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Le petit monde de So et de Fi
livres
21 mars 2021

L'échappée belle

Présentation de l’éditeur

Simon, Garance et Lola, trois frère et sœurs devenus grands (vieux ?), s'enfuient d'un mariage de famille qui s'annonce particulièrement éprouvant pour aller rejoindre Vincent, le petit dernier, devenu guide saisonnier d'un château perdu au fin fond de la campagne tourangelle. Oubliant pour quelques heures marmaille, conjoint, divorce, soucis et mondanités, ils vont s'offrir une dernière vraie belle journée d'enfance volée à leur vie d'adultes.

Bouhhh, très déçue. Rien à voir avec « ensemble c’est tout », par exemple (classé en 7ème position dans mon classement), de la même auteure, Anna Gavalda, même si l’on sait que le roman « l’échappée belle » a été écrit avant et édité après les succès que l’on connaît. Les personnages sont sympas même s’ils sont un peu caricaturaux, le style parfois (souvent ?) un peu limite, l’arrivée du chien improbable, la journée imprévue partagée par la fratrie une bonne idée et une chance (!) mais il n’y a pas vraiment d’histoire et pas de fin. Je suis restée sur ma faim et le pire c’est que je n’ai pas compris certains passages (!).

Je classe ce livre en 500ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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19 mars 2021

Ulysse et l'Odyssée

Présentation de l’éditeur

Dix années de guerre ont permis à Ulysse, roi d'Ithaque, de prouver sa vaillance et sa ruse. Le guerrier n'aspire plus qu'à retrouver enfin Pénélope, sa femme, et Télémaque, son fils. Mais les dieux et le destin en ont décidé autrement. Pourchassé par la colère de Poséidon, soutenu par Athéna, le héros va errer encore dix ans sur les mers au gré d'épreuves répétées...

Dans ce livre, l’histoire commence à la fin de la guerre de Troie où Ulysse a combattu pendant 10 ans. Il mettra 10 ans de plus pour rentrer chez lui (sachant qu’il passe un an dans les bras de la magicienne Circé et 7 ans dans ceux de la nymphe Calypso, pendant que l’attend Pénélope…). Quant à la vaillance et la ruse d’Ulysse, parfois, je trouve qu’il fait preuve d’orgueil et que cela coûte des vies et des mésaventures.

J’ai bien aimé ce livre car il remet un peu de chronologie dans mon esprit sur les aventures d’Ulysse et rappelle certaines étapes.

Cela me donne envie de relire d’autres histoires de la mythologie.

Je classe ce livre en 189ème position et lui donne 2 étoiles.

10 mars 2021

La cause humaine du bon usage de la fin d'un monde

Présentation de l’éditeur

Edition 2012

Nous vivons la fin d’un monde. Celui inauguré par les temps modernes et caractérisé par les notions de compétition, de séparation sujet/objet, de temps linéaire, d’équilibre spontané, de croissance indéfinie. Quelle est cette ère nouvelle dans laquelle nous entrons ? Comment sortir des vieux schémas qui ont apporté nombre de progrès mais qui nous plongent également dans une grave crise à la fois écologique, économique, sociale, morale ? Ce livre répond à ces questions et nous exhorte également à sortir du sentiment de peur et à dépasser les réactions régressives qui habitent les hommes à chaque grande mutation de civilisation. Patrick Viveret est philosophe. Il est l’auteur de Reconsidérer la richesse (L’Aube)ou de Pourquoi ça ne va pas plus mal (Fayard). Il participe à de nombreux forums sociaux mondiaux et européens.

Edition 2019

Derrière la sombre façade de la mondialisation et de la globalisation financière entrée en crise sous le poids de sa propre démesure, il existe une autre approche de la mondialité centrée sur la conscience de la communauté de destin qui lie l’humanité. Alors, la seule cause qui vaille, la seule qui ne soit pas destructrice ou justificatrice de crimes, de domination, ou d’exploitation, c’est la cause même de l’humanité. Pour faire bon usage de la « fin de monde » actuelle, il nous faut nous tourner vers l’eros , la force de vie et la créativité de ce nouveau monde en gestation !

Bon alors, je dois l’avouer, je n’ai malheureusement pas retenu grand-chose de ce livre de Patrick Viveret.

L’auteur veut nous sensibiliser à de nombreux de sujets tel que le réchauffement climatique, l’aggravation des inégalités sociales, les dérives du capitalisme financier, la montée des mouvements xénophobes, les risques de catastrophes technologiques, … Il propose de se tourner vers l’essentiel, à savoir l’amour, le bonheur et le sens. Il émet notamment des idées sur la façon de sortir du capitalisme, de rémunérer le travail différemment et il imagine même un pays nouveau où les choses seraient différemment gérées autour de principes écologiques, sociaux et démocratiques du bien-vivre.

Je classe ce livre en 564ème position et ne lui donne pas d’étoile. J’ai eu trop de mal à le terminer. Et puis pour une réédition de 2019, il y a quand même beaucoup de références anciennes.

21 février 2021

L'éducation aux temps du coronavirus

Présentation de l’éditeur

Le 12 mars 2020, face à la pandémie, le Président de la République annonce la fermeture de tous les établissements d'enseignement. Le ministre de l'Education nationale exhorte à assurer la "continuité pédagogique" à distance. Comment, dans l'urgence et l'impréparation, confinés, enseignants et élèves, familles et étudiants font-ils dans les semaines qui suivent ? Que révèle cette "crise" de l'état du système d'enseignement ? Comment ce confinement sert-il à l'accélération des réformes gouvernementales en cours ? Treize spécialistes de l'éducation, de la maternelle à l'université, coopèrent et tentent de répondre à ces questions et d'ouvrir les chantiers de recherche que cette séquence inédite impose.

J’ai trouvé que ce livre était uniquement à charge contre le gouvernement et qu’il ne faisait que constater des éléments que l’on connaît déjà : la fracture numérique, la difficulté pour certains parents à aider scolairement leurs enfants, les différences selon le niveau social, l’isolement physique et psychologique qu’a imposé le confinement.

La « continuité pédagogique » demandée par le gouvernement a parfois été difficile à appliquer mais qu’aurait-il pu proposer d’autres ? D’ailleurs, les auteurs du livre critiquent les décisions venant d’en haut mais ils ne proposent, ne suggèrent absolument rien de ce qu’il aurait fallu faire. Si la recherche consiste à analyser une situation (qu’on connaît déjà) alors ils ont bien cherché mais qu’ont-ils résolu ? Le livre a été terminé le 1er juillet 2020, n'est-ce pas un peu tôt, a-t-on assez de recul pour analyser et apporter réellement quelque chose, n'est-ce pas un peu commercial ?

Les enseignants (la plupart) ont fait le maximum pour aider leurs élèves et c’est très bien. La situation a sûrement accentué les différences en fonction du niveau social, mais comment résoudre cela ?

Travaillant dans le milieu enseignant, dans une école d’enseignement supérieur, j’ai rencontré les mêmes difficultés avec les étudiants. Ceux qui avait un poste informatique défaillant, une mauvaise connexion internet, un ordinateur partagé par les parents ou la fraterie (et pour exemple, une famille privilégiant plutôt celui qui passait son bac que celui en 3ème année d’études supérieures).

Nos intervenants ont utilisé leur poste informatique personnel (ce qui n'est apparemment possible par les enseignants du public, selon les auteurs de ce livre, car tous les professeurs de l'Education Nationale n'en possèdent pas) et ont assuré les cours et modifé leur contenu, leurs supports de cours pour s'adapter à la situation.

On a fait le maximum, on a télétravaillé, on a prêté (et livré !) des ordinateurs aux étudiants, permis des connexions à distance sur les ordinateurs de l’école, assuré le maximum de cours en distanciel par visioconférence, reporté les cours où c’était impossible, adapté la pédagogie à cette contrainte qu’était le confinement lié à la situation sanitaire, apporté une aide psychologique par une ligne dédiée. Alors oui, c'est une école privée avec d'autres moyens que l'Education Nationale, mais même si on a trouvé la période compliquée, on s'est adapté au mieux. On a détricoté les plannings et retricoté, plusieurs fois, parce que l'on espérait toujours pouvoir revenir à l'école en présentiel avant la fin de l'année scolaire.

A aucun moment, on a incriminé le gouvernement, pour quoi faire ? Quel aurait été l’intérêt pour nos étudiants ?

Bref, se plaindre, c’est humain mais constatons plutôt le positif. Pour certains intervenants venant habituellement de loin, on a minimisé leur fatigue, les coûts de déplacement et d’hôtel et envisagé d’autres solutions qui perdurent encore à l’heure actuelle. Bien sûr, rien ne vaut un cours en présentiel, mais cette période a permis d’imaginer d’autres solutions ponctuelles ou durables, d’autres manières de fonctionner, des choses qui paraissaient impossibles, sont devenues possibles.

Je classe ce livre en 469ème position et ne lui donne pas d’étoile.

12 février 2021

Cessez de manger vos émotions

Présentation de l’éditeur

Vous surprenez-vous parfois à grignoter sans avoir réellement faim ? Craquez-vous davantage pour certains aliments sous l'effet du stress, de la colère ou de la tristesse ? Avez-vous l'impression de perdre le contrôle lorsque vous succombez à une " petite faim " ? Si votre alimentation est étroitement liée à votre état émotionnel, alors ce livre est pour vous. Isabelle Huot et Catherine Senécal vous proposent de faire la paix avec votre corps et de transformer votre relation avec la nourriture, pour enfin vous libérer du cycle de la compulsion alimentaire. Fortes d'une grande expérience, elles ont développé des exercices, des astuces et des outils pratiques qui ont fait leurs preuves. En repensant votre rapport aux aliments, en renouant avec les signaux naturels de votre corps et en modifiant les pensées qui génèrent de l'anxiété, vous retrouverez enfin le bien-être que vous méritez tant !

Alors, oui, ce livre d'Isabelle Huot et de Catherine Senécal m’a permis de comprendre ce qui déclenche mes compulsions alimentaires.

En gros, il y a trois raisons :

-          « Les émotions négatives (colère, solitude, ennui, anxiété, stress), (…)

-          Les restrictions qu’on s’impose, qu’elles soient mentales (s’interdire de manger certaines catégories d’aliments) ou alimentaires (s’interdire de manger en quantité suffisante), (…)

-          Se sentir gros ou ballonné, ce qui peut engendrer des difficultés à prendre soin de soi, un sentiment d’échec ou de l’autosabotage (…) »

Mon cas est la deuxième raison (et plus précisément la première partie de la deuxième raison).

Avoir entrepris et suivi strictement Weigth watchers, ainsi que reprendre le sport, le tout il y a 3 ans était une très bonne idée, j’ai perdu entre 12 et 13 kilos mais il est vrai que même si ce système de rééquilibrage alimentaire nous dit que l’on peut consommer de tout, quand on voit ce que « coûte » en « points » un morceau de chocolat ou une viennoiserie, on a tendance à y renoncer.

Et depuis quelque temps, je suis capable de manger, sans avoir faim, des choses sucrées de façon quelque peu désordonnée.

Donc, merci à ce livre d’avoir précisé dans mon esprit la situation que je rencontre actuellement, mais après, la mise en œuvre des solutions proposées me paraît plus difficile. Faire des journaux (de pensée, de restructuration cognitive, alimentaires, d’avantages et inconvénients), des exercices de résolution de problèmes, tout cela me paraît bien contraignant…

Je classe ce livre en 382ème position et lui donne 1 étoile.

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6 février 2021

L'hôpital maritime

Présentation de l’éditeur

Que nous reste-t-il à la fin ? Que se passe-t-il quand un homme disparaît ? Où vont ses souvenirs, les visages, les paroles, les silences qu'il a connus ? A l'hôpital maritime des vies s'achèvent. Les paysages, les vivants et les fantômes les veillent.

Bon, un peu tristounet ce livre de Pascal Ruffenach, poétique mais tristounet. Forcément, cela parle de la fin de vie, de la fin d’une vie. J’avoue, il m’a un peu perdue parfois avec ses métaphores et j’ai sûrement manqué des choses ou des idées.

Je classe ce livre en 470ème position (sur 610 que compte mon classement) et ne lui donne pas d’étoile.

3 février 2021

Mémoire de fille

Quatrième de couverture :

"J'ai voulu l'oublier cette fille. L'oublier vraiment, c'est-à-dire ne plus avoir envie d'écrire sur elle. Ne plus penser que je dois écrire sur elle, son désir, sa folie, son idiotie et son orgueil, sa faim et son sang tari. Je n'y suis jamais parvenue." Dans Mémoire de fille, Annie Ernaux replonge dans l'été 1958, celui de sa première nuit avec un homme, à la colonie de S dans l'Orne. Nuit dont l'onde de choc s'est propagée violemment dans son corps et sur son existence durant deux années. S'appuyant sur des images indélébiles de sa mémoire, des photos et des lettres écrites à ses amies, elle interroge cette fille qu'elle a été dans un va-et-vient implacable entre hier et aujourd'hui.

C’est un peu étrange la façon dont l’auteure, Annie Ernaux, parle de cette fille de 1958, qui n’est autre qu’elle-même, comme si elle avait un regard extérieur et que cela ne la concernait pas vraiment. Son expérience doit faire écho à pas mal de femmes, en tout cas, il en a eu un chez moi. On devait toutes poser sur du papier notre première expérience, ou plutôt devrait-on dire notre non-expérience justement. Ecrire sur ce qui s’est passé permet peut-être de mieux comprendre et d’analyser, parce quand même, ce n’est pas anodin.

Je classe ce livre en 469ème position et ne lui donne pas d’étoile parce même si ce livre a éveillé des souvenirs ou des sensations, j’ai trouvé que c’était un peu trop bizarre de parler de soi de cette façon et si longtemps après les faits.

27 janvier 2021

L'homme-joie

Présentation de l’éditeur

"Écrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir."

C’est un livre magnifique, plein de poésie et de partage. Christian Bobin nous interpelle à regarder autour de nous où la beauté est partout, il faut seulement savoir ralentir un peu, observer, profiter et engranger du bonheur. J’ai adoré ce livre. Il se lit très facilement. J’ai relu certaines phrases plusieurs fois pour bien m’en imprégner.

Je pense que je le relirai régulièrement, c’est comme un bonbon menthe, à savourer lentement, à méditer et en profitant de l’instant.

Je classe ce livre en 58ème position (sur 606) et lui donne 3 étoiles.

26 janvier 2021

Lettre à l'absente

Présentation de l’éditeur

Anne Brunswic a huit ans quand, un matin de l'été 1959, elle apprend - presque incidemment - que depuis deux mois sa mère est morte et enterrée. "L'absente" laisse cinq enfants qui grandiront face au silence d'un père bientôt remarié... Cinquante ans plus tard, munie de quelques souvenirs et documents (hérités de sa grand-mère, Léa, ou de sa grand-tante, la fameuse Marcelle Ségal qui, pour le magazine Elle, faisait les beaux jours du Courrier du cœur), Anne Brunswic entreprend de briser le silence sur cette mère qu'elle a si peu connue. Pour "redonner chair à l'absente", elle court l'Europe sur ses pas et lui adresse des lettres et des récits qui sont autant de plongées au cœur d'une mémoire enfouie. Se dessine peu à peu l'histoire d'une famille juive que la guerre a éloignée de Bruxelles, qui fait halte à Paris puis en Bretagne avant de franchir la ligne de démarcation et, via le Portugal, gagner Londres. Puis c'est l'après-guerre, l'urgence de réparer les pertes, le mariage et le baby-boom qui, en ce début des "trente glorieuses", éclairent le portrait d'une jeune femme dont l'énergie semble inépuisable - mais dont la vie, au bout du compte, sera mystérieusement brève... Reste que sous l'énigme de cette disparition prématurée, ou à partir d'elle, bien d'autres questions affleurent, qui touchent à l'invisibilité sociale des femmes, à la maternité, à la transmission et à la vocation, à l'engagement politique, au sentiment national, au rapport à la judéité... Sous ces multiples aspects, Anne Brunswic met en perspective héritage et rupture, confronte fidélité et construction de soi. Au-delà de l'hommage à "l'absente", ce "tombeau littéraire" invite à comprendre une époque autant que les singularités d'une histoire familiale...

Malgré mon petit schéma, je me suis perdue dans la généalogie d’Anne Brunswic. J’ai trouvé la lecture de ce livre difficile. Il y a pourtant des choses intéressantes sur la judéité, sur l’histoire de la guerre, la persécution des juifs et l’exode mais le tout reste confus, plombant parfois, pas du fait de la nature ce qui est raconté, mais par la manière dont c’est écrit.

Je classe ce livre en 567ème position (sur 605) et ne lui met pas d’étoile.

J'ai commencé "L'homme-joie" de Christian Bobin et cela se lit avec délectation !

13 janvier 2021

La vie d'une autre (ter)

Il y a 3 jours, j'entame un nouveau livre "la vie d'une autre" de Frédérique Deghelt.

Dès les premières pages, je me dis que j'ai déjà lu ce livre même si je ne me souviens pas du dénouement de l'histoire.

Je regarde dans mon classement et je le retrouve effectivement. Je viens sur mon blog et je lis le billet de l'époque (du 11 mars 2012) :

Comme je l'expliquais dans un précédent billet, je suis allée voir au cinéma "La vie des autres", et Christelle, avec qui je suis allée le voir m'a offert le livre qui a inspiré le film.

Je viens d'en terminer la lecture.

Ce livre raconte l'histoire de Marie, elle a 25 ans. Un soir de fête, elle rencontre Pablo. Elle se réveille à ses côtés 12 ans plus tard, mariée et mère de 3 enfants, sans aucun souvenir de ces années écoulées. Comment faire pour donner le change à son entourage ? Doit-elle parler de son amnésie ? Et comment retrouver sa propre vie ? Qui est cette femme qu'elle est devenue ?

Souvent on lit un livre et on voit le film après. On est parfois déçu parce qu'un film est forcément plus succinct qu'un livre, que le scénario est parfois modifié ou l'orientation est différente de l'idée que l'on pouvait s'en faire.

Avoir vu le film avant, c'est encore autre chose. Ici, il y a beaucoup de différences entre le film et le livre. Dans le film c'est 15 ans de souvenirs qui s'envolent et dans le livre 12. Dans le film, elle a eu un seul enfant, dans le livre, elle en a eu 3. Dans le film, elle travaille dans la finance avec son beau-père, dans le livre, elle travaille dans la communication mais fait le choix d'arrêter momentanément de travailler. Dans le film, elle est sur le point de divorcer, dans le livre, on découvre qu'ils ont eu des difficultés mais qu'ils ont fait un pacte et veulent continuer ensemble et on découvre au fur et à mesure des pages les difficultés en question.

J'ai adoré le film et même si le livre est très différent, je l'ai adoré également. Il parle du couple et de l'usure du quotidien, des attentions pour l'autre qui peuvent diminuer avec le temps et de la perte de vue des choses réellement importantes. Je l'ai dévoré en 3 jours. La fin est surprenante, davantage que dans le film où on nous laisse un peu imaginer la suite que l'on veut.

Je classe ce livre en 6ème position et lui donne 3 étoiles. Mes 5 livres préférés sont un peu difficiles à détrôner mais c'est déjà une très belle place !!!

Merci Christelle !

J'ai donc repris la lecture de ce livre (8 ans après) en reconnaissant des passages mais j'ai complètement redécouvert le dénouement à la toute fin du livre. C'est le souci quand on lit beaucoup, c'est qu'on oublie malheureusement aussi.

J'ai de nouveau beaucoup aimé ce livre. Il n'est actuellement plus classé à la 6ème position mais à la 74ème. Je pense que c'est à peu près là que je le remettrai aujourd'hui.

Je n'ai pas voulu non plus revoir des extraits du film (dont je ne me souviens pas non plus même si j'ai eu pendant ma lecture le sentiment que c'était Juliette Binoche qui jouait l'actrice principale et c'est bien le cas). C'est assez drôle quand on y pense puisque ce livre parle de la perte de mémoire de l'héroïne...

 

 

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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