L'empreinte de l'ange
Quatrième de couverture
Nous sommes à Paris, à la fin des années cinquante. Saffie, l’énigmatique et belle Allemande aux yeux vert d’eau, devient l’épouse du grand flûtiste Raphaël Lepage, profondément épris dès le premier regard. Mariée, puis mère, Saffie ne change pas : rien ne semble pouvoir illuminer son visage fermé et triste, éclairer des yeux qui en ont trop vu – qui ont tout vu. Rien, sauf l’amour fou qui l’embrase le jour où elle rencontre le luthier de Raphaël, un Juif hongrois nommé András. Ecartelé entre son histoire et sa passion inattendue pour cette Allemande, il tente d’apprendre – et de lui apprendre – à vivre avec leur passé.
Pas très joyeuse cette histoire de Nancy Huston sur fond de guerre d’Algérie et de souvenirs douloureux de la seconde guerre mondiale aussi bien du point de vue du luthier juif que de l’héroïne allemande.
Ce livre était cité par Valérie Perrin dans « Trois » et c’est pourquoi je l’ai téléchargé. Je reste un peu perplexe. Je n’avais qu’une hâte, le terminer. Il m’a fait penser, par certains côtés (ennuyeux) et certaines longueurs, à « Le garçon » de Marcus Malte.
Il n’y a que le titre que j’ai bien aimé.
Je classe ce livre en 481ème position et ne lui donne pas d’étoiles.