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Le petit monde de So et de Fi
livres
19 novembre 2013

La fleur sur la falaise

Présentation de l’éditeur

Enzo, solide gaillard, ne peut pas être considéré comme un solitaire, c'est simplement un homme qui cherche un coin tranquille, à l'abri des regards, pour finir tranquillement ses jours. Pourtant, même dans ce bout du monde, perdu dans les montagnes, son passé le rattrapera. Ce printemps 1959 pourrait bien être sa dernière saison sur cette terre qui s'éveille après un hiver rigoureux. Les hommes et les femmes de ces contrées sont rudes comme les montagnes qui les entourent et les isolent, cela n'empêche pas les rencontres amicales, voire amoureuses, mais également meurtrières. Il y a aussi cette mystérieuse petite fille, Flora, qui semble avoir pris ses habitudes dans la nouvelle demeure d’Enzo.
Elle possède quelques dons surprenants qui pourraient bien venir en aide à Enzo, ne dit-on pas : "On a toujours besoin d’un plus petit que soi…."

Ayant bien aimé les deux précédents livres de Patrice Vilette que j'ai lus, j'ai acheté "La fleur sur la falaise".

J’ai adoré les trois quarts du livre. A partir du moment où cela devient surnaturel je peux dire que j’ai décroché. Je veux bien admettre que certaines personnes ont des dons, qu’elles sentent des choses que les autres ne perçoivent pas et jusque là j’ai aimé l’histoire, les personnages et les situations. Par contre, mon esprit cartésien a refusé le passage où l'auteur nous emmène dans un monde fait d’esprits ayant des pouvoirs de téléportations, de parler sans qu’on les voit ou autres bizarreries de ce genre.

Je classe donc ce livre en 176ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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17 novembre 2013

Watsy Spawn, la dernière sirène

Présentation de l’éditeur :

Watsy Spawn sévit du 33ème étage de la tour Montparnasse. Elle y anime une émission de radio pour une poignée de fidèles noctambules en mal de conseils au vitriol.  Lorsqu’en direct, un auditeur lui annonce qu’il est en train de mourir, elle voit ressurgir les démons qu’elle avait cru enterrer, il y a longtemps, à des milliers de kilomètres. Ce soir, le sang coulera à nouveau dans la vie de Watsy Spawn. Plus que jamais déterminée à découvrir la vérité sur le suicide suspect de son assistante et sur l’identité de l’auditeur agonisant, elle entre dans une symphonie macabre qui la mènera jusqu’aux secrets de ses origines. Armée de son seul aplomb et de ses talons aiguille, elle tentera, soutenue par son amie, l’exubérante Baronne Éliane de Carantec, d’affronter ceux qui ont décidé de la supprimer.

Je ne suis pas une adepte des romans policiers et j’ai téléchargé « Watsy Spawn, la dernière sirène » de Jérémy Réynolds parce qu’il y avait de nombreux commentaires enthousiastes sur Amazon.

J’ai apprécié la façon d’écrire de l’auteur et les dialogues qui claquent. La personnalité  de l’héroïne est forte et on aime sa répartie, sa fougue et son humour. Elle arrive toujours à se tirer des mauvais pas (et il y en a un certain nombre tout au long du livre !). Par contre, j’ai trouvé l’intrigue assez tordue, voire irréaliste par moment. On attend des nouvelles d’un personnage qui ne viennent pas et c’est certainement pour cela que les commentaires sur amazon espèrent une suite…

Je classe ce livre en 102ème position et lui donne une étoile.

5 novembre 2013

La coupe Saint-Martin

Présentation de l’éditeur

Deux ans se sont écoulés et le château de Fraisac accueille désormais Célina, Hélène ainsi que Mamie Jeanne. Joseph, Le Doleur, a également accepté de vivre à Fraisac entre deux coupes de bois. Pour cette morte-saison il est embauché pour une coupe près d’Issoire. La proximité avec Fraisac lui permettra de revenir au château de temps en temps pour retrouver sa fille, Hélène, qui s’en réjouit.  À Saint-Martin, le Doleur croisera Gaëlle Sénéchal, la fille du propriétaire de la coupe. Peu de temps après cette première rencontre, celle-ci disparaitra dans des conditions particulièrement sordides. Cette coupe de bois, qui paraissait si monotone à Joseph, va le conduire dans des endroits où jamais il n’aurait imaginé se rendre, surtout contre son gré. 

J’ai aimé retrouver les personnages du « château de Fraisac » mais j’ai trouvé ce tome « La coupe Saint-Martin » de Patrice Vilette plus rapide et parfois moins crédible. Le personnage principal n’a tout de même pas de chance, dans le premier tome on lui enlève sa pupille, dans le second tome, il se trouve accusé d’un crime qu’il n’a pas commis, le bateau qui l’emmène au bagne coule, il se retrouve naufragé sur une île et sa pupille se fait attaquer par l’homme qui a commis le crime dont on l’accuse… un peu trop  de coïncidences à mon goût.

Il n’empêche que j’ai lu ce livre avec plaisir et attends le troisième (et dernier ?) tome avec impatience.

Je le classe donc en 44ème position et lui donne 2 étoiles.

4 novembre 2013

Le Château de Fraisac

Présentation de l’éditeur :

Septembre 1855, au village de Saint-Anthème, c’est la foire qui rassemble tout ce que le Forez compte comme scieurs de long et doleurs. C’est l’époque des embauches pour la morte-saison. Tous les hommes partiront pour neuf mois sur des coupes de bois à travers la France entière. Joseph Matheron, doleur de son état, vient lui aussi chercher de l’embauche. L’homme qui vient lui faire une proposition, ce jour-là, à l’air honnête, pourtant le salaire qui lui est proposé, dépasse de loin tout ce qui pourrait lui être offert pour ce même travail. Intrigué, mais ne pouvant refuser une telle opportunité, Le Doleur, comme tout le monde le surnomme, va rencontrer des hommes et une femme qui vont radicalement changer sa propre vie. Lui, le loup solitaire, qui ne croit en rien et ne compte sur personne, va s’attacher à une petite fille et vivre, pour elle, la plus belle des aventures, celle du partage, de l’abandon de soi. Dans toutes aventures il y a les mauvais coups, les lâchetés, l’innommable, mais surtout la puissance et le désintéressement de l’amour qui permet de tout surmonter.

J’ai a-do-ré !!

Je le classe en 12ème position et lui donne 3 étoiles car je n’ai pas réussi à le caser plus haut dans mon classement mais franchement j’ai eu le coup de cœur pour ce livre "Le château de Fraisac" de Patrice Vilette.

Il n’est apparemment disponible que sous format Kindle (liseuse de la fnac) et c’est bien dommage, j’aurais bien voulu pouvoir l’offrir !

Je suis rentrée dans l’histoire dès le premier chapitre, ce qui est assez rare pour être souligné. J’ai aimé le personnage principal et les liens qu’il tisse petit à petit avec les autres. On découvre des choses sur le métier de doleur que personnellement je ne connaissais pas.

C’est ce genre de livre dont on a envie de connaître la fin et qu’en même temps on ne voudrait pas vouloir terminer. Bon, c’est un peu le cas puisqu’il y a un tome II et que je me suis empressée de le télécharger à son tour…

 

4 novembre 2013

La mort d'Olivier Bécaille

Après « matin brun » de Franck Pavloff, Antoine doit lire pour son cours de français « La mort d’Olivier Bécaille » et autres nouvelles d’Emile Zola. Comme j’aime bien savoir de quoi il retourne, je les ai lues aussi.

Il s’agit donc de 4 courtes nouvelles :

- la première, « La mort d’Olivier Bécaille », relate la mésaventure d’Olivier Bécaille qui assiste à sa propre mort et à son enterrement alors qu’il était encore conscient et qu’il se réveillera réellement une fois enterré.

- la seconde,  « Nantas », raconte l’histoire d’un homme de rien à qui l’on demande d’épouser une demoiselle riche car elle a été mise enceinte par un homme marié. Il parviendra à faire fortune et fera tout pour se faire aimer de son épouse.

- la troisième, « l’inondation » voit périr tour à tour tous les membres d’une famille sauf le grand-père suite à une crue de la Garonne.

- la quatrième, « Les coquillages », expose l’histoire d’un couple qui n’arrive pas à avoir d’enfant et à qui le médecin de famille conseille au Monsieur de manger des coquillages pour y parvenir. Ils se rendent donc près de la mer et effectivement, neuf mois après naîtra un enfant mais pas forcément grâce aux vertus des mollusques ingurgités…

Antoine a trouvé que c’était rédigé en vieux français mais de mon côté, je n’ai pas été gênée à la lecture. J’ai beaucoup aimé la 2ème et la 4ème nouvelles. La première, même si elle se termine bien, est assez sombre et angoissante. La 3ème est particulièrement terrible.

J’ai bien aimé reprendre du Zola, cela faisait plusieurs années que je n’en avais pas lu (Germinal ou les Rougon-Macquart sont bien loin)… On est emporté dans l’histoire avec les personnages.

Je classe ce livre en 134ème position et lui donne une étoile.

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31 octobre 2013

No more men

Quatrième de couverture

« Amoureuse plus jamais tu ne tomberas ».

S’il ne devait y en avoir qu’un, c’est ce commandement qu’Isabelle, jeune trentenaire pétillante et dynamique, se promettrait de respecter. Elle en est maintenant certaine, ce commandement était de tous, le plus sage. Dommage que Moïse l’ait oublié sur le mont Sinaï…

Et pour sceller cette nouvelle promesse, quoi de mieux que de sauter dans un avion et de fuir ce «largueur» de fiancé, incapable d’assumer l’amour soit disant étouffant qu’elle lui porte ? Destination New York, sa vie tumultueuse, les joggeurs athlétiques de Central Park et les élégants businessmen du NYSE... Ce serait bien le comble qu’elle rompe sa promesse !

Pourvu que son frère ait reçu son message et l’attende à la descente d’avion... Mais qui est cet Apollon qui tient une pancarte à son nom dans le hall d’arrivée ? Le… voisin de son frère ? Il ne manquait plus que ça. Non Isabelle. RÉSISTE. Une promesse est une promesse.

Remarquez, y a-t-il un commandement qui interdise de convoiter le voisin ?

Bon alors, j’ai commandé « No more men » de Julie Belandorey sur la boutique Kindle parce qu’il était noté 4,5 sur 5, qu’il avait 15 commentaires favorables sur 16 et qu’il n’était pas cher (4,99 euros).

Il était noté dans la catégorie Littérature mais c’est plutôt dans la catégorie de littérature sentimentale (voire à l’eau de rose) qu’il aurait dû se trouver. Ce livre soi-disant drôle n’a pas eu beaucoup d’effets sur moi. Je trouve même parfois les tentatives de situation loufoques un peu désespérées. Le suspense n’existe pas malgré ce que l’auteur essaie de nous faire croire.

Donc en gros, c’est un livre qui se lit facilement mais qui n’a pas vraiment d’intérêt car on connaît la fin dès le début du livre.

Je le classe en 146ème position et ne lui donne pas d’étoile.

27 octobre 2013

Les dix enfants que Madame Ming n'a jamais eus

Quatrième de couverture

Madame Ming aime parler de ses dix enfants vivant dans divers lieux de l'immense Chine. Fabule-t-elle, au pays de l'enfant unique ? A-t-elle contourné la loi ? Aurait-elle sombré dans une folie douce ? Et si cette progéniture n'était pas imaginaire ?

L'incroyable secret de Madame Ming rejoint celui de la Chine d'hier et d'aujourd'hui, éclairé par la sagesse immémoriale de Confucius.

Ce petit livre d’Eric-Emmanuel Schmitt est plein de sagesse. C’est la première fois que je stabilotte des passages d’un livre.

Je vous donne mes  extraits préférés :

Page 2 : « Au lieu de se plaindre de l’obscurité, mieux vaut allumer la lumière ».

Page 51 : « Si tu rencontres un homme de valeur, cherche à lui ressembler ; si tu rencontres un homme médiocre, cherche ses défauts en toi ».

Page 53 : « L’homme supérieur se montre amical sans familiarité ; l’homme vulgaire se montre familier sans amitié ».

Page 56 (le préféré des préférés) : « L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la tient ».

Page 74 : « L’homme supérieur ne demande rien qu’à soi-même ; l’homme trivial et déméritant demande tout aux autres ».

Page 76 : « Apprendre sans réfléchir est inutile ; réfléchir sans apprendre est dangereux. »

Je classe ce livre en 98ème position et lui donne une étoile.

26 octobre 2013

La fin n'est que le début

Quatrième de couverture

Dix-huit ans déjà, Linnea prépare le bac. Entre sa grand-mère victime d’une grave attaque et sa copine Malin qui prend des cours de self-défense pour se protéger de son petit ami, tout concourt à lui rappeler que la vie d’adulte n’est pas aussi douce qu’espéré. Et voilà qu’elle croise le sosie de Pia, son amie disparue, en uniforme de lieutenant de marine ! Il s’agit de Per, le grand frère de Pia, qui l’agace à peu près autant qu’il lui plaît. Ils ne sont d’accord sur rien et se disputent sur tout, mais restent en contact quoi qu’il arrive – n’est-ce pas le moment rêvé de tomber amoureuse ?

3ème et dernier volet de la saga. On retrouve notre héroïne l’année du bac mais comme elle tombe amoureuse, elle laisse un peu de côté ses études, sa famille et ses amies.

J’aime bien l’humour de l’auteure, Katarina Mazetti, et les réparties qu’elle fait dire à son héroïne.

J’espérais avoir dans ce dernier épisode les explications du suicide de sa meilleure amie lors du 1er tome mais cela n’a pas été le cas. Je reste donc avec mes suppositions et c’est pourquoi je ne classe ce livre qu’en 94ème position et lui donne une étoile.

25 octobre 2013

Entre le chaperon rouge et le loup, c'est fini

Quatrième de couverture

Linnea, dix-sept ans, ne s'est pas remise du décès brutal de Pia, sa meilleure amie. En cette nouvelle rentrée, flanquée de deux copines plus paumées qu'elle, elle interroge les adultes sur le sens de l'existence et cache sa détresse sous une cruauté moqueuse. Quand sa grand-mère chérie lui offre une belle somme d'argent, elle envoie tout promener et part en voyage. C'est le moment pour elle de tomber amoureuse, de faire des choix inconsidérés, de prendre des risques, de perdre son innocence... bref, de vivre sa vie.

C’est donc la suite de « entre Dieu et moi, c’est fini » que j’ai commandée après avoir terminé le 1er tome de la saga. On retrouve notre adolescente qui se remet difficilement du suicide de sa meilleure amie et qui va murir d’un coup suite à des péripéties outre atlantique.

Je classe ce livre en 87ème position et lui donne une étoile.

J’attaque dès à présent le 3ème et dernier tome de la saga « La fin n’est que le début ».

19 octobre 2013

Entre Dieu et moi, c'est fini

Quatrième de couverture

Linnea a quinze ans, plein de complexes et pas mal de questions qui lui trottent par la tête. La seule qui la comprenait, c’était Pia, sa meilleure amie, son amie pour la vie… enfin, pour cent vingt jours, “sans compter les week-ends”, Linnea a fait le calcul une fois. Depuis que Pia est morte. Avec Pia, elle pouvait parler de tout : de l’amour, de la mode, de Markus dont toutes les filles rêvent, de son père qu’elle voit deux fois par an, de sa mère qui s’engueule avec son nouveau jules et même de Dieu. Seulement voilà, Pia n’est plus là. Alors pour ne pas se laisser aller à la tristesse ou à la colère, Linnea se souvient…

Je suis restée sur ma faim avec la fin de l’histoire mais je comprends mieux pourquoi : il y a deux livres qui suivent celui-ci. Je viens donc de les commander… Livraison prévue vendredi au plus tard, il va donc falloir patienter pour connaître la suite.

Sinon, c’est un roman, de Katerina Mazetti, assez touchant sur les adolescents et sur l’amitié. On comprend très vite que Linnea à perdu son amie et très vite aussi on comprend qu’elle s’est suicidée. Il y a un début d’explication mais on ne comprend pas complètement, c’est pourquoi j’attends la suite.

Je classe ce livre en 92ème position et lui donne une étoile. J’avais préféré « le mec de la tombe d’à côté » du même auteur (classé en 68ème position).

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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