Le grand voyage de Juliette Le Goff
Quatrième de couverture
En février 1911, Juliette Le Goff, jeune Lorientaise de dix-huit ans, apprend que son frère Yvon, officier à bord d'un voilier, a disparu au large de l'Australie lors du naufrage de son navire. Contre toute logique, elle refuse de croire à cette disparition et se persuade que c'est à elle de mener les recherches. Se faisant passer pour un jeune garçon, elle parvient à s'embarquer à bord d'un cap-hornier. Après s'être confrontée à la dure vie des marins, à la rudesse des hommes, à la solitude et à la fatigue, elle est reconnue comme femme. A son arrivée à Valparaiso, elle s'enfuit en compagnie d'un matelot fidjien qui l'a prise en amitié et trouve refuge à la Casa de Amor, où elle devient joueuse de cartes professionnelle. Un aventurier américain accepte de l'emmener à bord de sa goélette, le Sea Falcon. Mais l'homme est assassiné par ses officiers de bord et Juliette, accusée du meurtre, s'échappe dans une chaloupe jusque sur l'une des îles Salomon. Elle y fait la connaissance de Tom Cowan, planteur irlandais qui vit seul en compagnie d'indigènes à peine civilisés. Juliette pourrait s'installer dans une nouvelle vie. Mais une dernière fois elle repart sur les traces de son frère.
« Le grand voyage de Juliette Le Goff » d’Hugues Douriaux m’a beaucoup plu. On suit les trépidations de la jeune bretonne avec plaisir. Grâce à son fort tempérament et sa volonté, elle s’impose et prouve sa valeur au sein d’un monde d’hommes.
Je classe ce livre en 69ème position et lui donne deux étoiles.