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Le petit monde de So et de Fi
7 juin 2014

Le temps du secret

Présentation de l’éditeur

Anne est sur les traces du passé de sa mère qu'elle a perdue très jeune. Seule indice, une dédicace trouvée par hasard dans un vieux livre. De sa Belgique natale jusqu'aux coteaux des vignes d'Afrique du Sud, la jeune fille va parcourir le monde pour tenter de découvrir qui était cette maman si belle. Mais rien n'est simple, au fil de sa quête, Anne va découvrir de terribles secrets de famille, trouver l'amour, et voir se mêler le passé au présent. Une formidable histoire d'amour sur fond d'intrigue policière.

Que dire ? Bof, bof, bof.

Ayant beaucoup aimé « un genou à terre », j’ai regardé les livres que les lecteurs ayant aimé celui-ci ont également acheté. « Le temps des secrets » de Sacha Isaïn était classé dans « policier et suspense » mais je n’ai pas vu qu’il était classé également dans « lecture sentimentale ». Et dans ce livre là, on peut dire que le côté « sentimental » passe largement au-dessus du côté « policier ». Tous les clichés y passent, le coup de foudre (de la première rencontre à l’aéroport, le héros emmène l’héroïne directement chez lui), le premier baiser torride, les premiers ébats fantasmagoriques, l’argent qui ne manque pas, le mariage et le bébé dans la foulée. Quant à l’intrigue qui passe souvent au second plan (on passe des paragraphes entiers sans en parler), elle est tordue et décevante. Et puis, il y a aussi un truc agaçant, la répétition excessive de "la belle blonde" ou " la jeune belge" pour citer son personnage principal.

Je classe donc ce livre en 202ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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3 avril 2015

Le grand voyage de Juliette Le Goff

Quatrième de couverture

En février 1911, Juliette Le Goff, jeune Lorientaise de dix-huit ans, apprend que son frère Yvon, officier à bord d'un voilier, a disparu au large de l'Australie lors du naufrage de son navire. Contre toute logique, elle refuse de croire à cette disparition et se persuade que c'est à elle de mener les recherches. Se faisant passer pour un jeune garçon, elle parvient à s'embarquer à bord d'un cap-hornier. Après s'être confrontée à la dure vie des marins, à la rudesse des hommes, à la solitude et à la fatigue, elle est reconnue comme femme. A son arrivée à Valparaiso, elle s'enfuit en compagnie d'un matelot fidjien qui l'a prise en amitié et trouve refuge à la Casa de Amor, où elle devient joueuse de cartes professionnelle. Un aventurier américain accepte de l'emmener à bord de sa goélette, le Sea Falcon. Mais l'homme est assassiné par ses officiers de bord et Juliette, accusée du meurtre, s'échappe dans une chaloupe jusque sur l'une des îles Salomon. Elle y fait la connaissance de Tom Cowan, planteur irlandais qui vit seul en compagnie d'indigènes à peine civilisés. Juliette pourrait s'installer dans une nouvelle vie. Mais une dernière fois elle repart sur les traces de son frère.

« Le grand voyage de Juliette Le Goff » d’Hugues Douriaux m’a beaucoup plu. On suit les trépidations de la jeune bretonne avec plaisir. Grâce à son fort tempérament et sa volonté, elle s’impose et prouve sa valeur au sein d’un monde d’hommes.

Je classe ce livre en  69ème position et lui donne deux étoiles.

20 avril 2015

Newletters et commentaires

Si vous êtes un lecteur régulier (ou lectrice :o) !) de mon blog, si vous appréciez celui-ci et si vous souhaitez être informé(e)s de mes nouvelles publications, sachez que vous pouvez entrer votre adresse mail dans « newsletter » (colonne de droite du blog) et cliquer sur "m'abonner", vous recevrez ainsi un mail avec le lien d’accès direct à chaque fois que j’écrirai un nouveau billet.

N’hésitez pas non plus à me laisser un commentaire. Créer un blog n’a de sens que s’il est lu et quoi de mieux qu’un retour écrit du lecteur !! J'adore ça :o) !

13 juillet 2016

N'oublier jamais

"Vous croisez au bord d'une falaise une jolie fille ? Ne lui tendez pas la main ! On pourrait croire que vous l'avez poussée." Il court vite, Jamal, très vite. A cause de sa prothèse à la jambe et autres coups du sort, il a un destin à rattraper. A Yport, parti s'entraîner sur la plus haute falaise d'Europe, il a d'abord remarqué l'écharpe, rouge, accrochée à une clôture, puis la femme brune, incroyablement belle, la robe déchirée, le dos face au vide, les yeux rivés aux siens. Ils sont seuls au monde ; Jamal lui tend l'écharpe comme on lance une bouée. Quelques secondes plus tard, sur les galets glacés de la plage déserte, gît sous les yeux effarés de Jamal le corps inerte de l'inconnue. A son cou, l'écharpe rouge. C'est la version de Jamal. Le croyez-vous ?

Comme le précédent livre de Michel Bussi, j’ai eu les 200 premières pages difficiles (sur les 543 que compte l’ouvrage). L’intrigue est un peu longue à se mettre en place mais après c’est assez génial et particulièrement bien construit. On ne découvre la vérité qu’à la toute fin car l’auteur sait nous lancer sur de fausses pistes. Et cette fois pas d’interrogations en suspens, tout est clair et bien ficelé.

Je classe ce livre en 54ème position et lui donne 3 étoiles.

16 juillet 2016

La solitude du gilet jaune

Présentation de l’éditeur

En se rendant à son travail chez Poplait, géant du yaourt, une jeune femme dynamique est obligée de faire une pause dans sa vie tourmentée car un pneu de sa voiture a crevé. En retard pour une réunion capitale, elle est condamnée à attendre sur un bord de route en portant le gilet jaune réglementaire. Pourtant, rien ne se passe comme prévu : le dépanneur tarde, les rencontres improbables s'enchaînent et ne se ressemblent pas. Un clochard-philosophe, une mamie fan de vodka, un neurochirurgien croisent son chemin pour le meilleur... ou pour le pire. Pendant que son ami Marc fait tout pour empêcher la terrible Agnès de lui voler son travail et Gladys sa patronne cyclothymique de la renvoyer, elle est témoin d'un étrange événement qui pourrait bien renverser l'avenir de Poplait et peut-être même le sien. Une panne et un gilet jaune peuvent-ils vraiment changer votre vie ?

L’idée de départ de Zoé Brisby est bonne. Le personnage principal tombe en panne, revêt son gilet jaune et attend la dépanneuse. Sauf que s’ensuit toutes une série de rencontres, plus improbables les unes que les autres : Le gamin de 10 ans en vélo qui lui cite Aristote ou Churchill, le professeur de philo qui a décidé de devenir SDF, la mamie qui se trimbale avec son thermos de vodka, les gendarmes qui font tout sauf l’aider, le détective privé, son ex, …

Et puis, si vous crevez en voiture, quel est votre premier réflexe ? Changer la roue non ? Et bien, elle, non. Elle appelle la dépanneuse. Il faut attendre qu’un homme s’arrête pour vérifier qu’elle a une roue de secours…

Et puis encore, le papa qui surgit de sa boîte après 25 ans de disparition et la fusion des deux entreprises réglée en une heure, c’est encore plus improbable…

Il y a pourtant de bonnes trouvailles et de l'humour mais le tout est un peu trop simpliste.

Je classe ce livre en 259ème position et lui donne une étoile

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21 juillet 2016

Celui que je rêvais d'être

Présentation de l’éditeur

Quel a été le chemin parcouru par Laurent Ournac avant de devenir l’une des personnalités préférées des français ?Dès son plus jeune âge, il se découvre une passion : la comédie. Son but ? Faire rire les gens. C’est donc avec humour et sincérité que la star de Camping Paradis nous dévoile les joies, les déboires et les rencontres qui ont ponctué sa vie professionnelle et personnelle. Sans complexe, il partage avec nous ses difficultés pour perdre du poids jusqu’à cette prise de conscience où maigrir était devenu une question de survie. La sleeve gastrectomie, opération chirurgicale encore peu connue en France, lui permettra d’atteindre cet objectif. Un témoignage qui nous entraîne dans l’intimité de l’acteur, depuis son enfance à aujourd’hui.

Laurent Ournac raconte sa jeunesse, son accession à la notoriété grâce à sa volonté farouche de devenir acteur. Il explique la prise de poids progressive, les régimes qui ne fonctionnent pas jusqu’à arriver à peser 146 kilos pour 1m77. Il découvre sur internet la possibilité de se faire opérer. Il prend RV avec un spécialiste qui lui explique les 3 possibilités (anneau gastrique, by-pass ou sleeve gastrectomie). S’ensuit un parcours médical aidé d’une psychologue et d’une diététicienne. L’opération fonctionne et il perd même davantage qu’il n’espèrait puisqu’il atteint 84 kilos.

C’est écrit dans des mots simples. Il souhaite se montrer tel qu’il est et montrer qu’il est le même avec ou sans les kilos mais que sans c’est mieux car il peut faire de nouveau plein de choses qui posaient problème en tant qu’obèse.

Tout s’est super bien passé pour lui. Parfois, c’est beaucoup plus compliqué, comme pour notre amie Flo mais à présent tout est rentré dans l’ordre et c’est très bien ainsi !

Je classe ce livre en 208ème position et lui donne une étoile.

12 septembre 2023

Chaleur humaine

Présentation de l’éditeur :

Ceci est un roman total. Entrelaçant l’histoire du monde et une histoire de famille, il embrasse notre présent et nos fautes passées. En quelques semaines, du début du mois de janvier 2020 à la fin du mois de mars, le quotidien d’une famille française va basculer en même temps que l’humanité. Fuyant le confinement urbain, Vanessa, Caroline et Agathe se réfugient aux Bertranges, une ferme du Lot entre les collines et la rivière, où leurs parents vivent toujours. Les trois sœurs y retrouvent Alexandre, ce frère si rassurant avec qui elles sont pourtant en froid depuis quinze ans, ainsi que des animaux qui vont resserrer les liens du clan. Tandis que, du dérèglement climatique aux règlements de compte, des épidémies aux amours retrouvées, la nature reprend ses droits, ces hommes et ces femmes vont vivre un huis clos d’une rare intensité.

Ce livre de Serge Joncour est la suite de « Nature humaine » que j’ai lu juste avant. En fait, j’ai entendu à la radio qu’il parlait de « Chaleur humaine » comme étant la suite de « Nature humaine » et donc j’ai voulu commencer par le début, logique.

J’ai préféré le deuxième livre car le premier fait un peu le tour de toutes les catastrophes climatiques, de pollution nucléaire ou marée noire de 1976 à 1999. Je l’ai trouvé un peu long et plombant, même si je suis d’accord pour dire que si les anciens faisaient d’une certaine façon, c’est qu’il y avait de bonnes raisons.

Dans ce deuxième livre, il est davantage question des personnages et notamment d’Alexandre, agriculteur qui persiste à vouloir faire « comme avant » dans le respect de sa terre et de ses bêtes. Cela se passe en 2020 au moment de la montée de la Covid et du confinement.

Je classe ce livre en 267ème position et lui donne 2 étoiles.

16 septembre 2023

Vivre avec son passé

Présentation de l’éditeur :

Comment faire de notre passé une force d'avenir ?Enfance, éducation, souvenirs heureux ou traumatiques : notre passé ne passe pas. Il est toujours présent. Il nous appartient alors d'établir une relation apaisée et féconde avec notre mémoire. Celle-ci n'est pas, comme on le pense souvent, un stock de données. Les neurosciences nous apprennent, au contraire, que la mémoire est dynamique, mouvante. Nos souvenirs ne sont pas figés, ils s'apparentent à une partition à interpréter. Notre rapport au passé doit être repensé. En convoquant sciences cognitives, nouvelles thérapies, sagesses antiques et classiques de la philosophie, de la littérature ou du cinéma, Charles Pépin nous montre que nous pouvons entretenir un rapport libre, créatif, avec notre héritage. Notre bonheur dépend de notre capacité à bien vivre avec notre passé. Cet essai lumineux nous donne les clés pour y parvenir.

Voici un livre intéressant de Charles Pépin sur la manière de « gérer » notre passé. L’auteur commence par nous décrire les différentes mémoires (épisodique, sémantique, procédurale, de travail et sensorielle).

Il présente ensuite le passé comme le socle de notre identité. Il dit que tourner le dos à son passé ou vouloir l’oublier n’est pas la solution car l’évitement ne permet que de reculer et pas de sauter.

Il propose 3 façons d’intervenir dans ses souvenirs pour modifier la perception que l’on en a :

-          Comparer le mauvais souvenir avec un autre souvenir où la même action n’a pas eu le même effet pour changer la règle de vie implicite que l’on a établie

-          Se remémorer régulièrement ce mauvais souvenir à la manière des stoïciens (dans le cadre d’un traumatisme) afin de ne pas pratiquer l’évitement ou le ressassement qui serait contreproductif et pourrait générer un rebond non souhaité à des moments non désirés

-          Reparentaliser le souvenir en faisant intervenir un personnage fictif parlant à la personne associée à ce mauvais souvenir comme l’aurait fait un parent protecteur

Revivre les souvenirs heureux, pas seulement les souvenirs douloureux.

Vivre des moments heureux, qui deviendront à leur tour des souvenirs heureux et relègueront au second plan les souvenirs malheureux.

Pardonner aux autres mais également se pardonner à soi-même. "En refusant le pardon, nous maintenons ouverte la blessure en nous et nous nous interdisons le plaisir de vivre, annihilons notre capacité à nous projeter pleinement vers l'avenir. Et nous risquons, épuisés par cette rancoeur tenace, de sombrer dans la dépression."

En cas de deuil, les phases de déni, de sidération et de colère sont normales et indispensables pour ensuite entretenir avec le disparu un lien intérieur.

Quelques extraits :

"Dans les valeurs auxquelles nous croyons, dans ce qui nous importe plus que tout, persiste la marque de notre milieu social, de notre éducation, de nos rencontres les plus décisives."

"Tout ce que nous sommes, nos qualités comme nos défauts, nous goûts et nos dégoûts, nos rêves et ambitions, mais aussi nos peurs, nos angoisses, nos joies comme nos peines, nos réactions, notre vision du monde, et bien sûr nos habitudes : tout cela procède de notre passé. En en tout cela, notre passé est présent. On le croyait derrière nous : il ne cesse de faire signe."

"On accablait son père, on se découvre injuste. On idéalisait ses parents, on les regarde avec une lucidité nouvelle. On se voyait aîné exemplaire, protecteur attentionné, on se sait maintenant également jaloux, blessé par l'arrivée d'un plus petit."

"Comment revenir sur son passé sans s'enfermer dans le ressassement ?"

"Freud est un pionnier. Il est le premier à avoir donné un cadre théorique d'envergure à cette idée : notre premier univers social - notre famille, notre rapport à nos parents, notre place dans la fratrie... - influence pour notre vie entière notre rapport aux autres, au monde."

« Le deuil est en cours lorsque l’on réussit à faire résonner dans le monde extérieur cette relation intérieur. Cette conscience de la mort peut nous aider à mieux distinguer l’essentiel, à apprécier pleinement chaque seconde de notre existence. »

« C’est en faisant le deuil d’hier que nous pouvons nous épanouir au présent : il nous faut accepter la fin de ce qui a été en trouvant comment prolonger l’histoire que l’on écrit. Si la vie nous a apporté son lot de tracas, de désillusions ou de maladies, elle nous a aussi délivré ses leçons de sagesse. »

« Si tant vieillissent mal, c’est qu’ils vivent non avec leur passé, mais dans leur passé. »

« Nous pouvons bien vieillir, la vieillesse peut même être une des plus belles aventures de notre vie, et la route qui y conduit est celle que nous avons essayé de dessiner durant toute notre réflexion : mieux nous vivrons avec notre passé, à la bonne distance, dans un dialogue ouvert avec lui, mieux nous vieillirons. »

« Le vieux con gonflé d’orgueil et celui qui se vit en victime se ressemblent plus qu’ils ne le pensent : leur passé prend trop de place. L’un se vante, l’autre se lamente, mais aucun d’eux ne parvient à aimer le présent, a forciori à se lancer dans des projets, pour soi ou pour ses proches. »

Je conseille de lire ce livre. Pour ma part, il a remué des choses en moi et la perception même de certains souvenirs.

Je classe ce livre en 97ème position et lui donne 3 étoiles.

18 juin 2023

ClassBook

Lorsque l'on a fait la brocante dernièrement, une dame qui m'a acheté des livres m'a parlé d'un groupe facebook "Les mordus de lecture" où les membres du groupe font part de leur lecture. Je m'y suis inscrite. 

C'est là que j'ai vu qu'il existe des applications pour enregistrer tous les livres de sa bibliothèque.

J'ai fait une recherche pour savoir quelle application était la plus adaptée à mon utilisation et j'ai choisi ClassBook que j'ai téléchargée sur mon iphone.

J'ai passé une première semaine (matin, midi et soir) à rentrer tous les livres de mon classement (770 livres), soit en scannant le code barre quand je les avais physiquement à la maison, soit en rentrant le numéro ISBN lorsque je les ai sur ma liseuse.

J'ai passé une deuxième semaine à rentrer les commentaires que j'ai faits sur chaque livre en les récupérant sur ce blog.

Ce qui me plaît dans l'application :

- la saisie à la volée des numéros ISBN (même s'il faut y revenir ensuite pour enregistrer les données personnelles : date de lecture, emplacement, classement, ...)

- pouvoir chercher un livre par son nom, son auteur et s'apercevoir par exemple que j'ai lu à des années d'intervalle plusieurs livres d'un même auteur sans avoir fait le rapprochement.

- avoir des statistiques (nombre de livres lus par an, nombre de pages (!), auteurs les plus lus, ...)

- pouvoir filtrer par date, par auteur, par classement, par emplacement, par date, ...

- pouvoir indiquer les prêts de livre et avoir un notification régulière pour relancer la personne (le nombre de livres prêtés et jamais rendus !)

- savoir où est un livre physiquement dans la maison (salon, bibliothèque, liseuse, ...)

- pouvoir vérifier avant un achat (à la Fnac par exemple) que l'on n'a pas déjà lu le livre (cela m'est déjà arrivé)

- pouvoir extraire un fichier excel avec l'ensemble des informations que l'on a rentrées (nom, auteur, date lecture, résumé, commentaire, ...). Seul hic, tous les lettres avec accents é è à ù ' sont remplacées par des symboles. Il faut faire rechercher/remplacer pour que tous les mots soient lisibles.

Ce qui me plaît un peu moins :

- quand on saisi le numéro ISBN, l'appli devrait nous indiquer que le livre est déjà dans la bibliothèque, pas seulement au moment où on a tout complété et que l'on valide

- il faut faire 4 clics avant de saisir un numéro ISBN

- J'avais un classement de 3 étoiles, 2 étoiles, 1 étoile, pas d'étoile, un moins, deux moins, j'ai dû l'adapter à 5 étoiles, 4 étoiles, 3 étoiles, 2 étoiles, 1 étoile, pas d'étoile. On devrait pouvoir choisir son type de classement.

- En plus de mes étoiles, je classais mes livres "à l'intérieur des étoiles", le 1 était mon préféré, puis 2 puis 3, puis 770 étant mon "pire" livre. Dans l'application, pas de détail, tous les 5 étoiles sont sur le même niveau.

- pour saisir la date, il faut glisser vers le bas, pas gênant quand on saisi un livre, plus long quand on saisi l'ensemble de la bibliothèque

- si on lit un livre deux fois, pas de possibilité de mettre deux dates

- il n'y a pas de filtre si pas de date de lecture (avant le démarrage de mon classement en 2009 : pas de date). De ce fait, il n'y a pas de filtre si pas de date, uniquement lu/pas lu.

Mais bon, globalement je suis très contente de cette application.

Pour l'instant, je vais continuer à classer dans mon ficher excel habituel, même si je me suis rendue compte que le classement 1, 2, 3 ... a ses limites puisqu'au fur et à mesure le classement change puisque j'intercale des livres.

Ce travail d'enregistrement m'a donné envie de relire certains livres.

Je m'aperçois que je ne suis pas toujours tendre dans mes commentaires...

28 mars 2023

La maison de l'orchidée

Présentation de l'éditeur

Julia Forrester n’a jamais oublié les étés idylliques de son enfance, passés à arpenter la somptueuse propriété où son grand-père prenait soin des plantes exotiques, si rares dans cette région du Norfolk. Aussi est-ce tout naturellement qu’elle vient y chercher refuge après le terrible drame qui a bouleversé sa vie. Mais si ces terres sont chargées de souvenirs, Julia ne tarde pas à découvrir qu’elles abritent aussi bien des secrets. C’est dans le journal intime tenu dans les années 1940 par son aïeul qu’elle perce peu à peu le mystère d’une histoire d’amour qui a presque détruit le domaine plus de cinquante ans auparavant… 

De Lucinda Riley, j’ai lu la saga des 7 sœurs, un livre par sœur, sauf qu’on n’a jamais vraiment eu la fin, vu que l’auteure est décédée et que le 7ème livre ne révèle pas le fin mot de l’histoire.

Je suis assez déçue de ce livre, tout est prévisible. J’ai su ce qu’il allait se passer bien avant les personnages… En plus, il y a beaucoup d’invraisemblances : Kit s’installe chez Julia le temps de sa forte grippe alors qu’ils ne se sont vus que deux fois en 15 ans, quid de la ressemblance frappante entre les protagonistes qui n’éveille aucun soupçon et ce secret de famille si commun ? et que dire du revenant un an après !?!

Ici encore, les héros ont été marqués par des drames (Harry, Lidia, Julia, Kit, …), a priori, pas d’histoire si pas de drame vécu dans l’enfance ou dans la jeune vie d’adulte.

Enfin bref, « le phénomène international » ne m’a pas convaincue du tout.

Je classe ce livre en 572ème position et ne lui donne pas d’étoile.

25 septembre 2023

Ce que les étoiles doivent à la nuit

Présentation de l’éditeur :

Il n'y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous. C'est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu, elle rencontre M. Etchegoyen, dandy insaisissable et plein de panache, qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever : faire de sa gargote une adresse gastronomique. Mais Peyo, le chef, ne voit pas arriver cette étrangère d'un bon oeil. L'un et l'autre vont devoir s'apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.

J’ai déjà lu 3 livres de cette auteure : « Les demoiselles » classé en 98ème position avec 3 étoiles (« Ce que les étoiles doivent à la nuit » est plus ou moins une suite de celui-ci), « même les méchants rêvent d’amour » classé en 332ème position avec 2 étoiles, et « le bonheur n’a pas de ride » classé en 451ème position avec une étoile.

J’ai apprécié ce livre d’Anne-Gaëlle Huon de plus en plus au fur et à mesure de la lecture. En fait, au début, j’ai eu du mal avec ces aller-retours dans le passé. J’avais davantage envie de suivre la vie de Liz plutôt que celle de sa mère. Et puis, je suis un peu déçue de la fin, un peu rapide, un peu bâclée car les problèmes de Liz se résolvent en quelques lignes, cela paraît un peu trop simpliste.

Je classe ce livre en 282ème position et lui donne 2 étoiles.

15 juillet 2023

Le bonheur se moque bien des saisons

Présentation de l’éditeur :

Après la lecture d’une petite annonce, Marie quitte brutalement son Alsace natale pour venir s’installer à Arcachon. Elle souhaite s’éloigner de son passé, oublier la double trahison de son mari et repartir de zéro pour se construire une nouvelle vie. Très vite, elle rencontre son voisin de palier, Maxime, qui vit avec Antonin, son neveu de treize ans. Si elle apprécie la serviabilité du premier et la gentillesse du second, elle n’en reste pas moins sur la défensive et cherche à garder ses distances. Pour Marie, trop de choses les opposent et les rapprochent à la fois, elle veut à tout prix éviter de s’attacher. Mais la pugnacité du jeune homme et le sourire du garçon pourraient bien venir à bout des réticences de son cœur malmené…

Alors, c’est une nouvelle et pas un roman, donc forcément c’est un peu court. Il y avait matière à nous en raconter davantage (ou alors c’était un roman qu’on a divisé en 3 puisqu’il y a 3 tomes). Bref, oui, mais j’ai quand même bien aimé. La personnalité de Marie en fait un personnage attachant tout comme celles de Maxime et d’Antonin.

Je classe ce livre en 355ème position et lui donne 1 étoile.

13 octobre 2023

Intuitio

Présentation de l’éditeur :

Timothy Fisher, jeune auteur de polar, mène une vie tranquille dans une rue du Queens à New York, avec son chat Al Capone. Quand deux agents du FBI se présentent à sa porte pour lui demander de les aider à arrêter l’homme le plus recherché du pays, il croit d’abord à une plaisanterie. Mais après un moment de rejet, il finit par accepter leur étrange proposition : rejoindre un programme secret visant à former des intuitifs, des personnes capables d’accéder à volonté à leurs intuitions. D’abord sceptique, Timothy, qui croyait avoir une existence banale, découvre que le monde cache des possibilités insoupçonnées. Il se retrouve embarqué dans une course contre la montre qui le conduit à apprivoiser ce pouvoir méconnu mais accessible à tous, un pouvoir qui nous montre la vie telle qu’elle est véritablement : extraordinaire.

J’ai déjà lu 5 livres auparavant de Laurent Gounelle : « Le jour où j’ai appris à vivre » classé en 71ème position avec 3 étoiles, « les dieux voyagent toujours incognito » classé en 86ème position avec 3 étoiles, « Et tu trouveras le trésor qui dort en toi » classé en 196ème position avec 2 étoiles, « Le philosophe qui n’était pas sage » classé en 519ème position avec 1 étoile et « l’homme qui voulait être heureux » classé en 718ème position sans étoile.

Pour ce dernier livre, j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire mais j’ai dévoré la fin. L’anti-héros devient héros petit à petit en se faisant confiance ainsi qu’à son intuition. Quant aux techniques utilisées pour développer son intuition, cela me laisse un peu perplexe et sujet à interprétation mais selon l’auteur, cela fonctionne…

Je classe ce livre en 145ème position et lui donne 3 étoiles.

6 septembre 2023

La nature humaine

Présentation de l’éditeur :

La France est noyée sous une tempête diluvienne qui lui donne des airs, en ce dernier jour de 1999, de fin du monde. Alexandre, reclus dans sa ferme du Lot où il a grandi avec ses trois sœurs, semble redouter davantage l’arrivée des gendarmes. Seul dans la nuit noire, il va revivre la fin d’un autre monde, les derniers jours de cette vie paysanne et en retrait qui lui paraissait immuable enfant. Entre l’homme et la nature, la relation n’a cessé de se tendre. À qui la faute ?
Dans ce grand roman de « la nature humaine », Serge Joncour orchestre presque trente ans d’histoire nationale où se répondent jusqu’au vertige les progrès, les luttes, la vie politique et les catastrophes successives qui ont jalonné la fin du XXe siècle, percutant de plein fouet une famille française. En offrant à notre monde contemporain la radiographie complexe de son enfance, il nous instruit magnifiquement sur notre humanité en péril. À moins que la nature ne vienne reprendre certains de ses droits…

Personnellement, je me suis ennuyée avec ce roman de Pierre Joncour. Pourtant, j’aime plutôt bien ses livres habituellement : « Chien-loup » classé en 151ème position avec 3 étoiles, « L’amour sans le faire » classé en 317ème position avec 2 étoiles, « Repose toi sur moi » classé en 357ème position avec 1 étoile mais aussi « L’idole » classé en 745ème position avec un « moins ».

L’auteur commence par la sècheresse de 1976, en passant entre autres par la construction des centrales nucléaires, l’accident de Tchernobyl, la catastrophe de l’Erika et finit avec la tempête de 1999.

Tout cela n’est pas très réjouissant et donne le ton du livre.

En plus, le héros, Alexandre, attend désespérément que l’amour de sa vie décide de le rejoindre…

Bref, c’était long…

Il y a une suite qui vient de paraître, je suis sûrement un peu tordue mais je vais peut-être la lire...

Je classe ce livre en 601ème position et ne lui donne pas d’étoile.

24 septembre 2023

La petite

Synopsis :

Joseph apprend que son fils et le compagnon de celui-ci viennent de périr dans un accident. Ils attendaient un enfant via une mère porteuse en Belgique. Le sexagénaire part à la rencontre de la jeune flamande au caractère farouche et indomptable…

Alors, petit mari et moi sommes sortis de la séance un peu déroutés, sans savoir trop quoi penser de ce filmde Guillaume Nicloux. On n’a rien à reprocher à Fabrice Lucchini où à Mara Taquin qui sont parfaits mais voilà, on n’a pas vraiment accrochés au scénario. Difficile alors de donner un avis ou de classer ce film. On n’a pas trouvé cela bouleversant comme annoncé, donc forcément un peu déçus.

Je classe ce film en 199ème position et ne lui donne pas d’étoile.

27 septembre 2023

La nuit imaginaire

Quatrième de couverture :

"L'automne. J'y décelais une invitation inédite à remettre à l'heure les aiguilles de mon présent. Après l'hiver, plus rien ne serait jamais figé". Un étudiant sans véritables attaches, plus enclin à rêver sa vie qu'à la vivre, se prend la réalité de plein fouet quand sa tante lui révèle les circonstances précises du suicide de sa mère un matin de septembre gare de Lyon. Il avait six ans alors. Cette annonce l'expulse de son quotidien immobile et l'ébranle : mais que faire d'une vérité pareille ? Chercher à la comprendre en rencontrant quelques vieilles amies qui ont connu sa mère à l'époque ? Chercher à s'en éloigner en franchissant une frontière, celle de la boîte du Hangar, où les fantasmes de garçons s'assouvissent enfin loin et tard dans la nuit ? Tout est soudain possible ou nécessaire dans ce Paris qu'il traverse comme on traverse le passé. Il est peut-être temps de quitter les nuits imaginaires et d'avoir le courage de se jeter "pour la beauté du geste, la tête la première dans le grand bain".

Franchement, j’ai trouvé ce livre d’Hugo Lindenberg très pénible à lire. J’en ai entendu parler sur RTL où Laurent Ruquier l’interrogeait. Et je n’ai pas vraiment reçu le témoignage de l’auteur sur le suicide de sa mère comme Laurent Ruquier l’a présenté.

Je m’attendais à une sorte de remontée à la source pour comprendre le pourquoi de ce geste en rencontrant les personnes l’ayant connu à cette époque. Alors, certes oui, il rencontre Suzy Zaltmman, Gloria et Ibrahim Gabbai mais ils ne lui apportent pas vraiment de réponses. La majeure partie du livre est consacrée aux nuits de débauche au Hangar où il a des rapports sexuels avec des tas de garçons (sans protection bien évidemment), ou alors il va à des fêtes où il s’ennivre systématiquement.

Alors, non, je n’ai pas aimé ce livre, d’autant plus qu’il m’a fallu souvent relire des paragraphes car il est facile de perdre le fil de sa pensée tellement il s’éparpille dans tous les sens.

Je classe ce livre en 733ème position et lui donne un moins.

4 janvier 2024

La ferme du bout du monde

Présentation de l’éditeur :

Cornouailles, une ferme isolée au sommet d’une falaise. Battus par les vents de la lande et les embruns, ses murs abritent depuis trois générations une famille… et ses secrets. 1939. Will et Alice trouvent refuge auprès de Maggie, la fille du fermier. Ils vivent une enfance protégée des ravages de la guerre. Jusqu’à cet été 1943 qui bouleverse leur destin. Été 2014. La jeune Lucy, trompée par son mari, rejoint la ferme de sa grand-mère Maggie. Mais rien ne l’a préparée à ce qu’elle y découvrira. Deux étés, séparés par un drame inavouable. Peut-on tout réparer soixante-dix ans plus tard ? Destinées prises dans les tourments de la Seconde Guerre mondiale, enfant disparu, paysages envoûtants de la Cornouailles.

J’ai bien aimé ce livre de Sarah Vaughan même si les évènements sont un peu trop prévisibles. La description de la ferme isolée dans le Cornouailles au bord de la falaise en plein vent donne envie de la découvrir, nous (petit mari et moi), qui adorons les coins isolés… L’histoire de Maggie et de sa famille est faite de joies et de peines, de secrets aussi. Les chapitres alternent entre la vie de Maggie et celle de sa petite-fille Lucy.

Je classe ce livre en 216ème position et lui donne 2 étoiles.

12 novembre 2023

La passion de Dodin Bouffant

Synopsis : Eugénie, cuisinière hors pair, est depuis 20 ans au service du célèbre gastronome Dodin. Au fil du temps, de la pratique de la gastronomie et de l'admiration réciproque est née une relation amoureuse. De cette union naissent des plats tous plus savoureux et délicats les uns que les autres qui vont jusqu’à émerveiller les plus grands de ce monde. Pourtant, Eugénie, avide de liberté, n’a jamais voulu se marier avec Dodin. Ce dernier décide alors de faire quelque chose qu’il n’a encore jamais fait : cuisiner pour elle.

Très déçue par ce film de Tran Anh Hing. Il ne se passe pas grand-chose. On regarde des gens cuisiner et manger pendant une heure et demie, pour une misophone comme moi, cela a été un peu compliqué. J’ai trouvé cela trop long malgré les belles interprétations de Juliette Binoche et de Benoît Magimel.

Je classe ce film en 136ème position et ne lui donne pas d’étoile.

24 septembre 2023

Toni en famille

Synopsis :

Antonia, dite Toni, élève seule ses cinq enfants. Un job à plein temps. Elle chante aussi le soir, dans des bars, car il faut bien nourrir sa famille. Toni a du talent. Elle a enregistré un single qui a cartonné. Mais ça, c’était il y a 20 ans. Aujourd’hui ses deux aînés s’apprêtent à rejoindre l’université. Alors Toni s’interroge : que fera-t-elle quand toute sa progéniture aura quitté le foyer ? A 43 ans, est-il encore temps de reprendre sa vie en main ?

Ce film de Nathan Ambrosioni nous a fait passer un bon moment (on a déjà réussi à ne pas s’endormir alors que c’était l’heure de la sieste !). Camille Cottin est très juste dans son rôle de maman solo d'une famille nombreuse, Léa Lopez est également une jolie découverte. On retrouve aussi les réflexions des ados qui peuvent parfois être super blessantes…

Je classe ce film en 89ème position et lui donne une étoile.

19 août 2023

Né sous une bonne étoile

Sans être vraiment fâché avec l’école, Gustave peine à y trouver sa place. En classe, il observe les oiseaux dans la cour, rêvasse, scrute les aiguilles de la pendule. Il aimerait bien rapporter des bonnes notes à sa mère au lieu des habituelles convocations du directeur. Pourtant, Gustave est travailleur. Il passe beaucoup de temps sur ses devoirs, mais les leçons ne rentrent pas. Certains enseignants commencent même à le prendre en grippe et à le croire fainéant. Et à force d'entendre qu'il est un cancre, Gustave finit par s'en convaincre. Jusqu’à ce qu’une rencontre vienne changer le cours des choses…

J’ai bien aimé ce livre d’Aurélie Valogne que m’a conseillé ma belle fille Aurélie.

J’ai déjà lu quatre livres de cette auteure : « Minute papillon », classé en 288ème position avec 2 étoiles, « la cerise sur le gâteau » classé en 425ème position avec 1 étoile, « Nos adorables belles-filles » classées en 427ème position avec 1 étoile, et « mémé dans les orties » classé en 434ème position avec 1 étoile.

Au départ, j’ai cru que cela allait tourner au harcèlement scolaire, sujet beaucoup trop abordé par les écrivains contemporains en ce moment je trouve, mais c’est en fait de décrochage scolaire dont il est question. Le fait que l’école ne s’adapte pas à tous les profils et qu’elle laisse parfois de côté des élèves aux intelligences ou centres d’intérêt différents.

On s’attache à Gustave et même à sa sœur Joséphine, excellente élève de son côté, qui paraît insensible à ceux qui l’entoure, mais finalement pas tant que ça.

Je classe ce livre en 273ème position et lui donne 2 étoiles.

3 décembre 2023

J'irai là où tu iras

Présentation de l’éditeur :

Isabelle a 32 ans, un chihuahua nain prénommé Woody-Allen et une carrière d’actrice comparable à celle du Titanic : catastrophique. Le jour où elle refuse d’épouser l’homme qu’elle aime, sous prétexte qu’elle ne veut pas d’enfant, elle se retrouve à la rue. Elle accepte alors le seul rôle qu’on lui propose : se faire passer pour l’irréprochable nanny du petit Nicolas, qui n’a pas prononcé un mot depuis la mort de sa mère, afin d’infiltrer sa famille et d’y exécuter une étrange mission. Elle part donc pour l’Italie, dans la maison de vacances familiale, loin d’imaginer à quel point la rencontre avec ce petit garçon blessé par la vie va bouleverser sa vision du monde.

C’est le 4ème livre de Marie Vareille que je lis et c’est celui que j’ai le moins aimé. Le début est plutôt pas mal, il y a de bonnes choses, surtout la relation d’Isabelle avec les 3 enfants dont elle doit s’occuper pendant 3 semaines et principalement avec Nicolas. Par contre, je trouve que cela devient de moins en moins crédibles sur la fin. Autant j’ai apprécié que cela ne se termine pas « à l’eau de rose », autant il m’a sembler que c’était un peu bâclé et un peu trop « gentillet ».

Je classe ce livre en 347ème position et lui donne une étoile.

19 décembre 2023

La tresse (le film)

Synopsis : Trois vies, trois femmes, trois continents. Trois combats à mener. Si elles ne se connaissent pas, Smita, Giulia et Sarah sont liées sans le savoir par ce qu'elles ont de plus intime et de plus singulier.

JP et moi avons bien aimé ce film de Laëticia Colombani. J’avais lu le livre en 2019 et je lui avais mis 3 étoiles avec le commentaire suivant : « C’est un très beau livre de Laetitia Colombani. J’aime le joli fil (c’est le cas de le dire) qui relie ces femmes à la fin. Toutes les trois surmontent des épreuves et se battent dans l’adversité. On suit leurs aventures, on a peur pour elles, on les encourage. » Je pourrai faire le même commentaire sur le film en rajoutant que les 3 actrices sont vraiment bien : Kim Raver, Fotini Peluso et Mia Maelzer.

Je classe ce film en 28ème position et lui donne 3 étoiles.

19 décembre 2023

Le vol des cigognes

Un ornithologue suisse est trouvé mort d’une crise cardiaque… dans un nid de cigognes. Louis, l’étudiant qu’il venait d’engager, décide d’assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu’en Afrique, afin de découvrir pourquoi nombre d’entre elles ont disparu la saison précédente… Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoires occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d’énigme en énigme et d’horreur en horreur : observateurs d’oiseaux massacrés, cadavres d’enfants mutilés dans un laboratoire… Les souvenirs confus de son propre passé –ses mains portent des cicatrices de brûlures depuis un mystérieux accident– se mêlent bientôt à l’enquête…

J’ai bien aimé ce livre de Jean-Christophe Grangé. J’ai quand même dû noter le nom des différents personnages et des pays pour pouvoir suivre et comprendre le périple du héros. Il y a des petites choses qui paraissent quand même peu vraisemblables et j’ai vu arrivé la fin « gros comme une maison »… J’ai sauté quelques passages, un peu trop « hard » pour mon petit cœur. Je le mets quand même dans le haut du classement car il y a de bonnes trouvailles.

Je classe ce livre en 132ème position et lui donne 3 étoiles.

2 février 2024

Son odeur après la pluie

Présentation de l’éditeur :

C’est une histoire d’amour, de vie et de mort. Sur quel autre trépied la littérature danse-t-elle depuis des siècles  ? Dans Son odeur après la pluie,  ce trépied, de surcroît, est instable car il unit deux êtres n’appartenant pas à la même espèce  : un homme et son chien. Un bouvier bernois qui, en même temps qu’il grandit, prend, dans tous les sens du terme, une place toujours plus essentielle dans la vie du narrateur. Ubac, c’est son nom (la recherche du juste nom est à elle seule une aventure), n’est pas le personnage central de ce livre, Cédric Sapin-Defour, son maître, encore moins. D’ailleurs, il ne veut pas qu’on le considère comme un maître. Le héros, c’est leur lien. Ce lien unique, évident et, pour qui l’a exploré, surpassant tellement d’autres relations. Ce lien illisible et inutile pour ceux à qui la compagnie des chiens n’évoque rien. Au gré de treize années de vie commune, le lecteur est invité à tanguer entre la conviction des uns et l’incompréhension voire la répulsion des autres ; mais nul besoin d’être un homme à chiens pour être pris par cette histoire car si pareil échange est inimitable, il est tout autant universel. Certaines pages, Ubac pue le chien, les suivantes, on oublie qu’il en est un et l’on observe ces deux êtres s’aimant tout simplement. C’est bien d’amour dont il est question. Un amour incertain, sans réponse mais qui, se passant de mots, nous tient en haleine. C’est bien de vie dont il est question. Une vie intense, inquiète et rieuse où tout va plus vite et qu’il s’agit de retenir. C’est bien de mort dont il est question. Cette chose dont on ne voudrait pas mais qui donne à l’existence toute sa substance. Et ce fichu manque. Ces griffes que l’on croit entendre sur le plancher et cette odeur, malgré la pluie, à jamais disparue.

J’avais entendu parler de ce livre sur RTL et une amie me l’a prêté (j'aurais sinon attendu qu'il sorte en poche).

Déjà la préface m’avait parue pompeuse mais que dire de l’ensemble du livre ! C’est pourtant un sujet universel que l’amour réciproque entre un maître et son chien mais que les phrases sont longues et alambiquées, le vocabulaire de haut vol. Je pense que cela méritait davantage de simplicité. Si l’auteur parle comme il écrit, il doit être grandement ennuyeux et s’autoécouter. Au début, je relisais les phrases difficiles et cherchait la définition des mots, j’avoue qu’à la fin, je ne l’ai plus fait.

Et puis, je n'ai pas aimé sa façon parfois de critiquer les autres propriétaires de chiens. Comme si lui faisait tout ce qu'il fallait et que les autres, non. 

Mis à part la forme, il y a de jolies choses dans le fond. On reconnaît les moments partagés avec son animal, les premières bêtises, les longues balades, les visites chez le vétérinaire, les rencontres avec les autres (hommes ou congénères), …

Un extrait (page 163) pas trop compliqué celui-là :

« Le docteur Wicky a sauvé la vie d’Ubac. Une autre fois, pour la fille d’Ubac, ce sera le docteur Forget, l’opération de sa carrière, nous dira-t-il, des heures à dénouer son intestin d’une serpillère coriace.

Les vétérinaires sont des êtres supérieurs. Je ne le dis pas, flagorneur, pour que le sort nous cajole, tout est trop tard. C’est une simple réalité.

Ils opèrent un ligament croisé à 8 heures, une tumeur intestinale à neuf, aident à une mise bas à dix, détectent un glaucome à douze et sauvent entre temps un écrasé, les pattes à angle droit, hurlant et goutant de sang. L’après-midi sera semblable en ce qu’el ne ressemblera en rien au matin et demain encore. Ils sont spécialistes de tout, font chacun ce qu’une cohorte de dix médecins peinerait à honorer, au milieu de patients infoutus de dire où ils ont mal. Ils baladent leurs compétences scintillantes au travers d’un joli désordre qui miaule, aboie, pue, chante, crie et jamais ne remercie. »

Je classe ce livre en 763ème position et lui donne un "moins".

10 septembre 2010

Faites du sport !

Le collège d’Antoine propose des activités sportives en plus des 3 heures d’EPS obligatoires. Elles peuvent être pratiquées le midi, le soir ou le mercredi en début d’après-midi. Je viens de recevoir le détail des activités de cette année : escalade, badminton, football, volley-ball et tennis de table mais il y a en plus un petit mot d’accompagnement des professeurs d’EPS nous rappelant que les adolescents sont de plus sédentaires.

Je trouve cela très bien que de telles activités soient proposées et l’année dernière Antoine s’était inscrit à l’escalade. Il devait y aller chaque mercredi de 12 h 30 à 14 h. Le problème c’est qu’il y a eu beaucoup de volontaires, ils ont donc divisé le groupe en 2 et de fait la fréquence à une semaine sur 2. Ensuite, il y avait très souvent des compétitions pour les élèves de 4ème ou 3ème et les séances alors étaient supprimées (Antoine se retrouvait alors à faire du badmington). Sur une année, Antoine a dû y aller en tout et pour tout à peine une dizaine de fois (sur 36 semaines que compte une année scolaire !).

Sans compter qu’Antoine fait du judo pour la 5ème année le mardi et le jeudi, soit 3 heures de sport et que la saison des compétitions va bientôt redémarrer…

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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