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Le petit monde de So et de Fi
11 avril 2020

L'apparition

Quatrième de couverture

Je m'appelle Juan Diego, je suis un Indien aztèque, je suis mort en 1548 et depuis, j'attends. Je m'appelle Nathalie, je vis aujourd'hui, je suis médecin, j'ai quarante ans et je ne crois en rien. Deux personnes peuvent-elles s'entendre, se rejoindre et s'aider à quatre siècles de distance ?

Impression mitigée sur ce livre de Didier Van Cauwelaert. Cela traite du cheminement visant à sanctifier ou non Juan Diego. Un comité d’expert doit se réunir pour juger si la « tilma », vêtement en fil d’agave donc en fibre textile que portait Juan Diego au moment de la supposée apparition de la Sainte Vierge, la reflète réellement sachant que :

-          cette tunique de fibre aurait dû au mieux se désagréger au bout de 20ans, or elle est intacte près de 500 ans après.

-          les pigments de la " peinture" n'ont aucune origine terrestre.

-          sur la tunique sont présentes des étoiles qui représentent les constellations qui figuraient dans le ciel le jour de l'apparition.

-          dans l'œil de la Vierge sont représentés 13 personnages et que ces personnages sont Juan DIEGO, l'évêque, une servante de cet évêque et d'autres individus (personnages étant les personnes présentes le jour de l'apparition

-          qui plus est en trois reflets comme sur un œil humain vivant.

et l’on nomme « un avocat du diable », en l’occurrence Nathalie Krentz, ophtalmologue de renom, pour qu’elle dénonce s’il y a supercherie, sachant qu’elle est juive et a déjà dénoncé un miracle de l'église catholique.

La fin du livre est surprenante, les personnages sympathiques. Par contre, l’auteur m’a perdue plusieurs fois avec les considérations techniques de certains des experts.

J’ai déjà lu deux livres de cet auteur : « Jules » classé en 32ème position avec 3 étoiles et « La nuit dernière au XVème siècle » classé en 425ème position sans étoile.

Je classe ce livre en 418ème position et lui donne une étoile.

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8 avril 2020

Famille parfaite

Présentation de l’éditeur

Les Denbe semblaient sortir des pages des magazines glamours : un mariage modèle, une belle situation, une ravissante fille de quinze ans, une demeure somptueuse dans la banlieue chic de Boston… Une vie de rêve. Jusqu’au jour où ils disparaissent tous les trois. Pas d’effraction, pas de témoin, pas de motifs, pas de demande de rançon. Juste quelques traces de pas et des débris de cartouches de Taser sur le sol de leur maison. Pour la détective privée Tessa Leoni, l’enlèvement ne fait aucun doute. Mais que pouvait donc bien cacher une existence en apparence aussi lisse ? Numéro un sur la liste des best-sellers du New York Times pendant plusieurs mois, ce thriller inquiétant de Lisa Gardner nous plonge dans l’intimité troublante d’une famille au-dessus de tout soupçon.

J’ai bien aimé ce livre de Lisa Gardner, prêté par Maryline. C’est bien ficelé, il y a des rebondissements intéressants. Les personnages sont attachants et chacun a son  petit secret qu'on découvre au fur et à mesure. On voit facilement arriver la fin de l’histoire mais c’est parce que l’auteure le veut bien, je trouve. J’ai passé un bon moment de lecture, c’est agréable et facile à lire.

Je classe ce livre en 239ème position et lui donne 2 étoiles.

3 avril 2020

Les gardiennes du silence

Présentation de l’éditeur

Chloé doit fuir Fécamp. Elle se réfugie sur Heldenskøn, petite île isolée entre la Manche et la mer du Nord. Ce n'est pas un hasard si la jeune femme a choisi cette destination sauvage et mystérieuse. Dans les archives familiales, elle a découvert un étrange manuscrit recouvert de plusieurs encres invisibles... Quel est le lien entre ce document et le monastère qu'elle aperçoit, perdu dans la lande ? Traquée et menacée, Chloé est-elle prête à aller au bout de la vérité ?

Mon sentiment sur ce livre de Sophie Endelys est en demi-teinte. Le livre se lit bien. Le premier passage où l’on retourne vers le passé est un peu abrupt. Après on suit les allers-retours assez facilement. Je trouve qu’il y a pas mal de répétitions sur la Société secrète, sur le désir de rassembler tous les livres depuis les débuts de l’impression par Gutenberg et la connaissance en un même lieu (mais la finalité me laisse perplexe, surtout avec l’ère d’internet ?). Après cela part un peu dans tous les sens, la dérive eugéniste, le fait d’utiliser la science sans aucune limitation de la morale ou l'éthique, le rêve d’immortalité et le fait de rendre muette les gardiennes du savoir (plutôt que du silence) me semble inutile car elles pourraient de toute manière communiquer autrement. Cela finit par noyer l’intrigue qui devient par trop complexe et qui tourne en rond. Quant à la fin, elle aurait mérité mieux, un peu bâclée à mon sens. J’ai dû relire certains passages après avoir lu l’intégralité du livre pour vérifier que je n’avais pas manqué quelque chose…

J’ai eu également un peu de mal à m’attacher aux personnages alors que c’est normalement le plus facile. Il y a pourtant pas mal de bonnes idées dans ce roman mais je les trouve mal exploitées, trop brouillonnes.

Je classe ce livre en 342ème position et lui donne une étoile.

28 mars 2020

Chien-Loup

Quatrième de couverture :

L'idée de passer tout l'été coupés du monde angoissait Franck mais enchantait Lise, alors Franck avait accepté, un peu à contrecœur et beaucoup par amour, de louer dans le Lot cette maison absente de toutes les cartes et privée de tout réseau. L'annonce parlait d'un gîte perdu au milieu des collines, de calme et de paix. Mais pas du passé sanglant de cet endroit que personne n'habitait plus et qui avait abrité un dompteur allemand et ses fauves pendant la Première Guerre mondiale. Et pas non plus de ce chien sans collier, chien ou loup, qui s'est imposé au couple dès le premier soir et qui semblait chercher un maître. En arrivant cet été-là, Franck croyait encore que la nature, qu'on avait apprivoisée aussi bien qu'un animal de compagnie, n'avait plus rien de sauvage ; il pensait que les guerres du passé, où les hommes s'entretuaient, avaient cédé la place à des guerres plus insidieuses, moins meurtrières. Ça, c'était en arrivant. Serge Joncour raconte l'histoire, à un siècle de distance, d'un village du Lot, et c'est tout un passé peuplé de bêtes et anéanti par la guerre qu'il déterre, comme pour mieux éclairer notre monde contemporain. En mettant en scène un couple moderne aux prises avec la nature et confronté à la violence, il nous montre que la sauvagerie est toujours prête à surgir au cœur de nos existences civilisées, comme un chien-loup.

J’ai beaucoup aimé ce livre de Serge Joncour -récupéré chez maman également-, ces deux histoires en parallèle dans un même lieu à des époques différentes. J’ai aimé aussi ce puissant rapport à la nature et ce profond respect qui en émane tout au long des pages. L’auteur parle des dégâts de la guerre du point de vue des femmes mais aussi de ce que cela a aussi entraîné pour les animaux et j’ai trouvé ça assez inédit. Quant aux personnages de l'époque actuelle, ils sont bien campés et tellement réalistes. C’est sans aucun doute un roman à lire dans ces moments un peu fous que l’on vit actuellement en plein confinement. Ce livre fait du bien, en tout cas, à moi, il m’a fait du bien.

C’est le 3ème livre que je lis de cet auteur, à savoir « l’amour sans le faire » lu en 2015, classé en 229ème position avec 2 étoiles et « l’idole » lu en 2011, classé en 526ème position avec un « moins ».

Je classe « chien-loup » en 119ème position et lui donne 3 étoiles.

22 mars 2020

Juste une mauvaise action

Présentation de l’éditeur

Le serge Barbara Havers est catastrophée : Hadiyyah, la fille de son ami Taymullah Azhar a été enlevée par sa mère. Azhar ne s'étant jamais marié avec Angelina et son nom ne figurant pas sur le certificat de naissance de leur fille, il n'a aucun droit juridique. Il n'a pas d'autre possibilité que de faire appel à un détective privé. Mais alors qu'ils retrouvent la trace d'Haddiyyah en Toscane, la petite se fait enlever. Cette dernière étant britannique, Scotland Yard et la police italienne vont devoir collaborer, non sans heurts. Et lorsque la presse s'en mêle, l'incident diplomatique n'est guère loin. C'est là que Lynley intervient...

J’ai bien aimé l’histoire et les différents rebondissements de ce roman policier d’Elisabeth George même si j'ai trouvé le début un peu laborieux (j'ai mis quasiment un mois pour livre ce livre de 698 pages !!). J’ai beaucoup moins aimé les façons de procéder, à la limite de la légalité, voire même au-delà, de Barbara Havers pour aider son ami Taymullah. Elle est sur le fil du rasoir tout au long de l’histoire et j’ai trouvé cela fatiguant, usant, … J’ai cependant adoré le personnage de l’inspecteur Lynley.

Une chose qui m’a également beaucoup, mais beaucoup agacé, ce sont tous les passages en italien et en italique. Parfois, on comprend juste après parce c’est redit d’une autre manière en français et parfois non. J’ai trouvé cela inutile. Certains protagonistes étant italiens, on se doute bien qu’ils parlent italien !

Il y a apparemment beaucoup d’autres livres du même auteur racontant des épisodes précédents (18 enquêtes précédentes !) et notamment sur ce qui est arrivé à la femme de l’inspecteur Linley, je vais voir si je peux en trouver quelques-uns (je ne suis pas forcément fan de romans policiers mais pourquoi pas...). Cet exemplaire est un livre que j'ai récupéré de chez maman.

Je classe ce livre en 240ème position (sur 544 dans mon classement) et lui donne une étoile.

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28 février 2020

L'amour et les forêts (bis)

Hier, je commence à lire un livre qui vient de chez maman.

Dès le départ, je râle toute seule contre ces pages complètes sans interligne entre les paragraphes, sans respiration même pendant les dialogues, et je trouve le style de l'auteur très pompeux, très fier de sa prose et qui parle beaucoup de lui-même. Et puis, vient un certain passage qui me rappelle quelque chose alors je vérifie dans mon tableau magique où je résume toutes mes lectures et je m'aperçois que j'ai déjà lu ce livre d'Eric Reinhardt.

Voici ce que j'en disais en mai 2016 :

Quatrième de couverture

À l'origine, Bénédicte Ombredanne avait voulu le rencontrer pour lui dire combien son dernier livre avait changé sa vie. Une vie sur laquelle elle fit bientôt des confidences à l'écrivain, l'entraînant dans sa détresse, lui racontant une folle journée de rébellion vécue deux ans plus tôt, en réaction au harcèlement continuel de son mari. La plus belle journée de toute son existence, mais aussi le début de sa perte.

Houlala, que c’est difficile de parler de ce livre d’Eric Reinhardt ! Je comprends mieux les commentaires controversés sur internet, soit on adore, soit on déteste (je me trouve malheureusement dans la seconde catégorie).

Tout d’abord, je n’ai pas compris et réellement détesté les pages sans aération, sans interligne, même les dialogues sont rédigés au kilomètre ! Les paragraphes sont trop longs également, impossible de ne pas s’arrêter en plein milieu. Le style est pompeux. L’auteur se met en scène et s’autocongratule par la voix de sa lectrice, je trouve cela très moyen et beaucoup trop narcissique.

Sinon, le personnage féminin est particulièrement bien décrit. La relation de dépendance affective et de harcèlement qu'elle subit de son mari est très finement amenée et expliquée, mais que de longueurs… Le sujet est lourd et la lecture aussi… C'est dommage, il y a de bons passages.

Je classe ce livre en 342ème position et lui donne un « moins ».

Il est depuis passé en 518ème position...

Alors je vais arrêter là ma lecture, pas la peine de se faire du mal.

Et a priori, je pense la même chose qu'à l'époque.

24 février 2020

Steve Jobs

Présentation de l'éditeur

À partir d'une quarantaine d'interviews exclusives et de multiples rencontres avec sa famille, ses proches, ses collaborateurs, ses amis comme ses adversaires, Walter Isaacson a reconstitué d'une façon magistrale et passionnée la vie, l'œuvre et la pensée du fondateur d’Apple, l’un des plus grands innovateurs et visionnaires de notre époque.

Cette biographie de Walter Isaacson est très intéressante. J'ai appris beaucoup de choses; On découvre Steve Jobs dans ce qu'il a créé de meilleur ainsi que sa personnalité forte et souvent difficile pour ses proches et ses collaborateurs. La difficulté que j'ai eue c'est le grand nombre de personnes dont il est question. Il est parfois nécessaire de se reporter "aux personnages" pour comprendre qui est qui quand on n'a pas parlé d'une personne depuis un petit moment. A la fin, je ne faisais plus cet "effort" et je ne pense pas que cela a nui à ma compréhension de la biographie.

Ce livre comporte plus de 900 pages et il est donc très très détaillé... Etait-ce indispensable ?

J'ai trouvé particulier aussi le fait de ne pas y aller de façon toujours chronologique mais parfois par sujet : famille, invention, Apple, maladie, ...

Je classe ce livre en 265ème position et lui donne une étoile.

6 février 2020

Le diamant de Saint-Pétersbourg

Quatrième de couverture

Valentina Ivanova, fille aînée du ministre des Finances du Tsar, dont tout Saint-Pétersbourg admire la beauté et le talent de pianiste, n'aurait jamais cru devoir un jour faire une telle promesse à sa soeur. N'étaient-elles pas destinées à une vie de plaisirs et d'oisiveté au sein d'une des cours les plus fastueuses du monde ? Et pourtant, en cet hiver 1910, la révolution gronde et le danger se fait chaque jour plus menaçant pour les aristocrates russes. Alors que son univers vacille, Valentina se battra pour défendre le plus important : sa famille, mais aussi son indépendance et son amour pour un homme qui n'est pas celui qu'on lui destine…

J’ai bien aimé ce livre, offert par ma grande soeur à Noël, car on suit les pas d’une héroïne de caractère qui souhaite devenir infirmière alors que dans son milieu aisé les femmes ne travaillent pas.

J’ai moins apprécié :

-          un moment pas très crédible du livre où Jens se retrouve à cheval en plein milieu d’une manifestation sanglante et qu’il rencontre, comme par hasard, deux autres protagonistes de l’histoire parmi des milliers de personnes

-          la suite qui découle de cette rencontre et qui aurait pu être évitée si Valentina avait fait un choix plus judicieux à un moment donné.

J’ai aimé, malgré ces deux points, ce roman de Kate Furnivall sur fond de documentation historique. Je ne serai pas surprise qu’il y ait une suite vu la fin de l’histoire qui n’en est pas tout à fait une.

Je classe ce livre en 206ème position et lui donne 2 étoiles.

31 janvier 2020

Chagrin d'école

Présentation de l'éditeur

Un livre de plus sur l'école, alors ? - Non, pas sur l'école ! Sur le cancre. Sur la douleur de ne pas comprendre et ses effets collatéraux sur les parents et les professeurs.

Quatrième de couverture

Chagrin d’école, dans la lignée de Comme un roman, aborde la question de l’école du point de vue de l’élève, et en l’occurrence du mauvais élève. Daniel Pennac, ancien cancre lui-même, étudie cette figure du folklore populaire en lui donnant ses lettres de noblesse, en lui restituant aussi son poids d’angoisse et de douleur.

J’ai bien aimé ce livre de Daniel Pennac, prêté par ma sœur Marie, qui parle des élèves en difficulté sur les bancs de l’école. On a tous connu des bons et des mauvais profs, ceux qui vous tire vers le haut et ceux qui ont perdu la foi.

J’ai bien aimé le dialogue que l’auteur de nos jours installe avec le cancre qu’il était jadis. J’ai bien aimé la description qu’il fait des professeurs qui ont changé sa vie et l’ont fait évoluer, un prof d’histoire, un prof de mathématiques, un prof de philosophie.

J’ai déjà lu deux livres de Daniel Pennac, « au bonheur des ogres », classé en 372ème position avec une étoile et « la fée carabine » classé en 373ème position avec une étoile.

Quelques extraits de « chagrin d’école » :

Page 283 : « Non, la différence fondamentale entre les élèves d’aujourd’hui et ceux d’hier est ailleurs : ils ne portent plus les vieux pulls de leurs grands frères. La voilà la vraie différence ! Ma mère tricotait un pull à Bernard qui, ayant grandi, me le refilait. Même chose pour Doumé et Jean-Louis, nos aînés. (…) Aujourd’hui, non, c’est Mère-Grand Marketing qui habille grands et petits. C’est elle qui habille, nourrit, désaltère, chausse, coiffe, équipe tout un chacun, elle qui barde l’élève d’électronique, le monte sur rollers, vélo, scooter, moto, trottinette, c’est elle qui le distrait, l’informe, le branche, le place sous transfusion musicale permanente et le disperse aux quatre coins de l’univers consommable, c’est elle qui l’endort, c’est elle qui le réveille et, quand il s’assied en classe, c’est elle qui vibre au fond de sa poche pour le rassurer : Je suis là, n’aie pas peur, je suis là, dans ton téléphone, tu n’es pas l’otage du ghetto scolaire ! »

Page 286 : « Il existe cinq sortes d’enfants sur notre planète aujourd’hui : l’enfant client chez nous, l’enfant producteur sous d’autres cieux, ailleurs l’enfant soldat, l’enfant prostitué et sur les panneaux incurvés d métro, l’enfant mourant dont l’image, périodiquement, penché sur notre lassitude le regard de la faim et de l’abandon. »

Page 287 : « Parmi les enfants clients, il y a ceux qui disposent des moyens de leurs parents et ceux qui n’en disposent pas : ceux qui achètent et ceux qui se débrouillent. Dans les deux cas de figure, l’argent étant rarement le produit d’un travail personnel, le jeune acquéreur accède à la propriété sans contrepartie. »

Je classe ce livre en 235ème position et lui donne deux étoiles.

27 janvier 2020

Une autre vie

Présentation de l’éditeur

Tout les sépare : une profession absorbante, une famille exigeante et, enfin, les milliers de kilomètres qui vont de New York, où Mélanie présente le journal télévisé, à Los Angeles, dont Peter dirige le principal hôpital. Du temps, ils en ont si peu pour leur vie privée ! Peter, spécialiste international de la greffe du coeur, est à la disposition de ses opérés. Dans le cadre de son propre travail, Mélanie est obligée de vivre au jour le jour, sans faire de projets. Dérober quelques heures à de telles contraintes représente un tour de force. Alors, pourront-ils se satisfaire de cet amour à la sauvette ? La jeune femme prend le risque de tout sacrifier à Peter. Mais quel déchirement ! Et elle va devoir affronter l'ombre d'une morte, la haine d'une belle-fille, les traquenards d'un confrère... Ces obstacles qui menacent de détruire un grand amour, Danielle Steel les évoque par touches légères et précises, où l'on retrouve cette chaleur humaine et cette finesse d'observation qui ont déjà conquis plus de cinquante millions de lecteurs dans le monde entier.

Franchement bof ce livre de Danielle Steel ! C’est cousu de fil blanc dès le départ entre les deux protagonistes à tel point qu'on se demande ce qu'elle va encore pouvoir nous raconter par la suite. Leurs professions sont très mal décrites et fort loin de la réalité. Les dialogues sont parfois complètement à l’ouest, surtout entre parents et enfants. Bref, je n’ai pas aimé. J’ai trouvé ça long et j’étais bien contente d’en venir à bout…

J’avais lu un autre livre du même auteur « traversées » classé en 75ème position avec 3 étoiles.

Je classe ce livre en 412ème position (sur 520) et ne lui donne pas d’étoile.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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