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Le petit monde de So et de Fi
livres
27 août 2014

Ce qu'il advint du Sauvage blanc

Quatrième de couverture

Au milieu du XIXe siècle, Narcisse Pelletier, un jeune matelot français, est abandonné sur une plage d Australie. Dix-sept ans plus tard, un navire anglais le retrouve par hasard : il vit nu, tatoué, sait chasser et pêcher à la manière de la tribu qui l’a recueilli. Il a perdu l’usage de la langue française et oublié son nom. Que s’est-il passé pendant ces dix-sept années ? C’est l’énigme à laquelle se heurte Octave de Vallombrun, l’homme providentiel qui recueille à Sydney celui qu’on surnomme désormais le « sauvage blanc ».

J’ai eu peur de m’ennuyer au début du livre de François Garde car on découvre Narcisse PELLETIER au moment où il se perd sur une île à la recherche d’eau potable et que la goélette repart sans lui. S’en suivent alors plusieurs journées à la recherche de nourriture puis une rencontre avec une aborigène australienne. Sans dialogue, le livre aurait pu sembler long. Mais on alterne alors à chaque paragraphe, ce que vit Narcisse PELLETIER dans son île et le moment où on le retrouve 18 ans plus tard, raconté par Octave de Vallombrun.

J’ai suivi l’histoire avec plaisir mais (il y a un mais ou plutôt deux) :

-      on ignore ce que devient Narcisse à la toute fin de l’histoire et c’est un manque je trouve… surtout que le titre du livre est « ce qu’il advint du sauvage blanc » ( !). A moins que l’auteur ait souhaité que l’on tire chacun sa propre conclusion…

-      Octave de Vallambrun passe pour un original n’ayant plus toute sa tête alors qu’il a passé des années à tenter de comprendre l’histoire du « sauvage blanc ».

Je le classe en 116ème position et lui donne une étoile.

 

 

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23 août 2014

Le coeur et la raison

Présentation de l’éditeur

Le livre procède, si l'on considère le titre, d'une opposition entre deux traits fondamentaux : le bon sens et la sensibilité, qui seraient incarnés par deux sœurs, Elinor et Marianne. Mais l'une et l'autre sont bien pourvues de ces deux qualités, si Elinor possède plus de jugement, et si Marianne, en adepte du romantisme, a tendance à cultiver les élans de sa sensibilité. Notamment lorsqu'elle tombe aveuglément amoureuse du héros de ses rêves, Willoughby, un homme superficiel, tourné vers l'argent, qui va la décevoir profondément. La sage, la raisonnable Elinor, qui l'avait mise en garde, avait-elle donc raison ? Et le secret du bonheur serait-il dans l'usage du jugement ? C'est l'être isolé affrontant la société, qu'analyse Jane Austen. La raison consiste à s'ajuster au monde, et non à le braver, à observer des règles qu'on ne peut changer, plutôt qu'à cultiver des rêves et des états d'âme condamnés à rester sans réponse.

Sense and Sensibility est le premier roman que publia Jane Austen (1811). Elle écrira ensuite entre autres « Orgueil et Préjugés » placé en 2ème position dans mon classement avec 3 étoiles et « Emma » en 33ème position et 3 étoiles également.

J’ai retrouvé le style des romans anglais du XIXème siècle que j'affectionne tout particulièrement. Par contre, j’ai trouvé qu’il y avait trop de détours et de contournements qui nuisent à la clarté et à la fluidité de l’ensemble.

J’ai trouvé beaucoup de similitudes entre ce livre et « Orgueils et Préjugés ». Dans celui-ci, il y a 3 sœurs à marier (mais on ne parle que des deux ainées), dans le second, il y en a 5. Dans les deux livres, des thèmes communs apparaissent : il faut se méfier des apparences, il faut faire la part entre ce que le cœur ressent et ce que la raison dicte, il faut toujours savoir raison garder, il est parfois difficile de savoir si les sentiments sont partagés, ….

J’ai bien aimé la fin car cela s’accélère un peu.

Je classe ce livre en 123ème position et lui donne une étoile.

16 août 2014

L'amour est un plaisir

Présentation de l’éditeur

Trois jeunes hommes et une jeune fille lancés, ivres d'amitié et de soleil, sur les routes provençales de juillet... et c'est l'éternel jeu de l'amour et du hasard qui renaît. Les trois garçons, Gilles, Jacques et Philippe, chacun à sa façon, sont amoureux de Bénédicte, riche, libre et belle. Elle ne tarde pas à savoir qui elle aime et, au cours d'une scène où l'eau, le sable et le soleil composent un tableau étincelant, se donne à l'un des trois amis. Mais on apprend vite que ces jeux font surgir une émotion plus poignante et plus vraie. Le bonheur de la jeunesse, c'est peut-être d'être heureux de souffrir. Chacun reviendra chez soi, se demandant si vraiment - à vingt ans - l'amour est un plaisir.

C’est le premier livre de Jean d’Ormesson et c’est la première fois que je lis un de ses ouvrages. J’ai bien aimé le changement d’un paragraphe à l’autre où il parle soit à la première personne en étant Philippe et soit comme un observateur extérieur qui parle des quatre personnages principaux.

Mais alors voilà, quand je regarde le nombre de pages total et que je fais régulièrement le calcul pour savoir combien il en reste d’ici la fin, ce n’est généralement pas bon signe. Je me suis effectivement un peu ennuyée. Quant à la fin, on pressent un peu trop à mon goût, le drame qui survient…

Cela dit, je pense que je retenterai l’expérience Jean d’Ormesson.

voici deux extraits :

page 81 : D’où viennent-ils, ces sourires, ces regards, ces idées qui jaillissent et don Dieu seul sait à quoi ils vont mener ? Quand on dit : Dieu seul, on veut dire que les choses ne s’expliquent qu’après coup, qu’on parlera après-demain de ce qui se passera demain, qu’on trouvera après-demain mille motifs plausibles à ce qui se sera passé demain, mais que personne, jamais, ne devinera aujourd’hui ce qui est pour demain. Et s’il n’y avait qu’un avenir et un passé, on serait au moins sûr de ce qui a déjà eu lieu. Mais le passé est un imparfait, hier n’a pas aujourd’hui le sens qu’il aura demain, et il ne s’expliquera que dans le futur. Il y a un temps terrible ; le futur antérieur.

page 110 : Il pensa que tout ce que chacun disait depuis une demi-heure avait un sens apparent, et puis un sens caché ; et que ce sens caché n’était que le sens apparent, mais dit par quelqu’un qui savait, écouté aussi par quelqu’un qui savait. Ce n’était pas un langage secret, et pourtant c’était un langage secret : c’étaient les langages du cœur, de l’amitié, de la déception, de l’espoir ou de la rancune, qui se servent des pauvres mots, du mot riz, du mot arbres, du mot soleil pour dire ce qui devait être dit.

Je le classe en 198ème position et ne lui donne pas d’étoile.

13 août 2014

Sous le signe du lien

Quatrième de couverture

A la lumière de ses études éthologiques, qui cherchent à observer le comportement des êtres vivants dans leur univers naturel, Boris Cyrulnik jette un regard nouveau sur le comportement amoureux des humains. La compréhension du monde animal et la biologie le conduisent à livrer de nouvelles interprétations sur les liens naturels qui unissent une famille. On découvre ainsi que l'histoire affective du bébé commence bien avant sa naissance la force des liens bébé-père-mère pèse sur l'individu dès la formation de la cellule embryonnaire et l'influence toute sa vif durant. Bons Cyrulnik nous offre ici la première histoire naturelle de l'attachement.

Boris Cyrulnik est neurologue et psychiatre. Il enseigne l’éthologie (l'étude du comportement des diverses espèces animales).

L’observation du monde animal permet de mieux comprendre les comportements humains. Il constate que l’inceste n’existe quasiment pas chez les animaux, car inhibé par le processus d’attachement (celui-ci se développe dans le temps). Il explique également « l’empreinte » filiale, période critique intervenant à un certain stade de développement, qui conditionne le lien et l’orientation sexuelle.

Il aborde la vie avant la naissance, le positionnement de la mère (la façon de prendre son bébé dans les bras diffèrera selon que c’est un garçon ou une fille) et la place du père qui le devient réellement au 6ème mois de l’enfant car l’enfant ne le distingue réellement qu’à partir de ce moment là.

Du fait de cette notion d’attachement, en cas de séparation après la naissance (enfant prématuré ou enfant abandonné), le développement de l’enfant ne se fait pas correctement (retard des postures, défaut de spatialisation, hypersensibilité au bruit, au toucher, anorexie, insomnie, …). Depuis cette constatation par les éthologues, les mères sont à présent autorisées à rester auprès de leur enfant prématuré dans les services de néo-natalité.

Boris Cyrulnik aborde bien d’autres sujets dans son livre :

-          Les pulsions sexuelles,

-          Comment l’histoire peut modifier les performances sexuelles,

-          La sexualisation des gestes des bébés,

-          L’enracinement du sentiment amoureux,

-          La façon de constituer un couple : de la parade nuptiale des animaux à celle des humains

-          Le manque d’attache des enfants abandonnés et ses conséquences

-          La notion d’attachement lorsque l’on vieillit

Tout comme avec le premier livre que j’ai lu de Boris Cyrulnik, « les nourritures attractives », je suis surprise par la quantité d’observations sur le monde des animaux et cette capacité d’analyse et de transposition au monde des humains.

Il faudrait lire ce livre avant la naissance de ses enfants car il est riche d'enseignements et d'explications mais en même temps à tout vouloir décortiquer, on finirait pas se demander à chaque geste si l’on fait correctement…

J’ai trouvé quelques répétitions (dans ce livre et également par rapport à l'autre livre), à moins que ce ne soit une volonté d'appuyer sur certaines notions… et malgré le fait que ce livre m’a paru plus facile que le premier, il me semble quand même fait pour des initiés à la psychologie (je me suis plongée régulièrement dans le dictionnaire cette fois encore).

Je classe ce livre en 171ème position et lui donne une étoile.

9 août 2014

A l'encre russe

Quatrième de couverture

Nicolas Duhamel découvre à plus de vingt ans qu'un troublant mystère entoure ses origines. Pourquoi sa famille a-t-elle délibérément rayé un pan de son histoire ? Son père, disparu au large de la côte basque alors qu'il était encore enfant, n'est plus là pour lui répondre. Affecté par l'onde de choc de ces révélations, le jeune homme se lance sur la piste de ses ancêtres, jusqu'à Saint-Pétersbourg.  De cette enquete découlera un roman qui rencontrera un succes phénoménal. Grace à ce livre, Nicolas pense en avoir fini avec les fantômes du passé. Pourtant, lors d'un séjour dans un hotel de rêve sur une île toscane, il verra s'accumuler orages et périls, défiler sa vie et se jouer son avenir.

Comme je l'avais indiqué à la fin de mon billet sur "Boomerang" que j'ai beaucoup aimé (et qui évoquait déjà un secret de famille), j'avais envie de découvrir un autre livre de Tatiana de Rosnay. J'ai trouvé "A l'encre russe" à la médiathèque, sans avoir vu auparavant les commentaires sur internet (j'aurais peut-être dû...).

Cette histoire parle de l'auteur d'un premier livre à succès, Nicolas, ayant du mal à retrouver l'inspiration pour un deuxième livre. Il a pris la grosse tête, passe son temps sur les réseaux sociaux pour voir si on parle de lui et a perdu tous ses amis. C'est alors que l'auteure nous raconte, par bribes, le sujet du premier roman du héros. Le problème, c'est qu'il y a plein de longueurs et de répétitions qui nous font penser que c'est en fait Tatiana de Rosnay qui n'a pas d'inspiration !!!

Le résumé en quatrième de couverture parle d'une quête du héros sur les terres russes de ses ancêtres, cette partie ne compte en fait qu'une vingtaine de pages à la fin et encore, on reste sur sa faim, à tel point que je me suis demandé s'il y avait un deuxième tome...

Il y a aussi un passage sur l'échouage du "Concordia" rebaptisé en "Sagamor" qui n'apporte rien et qui dessert même encore le livre.

Du coup, j'ai hésité entre ne pas mettre d'étoile et mettre un "moins" mais je ne serai pas aussi sévère car malgré tout il y a des passages intéressants.

Je classe donc ce livre en 193ème position et ne lui donne pas d'étoile.

 

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7 août 2014

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

Quatrième de couverture :

A 13 ans, Momo se retrouve livré à lui même. Il a un ami, un seul, Monsieur Ibrahim, l'épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : la rue Bleue n'est pas bleue, l'Arabe n'est pas arabe, et la vie n'est peut-être pas forcément triste...

Ce roman (ou plutôt cette nouvelle ? ce conte ?) d'Eric-Emmanuel SCHMITT est plein de justesse, de sensibilité et d'humour.

Monsieur Ibrahim, humble et généreux, transmet à Momo sa sagesse, sa tolérance et son amour, lui qui en était tant privé. Il lui apprend à sourire aux autres et par conséquent à la vie ainsi qu'à regarder la beauté du monde qui nous entoure.

Je classe ce livre en 82ème position et lui donne deux étoiles.

P.S. :

C'est mon premier livre emprunté à la Médiathèque (je l'avais vu sur internet quand j'avais fait une recherche sur l'auteur). D'ailleurs, il faudra que je m'organise pour avoir une liste de livres avant d'y passer. J'ai l'impression que les livres récents sont empruntés dès qu'ils sont proposés (j'ai remarqué cela lorsque j'ai consulté la liste des livres disponibles ou réservés) donc il faudra étendre mes choix pour être sure de trouver mon bonheur. En même temps, ce sera l'occasion de me pencher sur d'autres lectures possibles...

6 août 2014

Les joyeux guérissent toujours

Quatrième de couverture :

« Les joyeux guérissent toujours » a dit François Rabelais. Cette phrase, Patrick Sébastien en a fait sa maxime, sa leçon de vie, son étendard ; pour faire face aux chagrins, aux blessures, aux deuils, aux défaites et aux trahisons que nous inflige la vie, une seule solution : la Joie. C’est cette philosophie qu’applique chaque jour Patrick Sébastien que la vie n’a pas toujours épargné. Au fil des anecdotes de ce journal intime, il nous confie ses éclats de rire, lui qui s’amuse de tout, parce que « le quotidien est tant imprévisible et irréversible qu’en sourire est bien plus jouissif que d’en pleurer ».
Quand Patricia a ramené ce livre de Patrick Sébastien à JP, je n'avais pas vraiment envie de le lire. Je ne suis pas fan de l'humoriste et animateur pour plusieurs raisons : je lui trouve un côté égocentrique, je n'aime pas vraiment son humour et les petites piques genre règlements de compte qu'il distille à chaque émission. JP l'a lu pendant nos vacances en Avignon et je viens à mon tour de le terminer.
L'objectif principal de son livre est de transmettre des "astuces" pour voir la vie du bon côté et partir du principe que tout va mieux avec un peu d'humour, malgré les coups durs de la vie. De cela, je suis parfaitement d'accord. Maintenant, les plaisanteries qu'il relate sont parfois un peu rudes, voire parfois un peu déplacées à mon sens. On n'a pas forcément les mêmes outils ou recettes pour parvenir à positiver.
Je ne l'apprécierai, je pense, pas davantage mais je reconnais en lui un vrai généreux.
Je classe ce livre en 151ème position et lui donne une étoile.
5 août 2014

La femme au miroir

 

Présentation de l'éditeur

Anne vit à Bruges au temps de la Renaissance, Hanna dans la Vienne impériale de Sigmund Freud, Anny à Hollywood de nos jours. Toutes trois se sentent différentes de leurs contemporaines ; refusant le rôle que leur imposent les hommes, elles cherchent à se rendre maîtresses de leur destin. Trois époques, trois femmes : et si c'était la même ?

C'est le deuxième livre que je lis d'Eric-Emmanuel SCHMITT (voir mon billet "Les dix enfants que Madame Ming n'a jamais eus" du 27/10/2013).

Chaque chapitre est consacré à une héroïne différente. On passe de la vie d'Anne (Béguine à Bruges), à celle d'Hanna (Aristocrate viennoise, première disciple de Freud) puis à celle d'Anny (Excellente actrice Hollywoodienne, malgré ses dépendances à l'alcool et aux drogues) et ainsi de suite. Elles ont chacune à leur manière des personnalités fortes et feront des choix radicaux malgré l'avis souvent contraire de leurs proches. Malgré les époques différentes, un lien se tissera entre elles.

C'est bien écrit, bien pensé.

Je classe ce livre en 31ème position et lui donne 3 étoiles.

 

29 juillet 2014

Boomerang

Présentation de l'éditeur 

Sa sœur était sur le point de lui révéler un secret... et c'est l'accident. Elle est grièvement blessée. Seul, l'angoisse au ventre, alors qu'il attend qu'elle sorte du bloc opératoire, Antoine fait le bilan de son existence: sa femme l'a quitté, ses ados lui échappent, son métier l'ennuie et son vieux père le tyrannise. Comment en est-il arrivé là? Et surtout, quelle terrible confidence sa cadette s'apprêtait-elle à lui faire? Rattrapé par le passé, Antoine Rey vacille. Angèle, une affriolante embaumeuse, lui apportera une aide inattendue dans sa recherche de la vérité.

C'est bien écrit, c'est fluide, c'est direct. J'aime !! 

Tatiana de Rosnay aborde dans ce roman plein de thèmes actuels, traités avec beaucoup de justesse : l'amour, la maladie, la mort, le divorce, l'adolescence, la communication parfois difficile avec ses parents ou ses enfants, les secrets de famille, ...

J'ai adoré et ce livre me donne envie d'en lire d'autres du même auteur.

Je le classe en 30eme position et lui donne trois étoiles.

 

28 juillet 2014

Élise ou la vraie vie

Extrait de Wikipedia (à défaut de quatrième de couverture) :

L'histoire se passe en France pendant la décennie de la guerre d'Algérie : Élise, jeune Bordelaise rêvant de « vraie vie », monte à Paris, trouve un travail dans une usine et y rencontre Arezki, un Algérien, dont elle s'éprend.

Dans ce résumé, manque l'importance du frère d'Elise et de la grand-mère chez qui ils vivotent à bordeaux. Lucien, ne travaille pas (ou très peu, quelques heures de surveillance dans un collège) car il ne veut s'abaisser à travailler à l'usine (encouragé en cela par sa sœur et sa grand-mère). Il se marie très jeune avec Marie-Louise et ils ont un enfant. Il milite contre la guerre d'Indochine. Il rencontre Anna et quitte sa femme et déménage sur Paris ou il militera contre la guerre d'Algérie.
Il demande à Elise de le rejoindre (malgré la grand-mère et Marie-Louise malades).

Lucien travaille à la chaîne (!) et conseille Elise de faire de même. Pendant 9 mois, elle connaîtra "la vraie vie" avec ce travail difficile. Elle y rencontrera son amant algérien dans le contexte de la guerre d'Algérie et du fort racisme ambiant...

La seule chose que j'ai aimée dans ce livre est la juste description des difficiles conditions de travail et de la déconsidération dont sont victimes les étrangers dans l'usine...

Il y a fort peu d'actions (je me suis ennuyée) et Élise est peu maître de son destin... Elle doit demander à son frère de l'aider à trouver une chambre pour loger avec son amant et ne le fait pas, elle doit écrire à sa grand-mère de les héberger et ne le fait jamais non plus...

Je le classe en 224eme position et lui donne un "moins".

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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