à leurs pensées les plus intimes, nous avons tout appris de ces héroïnes du quotidien. Pendant une année entière, elles nous ont embarqués dans le tourbillon de leurs journées à cent à l’heure. Mais qu’en est-il des hommes qui ont lié leur destin au leur ? De Fred, le chef bourru secrètement amoureux d’Eva ; de Max, égaré dans la paternité autant que dans son couple et sa vie tout court ; de Christophe, en apparence si lisse et sûr de ses choix ; de Vincent, aux absences mystérieuses, d’Adrien, emporté par le démon de midi, et de Jacques, cet inconnu d’une nuit, que savons-nous finalement, si ce n’est ce qu’en perçoivent leurs compagnes ? D’ailleurs, que savent-ils de leur femme ? Comment vivent-ils leur paternité, leur place dans le couple ? Que ressentent-ils, ces hommes si peu enclins à la confidence, qui peinent à trouver leur place dans une société en pleine mutation ?

Ce livre d’Adèle Bréau est la suite de « la cour des grandes » qui s’arrête net dans l’histoire et qui nous oblige à télécharger la suite si on veut connaître ce qui arrive aux personnages. Comme je l’ai dit dans mon commentaire du tome précédent, j’ai moyennement apprécié le fait que ce ne soit pas indiqué quand on télécharge le premier qu’il y a une suite.

Pour ce livre « le jeu des garçons », on reprend l’histoire du point de vue des garçons. Enfin pas tout à fait là où on s’est arrêté mais bien avant. On a donc l’impression pendant une grande partie du livre de revivre les mêmes choses (même si c’est du côté des hommes). Ensuite, je trouve que tout le monde trompe tout le monde et c’est un peu décevant (à moins que ce soit la norme dans le Paris branché ??). Un point négatif aussi, c’est la longueur des chapitres (impossible la plupart du temps de s’arrêter à la fin d’un chapitre tellement ils sont longs). Et puis, le texte est dense, pas d’interligne pour aérer et rendre la lecture plus agréable.

Comme pour le premier tome, il y a des passages parfois un peu crus qui m’ont un peu déplus mais globalement on est très content (même si j'ai l'air négative) de retrouver les personnages qu’on a appréciés dans le premier tome et on n’a pas vraiment envie que ça s’arrête.  

Et là ? nouvelle surprise à la fin ? Il y a de nouveau une fin abrupte et une suite toujours pas indiquée dans le résumé du tome 2 !!  Retéléchargement pour connaître la suite et ce qui arrive aux personnages… moyennant de nouveau 8,49 euros.

J’ai donc téléchargé le tome 3, pour continuer le plaisir de partager le quotidien des personnages… en espérant que ce ne soit pas sans fin (même si je suis ravie de continuer à découvrir cette histoire).

Je classe ce livre en 35ème position et lui donne 3 étoiles (juste après le tome précédent car je n’arrive pas vraiment à les dissocier).

6 février 2021

L'hôpital maritime

Présentation de l’éditeur

Que nous reste-t-il à la fin ? Que se passe-t-il quand un homme disparaît ? Où vont ses souvenirs, les visages, les paroles, les silences qu'il a connus ? A l'hôpital maritime des vies s'achèvent. Les paysages, les vivants et les fantômes les veillent.

Bon, un peu tristounet ce livre de Pascal Ruffenach, poétique mais tristounet. Forcément, cela parle de la fin de vie, de la fin d’une vie. J’avoue, il m’a un peu perdue parfois avec ses métaphores et j’ai sûrement manqué des choses ou des idées.

Je classe ce livre en 470ème position (sur 610 que compte mon classement) et ne lui donne pas d’étoile.

11 septembre 2020

Le sourire des fées

Présentation de l’éditeur

" Rose l'a dit à Lou : il faut croire encore au bonheur. Elle a toujours eu le don pour apporter de la joie à partir de presque rien. Un joli paysage, une belle lumière, le parfum d'une pivoine, le goût du chocolat noir attrapé avec la langue sur le fouet à pâtisserie, un bon repas, un fou rire qui tire les larmes, respirer à pleins poumons, danser, jouer... Ce sont ces petites doses de bonheur à pratiquer au quotidien. C'est à cela qu'il faut s'accrocher. " Jamais il n'y a eu plus d'urgence à aimer.

Bon alors premièrement, la présentation de l’éditeur ne permet pas de savoir de quoi va parler ce livre de Laure Manel et elle ne dit pas non plus que c’est la suite de « la mélancolie du kangourou » (classé en 274ème position avec une étoile) mais j’ai reconnu les personnages dès les premières pages.

Deuxièmement, si la présentation de l’éditeur de « la mélancolie du kangourou » annonce la couleur en indiquant que cela commence par un deuil, pour « le sourire des fées » rien n’est dit sur le fait que cela ne parle pas moins de la fin de vie. Pour cela, je ne trouve pas que ce soit très honnête. Je sais bien qu’il ne faut pas tout raconter dans le résumé mais là, il y a limite tromperie.

Et puis, j’ai toujours du mal avec les suites, cette impression persistante que l’on veut surfer sur la vague du succès dans un but uniquement commercial…

Bref, déçue de ce livre car au démarrage, il ne se passe pas grand-chose sinon le fil des années qui passent et on tend le dos car on se doute bien qu’on ne fait pas un livre pour cela et qu’il va forcément y avoir un malheur pour contrer tout ce bonheur…

J’avais bien aimé du même auteur « la délicatesse du homard » classé en 36ème position avec 3 étoiles et un peu moins « l’embarras du choix » classé en 437ème position avec une étoile.

Je classe ce livre en 450ème position et ne lui donne pas d’étoile.

4 avril 2021

Le bleu du ciel

Présentation de l’éditeur             

Petitesannonces.fr : Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnon(ne) pour partager avec moi ce dernier périple. Émile a décidé de fuir l’hôpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre étonnement, il reçoit une réponse à cette annonce. Trois jours plus tard, devant le camping-car acheté secrètement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d’un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa présence. Ainsi commence un voyage stupéfiant de beauté. À chaque détour de ce périple naissent, à travers la rencontre avec les autres et la découverte de soi, la joie, la peur, l’amitié, l’amour qui peu à peu percent la carapace de douleurs d’Émile.

J’ai bien aimé ce livre de Melissa Da Costa, plein d’humanité et où l’on découvre les deux personnages principaux petit à petit, surtout celui de Joanne et on s’attache à elle. Sa façon de voir les choses est pure, pleine de bon sens, cela nous rappelle de profiter de l’instant présent, de manger en pleine conscience, de pratiquer la méditation, de faire attention à la nature, de la préserver. Leur périple nous permet également de découvrir des villages et des sites des Pyrénées.

Je classe ce livre en 119ème position et lui donne 3 étoiles.

8 avril 2021

La Datcha

Présentation de l’éditeur :

" L'homme venait de me déposer dans un décor de rêve, dont je n'aurais même pas soupçonné l'existence. L'hôtel en lui-même était imposant, majestueux ; les pierres, les grands volets, les immenses platanes tout autour de la cour, la fontaine couverte de mousse qui lui conférait un aspect féerique. Je ne tiendrais pas deux jours, je n'étais pas à ma place. Devais-je fuir immédiatement, retrouver ma vie d'errance dont je connaissais les codes, où je savais comment survivre, ou bien rester et tenter ma chance dans ce monde inconnu, étranger, mais qui exerçait sur moi une attraction aussi soudaine qu'incontrôlable ? "

J’ai bien aimé ce livre d’Agnès Martin-Lugand car les personnages sont attachants. J’ai été un peu surprise et/ou déçue au deuxième chapitre de sauter vingt années d’un coup. J’aurais bien aimé suivre les aventures de l’héroïne à son arrivée à l’hôtel, sur son apprentissage, sur le rapprochement avec Jo et Macha. Après, je trouve que « le secret » est un peu alambiqué et peu probable à mon sens. Comment se fait-il qu’elle n’en ai jamais entendu parler, pas une seule photo de cette époque ? Pas une seule personne qui aurait évoqué ces événements ? Quand je regarde les commentaires dithyrambiques de ce livre sur internet, personne n’évoque cet aspect des choses. Et la décision finale, pourquoi se compliquer la vie à ce point ? Je ne suis pas forcément adepte des romans à l’eau de rose, mais là, est-ce pour sortir un tome 2 dans quelque temps ??

C’est le sixième livre que je lis de cette auteure : « Désolée, je suis attendue » classé en 27èmeposition avec trois étoiles, « Les gens heureux lisent et boivent du café » classé en 192èmeposition avec 2 étoiles, « La vie est facile, ne t’inquiète pas » classée en 193ème position avec 2 étoiles, « Entre mes mains le bonheur se faufile » classé en 303ème position avec une étoile, « J’ai toujours cette musique dans la tête » classé en 313ème position avec une étoile,

Je classe ce livre en 278ème position et lui donne une étoile (la fin lui a fait perdre une voire deux étoiles).

12 avril 2021

Je ne cours plus qu'après mes rèves.

Présentation de l’éditeur

Je m'appelle Louane, j'ai dix-huit ans. Ma vie est facile, enfin, je l'ai cru ; je ne me suis jamais vraiment posé la question. Jusqu'au jour où... Je m'appelle Laurene, j'ai trente-neuf ans. J'ai cherché le bonheur et, en même temps, je l'ai fui dès qu'il s'approchait. Jusqu'au jour où... Je m'appelle Louise, j'ai soixante-dix-sept ans. Mon existence m'a comblée et a été d'une parfaite tranquillité. Jusqu'au jour où... Nous ne nous connaissions pas. Rien ne laissait prévoir l'aventure que nous allions partager. Nos vies allaient en être bouleversées. Trois femmes, trois solitudes, mais un point commun : elles ne veulent plus renoncer à leurs rêves.

J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes gentillet. On comprend le message, croire en ses rêves, oser s'affirmer et changer de vie si celle-ci ne nous rend pas vraiment heureux. On se doute un peu de ce qui va se passer, il n’y a pas vraiment de surprises dans ce roman. Les dialogues où Louane s'insurge sonnent faux. J’ai trouvé également des choses peu crédibles et je n'ai pas compris non plus que Louane et Laurene puissent laisser Louise au moment où elle aurait eu le plus besoin d’elles.

Du même auteur, j’avais lu « le secret de la montagne noire » classé en 443ème position avec une étoile. Je viens de relire le commentaire que j'avais fait de celui-ci (après avoir fait le commentaire de "je ne cours plus qu'après mes rêves") et j'avais écris "J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes un peu maladroit. L’histoire est gentillette et les dialogues sont parfois peu crédibles". Et bien voilà, quasiment tout pareil... 

Je classe ce livre en 494ème position et ne lui donne pas d’étoile.

18 avril 2021

Là où elle repose

Présentation de l’éditeur

À Ridgedale, petite ville aisée du New Jersey, le corps d'un bébé est retrouvé dans les bois voisins de l'université. Malgré toutes les rumeurs et les hypothèses que ne manque pas de susciter le drame, personne ne connaît l'identité de la fillette et encore moins les raisons de sa mort. Molly Anderson, journaliste indépendante récemment arrivée avec son mari et sa fille, est recrutée par le journal local pour couvrir le fait divers. Une affaire, pour la jeune femme, qui réveille un tourment douloureux. En effet, elle a perdu un bébé et ne s'est jamais vraiment remise de cette épreuve... Or, ses investigations vont mettre à jour certains secrets bien enfouis de cette petite communauté aux apparences si convenables.

J’ai bien aimé ce livre de Kimberly McCreight. Il y a plusieurs histoires en une, le personnage principal est attachant, il existe un lien entre le passé et le présent et on n’imagine pas la fin avant qu’elle ne nous soit racontée, ce qui est déjà une prouesse. Il y a juste un passage assez improbable (avec le collier) mais globalement l’ensemble se tient.

Je classe ce livre en 155ème position (sur 620) et lui donne 2 étoiles.

20 avril 2012

Des gens très bien

Alexandre Jardin nous parle de son grand-père appelé  « le Nain Jaune », qui  fut le directeur de Cabinet de Pierre Laval de mai 1942 à octobre 1943 ; autant dire que lors la rafle du Vél d’Hiv – à la mi-juillet 1942 – il était au cœur du pouvoir collaborateur.  Dans "Des gens très bien", Alexandre Jardin raconte les recherches qu'il a mené depuis l’âge de dix-sept ans, où il a commencé à comprendre ce que signifiaient les responsabilités de son grand-père, avant de s’interroger sur les chemins qui conduisent quelqu’un de bien à participer à l’horreur ; et à l’assumer sans jamais se renier.

C’est un livre inclassable. Alexandre Jardin ne supporte pas son hérédité et l’omerta de sa famille sur les actions de son grand-père lors de ses fonctions dans le gouvernement de Vichy. Il paraît entaché du rôle qu’a tenu son grand-père et semble expier tout au long du livre une faute qui n’est pas la sienne…

Alors qu’il apparaît comme ayant fait pas mal de recherches sur cette époque dramatique pour le sort de nombreux juifs, les 300 pages de ce livre comportent à mon sens, peu d'éléments sur les événements historiques en eux-mêmes et apparaît plutôt comme une longue lettre de commisération.

Inclassable mais tout de même classé en 83ème position et sans étoile. Il est d’ailleurs classé juste derrière « la femme gelée » et je leur trouve comme similitude un long apitoiement sur eux-mêmes même si leur sujet n’ont rien en commun.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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