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Le petit monde de So et de Fi
27 juin 2021

Nomadland

La semaine dernière, nous sommes allés voir Nomadland.

Synopsis : Après l’effondrement économique de la cité ouvrière du Nevada où elle vivait, Fern décide de prendre la route à bord de son van aménagé et d’adopter une vie de nomade des temps modernes, en rupture avec les standards de la société actuelle. De vrais nomades incarnent les camarades et mentors de Fern et l’accompagnent dans sa découverte des vastes étendues de l’Ouest américain.

Nous sommes allés voir ce film de Chloé Zhao avec JP car nous avions vu la bande annonce et que l’on avait trouvé cela attirant : les grands espaces, les rencontres multiples avec d’autres travailleurs nomades, …

En fait, on a trouvé le film plutôt long et monotone. L’actrice Frances McDormand incarne avec force, ce personnage abîmé par les épreuves de la vie, sur la route et dans des sites magnifiques mais cela ne suffit pas a éviter l’ennui.

Je classe ce film en 99ème position (sur 107) et ne lui donne pas d'étoile.

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27 juin 2021

Le discours

Hier, nous sommes allés au cinéma, voir « le discours ».

Synopsis : Coincé à un repas de famille qui lui donne des envies de meurtre, Adrien attend. Il attend que Sonia réponde à son sms et mette fin à la « pause » qu’elle lui fait subir depuis un mois. Et voilà que Ludo, son futur beau-frère, lui demande de faire un « petit » discours pour le mariage ! Adrien panique. Mais si ce discours était finalement la meilleure chose qui puisse lui arriver ?

Bilan un peu mitigé pour moi concernant ce film de Laurent Tirard. L’idée n’est pas mauvaise, l’interprétation notamment de Benjamin Lavernhe est bonne mais trop de Benjamin Lavernhe tue Benjamin Lavernhe. J’ai trouvé qu’il n’y en avait que pour lui et cela a fini par desservir l’ensemble : soit on est dans son imagination, soit dans ses souvenirs (donc toujours lui sur l'écran) ! J'ai trouvé que c'était long par moment...

Je classe ce film en 92ème position (sur 108) et ne lui donne pas d’étoile. Je pense que JP l'aurait peut-être mieux classé.

1 juillet 2021

Au soleil redouté

Présentation de l’éditeur

Au cœur des Marquises, l'archipel le plus isolé du monde, où planent les âmes de Brel et de Gauguin, cinq lectrices participent à un atelier d'écriture animé par un célèbre auteur de best-sellers. Le rêve de leur vie serait-il, pour chacune d'elles, à portée de main ? Au plus profond de la forêt tropicale, d'étranges statues veillent, l'ombre d'un tatoueur rôde. Et plein soleil dans les eaux bleues du Pacifique, une disparition transforme le séjour en jeu... meurtrier ? Enfer ou paradis ? Hiva Oa devient le théâtre de tous les soupçons, de toutes les manipulations, où chacun peut mentir... et mourir. Yann, flic déboussolé, et Maïma, ado futée, trouveront-ils lequel des hôtes de la pension Au soleil redouté... est venu pour tuer ?

Ce livre de Michel Bussi est une arnaque. J’aime les intrigues où l’on ne découvre la vérité qu’à la fin et où le jeu est de deviner qui a fait quoi et pourquoi, mais là, il est impossible de le savoir car l’auteur ne nous donne pas la possibilité de comprendre avec son tour de passe-passe final. C’est petit !

J’avais lu, il y a un certain temps déjà 5 livres du même auteur : « Un avion sans elle » classé en 67ème position avec 3 étoiles, « N’oublier jamais » classé en 95ème position avec 3 étoiles, « Maman a tort » classé en 368ème position avec une étoile, « les Nymphéas noirs » classés en 396ème position avec une étoile, « ne lâche pas ma main » classé en 408ème position avec une étoile

Je classe ce livre en 483ème position et ne lui donne aucune étoile. Déçue, déçue !

6 juillet 2021

Difficile orientation...

Antoine était cette année en 3ème année de Licence « Sciences de l’éducation ». Il a choisi plus particulièrement cette troisième année de s’orienter vers l’encadrement éducatif plutôt que vers l’enseignement.

Pour rentrer dans le Master mention Métiers de l'Enseignement, de l'Education et de la Formation-encadrement éducatif (MEEF), il faut passer un concours. Celui-ci est déjà sélectif, 15 candidats admis sur environ 150 candidats (à Strasbourg).

Il faudra également passer un concours ensuite pour obtenir un poste de CPE (conseiller Principal d’Education). Celui peut se passer en Master 1, puis en Master 2. Le taux de réussite est de 13 %.

Antoine a donc passé le concours d’entrée en Master. Comme il avait peur de ne pas être reçu, il a passé en parallèle un concours à l’ISCOM de Strasbourg, l’Institut Supérieur de Communication et de Publicité. Ce choix s’est porté sur cette formation par suite de conversations qu’il a eues avec une coach spécialisée dans l’orientation et un responsable à la Faculté qui s’occupe de l’orientation des sportifs de haut-niveau (dont Antoine a le statut).

Le mercredi 16 juin, il a appris qu’il était admis à l’ISOM et le vendredi 18 juin qu’il était pris au concours d’entrée du Master 1 CPE. Féliciations mon fils !

Je pensais, très honnêtement, qu’il sauterait sur le master MEEF car la porte s’était ouverte pour lui, sachant que dans sa promotion de 38 étudiants en L3, seuls 3 ont été pris, certains en liste d’attente et les autres sans rien.

Mais en fait, il était plein d’hésitations :(.

D’un côté, le métier de CPE vers lequel il s’orientait et qu’il a découvert en stage l’a conforté dans le fait qu’il aimerait bien exercer cette fonction, mais le salaire de départ n’est pas très élevé (environ 2000 euros bruts) et il y a toujours le concours final à réussir pour obtenir un poste.

De l’autre côté, l’opportunité ouverte sur plusieurs métiers, dans le marketing, la publicité ou la communication, avec un meilleur salaire, une possibilité d’entreprendre et pourquoi pas d’aller à l’étranger. Les freins pour Antoine par rapport à l’ISCOM, c’est le coût de la formation (6500 euros en 4ème année et normalement rien en 5ème parce qu’en alternance) même si on lui a dit qu’il ne fallait pas tenir compte de ce point. L’autre aspect négatif était le fait qu’il connaît moins ce secteur d’activité.

Il a eu le résultat de sa licence le 25 juin. Sans avoir le détail de ses notes, il sait qu’il est admis avec une mention assez bien (donc une moyenne entre 12 et 14). Refélicitations mon fils !!

Pendant plus de 15 jours, il a oscillé entre les deux choix. Il a validé le vœu de master MEEF sur son profil en ligne en attendant de prendre une décision.

Le 28 juin matin, il me dit de compléter le dossier pour l’ISCOM, ce que je fais. Il se déplace à l’école pour déposer le dossier, sans ma signature et le premier paiement que j’avais seulement préparé de mon côté après son appel. Le soir, il me demande si le dossier est parti au courrier car il hésite encore (!!). M’ayant prévenue trop tard (ou heureusement ?) le matin pour le dossier, le courrier n’était pas encore parti à la poste.

Le 1er juillet, il reçoit un mail de sa faculté pour la réinscription en master MEEF. Il doit procéder à sa réinscription administrative entre le 1er juillet et le 31 août. Il ne me transmet ce mail que le 3 juillet. 

Le 3 juillet, il me dit qu’il a pris sa décision définitive pas SMS et qu’il veut faire CPE « Je m’engage officiellement à faire CPE, faisons les démarches ». Il souhaite toutefois contacter sa coach et n’obtient un rendez-vous que pour le lundi 5 juillet.

S’il fait le choix pour CPE, il faut se désister auprès de l’ISCOM par un courrier recommandé dans les 10 jours après la signature du contrat d’études. S’il choisit l’ISCOM, il faut faire partir le dossier et le chèque d’inscription et prévenir la faculté qu’il ne s’engage pas pour le Master MEEF.

Le 5 juillet, sans nouvelle d’Antoine (il est parti dans le Sud pour travailler en tant qu’animateur dans un camping), je lui envoie un SMS pour savoir s’il a eu sa coach et si l’on envoie, soit le dossier d’inscription à l’ISCOM, soit la lettre de désistement.

Laconiquement à minuit passé, par SMS toujours, il me dit « Pardon, désiste l’ISCOM, désolé je travaille ».

Donc, il opte pour le master MEEF dans le but d’obtenir un poste de CPE. J'ai su aujourd'hui qu'il n'avait pas appelé sa coach.

Pffff ! Que cela a été difficile. Après toutes ses hésitations, je ne sais plus que penser. J'espère qu´il a fait le bon choix, qu'il ne le regrettera pas et que la volonté de nous rendre fiers n'en a pas été le principal moteur. 

24 juillet 2021

La somme de nos vies

Présentation de l’éditeur

Camille, jeune fleuriste qui rêve sa vie, visite des appartements qu’elle n’a aucune intention d’acheter. Marguerite, quatre-vingt-sept ans, met en vente son appartement qu’elle s’est pourtant juré de ne jamais quitter. Derrière leurs fenêtres qui se font face, dans cette rue parisienne, la vie de l’une n’apparaît à l’autre qu’en reflet. Les mensonges de Camille à son entourage et les secrets de Marguerite enfouis soigneusement depuis l’enfance se croisent et se répondent. Comment prendre sa vie à bras-le-corps quand on a décidé d’en vivre une autre ?

Il ne se passe pas grand-chose dans ce livre de Sophie Astrabie. Une vieille femme fait visiter son appartement pour occuper ses journées et une jeune femme en visite sans avoir l’intention d’acheter juste pour s’imaginer la vie des autres. Au milieu d'elles, un agent immobilier. Rien de bien palpitant, surtout pas les mensonges de Camille dont la durée me paraît fort improbable. La fin est un peu plus animée même si l’on se doute de ce qui va se passer.

Je classe ce livre en en 376ème position et lui donne une étoile.

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1 août 2021

Et si l’herbe était vraiment plus verte à la campagne ?

Présentation de l'éditeur :

Depuis que je suis en âge de faire des projets d’avenir, environ mes douze ans, je n’ai eu qu’une idée en tête, quitter mon village natal Bourlotte-la-Grande. Une dénomination parfaitement mensongère. Je l’ai toujours su en mon for intérieur, je suis une fille de la ville. On peut dire, à presque trente ans, que mon objectif est atteint. J’ai un job que j’adore à Paris, un petit ami, Nathan, le père de mes futurs enfants même si lui l’ignore encore, et ma meilleure amie, Marion, habite à quelques arrondissements seulement de chez moi. Ma vie rêvée. Ça, c’était jusqu’à cet appel de Lucille, ma grand-mère adorée. Elle s’est fracturé le poignet et m’a demandé de venir l’aider. Comment aurais-je pu refuser ? Petit détail, et non des moindres, elle habite à Bourlotte… À peine arrivée sur place, je me souviens pourquoi j’ai toujours voulu quitté cet endroit : plus d’animaux que d’êtres humains au kilomètre carré, vie sociale inexistante et surveillance (trop) rapprochée. Impossible de faire un pas sans que la moitié du village soit au courant. Et, comme les choses peuvent toujours être pires, en me rendant à la ferme, je reçois une grosse cucurbitacée sur la tête. C’est une métaphore. Je me retrouve face à mon (ex) meilleur ami avec qui je suis en froid (polaire) depuis quinze ans. Je n’ai qu’une envie, repartir au plus vite…

Ce livre de Charlotte Léman est gentillet. Les personnages sont intéressants mais pas de surprises, tout est bien qui finit bien pour tout le monde... 

Je classe ce livre en 380ème position et lui donne une étoile.

14 mars 2022

Goliath

Synopsis : France, professeure de sport le jour, ouvrière la nuit, milite activement contre l’usage des pesticides. Patrick, obscur et solitaire avocat parisien, est spécialiste en droit environnemental. Mathias, lobbyiste brillant et homme pressé, défend les intérêts d’un géant de l’agrochimie. Suite à l’acte radical d’une anonyme, ces trois destins, qui n’auraient jamais dû se croiser, vont se bousculer, s’entrechoquer et s’embraser.

Petit mari et moi avons bien aimé ce film de Frédéric Tellier. On avait craint le côté moralisateur ou démagogique mais en fait non, cela sonne assez juste : l’importance des lobbies et leur cynisme, leur flirt avec les politiques pour faire voter l’utilisation des produits controversés, la mauvaise communication sur l’utilisation des pesticides aux agriculteurs dont la dangerosité cancérigène des composants est minimisée... Pierre Niney est parfait dans le rôle du méchant et Gilles Lellouche est bon également même si son rôle d’avocat un peu bancal est moins crédible.

Je classe ce film en 77ème position (sur 120 que compte mon classement) et lui donne 2 étoiles.

14 mars 2022

Les filles de la villa aux étoffes

Présentation de l’éditeur :

Augsbourg, hiver 1916. Trois ans se sont écoulés depuis le jour où Marie a frappé pour la première fois à la porte des Melzer. Seulement trois ans... et pourtant tout a changé. Si la jeune femme est à présent l'épouse de Paul et la maîtresse des lieux, l'heure n'est plus à la fête dans la somptueuse demeure transformée en hôpital militaire. Les hommes ont rejoint le front, femmes et domestiques œuvrent jour et nuit aux côtés des blessés et Marie se consacre à la gestion de l'usine familiale, dont elle découvre avec stupeur la situation critique. Alors que s'éloigne un peu plus chaque jour l'espoir de voir Paul revenir rapidement de cette guerre terrible et que le destin de toute la famille repose sur ses seules épaules, Marie se sent vaciller. Qu'est-ce qui la retient alors d'accepter l'aide du séduisant Ernst von Klippstein, qui n'a jamais dissimulé l'intérêt qu'il lui porte ?

J’ai apprécié le tome 2 de la saga de la Villa aux étoffes d’Anne Jacobs tout comme j'avais apprécié le premier tome. J’ai aimé retrouver les personnages et découvrir la suite de leurs aventures. Les femmes y jouent un rôle prépondérant, du fait que la plupart des hommes sont partis au front. Je viens d’ailleurs de commencer le tome 3 et de commander le tome 4. Le tome 5, lui, sortira en juin…

Je classe ce livre en 168ème position, juste après le 1er tome et lui donne 2 étoiles.

2 janvier 2022

L'école des soignantes

Présentation de l’éditeur :

«Le Centre hospitalier holistique de Tourmens est un hôpital public. On y reçoit et on y soigne tout le monde, sans discrimination et avec bienveillance. Mais les préjugés envers son approche féministe et inclusive des soins et de l’enseignement sont tenaces. Depuis sa création, en 2024, les hommes qui s’enrôlent à l’École des soignantes du CHHT n’ont jamais été nombreux : l’année où j’ai commencé ma formation, j’étais l’un des rares inscrits. J’espère que nous ne serons pas les derniers. Je m’appelle Hannah Mitzvah. Aujourd’hui, 12 janvier 2039, je commence ma résidence. L’officiante de l’unité à laquelle je suis affecté se nomme Jean ("Djinn") Atwood. C’est une figure légendaire de la santé des femmes. Je me demande ce qu’elle fait chez les folles.»

Il m’a fallu 18 jours pour venir à bout de ce livre de Martin Winckler. Il y a pourtant de superbes idées à l’intérieur mais j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire. L’ambiguïté sur le personnage principal ne m’a pas aidée non plus, j’avais même l’impression qu’il y avait deux narrateurs différents au début. Je pense que les gouvernements actuels devraient s’inspirer de ce livre « venu du futur » pour l’administration des hôpitaux publics, la gestion de la maladie en général et l’écoute nécessaire des soignés (en particulier les femmes ou pour les besoins particuliers des femmes).

Je classe ce livre en 371ème position et lui donne une étoile.

23 février 2022

Au bout de nos rêves

Présentation de l’éditeur :

Alors que Tom se trouve au bord d’un ravin avec l’intention de mettre fin à ses jours, Léonie arrive sur les lieux avec la même idée que lui. C’est embêtant, aucun d’eux ne s’attendait à avoir un spectateur. Ils ne se connaissent pas et n’ont a priori aucune affinité, le désespoir mis à part. Mais lorsqu’ils se retrouvent dans un groupe de rigolothérapie, ils se rapprochent et découvrent qu’en réalité ils ont un point commun : des rêves brisés par une vie qui ne leur a pas fait de cadeaux. Ensemble, vont-ils trouver la force de se relever, de lutter… et d’aller au bout de leurs rêves ?

Bon, alors, dans ce livre de Théo Lemattre, on trouve deux anti-héros. Une grincheuse, râleuse qu’on a envie de calmer et un mou, qui n’a jamais fait grand-chose, que l’on a envie de secouer. Le souci c’est que cela dure au moins pendant 70 % du livre. Ensuite la grincheuse devient une bisounours et le mou, son copain. 

Je classe ce livre en 351ème position et lui donne une étoile.

19 mars 2022

L'héritage de la villa aux étoffes

Présentation de l’éditeur

Augsbourg, 1920. La guerre est finie et, après les difficultés et les privations, le bonheur a refait son apparition à la villa aux étoffes. Rentré de captivité, Paul Melzer a repris la tête de l'usine familiale. Avec l'aide de son associé Ernst von Klippstein, il la remet à flot et l'engage sur la voie de la modernité. Marie, de son côté, peut enfin se consacrer à sa véritable vocation et ouvrir un petit atelier de haute couture. Il ne faut pas longtemps pour que ses merveilleuses créations connaissent un grand succès. Mais alors que son activité se développe, son mariage avec Paul commence à battre de l'aile. Après une ultime dispute, Marie quitte la villa avec leurs deux enfants. Le destin est en marche...

J’ai aimé le 3ème tome d’Anna Jacobs comme j’ai aimé les deux premiers. J’ai retrouvé les personnages avec plaisir. Les 646 pages se lisent facilement. Je vais donc attaquer le 4ème tome (qui n’existe malheureusement pas encore en poche mais en broché car trop récent, d’où le prix "22,50 € !" et je sais que le 5ème tome sortira en juin, avant peut-être un 6ème…). Je ne le savais pas en commençant le premier tome mais bon, je sais en continuant la série que je vais passer un bon moment de lecture.

Je classe ce livre à la suite des deux premiers tomes, à savoir en 169ème position avec deux étoiles.

25 mars 2022

Histoire de bottes

Cet après-midi avec petit mari, nous nous sommes lancés dans le nettoyage au Kärcher de notre allée pavée dans le jardin.

Au bout d'une heure environ :

JP : "J'ai mal au pied dans mes bottes".

moi : "il y a d'autres paires dans le garage".

JP a du mal (beaucoup de mal) à enlever ses bottes. Je lui donne une autre paire.

moi : "c'est normal que tu aies mal au pied, c'était un 39 ! 5 pointures en dessous de ton 44 !!

JP : "Ce n'était pas les bonnes bottes".

moi : "A priori, non. Tu as mis une heure à t'en rendre compte ? Et en les enfilant, tu n'as pas eu du mal ?"

JP : "Si un peu".

Moi : "Tu es trop drôle, je veux te garder comme mari, tu trouves toujours le moyen de me faire rire".

On a bien ri tous les deux avec cette histoire de bottes trop petites.

10 avril 2022

Comme un coeur posé sur la mer

Présentation de l’éditeur :

Le jour où elle réussit à quitter son compagnon violent, Hannah perd son travail dans une librairie parisienne. Quand elle tombe sur une petite annonce pour un poste de six mois comme libraire sur l’île de Groix, elle croit tenir la solution à tous ses problèmes. Sur cette petite île du Morbihan, elle s’ouvre de nouveau au monde et aux autres. Mais pour effacer les bleus de son corps et surtout ceux de son âme, il lui faudra plus que le bleu glaz de la mer bretonne, le bleu délavé d’une petite maison-cocon ou encore le bleu océan des yeux d’un beau marin. Surtout lorsqu’elle découvre qu’elle n’est pas la seule sur l’île à taire un passé qui n’est pas complètement révolu. Tout comme le sien, qui revient bientôt la hanter.

J’ai bien aimé ce livre de Gabrielle Blanchout même si je l’ai trouvé un peu rapide. J’aurais également aimé une fin un peu plus longue, cela s’arrête un peu trop nettement. On s’attache au personnage d’Hannah et à toutes les belles rencontres qu’elle fait sur l’ïle de Groix.

Je classe ce livre en 172ème position et lui donne deux étoiles.

26 avril 2022

La quête - Ouvre les ailes de ton cœur et envole-toi !

Présentation de l’éditeur

" Lâcher prise ? ... SI JE VEUX ! " Nancy ne se pose pas de questions sur l’équation de sa vie. Sa fille à ses côtés, une brillante carrière, une forme de bonheur et d’équilibre. Femme au caractère bien trempé et à la verve assassine, elle croit tenir d’une main ferme les rênes de sa vie. Mais les fêlures apparaissent bientôt peu à peu. Trahison, mensonges… De château fort, sa vie devient un champ de ruines. Armée de son courage et de son envie de vivre, elle partira en quête de vérité. Ce voyage la mènera bien plus loin qu’elle ne l’aurait imaginé, dans un monde empreint de magie et de mystère qui ébranlera ses certitudes et sa vision de la vie. Il la poussera à faire face à de lourds secrets enfouis dans son passé. Mais trouvera-t-elle la force de les transcender, de s’aimer, et de renaître à elle-même ?

Bien, alors, je n’ai pas accroché du tout à ce livre de Peggy Ebring. Cela ne s’apparente pas pour moi à du développement personnel mais à de la magie. Le personnage principal, Nancy, est par trop caricatural, et la manière de l’aider de Fairy, ne paraît pas crédible du tout. Alors pourquoi autant d’avis positifs sur ce livre ? Gros mystère pour moi. Je n’ai trouvé qu’un avis négatif et il concernait les fautes d’orthographe et non le fond de l’histoire. Je l’ai trouvé limite dangereux quand il est question que toutes les maladies proviennent de nos maux (que l'on s'inflige à nous-même). Je ne dis pas que ce n’est pas parfois le cas, mais là on a l’impression que l’on pourrait éviter toute maladie si l’on prenait soin de son corps et de son bien-être.

Je classe ce livre en 650ème position et lui donne « un moins ».

1 mai 2022

Ma famille, ma bataille

Présentation de l’éditeur :

En ce dimanche de mai qui leur est consacré, elle a malgré tout reçu une invitation anonyme à rejoindre un château organisant des jeux de rôles. Elle est convaincue que cette initiative ne peut venir que de son mari ou de ses quatre enfants. Cette idée étonnante est-elle liée au dernier Noël familial catastrophique qu'ils lui ont fait subir ? En effet, entre les pédagogies éducatives innovantes ou inexistantes des uns et des autres et les caractères bouillants de certains, les repas festifs se sont transformés en une rediffusion du film Le Prénom. Au fil de l'après-midi, les doutes de Brigitte se confirment. Elle prend conscience qu'elle ne sortira pas indemne de cette journée qui aurait dû être ludique.

Je pense que toutes les fratries devraient lire ce bouquin. On s’y retrouve forcément à un moment ou à un autre entre les non-dits, les jalousies, les soi-disant préférences, les choix dans l’éducation des petits-enfants, le nombre des visites, les secrets, … En plus, l’idée du jeu de rôle est bonne et la façon de faire comprendre certaines choses aux membres de la famille est vraiment bien amenée.

Je classe ce livre en 30ème position et lui donne 3 étoiles.

4 mai 2022

La vie en plus joli

Présentation de l’éditeur            

Et si la peur pouvait éviter le danger ? Et si, pour trouver l’équilibre et le chemin du bonheur, il fallait simplement s’éloigner un peu de son quotidien ? Clotilde, la trentaine, responsable d’un lieu d’accueil enfants-parents, est très investie dans son travail, surtout depuis la perte de son compagnon. Un matin, elle apprend que Lisa Belin, l’une des mères de famille habituées de son espace d'accueil a disparu. Paulo, père de famille, se réveille seul. Sa femme n'est plus là. Ses affaires, son téléphone, rien n'a bougé. Seule sa voiture manque à l'appel. Ce papa, d'habitude happé par son travail, va devoir gérer le quotidien en s'occupant de Bastien, deux ans et demi, et de Mathilde, bébé demandant une attention particulière. Les vies de Paulo et de Clotilde vont alors se télescoper avant de basculer... Entre lacs somptueux, forêts d’arbres centenaires et dunes de sable fin, depuis les grandes étendues corréziennes jusqu’au splendide bassin d’Arcachon, partagez cette tranche de vie qui ne laissera personne indemne...à la croisée des chemins et des vérités.

Bon, alors, que dire de ce livre de Céline Fuentès ? Les livres qui commencent par des mensonges ou par des omissions de la vérité à la limite de la légalité pas très réalistes, ben, j’ai du mal. C’est dommage parce que le personnage de Clotilde est sympathique mais un peu trop naïf. J’ai trouvé le tout un peu trop gentillet.

Je classe ce livre en 533ème position et ne lui met pas d’étoile.

2 novembre 2022

Le blanc à lunettes

Présentation de l’éditeur :

Un avion qui s'écrase au Congo sur le sol rouge d'une plantation de café et c'est une histoire d'amour qui commence, entourée de ses drames. De sa tension. De la chaleur des terres d'Afrique, des orages qui ne viennent pas, des voisins anglais... L'attente... Les tambours... Des nouveaux venus qui deviennent fous... Tous ces petits riens qui campent les ambiances et font les grandes rotes ; du Simenon.

Bon, je me suis ennuyée avec ce livre de Georges Simenon. A croire que les livres qui parle de l’Afrique ne sont pas fait pour moi, tout comme « la ferme africaine » classée en 669ème position ou « trois femmes puissantes » classé en 643ème position.

Je classe celui-ci en 555ème position et ne lui donne pas d’étoile.

20 décembre 2022

Mon héroïne

Synopsis : Depuis son plus jeune âge, Alex ne rêve que d'une chose : réaliser des films. Mais à Rouen, son quotidien est bien loin du glamour hollywoodien. Surprotégée par sa mère Mathilde, elle espère intégrer une prestigieuse école de cinéma à New York. Malheureusement, tout ne se passe pas comme prévu et ses rêves sont brutalement brisés. Refusant d’accepter son sort, Alex décide de partir pour la grosse pomme avec l’aide de son excentrique tante Juliette pour un projet fou : donner son scénario à Julia Roberts. Vite rejointes par Mathilde, cette aventure new-yorkaise va marquer pour les trois femmes le début d’une nouvelle étape de leur vie et les rapprocher plus que jamais.

Ce film de Noémie Lefort où elle raconte sa propre histoire est une ode à la réalisation de ses rêves d'enfance. Il y a de jolies choses et de l'humour dans ce filme. Et l’héroïne n’est finalement pas celle que l’on croit… Mention spéciale pour l’actrice Louise Coldefy, magnifique dans le rôle de la tante et qui apporte son grain de folie.

Sinon, côté salle de cinéma, j’ai trouvé que le son était beaucoup trop fort ! On était 7 dans la salle...

Je classe ce film en 91ème position et lui donne une étoile.

10 juin 2023

Où sont passées mes lunettes ?

Présentation de l’éditeur :

L'âge de la retraite... " Madame, vous avez 59 ans. Bientôt vous pourrez demander votre retraite à la Sécurité Sociale... " C'est la lettre que reçoit un jour la narratrice, surprise de cet austère constat. Elle, elle n'est pas vieille, possède encore toute son énergie, et travaille dix heures par jour. Cette lettre de sa caisse de retraite est pour la narratrice l'occasion d'un bilan. Elle ouvre une malle de cuir noir où elle remise la paperasserie d'une vie. Et toute sa vie défile devant elle. Une enfance dans un milieu aristocratique, une adolescence fauchée, un premier emploi à 17 ans comme secrétaire dans un magazine féminin. Défilent aussi ses amours : un officier italien qui lui fait un premier enfant qu'elle ne peut garder ; Jean-Louis qu'elle épouse à vingt ans et dont elle a une fille ; puis Alexandre, le grand amour, qui lui donne un fils et trente ans de bonheur. Entre-temps, un divorce, un remariage, des aventures... les années qui filent, trépidantes. Une vie avec ses difficultés et ses joies, mais toujours empreinte d'amour et d'humour.

Quand on a lu un livre de Nicole de Buron, je pense qu’on les a tous lu et pour ma part, c’était le troisième…

Toujours le même genre d’autodérision, on déplace juste le contexte et les personnages dans un autre cadre et on obtient à peu près les mêmes blagues. Même les titres se ressemblent, tous sous forme d’une question.

Je classe ce livre (juste après les deux autres), en 381ème position, avec une étoile.

18 juin 2023

Les saintes chéries

Présentation de l’éditeur :

Les saintes chéries racontent la vie quotidienne d'une mère de famille. Celle-ci jongle du matin au soir pour rendre toute sa petite famille heureuse. Elle endure toutes sortes de choses : l'homme de sa vie, un être admirable qui malheureusement n'écoute que ce qu'il veut bien entendre, qui ne voit rien, ses enfants, qui ne veulent pas manger leurs légumes mais bien des sucreries, sa femme de ménage qui se plaint à son matériel de cuisine de ne pas gagner assez, la cellulite qui commence à la rattraper à cause de l'âge, sa voiture, un vieux tas de ferraille qui tombe sans arrêt en panne...

C’est un peu comme les 3 précédents livres de Nicole de Buron que je viens de lire : c’est un peu daté, le mari travaille et la femme s’occupe de la maison et des enfants (le mari lui donnant l'argent pour les courses). Les blagounettes sont toujours un peu les mêmes. J’avais déjà entendu parler de la série télévisée qui a été tirée du livre mais je ne l’ai jamais regardée (diffusée avant ma naissance), les premiers épisodes sont même en noir et blanc.

Je classe ce livre en 386ème position et lui donne une étoile.

Et il m'en reste un dernier...

20 juin 2023

Mais t'as tout pour être heureuse !

Présentation de l’éditeur :

« Ce matin vous vous extirpez de dessous la couette avec fougue parce que l’homme n’est pas là. Parti à la campagne planter une centaine de pommiers. Qu’il a dit… Vous faites deux pas sur la moquette. Et d’un bond vous vous recouchez. » Assaillie plus que de coutume par ses compagnes des mauvais jours, « sueur angoisse » et « pieuvre géante », Madame réalise qu’il est grand temps de consulter. Que faire de sa vie lorsque ses enfants sont grands, que son mari est parti planter des pommiers, que ses copines ne lui semblent d’aucun secours ?

Bon, cinquième et dernier livre acheté à la brocante de Nicole de Buron (je vais pouvoir passer à autre chose) parce qu’elle radote un peu, d’ailleurs, elle nous prévient au début de ce livre qu’elle a déjà pu nous raconter certains détails… Je confirme !

Bref, elle aime bien les blagounettes mais toujours un peu les mêmes. Du style :

« Le lendemain, vous vous réveillez abrutie par le comprimé de Mogadon que vous avez enfin retrouvé dans la doublure de votre sac et que vous avez avalé (le Mogadon, pas votre sac) avec une demi-bouteille de vin rouge. »

« Sans compter que Florence n’a pas rangé sa chambre avant de partir (en fait celle de fille ainée). Il vous a fallu le faire vous-même pour éviter une scène avec Justine. Cela vous a rappelé son existence à cette guenon (Florence, pas fille ainée adorée). »

Donc je classe ce livre à la suite des 4 précédents en 388ème position et lui donne une étoile (et c’est bien payé !).

13 juillet 2023

Là où chantent les écrevisses

Présentation de l’éditeur :

Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur " la Fille des marais " de Barkley Cove, une petite ville de Caroline du Nord. Pourtant, Kya n'est pas cette fille sauvage et analphabète que tous imaginent et craignent. A l'âge de dix ans, abandonnée par sa famille, elle doit apprendre à survivre seule dans le marais, devenu pour elle un refuge naturel et une protection. Sa rencontre avec Tate, un jeune homme doux et cultivé qui lui apprend à lire et à écrire, lui fait découvrir la science et la poésie, transforme la jeune fille à jamais. Mais Tate, appelé par ses études, l'abandonne à son tour. La solitude devient si pesante que Kya ne se méfie pas assez de celui qui va bientôt croiser son chemin et lui promettre une autre vie. Lorsque l'irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même...

Ce livre de Délia Owens est tout simplement magnifique. La nature y est décrite de façon si belle et la manière qu’à Kya de vivre en harmonie avec celle-ci est tout simplement magique. Tout est beau dans cette histoire, la façon qu’à Kya de s’en sortir seule, puis avec Tate, puis de nouveau seule. On suit les rebondissements les uns après les autres avec l’envie d’en savoir plus tout en voulant ne pas terminer le livre.

Je viens de voir qu'il a été adapté au cinéma. J'aimerais bien voir le film aussi...

Je classe ce livre en 47ème position et lui donne 3 étoiles. A lire absolument !

16 juillet 2023

Un pont entre nos 2 mondes

Présentation de l’éditeur :

Gwenaëlle vient à peine de quitter le sol français que sa fille lui manque déjà cruellement. Elle a beau tenter de se convaincre que ce voyage en Écosse pour confronter le père de sa petite Maïwenn n’est qu’une formalité et qu’il ne l’engage à rien, l’appréhension la gagne au fur et à mesure qu’elle se rapproche d’Inverness. Une fois sur place, malgré des retrouvailles tendues avec Darren MacLean, elle va rencontrer de sérieux alliés, aussi inattendus qu’accueillants. Et si ce séjour en terre écossaise était le début d’une nouvelle vie pleine de promesses ?

C’est le tome 2 après « le bonheur se moque bien des saisons » même si ce n’est pas tout à fait une suite car on ne suit plus Marie, Maxime et Antonin mais Gwenaëlle, l’amie de Marie. J’ai trouvé que ça tournait au roman à l’eau de rose ou plutôt nouvelle à l'eau de rose car de nouveau c’est assez court (183 pages pour celui-ci, le premier en faisait 214). Il y a un troisième tome où l’on suit l’histoire d’Adam, l’ami de Maxime. Et je pense être assez perspicace pour savoir qu’il va se passer quelque chose entre lui et sa voisine qu’il ne supporte soit-disant pas…

Je classe ce livre en 478ème position et lui donne 1 étoile.

21 septembre 2023

Haute saison

Présentation de l’éditeur :

Un club de vacances sur la côte basque. Quatre solitudes qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Une histoire d’amitié et de rédemption.Anglet, fin juillet. À la réception du Club Océan, Germain accueille comme chaque semaine les nouveaux arrivants, avec un mélange de plaisir et d’appréhension… Au milieu des habitués, certains clients goûtent pour la première fois aux « joies du club ». Chantal, qui débarque sans grand enthousiasme avec ses petits-enfants, Matthias, papa solo ayant cédé à l’appel de l’option « mini-club », et Fanny, venue en famille pour tenter de resserrer les liens, vont plonger dans ce huis clos aussi enjoué qu’inquiétant, dont la feuille de route est claire : faites connaissance et a-mu-sez-vous ! Mais qu’a-t-on à partager avec des êtres si différents ? Entre tournois de tir à l’arc, plaisirs du self et jeux apéro, ces vacanciers contraints de cohabiter parviendront-ils à rompre la glace malgré les secrets qu’ils ont emportés dans leurs bagages ? Peut-on réparer ce qui a été brisé ? Faut-il se lever à l’aube pour avoir un transat à la piscine ? Autant de questions à la fois profondes et légères qui portent ce roman solaire, plein d’humour, d’émotion et d’humanité.

Voici un livre facile à lire, sans prise de tête, une pause après un livre ayant nécessité plus de concentration et d’attention.

C’est parfois un peu gentillet mais j’ai bien aimé l’appréhension du sujet du handicap, sujet que l’on trouve assez rarement dans les romans contemporains (les sujets à la mode étant plutôt le harcèlement scolaire, les violences intra-familiales,  ..).

Ce livre m’a fait pensé à « Je revenais des autres » de Mélissa da Costa, du fait de rencontres de gens différents ayant des histoires particulières et se rencontrant dans un même lieu.

D’Adèle Bréau, j’ai déjà lu « La cour des grandes » classé en 40ème position avec 3 étoiles, « Le jeu des garçons » classé en 41ème position avec 3 étoiles, « Frangines » classé en 48ème position avec 3 étoiles et « les devoirs de vacances » classé en 233ème position avec 2 étoiles.

Je classe ce livre en 340ème position et lui donne une étoile.

18 août 2023

Un monde sans fin

Présentation de l’éditeur :

1327. Quatre enfants sont les témoins d'une poursuite meurtrière dans les bois : un chevalier tue deux soldats au service de la reine, avant d'enfouir dans le sol une lettre mystérieuse, dont le secret pourrait mettre en danger la couronne d'Angleterre. Ce jour lie à jamais leurs sorts... L'architecte de génie, la voleuse éprise de liberté, la femme idéaliste, le moine dévoré par l'ambition... Mû par la foi, l'amour et la haine, le goût du pouvoir ou la soif de vengeance, chacun devra se battre pour accomplir sa destinée dans un monde en pleine mutation – secoué par les guerres, terrassé par les famines, et ravagé par la Peste noire.

Alors, certes, j’ai beaucoup aimé ce livre de Ken Follet, mais j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup trop de similitudes avec « Les piliers de la terre » du même auteur.

En effet, outre le fait que l’histoire se situe au même endroit deux siècles plus tard et que les protagonistes ne sont évidemment pas les mêmes, on retrouve :

-          Une jeune aristocrate ambitieuse et volontaire : dans le premier Aliéna, dans le second Caris

-          Toutes deux sont éprises d’un bâtisseur : Jack / Merthin

-          Leurs amours seront contrariées par différents événements, notamment Jack qui sera moine et Caris qui sera sœur

-          Le méchant seigneur qui terrorise les serfs, viole les filles et n’applique aucune loi sinon celle de ses intérêts : William / Ralph

-          Le voyage initiatique Saint-Jacques de Compostelle pour Jack et Aliena, l’Italie pour Merthin

-          Le secret au plus haut du royaume : le naufrage masquant l’assassinat du prétendant au roi / la lettre prouvant que le roi n’est pas mort 

J’ai mis 3 semaines à lire ce livre de 1344 pages (j’avais mis 10 jours pour lire le premier de 1228 pages). 

Mis à part cela, j’ai bien aimé ce livre mais ces similitudes m’empêchent de le classer aussi bien (« les piliers de la terre » est classé en 8ème position. 

Je classe « un monde sans fin » en 111ème position et lui donne 3 étoiles.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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