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Le petit monde de So et de Fi
12 avril 2021

Je ne cours plus qu'après mes rèves.

Présentation de l’éditeur

Je m'appelle Louane, j'ai dix-huit ans. Ma vie est facile, enfin, je l'ai cru ; je ne me suis jamais vraiment posé la question. Jusqu'au jour où... Je m'appelle Laurene, j'ai trente-neuf ans. J'ai cherché le bonheur et, en même temps, je l'ai fui dès qu'il s'approchait. Jusqu'au jour où... Je m'appelle Louise, j'ai soixante-dix-sept ans. Mon existence m'a comblée et a été d'une parfaite tranquillité. Jusqu'au jour où... Nous ne nous connaissions pas. Rien ne laissait prévoir l'aventure que nous allions partager. Nos vies allaient en être bouleversées. Trois femmes, trois solitudes, mais un point commun : elles ne veulent plus renoncer à leurs rêves.

J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes gentillet. On comprend le message, croire en ses rêves, oser s'affirmer et changer de vie si celle-ci ne nous rend pas vraiment heureux. On se doute un peu de ce qui va se passer, il n’y a pas vraiment de surprises dans ce roman. Les dialogues où Louane s'insurge sonnent faux. J’ai trouvé également des choses peu crédibles et je n'ai pas compris non plus que Louane et Laurene puissent laisser Louise au moment où elle aurait eu le plus besoin d’elles.

Du même auteur, j’avais lu « le secret de la montagne noire » classé en 443ème position avec une étoile. Je viens de relire le commentaire que j'avais fait de celui-ci (après avoir fait le commentaire de "je ne cours plus qu'après mes rêves") et j'avais écris "J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes un peu maladroit. L’histoire est gentillette et les dialogues sont parfois peu crédibles". Et bien voilà, quasiment tout pareil... 

Je classe ce livre en 494ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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8 avril 2021

La Datcha

Présentation de l’éditeur :

" L'homme venait de me déposer dans un décor de rêve, dont je n'aurais même pas soupçonné l'existence. L'hôtel en lui-même était imposant, majestueux ; les pierres, les grands volets, les immenses platanes tout autour de la cour, la fontaine couverte de mousse qui lui conférait un aspect féerique. Je ne tiendrais pas deux jours, je n'étais pas à ma place. Devais-je fuir immédiatement, retrouver ma vie d'errance dont je connaissais les codes, où je savais comment survivre, ou bien rester et tenter ma chance dans ce monde inconnu, étranger, mais qui exerçait sur moi une attraction aussi soudaine qu'incontrôlable ? "

J’ai bien aimé ce livre d’Agnès Martin-Lugand car les personnages sont attachants. J’ai été un peu surprise et/ou déçue au deuxième chapitre de sauter vingt années d’un coup. J’aurais bien aimé suivre les aventures de l’héroïne à son arrivée à l’hôtel, sur son apprentissage, sur le rapprochement avec Jo et Macha. Après, je trouve que « le secret » est un peu alambiqué et peu probable à mon sens. Comment se fait-il qu’elle n’en ai jamais entendu parler, pas une seule photo de cette époque ? Pas une seule personne qui aurait évoqué ces événements ? Quand je regarde les commentaires dithyrambiques de ce livre sur internet, personne n’évoque cet aspect des choses. Et la décision finale, pourquoi se compliquer la vie à ce point ? Je ne suis pas forcément adepte des romans à l’eau de rose, mais là, est-ce pour sortir un tome 2 dans quelque temps ??

C’est le sixième livre que je lis de cette auteure : « Désolée, je suis attendue » classé en 27èmeposition avec trois étoiles, « Les gens heureux lisent et boivent du café » classé en 192èmeposition avec 2 étoiles, « La vie est facile, ne t’inquiète pas » classée en 193ème position avec 2 étoiles, « Entre mes mains le bonheur se faufile » classé en 303ème position avec une étoile, « J’ai toujours cette musique dans la tête » classé en 313ème position avec une étoile,

Je classe ce livre en 278ème position et lui donne une étoile (la fin lui a fait perdre une voire deux étoiles).

4 avril 2021

Le bleu du ciel

Présentation de l’éditeur             

Petitesannonces.fr : Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnon(ne) pour partager avec moi ce dernier périple. Émile a décidé de fuir l’hôpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre étonnement, il reçoit une réponse à cette annonce. Trois jours plus tard, devant le camping-car acheté secrètement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d’un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa présence. Ainsi commence un voyage stupéfiant de beauté. À chaque détour de ce périple naissent, à travers la rencontre avec les autres et la découverte de soi, la joie, la peur, l’amitié, l’amour qui peu à peu percent la carapace de douleurs d’Émile.

J’ai bien aimé ce livre de Melissa Da Costa, plein d’humanité et où l’on découvre les deux personnages principaux petit à petit, surtout celui de Joanne et on s’attache à elle. Sa façon de voir les choses est pure, pleine de bon sens, cela nous rappelle de profiter de l’instant présent, de manger en pleine conscience, de pratiquer la méditation, de faire attention à la nature, de la préserver. Leur périple nous permet également de découvrir des villages et des sites des Pyrénées.

Je classe ce livre en 119ème position et lui donne 3 étoiles.

25 mars 2021

Lettre ouverte au monde musulman

Présentation de l’éditeur

Face au djihâdisme meurtrier, les consciences du monde musulman se sont indignées : "pas en mon nom", ont-elles crié pour refuser la confusion entre la barbarie de cet islamisme et la civilisation de l'Islam. Mais cette indignation est-elle suffisante ? Ne faut-il pas aussi que le monde musulman se remette en question ? Qu'il se demande pourquoi le monstre terroriste a choisi de lui voler son visage plutôt qu'un autre ?

C’est un court livre intéressant écrit par un philosophe de cultures française et musulmane. Il a le courage de critiquer ouvertement la religion musulmane mais l’occident en prend également pour son grade. Je n’ai d’ailleurs pas forcément compris pourquoi il oppose l’islam à l’occident et pas l’islam au christianisme. Abdennour Bidar prône la reconnaissance des richesses des deux cultures qui devraient davantage communiquer et chercher à se comprendre. Chaque culture a des travers qu’elle devrait chacune essayer de combattre.

Je classe ce livre en 342ème position et lui donne une étoile.

21 mars 2021

L'échappée belle

Présentation de l’éditeur

Simon, Garance et Lola, trois frère et sœurs devenus grands (vieux ?), s'enfuient d'un mariage de famille qui s'annonce particulièrement éprouvant pour aller rejoindre Vincent, le petit dernier, devenu guide saisonnier d'un château perdu au fin fond de la campagne tourangelle. Oubliant pour quelques heures marmaille, conjoint, divorce, soucis et mondanités, ils vont s'offrir une dernière vraie belle journée d'enfance volée à leur vie d'adultes.

Bouhhh, très déçue. Rien à voir avec « ensemble c’est tout », par exemple (classé en 7ème position dans mon classement), de la même auteure, Anna Gavalda, même si l’on sait que le roman « l’échappée belle » a été écrit avant et édité après les succès que l’on connaît. Les personnages sont sympas même s’ils sont un peu caricaturaux, le style parfois (souvent ?) un peu limite, l’arrivée du chien improbable, la journée imprévue partagée par la fratrie une bonne idée et une chance (!) mais il n’y a pas vraiment d’histoire et pas de fin. Je suis restée sur ma faim et le pire c’est que je n’ai pas compris certains passages (!).

Je classe ce livre en 500ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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19 mars 2021

Ulysse et l'Odyssée

Présentation de l’éditeur

Dix années de guerre ont permis à Ulysse, roi d'Ithaque, de prouver sa vaillance et sa ruse. Le guerrier n'aspire plus qu'à retrouver enfin Pénélope, sa femme, et Télémaque, son fils. Mais les dieux et le destin en ont décidé autrement. Pourchassé par la colère de Poséidon, soutenu par Athéna, le héros va errer encore dix ans sur les mers au gré d'épreuves répétées...

Dans ce livre, l’histoire commence à la fin de la guerre de Troie où Ulysse a combattu pendant 10 ans. Il mettra 10 ans de plus pour rentrer chez lui (sachant qu’il passe un an dans les bras de la magicienne Circé et 7 ans dans ceux de la nymphe Calypso, pendant que l’attend Pénélope…). Quant à la vaillance et la ruse d’Ulysse, parfois, je trouve qu’il fait preuve d’orgueil et que cela coûte des vies et des mésaventures.

J’ai bien aimé ce livre car il remet un peu de chronologie dans mon esprit sur les aventures d’Ulysse et rappelle certaines étapes.

Cela me donne envie de relire d’autres histoires de la mythologie.

Je classe ce livre en 189ème position et lui donne 2 étoiles.

10 mars 2021

La cause humaine du bon usage de la fin d'un monde

Présentation de l’éditeur

Edition 2012

Nous vivons la fin d’un monde. Celui inauguré par les temps modernes et caractérisé par les notions de compétition, de séparation sujet/objet, de temps linéaire, d’équilibre spontané, de croissance indéfinie. Quelle est cette ère nouvelle dans laquelle nous entrons ? Comment sortir des vieux schémas qui ont apporté nombre de progrès mais qui nous plongent également dans une grave crise à la fois écologique, économique, sociale, morale ? Ce livre répond à ces questions et nous exhorte également à sortir du sentiment de peur et à dépasser les réactions régressives qui habitent les hommes à chaque grande mutation de civilisation. Patrick Viveret est philosophe. Il est l’auteur de Reconsidérer la richesse (L’Aube)ou de Pourquoi ça ne va pas plus mal (Fayard). Il participe à de nombreux forums sociaux mondiaux et européens.

Edition 2019

Derrière la sombre façade de la mondialisation et de la globalisation financière entrée en crise sous le poids de sa propre démesure, il existe une autre approche de la mondialité centrée sur la conscience de la communauté de destin qui lie l’humanité. Alors, la seule cause qui vaille, la seule qui ne soit pas destructrice ou justificatrice de crimes, de domination, ou d’exploitation, c’est la cause même de l’humanité. Pour faire bon usage de la « fin de monde » actuelle, il nous faut nous tourner vers l’eros , la force de vie et la créativité de ce nouveau monde en gestation !

Bon alors, je dois l’avouer, je n’ai malheureusement pas retenu grand-chose de ce livre de Patrick Viveret.

L’auteur veut nous sensibiliser à de nombreux de sujets tel que le réchauffement climatique, l’aggravation des inégalités sociales, les dérives du capitalisme financier, la montée des mouvements xénophobes, les risques de catastrophes technologiques, … Il propose de se tourner vers l’essentiel, à savoir l’amour, le bonheur et le sens. Il émet notamment des idées sur la façon de sortir du capitalisme, de rémunérer le travail différemment et il imagine même un pays nouveau où les choses seraient différemment gérées autour de principes écologiques, sociaux et démocratiques du bien-vivre.

Je classe ce livre en 564ème position et ne lui donne pas d’étoile. J’ai eu trop de mal à le terminer. Et puis pour une réédition de 2019, il y a quand même beaucoup de références anciennes.

21 février 2021

L'éducation aux temps du coronavirus

Présentation de l’éditeur

Le 12 mars 2020, face à la pandémie, le Président de la République annonce la fermeture de tous les établissements d'enseignement. Le ministre de l'Education nationale exhorte à assurer la "continuité pédagogique" à distance. Comment, dans l'urgence et l'impréparation, confinés, enseignants et élèves, familles et étudiants font-ils dans les semaines qui suivent ? Que révèle cette "crise" de l'état du système d'enseignement ? Comment ce confinement sert-il à l'accélération des réformes gouvernementales en cours ? Treize spécialistes de l'éducation, de la maternelle à l'université, coopèrent et tentent de répondre à ces questions et d'ouvrir les chantiers de recherche que cette séquence inédite impose.

J’ai trouvé que ce livre était uniquement à charge contre le gouvernement et qu’il ne faisait que constater des éléments que l’on connaît déjà : la fracture numérique, la difficulté pour certains parents à aider scolairement leurs enfants, les différences selon le niveau social, l’isolement physique et psychologique qu’a imposé le confinement.

La « continuité pédagogique » demandée par le gouvernement a parfois été difficile à appliquer mais qu’aurait-il pu proposer d’autres ? D’ailleurs, les auteurs du livre critiquent les décisions venant d’en haut mais ils ne proposent, ne suggèrent absolument rien de ce qu’il aurait fallu faire. Si la recherche consiste à analyser une situation (qu’on connaît déjà) alors ils ont bien cherché mais qu’ont-ils résolu ? Le livre a été terminé le 1er juillet 2020, n'est-ce pas un peu tôt, a-t-on assez de recul pour analyser et apporter réellement quelque chose, n'est-ce pas un peu commercial ?

Les enseignants (la plupart) ont fait le maximum pour aider leurs élèves et c’est très bien. La situation a sûrement accentué les différences en fonction du niveau social, mais comment résoudre cela ?

Travaillant dans le milieu enseignant, dans une école d’enseignement supérieur, j’ai rencontré les mêmes difficultés avec les étudiants. Ceux qui avait un poste informatique défaillant, une mauvaise connexion internet, un ordinateur partagé par les parents ou la fraterie (et pour exemple, une famille privilégiant plutôt celui qui passait son bac que celui en 3ème année d’études supérieures).

Nos intervenants ont utilisé leur poste informatique personnel (ce qui n'est apparemment possible par les enseignants du public, selon les auteurs de ce livre, car tous les professeurs de l'Education Nationale n'en possèdent pas) et ont assuré les cours et modifé leur contenu, leurs supports de cours pour s'adapter à la situation.

On a fait le maximum, on a télétravaillé, on a prêté (et livré !) des ordinateurs aux étudiants, permis des connexions à distance sur les ordinateurs de l’école, assuré le maximum de cours en distanciel par visioconférence, reporté les cours où c’était impossible, adapté la pédagogie à cette contrainte qu’était le confinement lié à la situation sanitaire, apporté une aide psychologique par une ligne dédiée. Alors oui, c'est une école privée avec d'autres moyens que l'Education Nationale, mais même si on a trouvé la période compliquée, on s'est adapté au mieux. On a détricoté les plannings et retricoté, plusieurs fois, parce que l'on espérait toujours pouvoir revenir à l'école en présentiel avant la fin de l'année scolaire.

A aucun moment, on a incriminé le gouvernement, pour quoi faire ? Quel aurait été l’intérêt pour nos étudiants ?

Bref, se plaindre, c’est humain mais constatons plutôt le positif. Pour certains intervenants venant habituellement de loin, on a minimisé leur fatigue, les coûts de déplacement et d’hôtel et envisagé d’autres solutions qui perdurent encore à l’heure actuelle. Bien sûr, rien ne vaut un cours en présentiel, mais cette période a permis d’imaginer d’autres solutions ponctuelles ou durables, d’autres manières de fonctionner, des choses qui paraissaient impossibles, sont devenues possibles.

Je classe ce livre en 469ème position et ne lui donne pas d’étoile.

12 février 2021

Cessez de manger vos émotions

Présentation de l’éditeur

Vous surprenez-vous parfois à grignoter sans avoir réellement faim ? Craquez-vous davantage pour certains aliments sous l'effet du stress, de la colère ou de la tristesse ? Avez-vous l'impression de perdre le contrôle lorsque vous succombez à une " petite faim " ? Si votre alimentation est étroitement liée à votre état émotionnel, alors ce livre est pour vous. Isabelle Huot et Catherine Senécal vous proposent de faire la paix avec votre corps et de transformer votre relation avec la nourriture, pour enfin vous libérer du cycle de la compulsion alimentaire. Fortes d'une grande expérience, elles ont développé des exercices, des astuces et des outils pratiques qui ont fait leurs preuves. En repensant votre rapport aux aliments, en renouant avec les signaux naturels de votre corps et en modifiant les pensées qui génèrent de l'anxiété, vous retrouverez enfin le bien-être que vous méritez tant !

Alors, oui, ce livre d'Isabelle Huot et de Catherine Senécal m’a permis de comprendre ce qui déclenche mes compulsions alimentaires.

En gros, il y a trois raisons :

-          « Les émotions négatives (colère, solitude, ennui, anxiété, stress), (…)

-          Les restrictions qu’on s’impose, qu’elles soient mentales (s’interdire de manger certaines catégories d’aliments) ou alimentaires (s’interdire de manger en quantité suffisante), (…)

-          Se sentir gros ou ballonné, ce qui peut engendrer des difficultés à prendre soin de soi, un sentiment d’échec ou de l’autosabotage (…) »

Mon cas est la deuxième raison (et plus précisément la première partie de la deuxième raison).

Avoir entrepris et suivi strictement Weigth watchers, ainsi que reprendre le sport, le tout il y a 3 ans était une très bonne idée, j’ai perdu entre 12 et 13 kilos mais il est vrai que même si ce système de rééquilibrage alimentaire nous dit que l’on peut consommer de tout, quand on voit ce que « coûte » en « points » un morceau de chocolat ou une viennoiserie, on a tendance à y renoncer.

Et depuis quelque temps, je suis capable de manger, sans avoir faim, des choses sucrées de façon quelque peu désordonnée.

Donc, merci à ce livre d’avoir précisé dans mon esprit la situation que je rencontre actuellement, mais après, la mise en œuvre des solutions proposées me paraît plus difficile. Faire des journaux (de pensée, de restructuration cognitive, alimentaires, d’avantages et inconvénients), des exercices de résolution de problèmes, tout cela me paraît bien contraignant…

Je classe ce livre en 382ème position et lui donne 1 étoile.

6 février 2021

L'hôpital maritime

Présentation de l’éditeur

Que nous reste-t-il à la fin ? Que se passe-t-il quand un homme disparaît ? Où vont ses souvenirs, les visages, les paroles, les silences qu'il a connus ? A l'hôpital maritime des vies s'achèvent. Les paysages, les vivants et les fantômes les veillent.

Bon, un peu tristounet ce livre de Pascal Ruffenach, poétique mais tristounet. Forcément, cela parle de la fin de vie, de la fin d’une vie. J’avoue, il m’a un peu perdue parfois avec ses métaphores et j’ai sûrement manqué des choses ou des idées.

Je classe ce livre en 470ème position (sur 610 que compte mon classement) et ne lui donne pas d’étoile.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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