Les dix enfants que Madame Ming n'a jamais eus
Quatrième de couverture
Madame Ming aime parler de ses dix enfants vivant dans divers lieux de l'immense Chine. Fabule-t-elle, au pays de l'enfant unique ? A-t-elle contourné la loi ? Aurait-elle sombré dans une folie douce ? Et si cette progéniture n'était pas imaginaire ?
L'incroyable secret de Madame Ming rejoint celui de la Chine d'hier et d'aujourd'hui, éclairé par la sagesse immémoriale de Confucius.
Ce petit livre d’Eric-Emmanuel Schmitt est plein de sagesse. C’est la première fois que je stabilotte des passages d’un livre.
Je vous donne mes extraits préférés :
Page 2 : « Au lieu de se plaindre de l’obscurité, mieux vaut allumer la lumière ».
Page 51 : « Si tu rencontres un homme de valeur, cherche à lui ressembler ; si tu rencontres un homme médiocre, cherche ses défauts en toi ».
Page 53 : « L’homme supérieur se montre amical sans familiarité ; l’homme vulgaire se montre familier sans amitié ».
Page 56 (le préféré des préférés) : « L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la tient ».
Page 74 : « L’homme supérieur ne demande rien qu’à soi-même ; l’homme trivial et déméritant demande tout aux autres ».
Page 76 : « Apprendre sans réfléchir est inutile ; réfléchir sans apprendre est dangereux. »
Je classe ce livre en 98ème position et lui donne une étoile.