Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
livres
18 juin 2021

La prisonnière du temps

Présentation de l'éditeur

" Mon vrai nom, personne ne s'en souvient. La vérité à propos de cet été-là, personne ne la connaît ". À l'été 1862, un groupe de jeunes peintres proches des Préraphaélites, menés par le talentueux Edward Radcliffe, s'installe au Birchwood Manor, sur les rives de la Tamise. Là, inspiré par sa muse, la sulfureuse Lily avec qui il vit une passion ravageuse, Edward peint des toiles qui marqueront l'histoire de l'art. Mais à la fin de sa retraite, une femme a été tuée, une autre a disparu, un inestimable diamant a été dérobé, et la vie d'Edward Radcliffe est brisée. Plus d'un siècle plus tard, Elodie Winslow, jeune archiviste à Londres fiancée à un golden-boy qui l'ennuie, découvre dans une vieille sacoche deux objets sans lien apparent : le portrait sépia d'une femme à la beauté saisissante en tenue victorienne, et un cahier de croquis contenant le dessin d'une demeure au bord de l'eau. Pourquoi le Birchwood Manor semble-t-il si familier à Elodie ? L'inconnue de la photo pourra-t-elle enfin livrer tous ses secrets ? Et si, en l'entraînant sur les traces d'une passion d'un autre siècle, son enquête l'aidait à percer le mystère de ses propres origines et à enfin mener la vie qu'elle désire ?

Beaucoup, beaucoup de personnages dans le livre de kate Morton dont on ne connaît pas le lien entre elles comme si on nous racontait plusieurs histoires. Trop d’informations tue l’information. Par ailleurs, il y a deux choses qui me laisse perplexe :

-          Ce qui se passe sur (ou dans) la rivière

-          le dénouement qui est pour moi peu crédible car comment peut-on oublier quelque chose de ce type ayant de telles conséquences (!), surtout venant d’une personne si cartésienne et si douée ?

Pas mécontente d’avoir terminé ces 715 pages.

J’avais déjà lu un livre de cette auteur « le jardin des secrets » classé en 5ème position et avec 3 étoiles.

Je classe ce livre en 361ème position et lui donne une étoile.

Publicité
Publicité
18 juin 2021

Loin

Présentation de l'éditeur

Tout commence par quelques mots griffonnés au dos d’une carte postale : « Je pense à vous, je vous aime ». Ils sont signés de Charles, le père d’Antoine, parti vingt ans plus tôt sans laisser d’adresse. Avec son meilleur ami, Laurent, apprenti journaliste, et Anna, sa jeune sœur complètement déjantée, Antoine part sur les traces de ce père fantôme. C’est l’affaire d’une semaine, pense-t-il… De l’ex-Allemagne de l’Est à la Turquie d’Atatürk, de la Géorgie de Staline à l’Autriche nazie, de rebondissements en coups de théâtre, les voici partis pour un road movie généalogique et chaotique à la recherche de leurs origines insoupçonnées.

Alexis Michalik a décidément le goût de l’aventure : après  le succès phénoménal d’Edmond, le comédien, metteur en scène et dramaturge couronné par cinq Molières, nous embarque à bord d’un premier roman virevoltant, drôle et exaltant.

Déçue par la fin de l’histoire, d’autant plus déçue que j’ai adoré les 762 pages du livre d’Alexis Michalik. En effet, c’est au lecteur d’imaginer la suite et cela me laisse un peu sur ma faim. Les trois personnages principaux, Antoine, Anna et Laurent ont des personnalités très différentes mais attachantes chacune à leur manière. Petit bémol, j’ai trouvé que le périple devenait peu crédible en Inde et en Indonésie. On revisite la grande Histoire à travers leur retour en arrière qui les mène jusqu’au début du siècle dernier. J’ai découvert cet auteur avec ce livre, qui me donne envie d’en découvrir davantage.

Je classe ce livre en 22ème position et lui donne trois étoiles.

26 mai 2021

La puissance de l'acceptation

Présentation de l’éditeur

Nous vivons quotidiennement de nombreuses situations dont certaines s'avèrent difficiles à accepter, ce qui, hélas, génère des conflits, des malaises ou des insatisfactions. Cet ouvrage fait le point sur les fondements de l'amour inconditionnel et de l'acceptation. Grâce à de nombreux outils et à l'aide d'histoires vécues, ce livre vous amènera à mieux vivre ces situations dans votre propre vie et, surtout, à les prévenir. Il porte un accent particulier sur l'acceptation de la maladie (pour soi et les autres), la mort (la sienne et celle des autres), la vieillesse, la perte, les choix faits par les proches, l'apparence physique, les faiblesses et les blessures. En somme, il vous apprendra à accepter ce qui peut paraître inacceptable. En suivant l'évolution des personnages, vous découvrirez les bienfaits extraordinaires qui résultent du grand pouvoir de l'amour véritable et de l'acceptation. Vous pourrez également faire la différence entre ACCEPTER, SE SOUMETTRE et COMPRENDRE et reconnaître les différentes facettes de l'amour à travers l'amour filial, fraternel, parental, intime, amical, possessif, passionnel et inconditionnel. Ce livre unique vous sensibilisera et vous épaulera à travers les différentes situations que vous rencontrerez tout au long de votre vie.

Il y a certainement des choses à prendre dans ce livre mais il y a aussi beaucoup de choses qui m’ont dérangées.

La première c’est qu’elle ne rate pas une occasion pour parler d’un de ses autres livres (celui sur les blessures, celui sur le fait d’écouter son corps ou encore celui sur l’estime de soi, …).

Ensuite, la façon dont elle parle de notre ego, comme si c’était une personne à part entière qui a « besoin de se nourrir de nos croyances que nous continuons d’alimenter et savoir qu’il est vivant de par le pouvoir qu’il exerce sur nous. Notre ego ne veut pas que nous voyions ce que nous critiquons chez les autres. Mais notre DIEU intérieur, qui est notre grand ami, s’applique à nous laisser savoir ce que nous essayons de nier. » C’est parfois, tout bonnement incompréhensible.

Ensuite, elle parle de l’Univers auquel il faut faire confiance. Il sait des choses que nous ne savons pas. « Il faut lâcher prise et faire confiance à l’Univers. »  Pour l’auteure, le hasard n’existe pas.

Par rapport à la maladie aussi. En gros, elle explique que nos soucis de santé sont souvent liés à des blessures que l’on a eues et qu’il est possible de guérir en prenant compte de celles-ci.

L’auteure croit également dur comme fer à la réincarnation. Si on s’améliore par ses techniques dans cette vie-là, cela sera utile pour nos vies suivantes… « Chaque âme a une raison très précise pour être sur cette terre et si elle décide que son plan de vie lui semble trop difficile à atteindre dans cette vie-ci et qu’elle préfère revenir dans un autre corps, dans une autre vie pour reprendre ce même plan de vie, qui sommes-nous pour dire que cette âme n’a pas le droit de le faire ? »

Enfin, bref, elle m’a perdue. Ces tournures de phrases sont par trop compliquées, à se demander si ce n’est pas volontaire. Il y a pourtant des tas de commentaires dithyrambiques sur internet.

Je classe ce livre en 479ème position et ne lui donne pas d’étoile.

21 mai 2021

La lumière était si parfaite

Présentation de l’éditeur

Il suffit parfois d'un rien pour que la vie s'éclaire. Comment sa vie a-t-elle pu lui échapper à ce point ? Devenue mère au foyer à la naissance de ses enfants, Megg fait face aujourd'hui à une ado en crise qu'elle ne reconnaît plus. Son mari ne se préoccupe guère des tâches quotidiennes. Et puis il y a eu le coup de grâce, cette saleté d'infarctus qui a fauché sa mère avant l'heure. Tandis qu'elle se résout à vider la maison de son enfance, Megg déniche une pellicule photo qui l'intrigue, et décide de la faire développer. Rien ne pouvait la préparer à la série de clichés qu'elle découvre alors... Une révélation qui bouleversera sa vie. Partie sur les traces d'un passé maternel dont elle ignore tout, Megg ne se doute pas que c'est son avenir qu'elle est en train de reprendre en main.

J’ai bien aimé ce livre de Carène Ponte. Facile à lire, avec des personnages attachants, des situations réalistes notamment la relation de Megg avec sa fille adolescente. C’est un bon moment de lecture, pas compliqué et divertissant.

Je classe ce livre en 270ème position et lui donne 2 étoiles.

19 mai 2021

Ces petits riens qui nous animent

Présentation de l’éditeur

Ce matin-là, Aude est venue trouver refuge au parc des Buttes-Chaumont après avoir découvert l'infidélité de son mari. Alexandre, lui, est contraint de faire un choix entre son grand amour et sa famille. Quant à Nicolas, il s'inquiète des motifs qui ont poussé son frère à annuler le rendez-vous qu'ils avaient ensemble dans ce même parc. Chacun plongé dans ses propres tourments, Aude, Alexandre et Nicolas débouchent en même temps sur le pont qui mène à l'île du Belvédère. Face à eux, une adolescente suspendue dans le vide menace de sauter. Portés par un même élan, sans réfléchir, ils se précipitent tous les trois pour la retenir. Aucun d'eux n'imagine alors combien ce geste va profondément transformer leur vie. Car ce sauvetage a un prix : celui de la promesse qui les lie désormais...

Je n’ai pas vraiment accroché à ce roman de Claire Norton. La situation de départ n’est pas crédible du tout et les dialogues qui l’entourent (et les dialogues en général – trop de dialogues tuent le dialogue !) ne m’ont pas permis de rentrer dans l’histoire. Le tout est un peu gentillet à la sauce romantique jusqu’à la mièvrerie. Je pensais, au vu des commentaires sur internet, passer un moment simple de détente et de douceur, avec un livre sur l’amitié et l’amour, mais je suis déçue, il m’a plutôt agacée par ses clichés et ses bons sentiments.

Je classe ce livre en 511ème position et ne lui donne pas d’étoile.

Publicité
Publicité
16 mai 2021

Les enfants sont rois

Présentation de l’éditeur

"La première fois que Mélanie Claux et Clara Roussel se rencontrèrent, Mélanie s’étonna de l’autorité qui émanait d’une femme aussi petite et Clara remarqua les ongles de Mélanie, leur vernis rose à paillettes qui luisait dans l’obscurité. “On dirait une enfant”, pensa la première, “elle ressemble à une poupée”, songea la seconde. Même dans les drames les plus terribles, les apparences ont leur mot à dire." À travers l’histoire de deux femmes aux destins contraires, Les enfants sont rois explore les dérives d’une époque où l’on ne vit que pour être vu. Des années Loft aux années 2030, marquées par le sacre des réseaux sociaux, Delphine de Vigan offre une plongée glaçante dans un monde où tout s’expose et se vend, jusqu’au bonheur familial.

J’ai bien aimé ce livre de Delphine de Vigan même s’il n’y a pas vraiment de fin. La dérive des réseaux sociaux est bien décrite, tout comme la quasi-professionnalisation des saynètes mettant en scène les enfants, l’importance du temps journalier consacré à ces vidéos et les dégâts que cela peut causer dans le rapport aux autres. Jusqu’où peut-on montrer sa vie et celle de ses enfants visibles à tous d’un simple clic ?

J'avais déjà lu un livre de cette auteure : "les heures souterraines" classé en 436ème position avec une étoile.

Je classe ce livre en 242ème position et lui donne 2 étoiles.

10 mai 2021

L'empreinte de l'ange

Quatrième de couverture

Nous sommes à Paris, à la fin des années cinquante. Saffie, l’énigmatique et belle Allemande aux yeux vert d’eau, devient l’épouse du grand flûtiste Raphaël Lepage, profondément épris dès le premier regard. Mariée, puis mère, Saffie ne change pas : rien ne semble pouvoir illuminer son visage fermé et triste, éclairer des yeux qui en ont trop vu – qui ont tout vu. Rien, sauf l’amour fou qui l’embrase le jour où elle rencontre le luthier de Raphaël, un Juif hongrois nommé András. Ecartelé entre son histoire et sa passion inattendue pour cette Allemande, il tente d’apprendre – et de lui apprendre – à vivre avec leur passé.

Pas très joyeuse cette histoire de Nancy Huston sur fond de guerre d’Algérie et de souvenirs douloureux de la seconde guerre mondiale aussi bien du point de vue du luthier juif que de l’héroïne allemande.

Ce livre était cité par Valérie Perrin dans « Trois » et c’est pourquoi je l’ai téléchargé. Je reste un peu perplexe. Je n’avais qu’une hâte, le terminer. Il m’a fait penser, par certains côtés (ennuyeux) et certaines longueurs, à « Le garçon » de Marcus Malte.

Il n’y a que le titre que j’ai bien aimé.

Je classe ce livre en 481ème position et ne lui donne pas d’étoiles.

7 mai 2021

Trois

Présentation de l'éditeur

« Je m'appelle Virginie. Aujourd'hui, de Nina, Adrien et Etienne, seul Adrien me parle encore. Nina me méprise. Quant à Etienne, c'est moi qui ne veux plus de lui. Pourtant, ils me fascinent depuis l'enfance. Je ne me suis jamais attachée qu'à ces trois-là. » 1986. Adrien, Etienne et Nina se rencontrent en CM2. Très vite, ils deviennent fusionnels et une promesse les unit : quitter leur province pour vivre à Paris et ne jamais se séparer. 2017. Une voiture est découverte au fond d'un lac dans le hameau où ils ont grandi. Virginie, journaliste au passé énigmatique, couvre l'événement. Peu à peu, elle dévoile les liens extraordinaires qui unissent ces trois amis d'enfance. Que sont-ils devenus ? Quel rapport entre cette épave et leur histoire d'amitié ?

J'ai adoré ce livre comme j'ai adoré "changer l'eau des fleurs" de la même auteure Valérie Perrin.

Je pourrais d'ailleurs reprendre quasiment le même commentaire que j'avais fait à la lecture de celui-ci : 

"(...) Il y a beaucoup d’aller et retour entre le passé et le présent. Il faut s’accrocher et bien suivre ! Mais le tout est super bien ficelé. (...). Les personnages sont particulièrement bien décrits et chacun avec leur personnalité, leurs forces, leurs failles, leurs expériences, leur philosophie, leur sagesse pour certains, … J’ai dû relire certains passages après avoir fini le livre pour bien m’assurer de certaines choses, de la chronologie de certains faits. Par contre, comme il n’y a que des allers et retours passé-présent, j’ai parfois eu du mal à retrouver les passages que je cherchais. Un sommaire même succinct aurait été intéressant avec tout au moins le nom de la personne qui s’exprime dans le chapitre pour pas trop dévoiler la suite..."

Quasiment tout pareil !

Je pourrais rajouter que l'on brouille les pistes pour mieux nous tromper, ne serait-ce que dans les deux premières phrases du résumé...

J'ai lu 2 autres livres de Valérie Perrin avant celui-ci : "changer l'eau des fleurs" classé en 4ème position avec 3 étoiles et "les oubliés du dimanche" classé en 121ème position avec 3 étoiles., 

Je classe ce livre en 36ème position (sur 621) et lui donne 3 étoiles.

 

28 avril 2021

Le bruissement du papier et des désirs

Présentation de l’éditeur

Île du Prince-Édouard, au large du Canada, 1837. L'enfance de Marilla Cuthbert s'écoule, heureuse et paisible, dans le cadre enchanteur de la campagne, avec ses parents et son frère aîné, Matthew. À la mort brutale de sa mère adorée, Marilla se jure de veiller toujours sur son père et son frère. Mais aussi sur tous ces orphelins, ces fugitifs noirs-américains qui, traqués par les chasseurs d'esclaves, débarquent sur leurs côtes. Fidèle à ses principes, cette jeune femme éprise de liberté jettera toutes ses forces dans la bataille – au prix de ses désirs, au péril de sa vie...

Il ne se passe pas grand-chose dans la vie de Marilla Cuthbert contrairement au résumé de l’éditeur et à la 4ème de couverture (où se jette-t-elle de toutes ses forces dans la bataille ?). En plus, l’auteure nous dévoile la fin dès le premier chapitre… Et la fin donc, n’en est pas vraiment une. Bref, je reste un peu perplexe avec ce livre.

Je classe ce livre en 319ème position et lui donne une étoile (pour le côté historique portant sur l’esclavagisme).

21 avril 2021

Les confidences

Présentation de l’éditeur

' Pour moi, une confidence, c’est une histoire que l’on garde pour soi parce qu’elle concerne tout le monde. Si elle ne concernait pas tout le monde, on n’aurait pas besoin de la garder pour soi. '

Dans un appartement meublé de deux chaises, une table et un immense philodendron, Marie Nimier recueille, les yeux bandés, des confidences. Un à un, les volontaires se livrent anonymement à de troublants aveux, souvent pour la première fois. Remords, regrets, culpabilité, mais aussi désirs, rêves et fantasmes se dévoilent. Jusqu’à ce qu’un jour, Marie perde pied. Celle que son père surnommait enfant la Reine du Silence prend finalement la parole. La dernière confidence sera la sienne.

J'ai téléchargé ce livre sur ma liseuse car il était recommandé dans un magazine féminin avec 3 coeurs. Je suis assez partagée entre le fait de dire que c’est une bonne idée de recueillir les « confidences » ou anecdotes d’inconnus et celui de penser qu’il s’agit d’une façon d’écrire un livre pour combler un manque ou une panne d’inspiration. Ce n’est donc surement pas le meilleur livre pour découvrir cette auteure Marie Nimier car il relate les mots d’autres personnes.

Je classe ce livre en 312ème position et lui donne une étoile.

Publicité
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 520
Publicité