Le week-end dernier, nous sommes allés voir Nico et Aurélie dans leur nouvel appartement en région parisienne. Avant de les rejoindre, nous sommes passés par Paris au Quartier Montmartre et avons déjeuner Place du Tertre.

Arrivés au Sacré-Coeur, nous avons décidé de monter dans le Dôme.

Vue de Paris du Dôme. Bon, bien sûr, il manque un peu de soleil et de ciel bleu !

On distingue tout de même bien la Tour Eiffel.

Le soir, nous sommes allés voir la comédie musicale Sister Act. 3 heures de spectacles, des chanteurs très doués, un peu d'humour et beaucoup de paillettes à l'américaine. On a passé un bon moment.

Il y a longtemps que je n'avais pas pris le jardin en photo. D'une part, parce que vu le temps, la floraison a pris du retard et d'autre part parce que sans soleil, les photos sont tout de suite moins jolies.

Donc profitant d'une apparition de celui qu'on attend tous, j'ai pris le cytise (sous toutes les coutures) vu comment il est beau (à croire que la météo lui a parfaitement convenu à lui !!) : 

De plus près : 

D'encore plus près, j'en connais qui font de véritables récoltes de pollen :

Bon, une dernière fois, tellement il est beau et tellement cela dure peu :

Bon, il n'y a pas que le cytise qui est en fleurs, le weigela aussi :

Le chevrefeuille ne va pas tarder à s'ouvrir et à embaumer :

Les premières potentilles :

Les pensées de mon époux :

Les pensées (toujours de mon époux) :

Voilà, un petit tour sous le soleil, quand on en est privé autant que cette année, cela fait du bien !

Aujourd'hui, j'avais envie de m'acheter des chaussures compensées... mais une fois dans le magasin, j'ai vu une couleur que j'aime particulièrement... des chaussures violettes. Je n'ai pas résisté longtemps. 

En déambulant pour essayer ma trouvaille, j'ai vu une autre paire qui me plaisait bien (pas compensée non plus) et je l'ai prise aussi :

Alors, autant j'ai deux sacs à main qui peuvent aller avec la première paire de chaussures (parce que j'aime bien que ce soit coordonné), autant je n'en avais pas pour la paire "camel". Ni une, ni deux, je vais deux magasins plus loin et hop :

Pour la petite histoire (une de mes expressions favorites), mon homme en attendant avait fait un tour à la FNAC et avait acheté un "gadget" pour écouter de la musique en blue tooth. Il est d'ailleurs dans le fond du jardin avec son téléphone et la fameuse Jambox en train d'écouter ses chansons favorites... 

Comme je l'indiquais dans mon billet du 1er mai, je continue depuis 6 semaines à suivre les recettes proposées dans la fabrique à menus du site mangerbouger.com.

Le midi, je prévois l'option "menu express" pour avoir le temps de les préparer.

Du coup, ce midi, voici ce que j'ai mangé (oeufs, féculents et légumes) :

Cela entraîne juste un peu beaucoup de vaisselle pour une seule personne, vu que je ne mets pas l'auto-cuiseur, les poêles et les casseroles dans le lave-vaisselle ! Mais bon, vous me direz que j'ai le temps, puisque je prends celui de vous écrire un billet sur mon blog...

Pour faire suite à mon billet du 1er juin où j'avais acheté deux paires de chaussures et un sac, j'ai trouvé sur internet deux sacs de couleur pour aller avec l'une des paires achetée ce jour là et un pour aller avec une paire achetée plus tôt. J'ai commandé dimanche et je les ai reçu mercredi.

Voici donc ce que cela donne :

Je ne suis pas du tout mécontente du résultat. Le sac rose va parfaitement avec les chaussures et il est en cuir de bonne qualité.

Pour le sac violet, il est un peu moins beau et un peu moins pratique mais la couleur correspond bien aux chaussures. Pas forcément évident lorsque le choix se fait sur internet...

Une collègue, un peu rabat-joie, m'a dit que cela ne sert à rien mais je trouve que cela sert déjà à me faire plaisir (et mon époux m'a dit que c'était joli car forcément dès jeudi j'avais porté le premier ensemble !). J'aime bien les sacs et j'aime bien les chaussures alors autant les accorder...

Hier, c'était notre anniversaire de mariage.

Voici ce que j'avais préparé sur la table du salon avant le retour du travail de l'homme :

Quand il est arrivé dans le salon, je l'ai entendu rire de la cuisine car, comme d'habitude et pour la quinzième fois, il avait oublié cet anniversaire :

Avant d'avoir l'autorisation d'ouvrir les paquets, il a dû remplir un "mots croisés" (parfois je fais un quizz, parfois je fais un jeu de piste, ...) afin de découvrir le thème des noces de cette année. En effet, je respecte la tradition en offrant un cadeau en rapport avec  la noce.

Après réflexion, la grille est remplie et il découvre que ce sont nos noces de cristal :

Voici le cadeau. Mon mari étant amateur de bons whiskys, j'ai pensé à un service à apéritif... en cristal, bien sûr :

Vous trouverez ici un court résumé de notre voyage au Mexique. Il a été difficile de faire un choix parmi les 590 photos prises sur place. 

Jour 1 :

Paris - Cancun (état du Quintana-Roo).

Départ à 15 h 45 arrivée à 19 h 30 (heures locales). 10 h de vol. 7 h de décalage (il faut avancer nos montres). Nous sommes accueillis à l'aéroport par Yves, notre guide pour le circuit, et Erwin, notre chauffeur de bus. Rencontre avec les autres personnes du groupe. Nous sommes 28 dont 8 enfants de 8 à 18 ans. Arrivée vers le premier hôtel vers 21 h 30.

Jour 2 :

Cancun - Coba - Chetumal (425 km)

Nous visitons notre premier site archéologique Maya à Coba à travers une végétation dense. La photo ci-dessous montre la plus haute pyramide de l'état du Yucatan qui culmine à 42 m (120 marches).  

La seconde photo montre la vue que l'on a de la pyramide. Lorsque nous étions en haut, un orage est survenu et une grosse averse nous a surpris. Nous sommes donc descendus le plus rapidement possible tout en restant vigilents à ne pas glisser. Du coup, nous sommes plusieurs personnes du groupe à avoir eu mal aux cuisses (au point de ne presque plus savoir lever les genous) pendant deux jours ! Pas pratique quand on sait le nombre de marches et de pyramides que nous aurons à monter pendant le circuit !! Arrivés en bas, nous étions trempés jusqu'aux os. Mais bon, rien de grave, l'eau n'était pas froide et ce sera la seule fois où nous serons surpris par la pluie.

Hôtel à Chetumal (Etat du Quintana-Roo).

Jour 3 :

Chetumal - Kohunlich - Becan - Palenque (486 km !!)

Découverte du site de Kohunlich. Pas de haute pyramide mais un site magnifique et verdoyant dans la jungle,

au sein d'une végétation surprenante : 

avec des palmiers magnifiques :  

et au son du pic-vert à tête rouge : 

Nous allons ensuite au site de Bécan (Etat du Campeche). Ci-dessous fleur d'un palmier flamboyant : 

Ce site peu fréquenté mais pourtant très beau comportent de nombreux édifices restaurés : 

Nous avons gravi cette pyramide : 

et au fur et à mesure la vue devient magnifique : 

La végétation est toujours autant surprenante. Cet arbre n'est autre qu'un ficus (légèrement plus volumineux que ceux de nos intérieurs !) : 

Hôtel à Palenque (Etat du Chiapas).

Jour 4 :

Palenque - Campeche (370 km)

Visite du site de Palenque. Beaucoup de monuments à voir sur ce site en pleine forêt tropicale. C'est ici qu'a été découvert le tombeau de Pakal, un grand dignitaire Maya, avec une magnifique pierre tombale sculptée de plus de 600 hieroglyphes que nous ne verrons malheureusement qu'en photo. Nous nous consolons par la qualité exceptionnelle des autres structures :

Difficile de prendre des photos sans touristes dessus (le site est plus visité que les 3 premiers). Pour celle-ci, il a fallu être un peu patiente : 

Photo prise d'une pyramide que mon chéri a gravi (ayant le vertige, il n'a pas monté les plus pentues) : 

Joli papillon prenant la pose : 

Départ pour Campeche  

tout en longeant le bras de mer : 

Visite de la ville fortifiée et très colorée de Campeche : 

La plaza de l'independencia entourée de maisons coloniales : 

Hôtel à Campeche :

Jour 5 :

Campeche - Uxmal - Merida (250 km)

Sous une chaleur écrasante, visite du site d'Uxmal (Etat du Yucatan). La plupart des édifices Mayas de ce site ont été construits entre le VIIème et le Xème siècle.  

Voici la pyramide du devin ou du magicien (notre guide nous a expliqué la légende du nain et de la vieille, trop longue pour vous la relater ici, mais il avait un fabuleux talent de conteur) :

Beaucoup d'iguanes sur le site (celui sur la gauche à la queue abimée, cela signifie qu'il a perdu une bataille contre un autre iguane) : 

Les parties hautes des monuments sont très décorées (ici un serpent à sonnette parcours l'ensemble du bâtiment) : 

Le quadrilatère des nonnes (où quatre structures se font face, chacune à une hauteur différente, illustrant les différentes classes sociales) : 

Nous avons monté doucement cette pyramide (du fait de la chaleur)  : 

mais nous sommes récompensés par la vue qu'elle offre sur l'ensemble du site (notamment sur la pyramide du devin) : 

Reprise du bus pour arriver à Merida (Etat du Yucatan) : 

Porte du palais Montejo datant du XVIème siècle (du nom du fondateur de la ville) : 

La cathédrale de Merida : 

Hôtel à Merida après un diner libre. L'ensemble du groupe s'entendant très bien, nous sommes restés ensemble pour ce diner que nous avons passé dans un restaurant très sympatique au style colonial et avec un musicien-chanteur de grand qualité. Le serveur était d'une grande efficacité (il a fait une note par famille sachant que les enfants étaient au bout de la table, il a vite repéré qui était avec qui et tout cela avec un sourire bien sympathique). Une personne du groupe (Isabelle) a même eu droit pour son anniversaire (40 ans !)  à une part de gâteau avec bougie et chapeau mexicain pour la photo !! Super souvenir.

Jour 6 :

Merida - Chitchen Itza - Riviera Maya (370 km)

Sous une chaleur encore plus écrasante que la veille (si c'est possible), visite du site de Chichen Itza (Etat du Yucatan), complexe pré-colombien du Yucatan (ici, impossible de gravir les pyramides car il y a eu 4 morts pour cause de chutes...).

Le guide nous a ensuite proposé de nous baigner dans un Cenote (puit naturel où l'eau est transparente et où les poissons-chats vous chatouillent) : 

C'était magique !! et rafraîchissant !!

Direction Riviera Maya (Etat du Quintana-Roo) où nous rejoignons le dernier hôtel où nous passerons deux nuits. Il se situe sur la mer turquoise des caraïbes.

Un costume traditionnel maya : 

Une des 5 piscines : 

Jour 7 :

Hôtel à la Riviera Maya pour profiter de la plage et du soleil. Baignade dans la mer et dans la piscine. Chambre exceptionnelle : deux pièces + terrasse et deux salles de bains...

Jour 8 :

Plage - scooter des mers.

Riviera Maya - Cancun - Paris

Départ à 21 h 35 arrivée à 14 h 20 (heures locales). 9 h 30 de vol. 7 h de décalage (il faut retarder nos montres) !! D'ailleurs, difficile de se remettre du décalage, il est plus de deux heures du matin et personne ne dort à la maison...

Petit résumé :

Des sites archéologiques magnifiques, un temps chaud et beau (des averses de temps en temps mais rapides), un guide formidable plein de connaissances et d'une patience à toute épreuve, un groupe vraiment agréable, nous avons sympathisé notamment avec deux couples (Agnès et Philippe - Isabelle et Pascal), de bons hôtels (sauf le deuxième) et deux jolies villes visitées (Campeche et Merida).

Petit regret :

Le fait d'être en bus et en groupe ne permet pas de s'arrêter quand on le voudrait pour prendre des photos (impossible par exemple de prendre les maisons colorées de certains villages ou les ranches avec les buffles, plus résistants à la chaleur que nos boeufs).

Beaucoup de bus, mais c'est normal au vu des distances et des routes au Mexique qui n'ont rien de comparables avec la France. Il faut savoir que nous n'avons traversé que 4 états, le Mexique en compte 21 !!

Voici le parcours effectué :

Un petit billet, qui fait suite à celui du 14 août, pour vous donner des nouvelles de mon orchidée, je sais que vous en attendez avec impatience !! :o) !

Après la première fleur, voici les 4 autres qui se sont ouvertes :

Sur le deuxième pot, il y a une tige qui pousse également mais elle n'a pas beaucoup progressée depuis la dernière fois... A suivre...

Aujourd'hui, c'était la première compétition de la saison.

La première pour Antoine en tant que cadet (cadet 1). Depuis cette année, les cadets regroupent 3 années d'âge (au lieu de 2). Antoine peut donc rencontrer des judokas de deux ans plus âgés que lui....

Il se retrouvait pour la première fois avec tous ses copains du pôle espoir de Judo (l'année dernière, étant le seul minime, il faisait des compétitions différentes).

Il a combattu en moins de 50 kg (avec quelques efforts car il est vraiment à la limite de passer en moins de 55). Il y a 4 combattants dans sa catégorie, dont Naïm (cadet 1) qu'Antoine connaît bien et qu'il n'a jamais battu (l'année dernière Naïm a fini premier de toutes les compétitions).

Il a rencontré en premier combat Pierre, ceinture noire cadet 2 (la première de sa carrière puisqu'en minime il ne peut y avoir de ceinture noire). On a tout de suite vu dès le début du combat que le niveau monte d'un cran ! Au final, Antoine a réussi à battre son adversaire avec un étranglement au sol. A partir des cadets, les étranglements et les clés de bras sont permises (oups !).

Il rencontre ensuite Jérémy, ceinture marron et le bat en ippon.

Il rencontre Naïm en dernier combat. Ce dernier a également battu les deux autres. Le combat commence bien et Antoine résiste. Au moment où Antoine tente une prise, Naïm le contre et obtient ippon contre Antoine.

Notre fils finit donc deuxième mais il nous a impressionnés par son implication et sa détermination.

La prochaine compétition aura lieu dans 15 jours à Metz. Ils partent en bus avec le Pôle. JP a envie de les rejoindre en voiture (Antoine préfèrerait que nous n'y allions pas). Il va essayer de rester en moins de 50 pour cette compétition... La dernière sans doute dans cette catégorie.

Pour la première fois pour JP et moi, nous sommes allés en Corse. Antoine, lui, y allait pour la seconde fois puisque l'année dernière, il a fait un Camp Ado de 15 jours sur l'Île de Beauté.

Jour 1 :

Après une heure et demie d'avion, arrivée à Ajaccio (un bonheur ! Antoine était parti en train puis en bateau et avait mis une journée et une nuit pour arriver). Nous récupérons la voiture de location que JP avait réservé et décidons, vu l'heure encore matinale de partir directement voir les Calanques de Piana :

Les Calanques avec vue sur la mer :

Les Calanques toujours, avec le "chateau fort" (bloc carré que l'on voit en partie au milieu de la photo au deuxième plan) : 

Nous prenons la route pour retrouver le mobilhomme à Porto-Vecchio au Sud-Est de l'île (deux heures et demie pour 147 kilomètres, les durées sont plus longues que chez nous car cela tourne beaucoup...) :

Jour 2 :

Passage à Porto-Vecchio :

Avant de prendre la route de Bonifacio à l'extrême Sud de l'ïle :

1ère étape, descente des 187 marches creusées dans la falaise de l'escalier du Roy :

Arrivée à une très jolie crique devant une mer turquoise :

Le passage creusé dans la roche (nous voyez-vous JP et moi ?) :

La remontée s'avère un peu plus difficile que la descente (les marches sont hautes) ! Vous apercevez JP tout en bas, (si, si !) : 

Vue sur les falaises et le "grain de sable", le rocher qui sort de l'eau au milieu de la photo :

La ville de Bonifacio (la ville haute) perchée sur ses falaises :

Bonifacio, vue de l'autre côté, avec ses maisons au bord de la falaise. On voit également le "grain de sable" sous un autre angle  :

Le cimetière marin de Bonifacio :

Jour 3 :

Ballade jusqu'au monastère de Bethléem :

Voici le monastère :

Jour 4 :

Petit bout du GR20 (l'extrème partie Sud - à Conca). On a fait 4 km dans un sens et 4 km dans l'autre :

Cela monte et cela descend. Voyez-vous JP et Antoine parmi la végétation ?

Le sentier GR 20 dans la montagne :

Petite récompense au bout des 4 kms, une jolie cascade :

Jour 5 :

Météo annoncée : Grand beau soleil donc départ pour les Aiguilles de Bavella.

Juste avant le lac de l'Ospédale (retenue d'eau par un barrage) :

Une partie des aiguilles, les plus impressionnantes ne seront pas visibles car sous la brume (malgré la météo annoncée...) :

On a découvert ces étranges constructions sur les pins. En fait il s'agit, après recherches, de la chenille processionnaire du pin (un papillon de nuit). C'est un insecte nuisible qui envahit petit à petit de plus en plus de régions en France. Les poils des chenilles sont urticantes et font des dégâts chez les animaux ou les hommes qui s'en approchent de trop près. Elles empêchent également les pins de se développer normalement :

Vue sur les aiguilles :

Rencontre avec un cochon faisant sa sieste :

Petite halte pique-nique au bord d'une rivière translucide :

Autre vue sur la montagne :

Après 3/4 de marche, cette fois complètement sous la pluie (vraiment bien la météo !!), nous arrivons à la cascade de Piscia di Gallo :

Jour 5 :

En route pour Corte (Centre de l'île) et Bastia (Nord-Est). Petite photo des sommets enneigés :

Arrivée à Corte :

Vue de la Citadelle de Corte et du village en contre-bas :

Visite de Bastia (ici le vieux-port vu de la jetée du Dragon) :

Jour 6 :

Plage de Palombaggia :

Jour 7 :

Retour à la maison.

Espérons pouvoir y retourner et visiter le Nord-Est de l'île et le cap Corse...

Pendant le pont du mois de mai, JP a organisé une petite croisière de 4 jours et demi sur la Meuse. Maman, Jean et Antoine sont là aussi.

Départ de Pont-à-Bar (1ère nuit à quelques centaines de mêtres du lieu du démarrage) : 

Le lendemain, passage de la première écluse (il y en aura 15 dans un sens et 15 dans l'autre...) :

Première rencontre animalière, il y en aura plein d'autres par la suite :

Au fond d'une écluse, JP aux commandes :

Ouvertures des portes :

Antoine quitte sa tablette un moment pour naviguer un peu :

Arrivée à Monthermé :

Nous quittons le bateau pour prendre un peu de hauteur :

On voit donc Monthermé et la boucle que fait la Meuse autour du village (on voit également le bateau pour ceux qui ont de bons yeux) :

Le lendemain, on quitte Monthermé :

Monthermé (à nouveau) !

Monthermé (et oui encore !, il faut croire que j'ai aimé...) :

Passage dans le canal longeant la Meuse, très verdoyant :

Le canal :

Une maman cygne et ses petits :

Passage sous le tunnel : enfin à vrai dire troisième passage, l'écluse suivant le tunnel étant en panne, nous avons attendu 2 heures et demi pour pouvoir passer en faisant des demi-tours et en tentant d'accoster en vain en attendant que les voies navigables de France que nous avions appelées débloquent la situation :

JP s'est fait un nouvel ami :

Arrivée à Fumay :

Nouvelle panne, cette fois-ci dans une écluse. La porte refuse de se fermer. Les voies navigables de France interviendront cette fois au bout de 3/4 d'heures. On a lu dans le livret du capitaine que par temps de pluie, les écluses sont davantage sujettes aux pannes et il a plu pas mal pendant ces 4 jours...

Pendant la panne, j'ai eu le temps de prendre quelques photos (ici le barrage de l'autre côté de l'écluse) :

Le samedi, JP et Antoine sont partis pour une compétition (pas prévue au moment de la réservation de la croisière). Ils devront donc faire la route deux fois...

Nous ne sommes plus que trois dans le bateau en attendant leur retour.

Nous sommes donc 3 pour le passage des écluses et du fameux tunnel. On s'en sort plutôt pas mal. 

Petite rencontre avec une famille oie :

Jean aux commandes du bateau :

Tout se passe bien jusqu'à notre ville d'arrivée (Joigny sur Meuse).

Sauf que sur le livre de navigation, il y avait noté deux points d'accostage. On voit le premier à gauche et après une île on s'aperçoit que le deuxième point n'est pas vraiment idéal (il n'y a même pas de bollarts pour amarrer le bateau). Du coup, on décide de faire demi-tour pour rejoindre le premier point. C'est là que le problème arrive : on s'embourbe au milieu de la Meuse à 15 mètres de l'île :

Du coup, malgré des manoeuvres avant et arrière pour tenter de bouger le bateau, malgré le fait que Jean soit descendu dans l'eau pour voir s'il pouvait faire quelque chose (!), nous n'avons pas réussi à sortir de là.

J'ai donc appelé les pompiers ainsi que l'entreprise propriétaire du bateau (qui a appelé de son côté les voies navigables de France et son salarié pour qu'il vienne nous aider). La personne des voies navigables est passée et quand je lui ai dit que les pompiers arrivaient elle est repartie aussi vite (merci beaucoup pour son aide précieuse ! En même temps, c'était samedi soir vers 17 h 15).

Les pompiers sont arrivés avec 3 plongeurs et un petit bateau.

Entre temps, j'expliquais à JP les derniers rebondissements par sms (Antoine était pendant ce temps là en finale de la Coupe départementale où il y avait 25 combattants dans sa catégorie).

Les plongeurs ont regardé s'ils pouvaient bouger le bateau mais on était bien accroché sur une grande longueur sous le bateau. Le salarié du propriétaire est arrivé et a réussi a décoincer l'arrière du bateau. Avec l'aide des pompiers qui ont soulevé l'avant du bateau on a pu réaccoster... Tout cela a bien pris deux heures et demie et pas mal de stress... Les pompiers nous ayant dit qu'on risquait de se retrouver sur la rive avec nos bagages si le bateau n'était pas déplaçable...

JP et Antoine sont revenus samedi soir. Antoine a fini 2ème et est qualifié pour aller à Clermont-Ferrand.

Dernier jour de navigation, entre deux averses :

Suite à sa deuxième place lors de la Coupe de France, le 10 mai, Antoine s’est qualifié pour le Critérium National (D3) à Ceyrat (à côté de Clermont Ferrand).

La semaine dernière, il est donc parti avec Franck, le président de son club et deux judokates Kathleen et Tamara qualifiées elles aussi.

L’immense salle comportait 16 tapis et les pesées étaient très bien organisées (une balance par catégorie de poids !).

Il y avait 71 candidats dans la catégorie des moins de 55 kilos (!).

Ils sont 3 dans sa poule. Antoine gagne le premier combat par Ippon en faisant un Sumi gaeshi (sa prise préférée). Il perd le second combat sur un contre. Comme les deux autres judokas de sa poule gagnent et perdent un combat chacun, ils sont qualifiés tous les 3 pour le tableau.

Antoine gagne son 3^ème combat et son 4^ème combat par des Ippons au sol. Il gagne son 5^ème combat par Ippon grâce à un sumi gaeshi.

Il arrive donc en ¼ de finale. Malheureusement, il perd ce 6^ème combat sur un o goshi.

Il finit donc 5^ème de la compétition (sur 71). Il n’aura rencontré que des ceintures noires.

Ce week-end, nous sommes allés à Saint Etienne pour la finale des Championnats de France FSGT.

Il y a 15 combattants dans sa catégorie.

A la fin du premier combat, il n’y a pas de point marqué et son adversaire a pris un shido (un avertissement). Normalement, Antoine est vainqueur mais l’arbitre demande à prendre les drapeaux (à ce moment là les 3 arbitres lèvent le drapeau blanc ou rouge pour dire qui ils considèrent avoir gagné). Ils lèvent 2 drapeaux blancs et un drapeau rouge. Antoine (ceinture rouge) perd donc le 1^er combat sur une erreur d’arbitrage. Celle-ci sera reconnue par la suite par la table mais le score restera inchangé.

Il gagne le second combat avec les drapeaux (nouvelle égalité à la fin du combat) car Antoine est reconnu avoir dominé et être plus combatif.

Il gagne le 3^ème combat par ippon sur un contre.

Il sort donc des poules et atteint les ¼ de finale :

Il gagne le 4^ème combat par 1 waza ari et 7 yukos.

Il arrive en ½ finale mais perd sur 1 waza ari.

Antoine finit donc 3^ème de la compétition :

Beau podium :

Nous sommes rentrés de Saint Etienne et avons emmené directement Antoine passer ses Katas (après 10 heures de route dont deux heures de bouchon sur Paris sous des trombes d’eau !).

Malheureusement, son partenaire Pierrick et lui ne les ont pas obtenues. Ils n’auront donc pas leur ceinture noire cette fois-ci !!

Chaque année, je prépare nos anniversaires de mariage avec soin (parfois il faut du temps pour trouver le cadeau en accord avec le thème de la noce).

JP n'y a jamais pensé une seule fois...

Sauf cette année !!!

Nous fêtons demain nos 16 ans de mariage (!). Il s'agit des noces de saphir.

Difficile dans ces conditions de lui offrir un cadeau. J'ai bien vu une chevalière avec un animal dont les yeux étaient des saphirs, mais pour un homme qui ne porte que son alliance et une montre, c'était trop imposant. Sinon, en rapport avec du bleu, un saut en parachute, mais n'y pensons même pas, il n'a pas osé le parapente tellement il a le vertige. Dernière idée, un petit tour à la mer, pour trouver du bleu, il aurait fallu partir un peu trop loin. Du coup, pour la première fois, j'ai acheté pour notre anniversaire un cadeau pour moi...

Voici ce que j'ai choisi :

Quant à son cadeau, dont l'emballage a été légèrement abimé par le chien que nous avons amené chez le vétérinaire hier (parce qu'il boîte) et qui a trouvé un truc sympa à dépiauter dans le coffre de la voiture :

Sous l'emballage abîmé, il y avait un sa... rubis !!

Bon, sauf que le rubis c'est pour les 35 ans de mariage et que JP a pris un peu d'avance mais je ne vais pas me plaindre ! Pour une fois qu'il pense à notre anniversaire de mariage et en plus c'est très joli !!

Je t'aime M'chéri !

Depuis fin avril, j’avais remarqué un léger boitement de Jecko. La première fois que j’en ai parlé à JP, il m’a dit que Jecko avait passé l’après-midi à courir autour de lui alors qu’il s’occupait du jardin et que cela ne l’avait apparemment pas perturbé.

J'en ai parlé au vétérinaire lors de son 1er rappel (le 14 mai, le jour de ses 3 mois) et il pensait que cela provenait de l'épaule. Il lui a donné des comprimés anti-inflamatoires à prendre pendant un mois pendant lesquels Jecko n'a plus boité.

Et puis, il y a 15 jours, nous sommes partis en balade avec le chien. JP a enfin pu constater que le chien boitait effectivement de la patte avant droite.

Du coup, nous sommes retournés chez le vétérinaire (la fois où il a déchiqueté mon cadeau d’anniversaire de mariage dans le coffre de la voiture pour ceux qui suivent assidûment mes billets).

Ils (les deux vétérinaires) ont effectivement pu constater lors de la palpation que quand le coude est en extension, Jecko manifeste sa douleur. Ils lui ont donc fait une radio et au vu du résultat, nous ont conseillé d’aller voir un spécialiste des os. Il a été prescrit un anti-douleur à base de cortisone en attendant. Ils avaient l’air un peu pessimistes. Cela paraissait presque irréversible, voire génétique et il nous a même été dit que l'on n’aurait jamais un chien "sportif".

Bon, l’idée de départ, c’était quand même de pouvoir faire de belles ballades en compagnie de notre toutou...

Entre temps, un midi où je ne suis pas rentrée, Antoine a donné à manger au chien et comme il n’a pas remis le médicament à sa place, Jecko a consommé toute la boîte d’un coup. Appel chez le vétérinaire qui m'a dit que cela n’aurait pas de conséquence à part une grosse soif (effectivement !) et peut-être un peu d’énervement (ce que je n’ai pas constaté).

Donc, aujourd’hui, nous sommes allés chez LE spécialiste à une heure de route de la maison (enfin normalement, parce qu’avec un accident sur l’autoroute cela nous a pris trois quarts d'heure de plus et à l’arrivée, on a eu du mal à trouver, JP était presque prêt à faire demi-tour…).

Le spécialiste a été formel, il s’agit d’une ostéochondrose, à savoir un défaut au niveau d’un cartilage dû à la croissance.

Il y a donc deux nouvelles, une bonne et une mauvaise :

-          La bonne, c’est que cela n’est pas du tout irréversible et qu’après une opération, Jecko ne devrait plus boiter. A priori, au vu d’autres palpations, le problème ne serait présent qu’au coude mais le spécialiste fera des radios complémentaires pour vérifier cela le jour de l’opération,

-          La mauvaise, c’est le coût de l’opération, à savoir 500 euros (Oups !).

En même temps, je me dis que si Jecko ne boîte plus après rétablissement de l’opération, c’est plutôt génial car on s’attendait presque à ce que le spécialiste nous dise que son problème était général sur l’ensemble de son squelette et ce n’est pas le cas !!

Donc résultat, Jecko se fait opérer mardi…

Photo du toutou mouillé, il a plu ce soir...

Suite à mon billet du 27 juin, Jecko a été opéré aujourd'hui.

Tout s'est bien passé. Le spécialiste nous a même donné en souvenir tous les petits morceaux de cartilage qu'il a retirés !!

Jecko a donc à présent un beau pansement. Il faudra retourner voir notre vétérinaire vendredi.

Le seul hic, c'est qu'il faut refaire la même opération en Septembre pour le coude gauche (youpi tralala itou comme dirait JP)... et re 500 euros... Oups !

Antoine lui a mis un tee-shirt pour qu'il ne tente pas d'arracher son pansement, mais à mon avis il est un peu trop court...

J'avais RV aujourd'hui pour retirer les fils suite à l'opération de Jecko mais j'y suis allée hier car j'ai découvert une grosse boule juste au niveau de la cicatrice.

La vétérinaire m'a dit que c'était peut-être une allergie aux fils et qu'en les retirant la boule allait sûrement se résorber toute seule.

Aujourd'hui, la boule est toujours là :

La vétérinaire m'a conseillée de repasser la voir demain si la boule est toujours là... J'ai bien l'impression que ce sera le cas.

Sinon, chose plus réjouissante, je continue l'éducation de Jecko. Après plusieurs mois de répétition, il se couche enfin sur commande.

Voici une petite vidéo :

Quatrième de couverture

Il était une fois une princesse russe nommée Anne, elle épousa un roi de France, Henri. C'était il y a fort longtemps : en 1051...

Il y avait fort longtemps aussi que je n'avais lu un roman de Régine Deforges et j'y ai pris beaucoup de plaisir.

Outre le contexte historique qui est très intéressant, la forte personnalité de la Reine Anne en fait un roman passionnant.

Je classe ce livre en 38eme position et lui donne trois étoiles.

Cette année, nous sommes partis deux semaines en vacances à Boulbon, un joli petit village à une vingtaine de kilomètres d'Avignon.

Jour 1

Départ très tôt de la maison, qui nous a permis de passer Lyon avant 10 h du matin (!). Il y a eu un peu plus de monde ensuite mais nous sommes arrivés à Boulbon vers 16 h 30.

Visite de la maison avec la propriétaire. C'est une maison au coeur du village, sur deux étages (RDC : salle à manger, cuisine, salle de bains - 1er étage 3 chambres et une petite terrasse - 2ème étage : salon et grande terrasse).

Voici la salle à manger (avec pierres et poutres apparentes) :

Vue de la terrasse du 2ème étage sur le château de Boulbon qui surplombe le village :

Jour 2

La première semaine a principalement été consacrée au Festival d'Avignon. Nous avons vu une dizaine de spectacles et profité des artistes de rue. 

La ville est placardée d'affiches, il y en a partout !

En plus des affiches, les comédiens eux-mêmes distribuent des tracts. Voici la quantité récupérée pendant un repas sur la place de l'Horloge :

Un guitariste exceptionnel sur la place de l'horloge. Incroyable ce qu'il peut faire avec sa guitare trouée : 

Le premier spectacle que nous avons vu est "même jour, même heure". L'histoire de 3 garçons qui se donnent RV 10 ans après le bac et qui ont pris chacun des voies (et des vies) radicalement différentes. Si je devais donner une note (comme pour mes livres de "moins" à "3 étoiles", je donnerai une étoile).

Au retour du Festival, petite balade à vélo avec JP jusqu'à l'abbaye de Frigolet (à 7 km de Boulbon) :

Vue du village du cimetière :

Jour 3

Retour à Avignon pour le Festival.

Artiste de rue :

Nous sommes allés voir le "one man show" de Sacha Judasko où il relate certaines de ses expériences (je donnerai deux étoiles) :

Le pont d'Avignon :

Jour 4

Petite ballade matinale dans Boulbon (ici vue au pied du château)  :

Apéritif (rosé au pamplemousse frais) sur la terrasse :

Après-midi, deux spectacles à Avignon.

Le coach, comédie sympathique. Un homme trop gentil, se fait coacher pour apprendre à dire non (je donnerai 2 étoiles).

Ensuite, un concert de Gospel (un peu déçue, pas vraiment américains à part la chanteuse qui ne fait pas habituellement partie du groupe, je ne donnerai donc pas d'étoile) :

Jour 5

Petite trève de la famille pendant le festival. Nous sommes allés à Sainte-Marie de la mer pour une petite baignade (l'eau de la Méditérranée n'était pas très chaude !). Passage obligé en Camargue avec ses chevaux et ses taureaux (ces derniers sur la photo) :

Nous avons visité ensuite à jolie ville des Baux-de-Provence :

Pierre blanche et verdure au sein des Baux-de-Provence :

Jour 6

Retour au Festival.

1er spectace avec un "one man show" de Philippe Roche sur le thème du coaching. Il s'agit en fait d'imitations de nombreux chanteurs (Il a des qualités et du talent mais cela manque de fil conducteur, je lui donne une étoile) :

JP a été appelé sur scène (tiens donc !) pour jouer l'élève qui rentre du collège avec un mauvais bulletin (tiens donc !) :

Une comédie ensuite avec si je t'attrape, je te mort. La mort vient frapper chez un couple qui bat de l'aile et elle doit emporter l'un des deux (j'ai adoré, l'acteur qui joue le rôle de la mort est fabuleux, 3 étoiles) :

Trois spectacles de la journée avec un duo "Maille & Chanfray". Un humoriste fait un casting pour trouver son partenaire de théâtre (c'est drôle et décalé, parfois un peu trop, deux étoiles quand même) :

Jour 7

Petite ballade à vélo sur Saint Pierre de Mezoargues et Vallabrèques :

Artiste de rue à Avignon :

Spectacle de Flamenco (un peu déçue qu'il n'y ait pas plus de danse et de danseuses, une étoile) :

Jour 8

Nous sommes allés à Roussillon :

et avons pratiqué le sentier des ocres (d'où la ville tire ses couleurs de l'ocre au rouge) :

Ballade dans Roussillon :

Mon chéri dans une ruelle :

Après Roussillon, avons fait une virée à Gordes :

Gordes, vue d'ensemble de la ville :

Jour 9

Le propriétaire, Producteur de fruits, nous a amené des pêches et des abricots (ainsi que des tomates de toutes les couleurs) :

Dernière journée au Festival d'Avignon.

One woman show avec "la vie commence à 50 ans". L'artiste montre (essaie de montrer) les différences entre la vie d'aujourd'hui et celle d'avant (une catastrophe, une artiste qui fait participer le public comme si elle n'avait pas vraiment de texte. Elle se retrouve même à un moment au bord de l'évanouissement tellement elle est mauvaise, je lui donne un "moins") :

Dernier spectacle avec un mélange de mathématiques et de mémoire "j'ai oublié un truc mais ça va revenir". Non seulement, Benoît Rosemont n'oublie rien mais il a une mémoire extraordinaire et sait calculer de tête des carrés, des cubes et des puissances 5 (entre autres...). J'ai adoré, je lui donne deux étoiles :

Jour 10

Ballade matinale jusqu'au moulin de Boulbon qui surplombe le village et même le château :

Vue de Boulbon :

Le moulin et le calvaire :

Le château (en cours de rénovation) :

Jour 11

Accrobranche pour Antoine à Fontaine du Vaucluse :

De jolis circuits bien variés :

Antoine a fait les 3 circuits rouges (les couleurs représentent le niveau de difficulté comme pour les pistes au ski).

Jour 12

Retour à Avignon mais cette fois pour visiter la ville (ici la place du Palais) où nous avons pris le train touristique :

Le fameux pont Saint-Benezet :

Vue d'Avignon :

Le Palais des papes vu du pont d'Avignon :

Jour 13

Visite du Musée Haribo (HAns RIegel BOnn) à Uzès qui se termine par la boutique (où nous nous sommes un peu lâchés, oups) :

Direction Nîmes et les arènes :

Vue de l'intérieur (un peu déçue car des spectacles ont lieu pendant l'été et cela ressemble du coup davantage à une salle de spectacles qu'à une arène) :

Par une grosse chaleur, nous sommes montés jusqu'à la tour Magne :

D'où on a une suberbe vue sur la ville de Nîmes (Deux petits vers homophones en passant : "Gal amant de la reine, alla, tour magnanime -  Galamment de l'arène à la tour Magne, à Nimes") :

Jour 14

Départ tôt le matin. Direction maison de mon biquet (ma maman) pour les deux premiers tiers de la route à effectuer.

Jour 15

Retour à la maison pour le dernier tiers (qui s'est déroulé dans d'excellentes conditions grâce à un conducteur hors pair*).

(*) Rajout demandé par mon chéri :o)

Ces vacances ont été reposantes (les matinées étaient un peu "feignantes", levés tôt mais du temps consacré pour la lecture au soleil sur la terrasse. JP a lu comme moi 5 livres sur les 15 jours !!). On a moins visité que d'habitude, Festival oblige. On a aussi moins fait de randonnées pédestres (en l'occurence aucune cette année, à la grande joie d'Antoine...). Du coup, j'ai aussi moins pris de photos (421 seulement sur 15 jours !!). Je ne regrette pas, je me suis un peu laissée portée par le mouvement, contrairement à mon habitude de tout organiser...

Depuis des années, je souhaitais que JP apprenne à nager.

Il m'avait dit à l'époque "quand Antoine sera en âge d'apprendre à nager, je le ferai avec lui". Cela fait bientôt 10 ans qu'Antoine sait nager et JP n'a jamais pris aucune leçon.

Alors quand Patricia nous a dit qu'elle prenait des cours contre "l'aquaphobie" en vue d'apprendre à nager, on en a parlé avec JP et il s'est décidé à faire pareil.

Du coup, aujourd'hui, c'était sa première séance.

Philippe, le maître-nageur (à gauche sur la photo et JP à droite au fond), descend avec les 5 "apprentis" dans la piscine. Patricia était là aussi, pour sa 5ème leçon et déjà des progrès immenses ! Bon, ils sont touts petits sur la photo mais malgré mon appareil ils étaient à plus de cinquante mètres :

JP a réussi à mettre la tête sous l'eau et malgré deux ou trois tasses s'est super bien débrouillé.

Je suis fière de lui et très heureuse !

Prochaine séance les deux mardis prochains...

A suivre...

Nouveau petit inventaire des dernières bétises de Jecko (après les cactus, les lunettes de JP, la carte bancaire, ...), voici ce qu'il fait des chaises en bois :

du jouet donné par Flo & Pat (en même temps, cela prouve qu'il a bien joué avec !) :

Le petit ballon de basket (il va moins bien rebondir du coup !) :

La soucoupe de la balance me permettant de lui peser ses croquettes (surtout ne rien oublier à sa portée, pourtant je le sais !!) :

Donc, lorsque nous sommes allés au cours collectif, l'éducateur nous a parlé d'un jouet que l'on peut remplir (ou pas) de croquettes et qui occupe les chiens lorsqu'ils sont seuls :

Cela fait deux jours qu'on l'a reçu après l'avoir commandé sur internet et je pense que Jecko apprécie. Je lui donne juste avant de partir travailler. Cela ne supprimera pas toutes les bétises mais cela l'occupera un peu.

Voici la bête, auteur des bétises (un peu mouillé, forcément, vu le temps qu'il fait !) :

Quand au collier dont j'ai parlé dans un précédent billet, c'est magique, Jecko ne tire plus du tout en laisse. Il faut le garder deux ou trois mois et normalement il aura perdu l'habitude de tirer en promenade.

Pour passer ceinture noire (1er dan), Antoine après avoir obtenu ces cents points en compétition et validé son stage d'arbitrage doit à présent passer et réussir les katas.

Samedi après-midi, il a donc révisé les katas avec Kathleen. Ils pourraient les passer le 12 octobre prochain.

Les katas sont un ensemble de techniques à effectuer avec un partenaire à droite et à gauche selon un déplacement préétabli.

1/ Mouvements de bras (Te-waza) :

• uki-otoshi (renversement flottant)  
• ippon-soei-nage (projection par une épaule)  
• kata-guruma (roue autour des épaules )

2/ Mouvements de hanches (Koshi-waza) :

• uki-goshi (hanche flottée)  

• harai-goshi (hanche fauchée)  
• tsuri-komi-goshi (hanche pêchée)

3/ Mouvements de jambes (Ashi-waza) :

• okuri-ashi-barai (balayage des deux jambes)  

• sasae-tsuri-komi-ashi (blocage du pied en pêchant)  
• uchi-mata (fauchage interne)

Ce soir en rentrant du travail, je m'aperçois que Jecko a arraché ses fils et que la l'ouverture est béante.

Du coup, direction immédiate chez le vétérinaire.

Sur place, sans anesthésie locale, la vétérinaire lui pose 7 agrafes (il n'a pas bougé aux 3 premières mais a manifesté sa douleur pour les 4 suivantes)  :

Pour couronner le tout et pour éviter qu'il touche aux agrafes et réouvre sa plaie, il s'est vu affublé d'une jolie collerette :

Je ne suis pas sûre qu'il garde la collerette bien longtemps... et que les agrafes perdurent suffisamment de temps...

Depuis mon dernier billet du 16 octobre, nous sommes retournés voir le vétérinaire pour Jecko deux fois.

Mercredi dernier où sur les 7 agrafes, 5 lui ont été retirées. Il y a eu une ponction du liquide qui formait une bosse sous la cicatrice. La collerette était abîmée, je l'avais même rafistolée avec des bouts de ficelle (un labrador a une certaine puissance et "délicatesse" qui mettent à mal ce genre d'accessoire).

Là, c'est la deuxième collerette qui commence à avoir fait son temps aussi :

Voici les deux agrafes (on voit encore une petite boule sous la cicatrice) :

JP est retourné chez le vétérinaire aujourd'hui. Les deux dernières agrafes ont été retirées et Jecko doit garder la collerette jusque vendredi... Vivement !

Quand j'ai dit à mes collègues que je m'étais acheté un pyjama en pilou-pilou, elles n'ont pas compris ce que c'était.

Du coup, j'ai vérifié dans le dictionnaire et j'ai vu que le pilou était bien un tissu de coton, pelucheux et très inflammable.

Bon, ce n'est pas tout à fait un pyjama mais plutôt une veste chaude à mettre par dessus.

Vous voulez la voir ? La voici :

Et puis j'ai acheté un pyjama et des chaussons tout doux :

Si cela vous tente, j'ai trouvé tout cela chez Etam lingerie...