Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
livres
28 septembre 2021

Police

Présentation de l’éditeur

Un tueur assassine méthodiquement des policiers de la brigade criminelle d’Oslo. Leur point commun ? Trouver la mort le jour anniversaire et sur les lieux mêmes des crimes qu’ils n’ont pas résolus. La police est sur les dents, complètement dépassée, d’autant que son meilleur élément, l’inspecteur Harry Hole, n’est plus là pour mener l’enquête...

Heureusement que j’ai noté dès le début le nom de tous les personnages qui apparaissent au fur et à mesure et leur fonction ou parenté. Les personnages sont norvégiens, ce qui rajoute un peu de complexité avec des noms et prénoms un peu compliqués. Il y en avait une quarantaine… Je me suis reportée régulièrement sur mon papier pour m’y retrouver. Je pense avoir quasiment tout compris dans ce roman policier de Jo Nesbo, sauf ce qui entoure la mort d’un certain Gusto Hanssen (et des morts, il y en a beaucoup, beaucoup dans ce livre). Surtout que l’auteur en rajoute un peu en nous orientant volontairement sur de fausses pistes..

Je classe ce livre en 398ème position et lui donne une étoile.

Publicité
Publicité
15 septembre 2021

Ni d'Eve ni d'Adam

Avis et résumé de la FNAC :

Ici, la narratrice entreprend de donner des cours de français à des Japonais dans l'espoir de mieux maîtriser la langue nippone. Et voilà le tonique Rinri qui pointe son joli minois et entend progresser en français aux côtés d'une professeure compétente... Rinri ? C'est un étudiant un peu loser qui a raté son entrée dans les plus prestigieuses universités japonaises et qui est un le rejeton de la haute bourgeoisie tokyoïte. C'est surtout un jeune homme avec qui le dialogue des cultures s'établira, jusqu'à la relation sentimentale, avec son lot de conventions sociales délirantes, entre une mémorable présentation de la professeur à la belle famille et quelques quiproquos drolatiques.

J’avais déjà lu, il y a longtemps, « l’hygiène de l’assassin » d’Amélie Nothomb (classé en 411ème position avec une étoile). Comme je n’avais pas trop apprécié, je n’avais pas osé retenter l’expérience de lire un autre de ses livres. Et puis, dans une brocante, j’ai récemment acheté « Ni d’Eve ni d’Adam » et j’ai bien aimé. On découvre un peu de la façon singulière de penser et de vivre des Japonais, singulière parce que différente de la nôtre, mais intéressante. J’ai apprécié sa façon de raconter l’histoire de cette relation avec Rinri. Bon, les mots japonais non traduits m’ont agacée, on doit être sensés les comprendre…

Je classe ce livre en 192ème position et lui donne 2 étoiles.

14 septembre 2021

Un soupçon d'interdit

Présentation de l’éditeur :

Daphné est restée très attachée à sa belle-famille, qu'elle retrouve régulièrement le week-end au domaine de La Jouve, près de Montpellier, malgré les souvenirs douloureux que cet endroit fait naître en elle. C'est là que son mari Ivan, le fils cadet du clan Bréchignac, a trouvé la mort lors d'une violente dispute avec son père, un sculpteur de renom. Huit années ont passé, mais un mystère demeure quant aux circonstances de ce tragique accident, créant de lourdes tensions au sein de la famille. De son côté, Daphné doit faire face à de sérieux problèmes financiers. Elle se confie à Dimitri, le frère aîné d'Ivan, en qui elle a toujours trouvé un ami et confident. Ce dernier lui propose spontanément de l'aider, malgré son activité très prenante de créateur de parfums. Lorsqu'ils se découvrent une attirance l'un pour l'autre, Daphné est troublée. Peut-elle encore aimer ? Dimitri, lui, s'interroge toujours sur les non-dits qui planent autour de la mort de son frère. Pourquoi leur père déserte-t-il de plus en plus souvent La Jouve ? Aurait-il des raisons de se sentir coupable ?

Bon, j’ai trouvé ce livre de François Bourdin un peu meilleur que le dernier lu (les deux achetés sur une brocante). Cela reste de la lecture sentimentale, du Harlequin amélioré mais il y avait un peu plus de matière, de personnages intéressants autour de ça. Pas grand-chose à dire de plus.

Je classe ce livre en 430ème position et lui donne une étoile.

10 septembre 2021

Loup, y es-tu ?

Présentation de l’éditeur

Un petit garçon de quatre ans, les cheveux en bataille, sale comme un peigne, roulé en boule sur le paillasson : voilà ce que découvre Manon sur son palier. Avec pour seul indice un dramatique " Sauvez-le ! ". Qui est cet enfant ? Est-il vraiment en danger ? Avant même d'avoir décidé de mener l'enquête, la jeune femme le sent au fond d'elle : cette aventure qui va bouleverser sa vie est une véritable chasse au trésor...

Globalement, j’ai bien aimé ce livre de Janine Boissard même si je n’ai pas tout compris ! En effet, je ne vois pas bien ce que le « caïd » sicilien pourrait revendiquer, d’où une montée du suspens un peu bizarre. Et puis, comment la mère de l'enfant a-t-elle pu cacher sa grossesse ? Je n’en dis pas plus pour ne pas dévoiler l’histoire. Et puis parfois, il y a des petites digressions qui m’ont perdue ou des connivences ou références entre les personnages que je n’ai pas captées. Ce qui m’a agacé par ailleurs, c’est la non-traduction des dialogues en italien. Désolée mais tout le monde ne comprend pas l’italien !

Je classe ce livre en 421ème position et lui donne une étoile. Il aurait probablement mérité un meilleur classement mais toutes les petites choses citées plus haut m’en ont empêchée. Cela me donne toutefois envie de lire d’autres livres du même auteur.

7 septembre 2021

un cadeau inespéré

Présentation de l’éditeur

Pour Louise, Noël aura une saveur particulière : c'est en effet le premier qu'elle passe seule avec Florent, son fils de dix ans, depuis son divorce. Et le jeune garçon, justement, décide d'offrir à sa mère un inoubliable moment de fête. Profitant d'un instant d'inattention, il part seul en forêt en quête d'un sapin. Mais, surpris par le brouillard, Florent s'égare... Sauvé in extremis par un voisin, il est raccompagné chez lui. Dehors, la tempête gronde. Et dedans, le réveillon risque d'être bien plus mouvementé que prévu...

Aucun intérêt que ce livre de Françoise Bourdin. Une histoire à l’eau de rose où les deux protagonistes sont « obligés » de ne pas s’apprécier au départ pour s’aimer ensuite, donc vraiment très caricatural. Quasiment digne d’un « Harlequin » où on nous a juste épargné les scènes de sexe où tout se passe si follement bien dès la première fois.

Je classe ce livre en 498ème position (sur 650 que compte mon classement) et ne lui donne pas d’étoile. Next !

Publicité
Publicité
5 septembre 2021

Eleanor Rigby

Presentation de l’éditeur :

Jeune femme, trente-six ans, grosse et terriblement seule, n'attend plus rien de la vie. C'est ainsi que se voit Liz Dunn. Grosse, Liz l'a toujours été. Seule, plus encore. Hormis les visites régulières de sa famille qui la traite en cas désespéré, elle ne fréquente personne. De petit ami, encore moins. Ajoutez à cela une opération des dents de sagesse et une semaine de convalescence à regarder des films d'amour, et le portrait est complet. Mais alors que Liz s'apprête à explorer davantage le gouffre de sa solitude, un coup de fil vient bouleverser son existence... D'une lucidité foudroyante et d'un humour féroce, Douglas Coupland tente de répondre aux questions que soulève la chanson des Beatles : D'où viennent les gens seuls ? Où est leur place dans le monde ?

Très bizarre ce livre de Doublas Copland. Une héroïne singulière, profondément seule et des digressions parfois étranges, parfois pleines de bon sens. On finit par s’attacher au personnage malgré son autodescription pas très flatteuse. C’est un livre surprenant, déroutant mais intéressant. On ne comprend le titre du livre que très tard dans la lecture.

Je classe ce livre en 268ème position et lui donne 2 étoiles.

2 septembre 2021

Merci pour ce moment

Présentation de l’éditeur

Un jour, un amour violent a incendié ma vie. Il avait quatre enfants. J’en avais trois. Nous avons décidé de vivre ensemble. Mais la politique est une passion dévorante. Parti de très loin, François Hollande a été élu président de la République. J’ai été aspirée dans son sillage. Le pouvoir est une épreuve pour celui qui l’exerce, mais aussi pour les siens. À l’Élysée, je me sentais souvent illégitime. La petite fille de la ZUP en première dame : il y avait quelque chose qui clochait. J’ai appris l’infidélité du Président par la presse, comme chacun. Les photos ont fait le tour du monde alors que j’étais à l’hôpital, sous tranquillisants. Et l’homme que j’aimais a rompu avec moi par un communiqué de dix-huit mots qu’il a dicté lui-même à l’AFP, comme s’il traitait une affaire d’État. Tout ce que j’écris dans ce livre est vrai. Journaliste, je me sentais parfois à l’Élysée comme en reportage. Et j’ai trop souffert du mensonge pour en commettre à mon tour.

Ce livre de Valérie TRIERWEILER est un règlement de comptes. Je suis partagée entre la légitimité de vouloir donner sa version des faits et la position de révéler des traits intimes d’une autre personne publique. On a tous des qualités et des défauts mais je ne suis pas sûre que l’on aimerait les voir raconter à tous ceux qui le souhaitent. Je raconte des choses dans mon blog mais jamais rien d’aussi intime et s’il peut y avoir des désaccords dans mon couple, je ne m’imagine pas les rendre publics, alors que dire quand il s’agit d’un Président de la République ! Je ne peux pas non plus m’empêcher de penser que ce n’est pas seulement la rupture qui lui a donné envie d’écrire sur leur relation. Les dates et événements sont parfois décrits de manière si précise que l’on peut imaginer que Valérie TRIERWEILER a tenu un journal au quotidien avec l’intention de s’en servir un jour. On y apprend tout de même des choses sur les coulisses du pouvoir.

Je classe ce livre en 308ème position et lui donne une étoile.

29 août 2021

Je suis noire mais je ne me plains pas, j'aurais pu être une femme

Présentation de l’éditeur :

La première femme noire africaine à devenir proviseure dans un lycée parisien raconte le racisme au quotidien. "Je suis suédoise. " Tout sourire, je laisse fuser cette réponse ironique chaque fois que l'on me questionne sur mes origines. C'est-à-dire constamment ! Aujourd'hui proviseure d'un lycée parisien, première femme noire africaine à un tel poste dans la capitale, j'échappe rarement à cet interrogatoire absurde. D'où viens-je ? Suis-je française, et si oui depuis quand ? Comme des millions de mes concitoyens " issus de la diversité ", je continue à affronter le regard porté sur nous par la société française. Et tout se passe comme si j'étais condamnée à faire mes preuves encore et encore. Autant dire à montrer éternellement patte blanche... Pourtant, hors de question de me poser en victime face aux doutes et aux situations humiliantes. Si je témoigne aujourd'hui, c'est notamment – mais pas seulement – pour les jeunes Noirs de France, en pensant particulièrement aux filles, pour qui le boulet du patriarcat s'ajoute à celui du racisme insidieux. Dans l'espoir qu'ils opposent, comme je l'ai toujours fait, l'humour et l'ambition à toutes les tentatives d'assignation. Pour que la France accepte enfin la diversité des origines, des genres et des orientations sexuelles comme une somme de talents dont l'épanouissement bénéficie à tous.

J’ai bien aimé ce livre de Mahi Traoré. Il est agréable et facile à lire. L’auteure décrit bien toutes les petites réflexions, les vexations parfois, voire le racisme qu'elle a pu subir. Elle se trouve à des postes que l’on n’attend pas voir occuper par une femme noire (!) et elle doit faire preuve de ses compétences à longueur de temps, ce qui ne serait pas le cas pour un homme blanc, occupant le même poste. Sa meilleure arme est l’humour. Son combat pour aider les élèves issus de famille issues de l’immigration est juste et elle souhaite leur montrer par son propre parcours que c’est possible de viser haut. Elle pense que les jeunes et plus particulièrement les jeunes filles se mettent des barrières eux-mêmes. J'ai bien aimé aussi quand elle parle des événements qui surviennent dans les pays d'Afrique dont on ne parle pas dans les médias, ou des caricatures que l'on fait quand on en parle.

La seule chose que je n’ai pas compris c’est l’ordre des paragraphes, pourquoi ne pas les laisser dans l’ordre chronologique ?

Je classe ce livre en 159ème position et lui donne 2 étoiles.

23 août 2021

Les victorieuses

Présentation de l’éditeur :

À 40 ans, Solène a tout sacrifié à sa carrière d’avocate : ses rêves, ses amis, ses amours. Un jour, elle craque, s’effondre. C’est la dépression, le burn-out. Pour l'aider à reprendre pied, son médecin lui conseille de se tourner vers le bénévolat. Peu convaincue, Solène tombe sur une petite annonce qui éveille sa curiosité : « cherche volontaire pour mission d’écrivain public ». Elle décide d'y répondre. Envoyée dans un foyer pour femmes en difficulté, elle ne tarde pas à déchanter. Dans le vaste Palais de la Femme, elle a du mal à trouver ses marques. Les résidentes se montrent distantes, méfiantes, insaisissables. A la faveur d'une tasse de thé, d'une lettre à la Reine Elizabeth ou d'un cours de zumba, Solène découvre des personnalités singulières, venues du monde entier. Auprès de Binta, Sumeya, Cynthia, Iris, Salma, Viviane, La Renée et les autres, elle va peu à peu gagner sa place, et se révéler étonnamment vivante. Elle va aussi comprendre le sens de sa vocation : l’écriture. Près d’un siècle plus tôt, Blanche Peyron a un combat. Cheffe de l'Armée du Salut en France, elle rêve d'offrir un toit à toutes les exclues de la société. Elle se lance dans un projet fou : leur construire un Palais.

J’ai bien aimé ce livre de Laëtitia Colombani. Les portraits de femmes sont justes et nous les rendent attachantes. On découvre par ailleurs l’engagement de Blanche Peyron au sein de l’Armée du Salut et sa détermination à aider les plus démunis en accueillant des femmes sans abri au sein d’un immense bâtiment qui deviendra le Palais de la Femme à Paris.

Je classe ce livre en 210ème position et lui donne 2 étoiles.

21 août 2021

Le restaurant de l'amour retrouvé

Présentation de l’éditeur :

Une jeune femme de vingt-cinq ans perd la voix à la suite d’un chagrin d’amour, revient malgré elle chez sa mère, figure fantasque vivant avec un cochon apprivoisé, et découvre ses dons insoupçonnés dans l’art de rendre les gens heureux en cuisinant pour eux des plats médités et préparés comme une prière. Rinco cueille des grenades juchées sur un arbre, visite un champ de navets enfouis sous la neige, et invente pour ses convives des plats uniques qui se préparent et se dégustent dans la lenteur en réveillant leurs émotions enfouies.

Ce roman est assez surprenant. Il y a beaucoup de poésie dans la manière dont Rinco décrit sa façon de cuisiner et de vouloir faire plaisir à ses convives en les interrogeant au préalable. Elle magnifie les aliments qu’elle utilise et s’attache à ne choisir que des produits locaux. Par contre, j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs et j’avoue que j’ai passé les pages qui décrivent minutieusement la mise à mort et le dépeçage du cochon qu’elle a nourri et qu’elle considère comme sa sœur…

Je classe ce livre en 477ème position et lui donne une étoile.

Publicité
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 747
Publicité