Depuis mon billet du 15 juillet, JP a réussi à récupérer la poule noire qui s'était sauvée chez la voisine.

Après deux heures de ruse et d'astuces (lui donner à boire et à manger, l'appeler, sortir une autre poule du poulailler, ...), elle a réintégré le poulailler avec les 5 autres poules.

Elle se fait toujours un peu embêter par les autres et se réfugie régulièrement sous le poulailler mais c'est moins violent qu'au début. JP pense que cela va se passer...

Samedi, nous avons fait le vélotour pour la 3ème fois. L'année dernière, il avait été annulé pour raison de pandémie.

C'est un parcours de 20 kilomètres avec des arrêts dans des sites, batiments ou entreprises que l'on peut parcourir à vélo.

Ici le départ à la cité des congrès (où nous avons déjà fait 11 kilomètres depuis la maison) :

Après avoir longé l'Escaut, voici Contargo :

Ensuite, nous sommes passés à l'atelier de Transville où il y avait un disc-jockey qui mettait l'ambiance :

La chambre des métiers et de l'artisanat :

Avec tout le matériel de cuisine. Nous avons pu déguster des pâtes de fruit et des petites brioches faites par les apprentis :

La salle des fêtes de Saint-Saulve où un musicien jouait des chansons dans la salle de réception (nous avons tourné en vélo dans la salle au son de la musique)  :

Le point de ravitaillement dans les jardins de la Clinique du Parc :

Le Château Fortier :

Le jardin des prix de Rome (à la place de l'ancienne piscine qui a brûlé) :

Le stade du Hainaut :

On le visite à chaque vélo-tour, c'est vraiment bien :

Le nouveau centre aquatique (nous sommes passés à vélo le long des bassins) :

L'Université Polytechnique, campus des Tertiales :

L'intérieur de l'Université :

Le Phénix, Scène nationale :

Où nous sommes venus jusque sur la scène :

La vue du haut du parking de l'Arsenal (où il y avait également un disc-jockey) :

L'intérieur de la Cité des congrès :

C'était bien agréable, découvert de nouveaux endroits vus de l'intérieur.

En tout, on a fait 42 kilomètres.

Il a beaucoup, beaucoup plu. A un endroit, il y a même une flaque d'eau dans le jardin (jamais arrivé depuis 20 ans !) et quand on marche dans la pelouse, cela fait floc, floc...

A priori, ce temps plait particulièrement aux hortensias, qui n'ont jamais eu autant de fleurs et de si belle taille :

Le fond du jardin (avec les spirées japonais en début de floraison se mélangeant aux millepertuis envahissants et les hibiscus qui veillent sur le tout) fait un peu "fouilli" mais finalement j'aime bien ça :

Voici une des rares roses arrivée à maturité. La plupart des boutons ne se sont pas ouverts par excès de pluie.

Les spirées japonais vus d'un peu plus près. J'adore cette photo. Le mélange de blanc et de rose sur une même fleur et cet aspect duveteux :

Hier, c'étaient les demi-finales du Championnat de France cadets. S'étaient qualifiés tous les judokas classés entre 1er et 7ème du championnat départemental (Antoine avait fini 1er du championnat départemental).

Il y a deux demi-finales dans 9 villes de France (une le 20 février et une le 12 mars). Le but est de finir 1er ou 2ème pour se qualifier directement au Championnat de France à Paris ou alors de faire 3ème aux deux demi-finales. Tous les autres judokas ne sont pas qualifiés.

Ils étaient 22 dans la catégorie d'Antoine des moins de 60 kilos (Antoine était au poids : 59 kg 900) :

Je n'ai pas de photo du premier combat car j'avais pris la caméra et du coup, comme JP ne m'avait pas encore rejointe dans les gradins, je ne pouvais filmer et prendre des photos en même temps... JP a pris le relais sur les autres combats avec la caméra.

Antoine a gagné le premier combat grâce à deux waza aris avec la même prise, à savoir un makikomi.

Pour le deuxième combat, Antoine marque ippon également sur makikomi :

Lors du 3ème combat, il utilise 3 fois sa prise fétiche, le sumi gaeshi et gagne par 3 yukos :

Il arrive donc en demi-finale. Il perd contre un judoka de Pithiviers, également au Pôle France d'Orléans par 2 waza ari.

Du coup, il est amené à faire un 4ème combat pour obtenir la 3ème place. Celui-ci se déroule en 10 secondes où Antoine gagne par ippon grâce à un sumi gaeshi :

Le podium :

Petite photo avec son coach, Jérémy et son papa :

La suite se décidera donc à Amiens le 12 mars. Antoine doit faire un podium (au pire la place de 3) s'il veut se qualifier pour le Championnat de France.

Aujourd'hui c'était la course de la Paix.

Avec Sandrine et ses filles, Emeline et Isaline, nous avons fait la randonnée des 7 kilomètres.

Au départ :

A l'arrivée :

Petit mari nous a rejointes pour la course des 5 kilomètres (Sandrine et Isaline nous ont attendus près de l'estrade au son de la musique avec des majorettes).

Au départ :

A l'arrivée :

Nous l'avons faite en 35 minutes et 57 secondes. Emeline, plus rapide, en 31 minutes :

C'était bien sympa cette matinée !

Hier, nous sommes allés avec JP, Sandrine, Emeline et Isaline à Lecelles pour le trail de la fraise.

Bon, nous n'avons pas fait les 25 km en courant, seulement les 6 kilomètres en marchant.

Ici, juste avant le départ :

Le parcours était sympathique, dans les champs ou en lisière de forêt :

mais le souci c'est que le 6 km marche avec lieu en même temps que le 6 km course et que certains passages étaient étroits, ce qui gênait autant les coureurs que les marcheurs :

en file indienne :

Vers la fin du parcours, un orchestre bien sympathique :

La balade était agréable, le faire en courant, vu le terrain un peu accidenté, aurait été un peu plus difficile.

Belle journée passée en bonne compagnie.

Samedi, j'ai installé un transat dans la pelouse, j'ai mis mon téléphone et ma paire de lunettes sous le transat comme je fais toujours (pour que le téléphone soit à l'ombre).

JP a déplacé le transat pour tondre et vous devinez la suite ?

Alors, le téléphone n'a rien car je l'avais repris entre temps mais des lunettes, il ne reste que cela :

J'ai d'ailleurs eu la chance de retrouver ce morceau car sinon je serai probablement encore en train de chercher après mes lunettes.

J'étais toute dépitée parce que j'ai une paire de lunettes qui reste au travail, adaptée à la vision sur l'ordinateur anti lumière bleue (des dégressives ) et cette paire était celle uniquement vision de près pour la maison.

J'ai appelé les opticiens chez qui nous avons l'habitude d'aller. La garantie ne fonctionne pas car la tondeuse n'est pas une utilisation normale des lunettes... Tiens donc ! J'ai donc la possibilité de refaire cette paire pour 69 euros au cas où ma vision ne changerait pas de plus de 0,25 à chaque oeil car le dernier contrôle de vue chez les opticiens datait de septembre 2020 et ma dernière ordonnance de 2018 (et on a droit à de nouvelles lunettes tous les 2 ans par la mutuelle donc pas avant septembre 2022 normalement).

JP a cherché un RV chez un ophtalmologiste et à mon grand étonnement en a trouvé un dès aujourd'hui lundi.

J'en reviens (et puis ensuite je suis allée chez l'opticien).

Ma vision ayant changé de plus de 0,25 à chaque oeil (et apparemment en mieux, va comprendre !), j'ai pu refaire deux nouvelles paires de lunettes, une dégressive pour le travail et une de vision de près pour la maison (le tout pour 23 euros environ).

Je devrais les avoir d'ici samedi.

En attendant, j'utilise une paire de progressives qui date de 2018, que je n'aime pas, parce que lorsque je lis je dois les soulever pour bien voir et lorsque je suis devant l'ordinateur, j'ai la tête relevée sinon c'est flou...

Vivement samedi !

Dimanche soir, en rentrant du trail de la fraise, il y avait un petit mot d'interflora sur la porte.

Le fleuriste étant fermé lundi, j'ai pu récupérer le bouquet mardi, enfin plutôt les deux bouquets :

Envoyés par mon fils (qui s'est repris à deux fois au moment de la commande) pour la fête des mamans, le tout avec un gentil petit mot.

Deux très jolis bouquets avec des pivoines et des roses !

Merci fils !! Cela m'a fait très plaisir !

Petit mari a rajouté une clôture pour les poules afin qu'elles aient un peu plus d'espace. Elles ont maintenant tout le fond du jardin.

Sauf que certaines d'entre elles montent sur le composteur, puis sur le toit de la clôture grillagée au dessus du poulailler et arrivent ainsi dans le jardin.

Parmi elles, il y a la blanche (à droite sur la photo) que l'on n'arrive pas à attraper et qui disparaît pendant 10 jours avant de réapparaître alors qu'on ne l'attend plus. 

La voici semaine dernière, lors de l'une de ses apparitions :

Alors avec petit mari, on a commencé à couper les ailes de celles qui se sauvent après avoir regardé sur internent (seulement les rémiges primaires, ce sont les dix premières plumes de l'aile, les plus longues). 

On pensait avoir fait toutes les poules qui se sauvaient (les 2 grises tachetées et la rousse) mais ce matin, j'ai vu une autre rousse se promener dans le jardin...

Pour la blanche, cela reste un mystère...

Samedi matin, nous sommes allés à l'Abbaye de Vaucelles (près de Cambrai) avec petit mari.

JP connaissait mais moi c'était ma première visite (la visite de petit mari devait déjà dater...). Emeline y était allée la semaine précédente lors du 1er festival des bières d'Abbaye et nous a donné envie de découvrir le site. Je sais que maman et Jean y étaient allés sur le retour du chemin de leurs maisons.

Voici une vue d'ensemble (le fronton à gauche et l'abbaye à droite de la photo) : 

La salle des moines :

La salle capitulaire (où se tenait un mariage la veille) :

Un vitrail de la salle capitulaire :

Et puis, nous avons fait un tour dans le jardin, il y avait des ardoises avec des petits dictons un peu partout :

Chaque espace était bien différencié, ici le potager : 

La roseraie :

L'escalier et la tonnelle :

Les roses de la tonnelle :

Les plantes de la bible :

La roseraie vue de l'autre côté : 

et de nouveau l'Abbaye vue des jardins :

C'était très sympathique, surtout les jardins.

Un peu déçue car il n'y a plus les cloîtres (ni même l'église qui a été déplacée sur Cambrai il y a longtemps) et c'est souvent ce qu'il y a de plus joli dans une abbaye...

Samedi après-midi, avec Sandrine et ses filles, Emeline et Isaline, et les deux chiens, Magnus et Tomy, nous sommes allés faire une balade à Condé :

C'était bien sympa, entre la forêt, les étangs et les sentiers agréables :

C'est un endroit que je ne connaissais pas. Il faudrait y retourner avec petit mari. Seul souci, comment s'y retrouver car il y a un dédale de sentiers.

Vue sur le terril :

Tomy se désaltère :

Belle balade d'un peu plus de 8 km.

A refaire !

Antoine démarre son contrat en alternance chez Punch Powerglade (Général Motors) à Strasbourg le 16 août.

Selon lui, c'est trop long pour y aller en transport en commun. De ce fait, il a été question pour lui d'acheter sa première voiture.

Guillaume, l'ami d'Emeline, est mécanicien et a cherché la voiture sur internet. En allant avec petit mari voir une voiture dans un garage, ils en ont finalement trouvé une autre. Ce sera donc une 206+ diesel (217 000 km) que Guillaume a inspecté.

Hier, avec JP, nous sommes allés la récupérer (le temps pour le garage de réparer la courroie de distribution). Nous sommes allés la laver (pendant qu'Antoine travaille au centre de loisirs) :

Elle est relativement propre. On s'est occupé de l'assurance aussi.

La voici :

Je ne suis pas hyper rassurée. Antoine conduit bien mais ne sait pas trop se garer et dans Strasbourg, ville qui n'est pas vraiment faite pour les voitures mais plutôt pour les vélos, cela ne va pas être évident. C'est petit mari qui l'emmenera à Strasbourg.

Je croise les doigts pour qu'il soit prudent (Antoine, pas petit mari, là j'ai confiance en sa conduite). C'était tout de même plus rassurant de le savoir utiliser les transports en commun...

Mardi, nous sommes partis en balade avec Sandrine, Emeline et Isaline.

Direction la frontière belge.

Démarrage dans les champs :

Puis sur des sentiers ombragés :

Au milieu de la balade, petit pique-nique :

Ensuite, arrivée le long de la Grande Honnelle, rivière que l'on va suivre un moment dans la forêt. D'un coté la rivière, de l'autre, la colline rocheuse nommée "caillou qui bique". 

La légende dit que la grosse pierre serait l'œuvre du diable. Satan n'aurait pas supporté que saint Remacle construise l'Abbaye de Stavelot. Pour empêcher l'inauguration, il partit des Pyrénées, un énorme rocher sur le dos, dans le but de le lancer sur l'église. Mais en chemin, il rencontra un pauvre homme qui lui dit que la route est encore longue... Découragé et furieux de ne pouvoir arriver à temps pour gâcher les festivités, le diable lâcha par colère son rocher qui s'enfonça dans le sol... Ce rocher, qui semble tenir en équilibre depuis la nuit des temps, serait donc le Caillou-qui-Bique ! :

Petit barrage de pierres que l'on a franchi (aller-retour juste pour le plaisir) :

La Grande Honnelle :

Mes zouaves à l'oeuvre :

En fin d'après-midi, on a fêté l'anniversaire d'Emeline (24 ans) mais qui n'a pas vraiment compris car son anniversaire c'était seulement le lendemain. 

Il était indiqué 11 km de randonnée sur le circuit, a priori, on en aurait fait 12, voire même un peu plus.

Les 3 derniers kilomètres sont moins agréables car sur des routes et non plus sur des sentiers mais globalement c'est une chouette balade.

Lorsque nous sommes allés acheter les dernières poules (dans une ferme avicole et non pas dans une animalerie), le monsieur nous avait dit que la petite poule blanche ferait des oeufs verts.

Depuis lors, nous attendions de découvrir cela.

Et aujourd'hui, petit mari a remonter deux oeufs, un peu plus petits mais plus allongés que les autres oeufs mais bien vert pâle :

Donc après un oeuf de coq (voir mon billet du 24/06/2018), voici des oeufs verts.

Quand je suis revenue du travail hier, j'ai vu que les finitions de la cuisine avaient été faites. Petit mari avait pris rendez-vous avec le chef de chantier sans m'en parler.

Voici donc la crédence posée (carrelage de 90 cm x 30 cm imitant des carreaux plus petits en relief). C'est propre au niveau des prises électriques :

J'aurais souhaité et l'avait précisé au chef de chantier que je voulais une double hauteur de carrelage au niveau de la cuisinière car j'ai peur des projections de graisse sur le mur crème... Il a oublié et JP n'y a pas pensé non plus. Je continuerai à mettre un plateau pour protéger le mur au moment des cuissons, à moins qu'on puisse lui en faire part pour modifier cela, ce qui serait plus pratique.

Voici la crédence du côté droit de la cuisine :

Il y avait également les plinthes à poser (ici côté porte de la cave) :

Ici côté porte du jardin :

Et là à côté de la porte qui mène au salon :

Et pour finir, les barres de seuil entre la cuisine et le salon : 

et entre la cuisine et l'entrée de la cave :

Je suis contente que la cuisine soit terminée, depuis le temps qu'on en parle, et tous les travaux qui ont été faits (électricité, plomberie, isolation des murs, peinture, installation des meubles, du micro-onde, du sol, ...).

Après mon premier puzzle (voir mon billet du 19/08/22), j'en ai recommandé plusieurs, toujours de 1000 pièces.

Après "le déjeuner des canotiers" d'Auguste Renoir, je passe à du Claude Monet "le déjeuner", donc toujours dans les impressionnistes, c'est le genre de peintures qui me plaît le plus.

Par rapport au premier, la qualité des pièces étaient différentes. Ici mates, alors que brillantes sur le premier, et puis plus difficiles parfois de savoir si je réunissais bien deux pièces qui allaient ensemble.

Première étape, assez fastidieuse, je classe les pièces par forme et plus ou moins par couleur et je fais le contour :

Après le coin en bas à droite dans les bleus assez difficiles du banc, j'ai fait la petite table-plateau jaune :

J'ai eu peur à un moment de ne plus avoir les pièces pour faire les deux dames car j'avais l'impression d'avoir utiliser quasiment toutes les pièces blanches pour la nappe et jaune pour la table :

Et le voici terminé, le tout en 10 jours, soit 5 de moins que pour le premier, sachant que j'ai repris le travail :

Je fais une pause dans les puzzles car ma soeur Elisabeth m'a envoyé un colis avec de la broderie diamant. J'ai démarré hier, nous verrons ce que cela donne.

A suivre...

J'ai attaqué un 4ème puzzle, que je savais être plus difficile que les 3 premiers, car il y a toute une partie où ce sont des tâches de couleur sans réel motif. Comme pour les autres, j'ai trié les pièces par forme et fait le contour :

Il s'agit des Nymphéas de Claude Monet -toujours dans les impressionnistes- :

J'ai commencé par faire toutes les fleurs :

et ensuite la partie plus compliquée des tâches de couleur :

et je l'ai fini hier. J'ai mis 10 jours.

Il ne reste plus qu'à l'encadrer et à la positionner à côté des 3 premiers.

J'ai attaqué un 5ème puzzle.

J'ai acheté une table à puzzles munie de tiroirs pour pouvoir ranger les pièces et déplacer le puzzle si besoin. Bon, sauf qu'au départ d'un puzzle de 1000 pièces, il n'y a pas assez des 4 tiroirs pour y ranger toutes les pièces : 

Je les ai rangées, comme à mon habitude, par formes :

Il s'agit d'un tableau de Van Gogh "Terrasse de café la nuit". Après le contour, j'ai commencé par la terrasse de café en orange puis la façade jaune :

ensuite le haut du puzzle dans les bleus :

Et enfin, j'ai terminé par le plus difficile, les pavés :

J'ai mis 15 jours pour le faire. 

J'ai fait un 6ème puzzle de 1000 pièces. Il s'agit du "baiser" de Gustav Klimt. L'œuvre fait partie du Cycle d'or de Klimt et elle est sûrement la plus célèbre du peintre autrichien.

Dans un premier temps, toutes les pièces classées par formes et par couleurs :

Je n'ai pas fait le contour car une grande partie était de la même couleur et assez difficile à assembler. J'ai donc commencé par le corps de la femme :

Puis le bas du puzzle :

J'ai fait le corps de l'homme puis les pièces devenant moins nombreuses, j'ai enfin fait le contour :

Le plus difficile a été constitué par les pièces marron/dorées du contour :

Le voilà ainsi terminé :

Je pense que je vais l'accrocher dans notre chambre. Je l'adore.

Pour les 70 ans (chut !!) de petit mari, je lui ai offert un repas au restaurant d'Arnaud Lallement à "l'assiette champenoise" (3 étoiles au guide Michelin) et une nuit dans l'hôtel (5 étoiles).

Depuis 3 ans, nous découvrons des restaurants d'exception, généralement pendant l'été. Cette année, nous étions en Bretagne et il n'y avait pas ce type de restaurant alentours.

Nous avons donc reporté cette expérience pour fêter dignement ce changement de dizaine.

Tout d'abord, mettons l'ambiance. Un voiturier récupère notre Rolls Royce Dacia devant la porte, emmène notre valise dans la chambre.

Nous sommes emmenés dans le salon (dans un des salons, que dis-je) pour l'apéritif. Dans le pays Reimois, Champagne oblige, petit mari a choisi une "Veuve cliquot", le tout accompagné d'amuse-bouches :

Dans les différentes niches du salon, Armagnac, Cognac et Chartreuse...

Nous allons ensuite à notre table, dans une salle résolument moderne, mélange savant de bois et de couleur blanche :

On débute les hostilités avec la "Ruche de notre parc", avec de la cire d'abeilles - accompagnée d'un Champagne Chartogne Taillet "Heurtebises" :

Vient ensuite la Saint-Jacques de Bretagne avec de la truffe blanche d'Alba, accompagnée du même Champagne :

Photo prise par l'équipe :

au demeurant bien sympathique et assez décontractée :

Nous poursuivons avec les Topinambours en papillote à la truffe blanche d'Alba, accompagnées par du Champagne Jérôme Prevost La closerie les Béguines :

Voici ensuite la sole de Bretagne à la truffe blanche d'Alba, accompagnée de Calvi blanc 2021 Alzipratu :

La poularde cour d'Armoise (que je n'ai pas pris en photo, oups !) accompagnée de Pommard 1er cru La platière 2017 T. Violot Guillemard.

Nous choississons ensuite les fromages de Philippe Olivier que nous souhaitons. J'ai fait dans les "locaux" et petit mari dans les valeurs sures, accompagné  d'un Jasnière "Au pas de l'âne" de Mainville 2019 :

Viennent ensuite les mignardises (de gauche à droite : pâtes de fruit, crème brulée, marron glacé, pavlova, bouchée au chocolat et citron meringué) :

Petit mari a eu droit à son gâteau d'anniversaire au chocolat :

que l'on nous a servi : 

accompagné de la noisette du piemont, millefeuille à base de clémentine et d'un jurançon :

Après le repas, retour au salon pour un café Esprit Pinot noir pour JP et une infusion d'herbes et d'épices pour moi :

Nous avons ensuite découvert notre grande chambre :

Le lendemain matin, nous voici au petit déjeuner (là, il n'y a qu'une partie de ce qui nous a été servi ! :

Entre les chambres, il y a des salons où s'installer :

pour lire, discuter ou travailler :

Et avant de reprendre notre rolls royce, nous avons fait un petit tour du parc (ici la salle de restaurant) :

Voici donc un nouveau voyage de saveurs accompli. Une expérience toujours fascinante et impressionnante.

Mon "3 étoiles" préféré reste pour l'instant "les Troisgros" à Ouche près de Roanne. Le décor somptueux, la poesie dans l'explication des plats et le joli balai de l'équipe reste le meilleur souvenir pour moi. J'ai trouvé les plats de l'assiette champenoise un peu trop monochromes.

Bon anniversaire mon chéri !

Voilà le 7ème puzzle :

Il s'agit de la représentation de "Sur la terrasse" ou "Les deux sœurs" d'Auguste Renoir :

Le contour a été relativement facile à réaliser ainsi que les visages :

Les pelotes de laine ont été un peu plus difficiles :

Et je termine toujours par le plus difficile, ici le paysage en second plan :

Je trouve que l'on voit beaucoup l'espace entre les pièces :

Et elles sont assez brillantes donc pas mal de reflets :

le voici terminé :

Et encadré, en attente de pouvoir être accroché...

J'avais pris rendez-vous chez le coiffeur avant de partir en vacances puis j'ai annulé, trop hésitante sur la coupe désirée (carré, coupe courte, dégradé long, ...).

Les cheveux longs c'est très bien mais en fait, on finit par les attacher tout le temps (en tout cas c'est mon cas), en queue de cheval, en chignon ou en tresse africaine.

Alors, j'ai repris rendez pour aujourd'hui et jusqu'au dernier moment j'ai hésité mais voilà c'est fait.

Avant :

Après :

Voili, voilou...

Aujourd'hui, nous sommes allés pour la première fois au Musée la Piscine de Roubaix.

La Piscine – Musée d’art et d’industrie, a ouvert ses portes en 2001. Elle est implantée sur le site de l’ancienne piscine Art Déco qui a été bâtie entre 1927 et 1932.

La piscine était un lieu de mixité sociale, modèle de modernité et d'hygiène. Elle a fermée en 1985. Elle sera donc réhabilitée en musée et les travaux dureront de 1998 à 2001.

Voici le bassin entouré de sculptures :

Un vitrail de chaque coté représentant le lever et le coucher du soleil :

Des vestiges de céramiques :

On peut profiter d'une vue encore plus jolie à l'étage :

Il y avait une exposition sur William Morris, écrivain, poète, designer, célèbre notamment pour ses imprimés textiles :

Beaucoup de couleurs :

et toutes sortes d'imprimés :

Dans ce musée, il y en a pour tout le monde : un bâtiment hors du commun, des sculptures, des peintures, des vitraux, de la céramique, des robes de haute couture, et pour les enfants, une visite à l'aide d'une tablette interactive.

Il y avait beaucoup de monde mais cela se comprend. Succès mérité.

A refaire pour visiter d'autres salles.

Le 30 janvier, j'avais mon rendez-vous annuel chez Kia pour la révision de ma petite Picanto.

Juste au moment où je me gare devant le garage :

50000 km tout pile !

Ma voiture a 8 ans et 50000 km, soit une moyenne de 6250 km par an. En même temps, je l'utilise principalement pour aller au travail le matin et revenir le soir, soit 22 km par jour et quelques autres déplacements. 

Ils ont changé la batterie (et tous les filtres habituels plus la vidange), qui commençait à faiblir, sinon tout roule.

Hier matin, au réveil, je demande à petit mari ce que l'on fait ce week-end. Je lui dis que j'aimerais bien une visite comme la dernière fois à la Piscine de Roubaix (Cf billet sur le musée de Roubaix).

Il me dit alors que l'on pourrait aller visiter la cathédrale d'Amiens que ni lui, ni moi ne connaissons.

Ni une, ni deux, nous voici partis.

La cathédrale vue de derrière :

La façade en gothique flamboyant :

Les portails finement décorés et sculptés (ils ont été sauvegardés pendant les guerres grâce à des sacs de sable) :

La cathédrale d'Amiens est le plus vaste édifice gothique en France (145 m de long et 70 m de large). Elle pourrait contenir deux fois Notre-Dame de Paris :

Une des clôtures du cloître :

Les vitraux (beaucoup d'autres sont incomplets suite aux destructions pendant les 2 guerres).  :

Vue depuis l'autel (à l'intérieur se trouvent les stalles du choeur) :

Au sol, le labyrinthe :

Nous sommes allés à l'office du tourisme et avons suivi une guide pendant une heure et demie dans les rues d'Amiens :

Vue depuis l'Horloge Wali :

L'horloge Wali :

L'université Jules Verne accolée à la maison du sagittaire (façade entièrement déplacée) :

Direction vers le quartier de Saint-Leu où la Somme est entourée de deux affluents :

Avec des maisons colorées :

La Somme :

la cathédrale plus avec un peu de recul :

Le quartier Saint-Leu avec des maisons à colombages des 15 et 16è siècles :

Vue d'ensemble du quartier Saint-Leu :

Nous avons mangé dans un bistrot une ficelle picarde avant de revenir pour une visite des tours de la cathédrale. Vue sur Amiens :

On passe devant la rose :

Avant d'arriver au sommet (57 m et 300 marches) :

Vue sur la flèche et la tour Perret plus loin :

Vue sur le quartier Saint-Leu :

C'était frais (5° C mais très joli). Encore merci à petit mari pour ses idées et nos envies communes de visiter des lieux nouveaux.