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Le petit monde de So et de Fi
27 janvier 2020

Une autre vie

Présentation de l’éditeur

Tout les sépare : une profession absorbante, une famille exigeante et, enfin, les milliers de kilomètres qui vont de New York, où Mélanie présente le journal télévisé, à Los Angeles, dont Peter dirige le principal hôpital. Du temps, ils en ont si peu pour leur vie privée ! Peter, spécialiste international de la greffe du coeur, est à la disposition de ses opérés. Dans le cadre de son propre travail, Mélanie est obligée de vivre au jour le jour, sans faire de projets. Dérober quelques heures à de telles contraintes représente un tour de force. Alors, pourront-ils se satisfaire de cet amour à la sauvette ? La jeune femme prend le risque de tout sacrifier à Peter. Mais quel déchirement ! Et elle va devoir affronter l'ombre d'une morte, la haine d'une belle-fille, les traquenards d'un confrère... Ces obstacles qui menacent de détruire un grand amour, Danielle Steel les évoque par touches légères et précises, où l'on retrouve cette chaleur humaine et cette finesse d'observation qui ont déjà conquis plus de cinquante millions de lecteurs dans le monde entier.

Franchement bof ce livre de Danielle Steel ! C’est cousu de fil blanc dès le départ entre les deux protagonistes à tel point qu'on se demande ce qu'elle va encore pouvoir nous raconter par la suite. Leurs professions sont très mal décrites et fort loin de la réalité. Les dialogues sont parfois complètement à l’ouest, surtout entre parents et enfants. Bref, je n’ai pas aimé. J’ai trouvé ça long et j’étais bien contente d’en venir à bout…

J’avais lu un autre livre du même auteur « traversées » classé en 75ème position avec 3 étoiles.

Je classe ce livre en 412ème position (sur 520) et ne lui donne pas d’étoile.

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19 janvier 2020

Par accident

Présentation de l’éditeur

Il y a quinze ans, la vie de Nap Dumas a basculé : dernière année de lycée, son frère jumeau et la petite amie de celui-ci ont été retrouvés morts sur la voie ferrée. Double suicide d'amoureux ? Nap n'y a jamais cru. Désormais flic, Nap voit ressurgir le passé : Rex, leur ami d'enfance, vient d'être sauvagement assassiné. Sur les lieux du crime, les empreintes d'une femme que Nap pensait disparue : Maura, son amour de jeunesse, dont il était sans nouvelles depuis quinze ans. Le choc est total pour le policier. Celle qu'il aimait serait-elle une dangereuse psychopathe ? Où est Maura ? Et s'il était le prochain sur sa liste ? La vérité est proche. Si proche. Bien plus terrible et dangereuse que tout ce que Nap imagine...

Je lis peu souvent de roman policier. J’ai toutefois bien aimé ce livre, sauf la fin (dommage !) que je trouve un peu rapide, un peu alambiquée et peu probable. Harlan Coben a l’art de vous emmener dans son univers, les personnages sont intéressants et vous cherchez avec le protagoniste principal la solution possible de l’enquête.

Je classe ce livre en 243ème position et lui donne une étoile.

 

15 janvier 2020

Les fantômes du vieux pays

Présentation de l’éditeur

Scandale aux États-Unis : le gouverneur Packer, candidat à la présidentielle, a été agressé en public. Son assaillante est une femme d'âge mûr : Faye Andresen-Anderson. Les médias s’emparent de son histoire et la surnomment Calamity Packer. Seul Samuel Anderson, professeur d’anglais à l’Université de Chicago, passe à côté du fait divers, tout occupé qu’il est à jouer en ligne au Monde d'Elfscape. Pourtant, Calamity Packer n’est autre que sa mère, qui l’a abandonné à l’âge de onze ans. Et voilà que l’éditeur de Samuel, qui lui avait versé une avance rondelette pour un roman qu’il n’a jamais écrit, menace de le poursuivre en justice. En désespoir de cause, le jeune homme lui propose un nouveau projet : un livre révélation sur sa mère qui la réduira en miettes. Samuel ne sait presque rien d’elle ; il se lance donc dans la reconstitution minutieuse de sa vie, qui dévoilera bien des surprises et réveillera son lot de fantômes. Des émeutes de Chicago en 1968 au New York post-11-Septembre en passant par la Norvège des années quarante et le Midwest des années soixante, Nathan Hill s’empare de l’Amérique d’aujourd’hui et de ses démons et compose avec beaucoup d’humour une fresque aussi ambitieuse que captivante.

C’est un gros pavé de 954 pages et on comprend vite pourquoi, l’auteur bifurque continuellement de l’histoire principale pour parler d’un nouveau personnage avec moult détails. Je n’ai pas compris non plus pourquoi on part dans le passé et on revient dans le présent sans arrêt. Il aurait dû commencer l’histoire dans le présent, puis repartir dans le passé une fois jusqu’à ce qu’on revienne dans le présent, ceci expliquant cela. Ici, cela en devient pénible.

Je pense que l’histoire aurait mérité d’être « élaguée » de tout le superflu et aurait gagné en compréhension et en intérêt. J’ai bien aimé la fin de l’histoire où on comprend les tenants et les aboutissants sans trop de fioritures inutiles. Il m'a fallu deux mois pour venir à bout de ce livre de Nathan Hill.

J’ai bien aimé certains passages :

Page 593 : «  La seule chose moins populaire que la guerre dans ces années-là, c’était le mouvement contre la guerre. »

Page 907 : « Mais le truc, continue Periwinkle, l’œil animé, c’est que même les choses qu’on fait pour casser la routine deviennent la routine. Les choses qu’on fait pour échapper à la tristesse de la vie sont elles-mêmes devenues tristes. Ce que cette publicité pointe du doigt, c’est que malgré tous les encas ingurgités, la tristesse résiste, malgré toutes les émissions regardées, la solitude persiste, malgré toutes les informations déversées, le monde n’a toujours aucun sens, malgré toutes les heures passées à jouer, la mélancolie est de plus en plus profonde. Comment y échapper ? »

Page 948 : « Et c’est la vérité. Il a fait de son mieux. Il était un homme bon. Le meilleur père qu’il pouvait être. Même si Faye ne s’en était jamais rendu compte. Il arrive qu’on soit tellement enfermé dans sa propre histoire qu’on ne voit pas le second rôle qu’on occupe dans celle des autres. »

Page 949 : « Mais d’après Faye, parfois une crise n’est pas vraiment une crise – c’est juste un nouveau départ. Si elle a appris une chose de toute cette histoire, c’est que lorsqu’un nouveau départ est vraiment nouveau, il ressemble à une crise. Tous les vrais changements commencent par faire peur. Si vous n’avez pas peur, c’est que ce n’est pas un vrai changement. »

Je classe ce livre en 408ème position et lui donne une étoile (pour la fin).

9 novembre 2019

Dans le murmure des feuilles qui dansent

Présentation de l’éditeur :

Anaëlle, une jeune femme dont la vie a été bouleversée par un accident, se reconstruit doucement, entre son travail et sa passion pour l'écriture. Thomas raconte des histoires merveilleuses d'arbres et de forêt pour mettre un peu de couleur dans la chambre d'hôpital de Simon, un garçon lumineux et tendre. Chacun se bat à sa manière contre la fatalité. Mais estce vraiment le hasard qui va sceller leur destin ? Dans ce nouveau roman, Agnès Ledig noue une histoire simple et poignante où des âmes blessées donnent le meilleur d'elles-mêmes et nous rappellent, dans une nature à la fois poétique et puissante, que la vie est plus forte que tout.

J’ai beaucoup aimé ce livre comme j’aime souvent les histoires épistolaires. Je trouve que lorsque l’on écrit, on fait plus attention aux mots que l’on emploie et au sens qu’on leur donne. J’aime bien le titre également. Ce livre est une jolie réflexion aussi sur les choses importantes de la vie, sur la nature qui nous entoure et sur les relations que l’on entretient avec les autres. On s’attache à l’héroïne mais également aux autres personnages, et même à la greffière, c’est pour dire ! C’est un livre qui donne envie d’écrire !

C’est le cinquième livre que je lis de cette auteure : « Pars avec lui » classé en 12ème position avec 3 étoiles, « Marie d’en-haut » classé en 34ème position avec 3 étoiles, « On regrettera plus tard » classé en 189ème position avec 2 étoiles, « Juste avant le bonheur » classé en 320ème position avec une étoile. Ce qui est amusant c'est qu'il y avait un bandeau promotionnel sur le livre dans le magasin "de l'auteur de "juste avant le bonheur" " et que c'est celui que j'ai le moins aimé.

Je classe ce livre en 103ème position (sur 537 que compte mon classement à ce jour) et lui donne 3 étoiles.

2 novembre 2019

L'aile des vierges

Présentation de l'éditeur :

" L'aile des vierges ", c'est ainsi que l'on surnomme les chambres réservées aux domestiques à Sheperd House, illustre manoir du Kent où est engagée Maggie Fuller au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Petite-fille de suffragette, fille d'une sage-femme féministe, Maggie aurait pu prétendre à mieux que cette place de femme de chambre. Mais, en ces temps difficiles, la jeune femme cultivée et émancipée n'a d'autre choix que d'intégrer la petite armée d'intendants semblant vivre au siècle précédent. Elle aspire pourtant à un autre destin. Et elle n'est pas la seule au sein de Sheperd House... Contre toute attente, ce pourrait être le début de son long chemin vers l'amour et la liberté.

J’ai bien aimé ce livre de Laurence Peyrin. C’est le 3ème livre que je lis de cette auteure : « La drôle de vie de Zelda Zonk » classé en 243ème position avec 1 étoile et la suite de celui-ci « Hanna » classé en 83ème position avec 3 étoiles.

Pour « l’aile des vierges », j’ai surtout aimé la première partie du livre. L’indépendance, la liberté de pensée et les réparties de l’héroïne me la font apprécier. Ensuite, elle fait des choix que je n’ai pas toujours compris, comme s’il n’y avait pas eu d’autres possibilités. Mais bon, les héros de roman n’agissent pas toujours comme on le souhaiterait !

Cela reste une lecture agréable même si la fin est un peu rapide, il y aurait eu tant à dire sur les 58 dernières années qui nous sont présentées comme un résumé dans l'épilogue…

Je classe ce livre en 208ème position et lui donne 2 étoiles.

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24 octobre 2019

Vers la beauté

Présentation de l’éditeur

Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Personne ne comprend cette surprenante reconversion de la part d’un spécialiste de Modigliani. Qu’a-t-il vécu pour fuir ainsi ? Mathilde, la DRH du musée, est décidée à percer son secret.

J’ai bien aimé ce livre de David Foenkinos. Généralement, j’aime assez bien cet auteur (« la délicatesse » classé en 102ème position avec 3 étoiles, « nos séparations » classé en 184ème position et 2 étoiles, « le mystère Henri Pick » classé en 238ème position et une étoile, « les souvenirs » classé en 323ème position et une étoile, « le potentiel érotique de ma femme » classé en 416ème position sans étoile).

Pour ce livre, j’ai été un peu surprise de perdre le fil de la vie du professeur des beaux-arts pour suivre celui de l’une de ses étudiantes et on ne comprend pas tout de suite pourquoi. J’ai ressenti un peu de frustration à quitter si longuement ce premier personnage (pendant près de 70 pages). L’auteur nous oriente d’ailleurs sur une fausse piste mais on sent tout de même la fin arriver.

J’ai tout de même apprécié l’intrigue, la façon de commencer par la fin et d’avancer dans l’histoire à reculons.

Je classe ce livre en 109ème position et lui donne 3 étoiles.

20 octobre 2019

Sur les chemins noirs

Présentation de l’éditeur :

'Il m'aura fallu courir le monde et tomber d'un toit pour saisir que je disposais là, sous mes yeux, dans un pays si proche dont j'ignorais les replis, d'un réseau de chemins campagnards ouverts sur le mystère, baignés de pur silence, miraculeusement vides. La vie me laissait une chance, il était donc grand temps de traverser la France à pied sur mes chemins noirs. Là, personne ne vous indique ni comment vous tenir, ni quoi penser, ni même la direction à prendre.' Sylvain Tesson.

Que dire ? Je me suis ennuyée. Pourtant, j’aime la nature, j’aime visiter la France, j’aime les beaux paysages, j’aime marcher et découvrir mais je me suis ennuyée avec ce livre de Sylvain Tesson. Heureusement, il ne fait que 171 pages, car je ne sais pas si je serais allée jusqu’au bout s’il avait été plus long et pourtant vous savez que je termine toujours les livres que je commence.

Pourtant c’est souvent beau : « Certains hommes espéraient entrer dans l’Histoire. Nous étions quelques un à préférer disparaître dans la géographie » (page 37).

Je ne suis pas étonnée qu’il ait aimé la lecture (page 103) de « La ferme africaine » de Karen Blixen, autre livre contemplatif que j’avais trouvé particulièrement ennuyeux et insupportable (et aussi beaucoup plus long…).

J’ai bien aimé son idée des cercles concentriques, (en résumé) page 148 et 149 :

-          1er cercle le centre-ville charmant avec une églises restaurée et une librairie devant un salon de thé,

-          Le 2ème cercle avec le quartier pavillonnaire,

-          Le 3ème cercle avec le centre commercial et un rond-point qui mène aux champs, au hangar et à la forêt.

Et la conclusion : « tout cela prouvait une chose : avec des efforts, même le Français réussit à ordonner le monde ».

P 150 : « Dans la même journée, je passai par-dessus la Sarthe (…), l’autoroute (…) et une voie à grande vitesse dont je comprenais l’utilité : il fallait rajouter une ligne au réseau pour se précipiter vers des lieux qu’on serait pressé à nouveau de quitter. »

Surtout, il y a beaucoup de mots compliqués. J’ai fini par renoncer à les chercher sur wikipédia, ne lui en déplaise (il n’apprécie pas beaucoup l’envahissement des outils numériques, les histoires de réseau, de connexion, …).

Bref, je classe ce livre en 502ème position (sur 534) et lui donne un moins.

12 octobre 2019

Tout peut arriver ou presque

Présentation de l'éditeur :

A l'issue d'un entretien d'embauche, Élisa erre dans la rue du Faubourg-Poissonnière, connue pour ses nombreux magasins de robes de mariée. Face à la robe de ses rêves, elle décide qu'elle n'attendra pas que son compagnon lui fasse sa demande. C'est elle qui la fera ! Alors qu'elle passe la soirée à imaginer ses noces, son futur mari rentre à l'aube, couvert de traces de rouge à lèvres. Une dispute éclate et Élisa s'en va. C'est ainsi qu'elle s'embarque dans une aventure improvisée, dans laquelle tout peut arriver ou presque.

J’ai bien aimé ce roman de Sonia Dogator. J’ai déjà lu un livre de cette auteure, il s’agissait de « mère, épouse et working girl » qui est actuellement 267ème dans mon classement avec une étoile. Pour en revenir à « Tout peut arriver ou presque », je trouve qu’il y a plein de jolies trouvailles et de petites touches d’humour. On s’attache rapidement au personnage principal un peu exubérant et spontané. Il y a aussi malheureusement plein de choses invraisemblables (surtout sur la fin) et c’est un peu dommage, cela dessert l’ensemble du livre. J’ai tout de même passé un bon moment de lecture.

Je classe ce livre en 139ème position et lui donne 3 étoiles.

10 octobre 2019

Maddie, si tu savais

Présentation de l’éditeur

"Une histoire terriblement énigmatique, une fin qui surprend vraiment. Impossible de le lâcher avant d'avoir fini... " Entre Matthieu et Maddie, c’est le coup de foudre immédiat. Ce que Maddie ignore, c’est que Matthieu connaît son avenir. Un avenir terrifiant, douloureux, pire que la mort.
La préoccupation principale de Matthieu, journaliste scientifique, sera dès lors de sauver Maddie. Mais le temps se dresse entre eux telle une barrière infranchissable. Une lettre pourrait tout changer. Mais parviendra-t-elle à temps à Matthieu ?

J’ai bien aimé ce roman d’Isabelle ROZENN-MARI. Je ne suis pas fan des romans de sciences-fictions mais celui-ci reste « raisonnable » et ne nous emmène pas dans un monde parallèle. Je l’ai lu en 5 jours et j’ai eu du mal à lâcher le livre sur la fin de l’histoire (je l’ai d’ailleurs terminé cette nuit entre minuit trente et trois heures du matin…). C’est un mélange de roman historique, de roman de sciences-fictions et de roman scientifique, mais le tout reste abordable et agréable à lire.

Je classe ce livre en 112ème position et lui donne 3 étoiles.

5 octobre 2019

La tête du lapin bleu

Présentation de l’éditeur

Quand l’amour terrasse Ava et Léo sur les bancs du lycée, et qu’un an plus tard, à l’approche de la naissance de jumeaux, ils convolent en justes noces contre l’avis de tous, on comprend que le bonheur peut être soudain. Les histoires toutes simples ne sont pas les moins belles. On s’aime, on se marie, les rires des enfants viennent peupler notre petit monde. Le bonheur n’est pas aussi exigeant qu’on le dit. Puis, avec les années, on pense que rien ne peut troubler notre quiétude, notre douceur de vivre. Mais, c’est sans compter sur le destin. Lui peut se jouer de nous… brouiller les cartes, changer les règles. Vous pensez que rien ne peut vous arriver ? Et si vous vous trompiez ?

Ce livre de Wendall Utroi est très compliqué à commenter et à classer. Si je l'ai téléchargé, c'est que c'était un prix des lecteurs et généralement c'est plutôt bon signe. Il s'agit d'une descente aux enfers progressive. Quand on se dit que l’héroïne ne pourra pas tomber plus bas, on se trompe car il y a toujours une situation pire que la précédente qui survient. Pourquoi j’ai continué à lire ? Bonne question, c’est bien écrit, c’est bien raconté et j’ai eu envie de savoir ce qu’il advient d’Ava.

J’y est retrouvé la patte de l’auteur dont j’ai lu récemment un autre livre « Comme un phare dans la tempête ». De façon identique, j’ai été agacée par certaines choses (des longueurs dans le précédent et des situations de plus en plus dramatiques dans cette dernière lecture) mais j’ai eu envie d’aller jusqu’au bout (en même temps même quand je n’aime pas un livre, je le termine !). Mais là, on ne peut pas dire que je n’ai pas aimé mais cela reste un peu particulier.

Je classe ce livre, juste devant le précédent du même auteur, en 300ème position et lui donne une étoile.

J’aimerais bien pouvoir discuter de ce livre avec une autre personne l’ayant lu pour confronter ce sentiment final.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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