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Le petit monde de So et de Fi
livres
2 juillet 2022

Les 9 vies d'Edward

Présentation de l’éditeur :

Delphine Perdrix aime les hommes, les bons petits plats et son chat Edward. Celui-ci le lui rend bien. Doutant des choix amoureux de sa maîtresse, il décide de lui trouver un mari. Il connaît déjà l'amant qu'il destine à Delphine ; un homme très bon, Sébastien Morin, l'a soigné lors d'une traversée vers la Nouvelle-France, en 1670... Edward espère qu'il s'est, comme lui, réincarné et qu'il habite maintenant à Paris. La tâche est ardue. Et si les humains avaient eux aussi neuf vies ? Sébastien est-il revenu en 1997 ou traverse-t-il une autre époque ? Edward a ainsi prisé le culte de Bastet, vécu les croisades, un passage de la comète de Halley, l'Exposition universelle à Londres sous Victoria, l'Occupation auprès de son adorée Rachel, les marchés d'Istanbul et les procès pour sorcellerie au début du XVIe siècle. Catherine Duval lui a même transmis un don : il est télépathe... Edward n'a qu'à flairer un homme pour deviner ses intentions ; aussi ne se méfie-t-il pas sans raison de James Anderson, un trop bel Américain qui rôde autour de Delphine. Cet homme est dangereux ! Edward parviendra-t-il à l'écarter et à faire le bonheur de la photographe ? De cette Delphine qui sent la chantilly, les feuilles d'un plant de tomates et la rose de Turquie ? Un roman d'amour sur fond de polar, avec un zeste de gastronomie, des esquisses historiques, beaucoup d'odeurs et le regard fidèle mais lucide d'Edward sur l'étrange race des bipèdes (sans plumes).

Bon alors, au début du livre de Chrystine Brouillet il y a des longueurs. Cela devient plus intéressant après l’accident de Delphine (page 209) et la fin est trop rapide (à partir de la page 290 jusqu’à la page 349), voire un peu bâclée. En résumé, long, bien et finalement trop succinct.

On s’emmêle un peu les pinceaux avec les différentes vies d’Edward qui nous sont livrées petit bout par petit bout, j’avoue que j’ai parfois lâché l’affaire et pas essayé de tout comprendre. Sinon, il y a de bonnes choses, comme la personnalité de l’héroïne Delphine, l’amitié avec Audrey et Géraldine, la description de son métier de photographe.

Je classe ce livre en 484ème position et lui donne une étoile.

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25 juin 2022

Les témoins de la mariée

Présentation de l’éditeur :

Nous étions ses meilleurs amis : il nous avait demandé d'être ses témoins. Cinq jours avant le mariage, il meurt dans un accident de voiture. Ce matin, à l'aéroport, nous attendons sa fiancée. Elle arrive de Shanghai, elle n'est au courant de rien et nous, tout ce que nous savons d'elle, c'est son prénom et le numéro de son vol. Comment lui dire la vérité ? Nous nous apprêtions à briser son rêve ; c'est elle qui, en moins de vingt-quatre heures, va bouleverser nos vies. Mais cette jeune Chinoise est-elle la femme idéale ou bien la pire des manipulatrices ?

Je ne sais pas trop quoi penser de ce livre de Didier Van Cauwelaert. J’ai déjà lu des romans de cet auteur et mon avis peut-être très différent : « Jules » placé en 40ème position avec 3 étoiles, « L’apparition » classé en 535ème position avec une étoile, « La nuit dernière au XVè siècle » classé en 555ème position sans étoile.

Pour en revenir aux « témoins de la mariée », j’ai trouvé que les amitiés étaient plutôt du genre intéressé et que la mariée (qui ne l’était pas encore) l’était tout autant et prête à beaucoup de chose pour arriver à ses fins. C’est un roman polyphonique où chaque ami parle tour à tour. Il aurait été intéressant d’avoir le son de cloche de la mariée…

Bref, je suis un peu déçue et je classe ce livre en 457ème position et lui donne une étoile.

21 juin 2022

Les cinq quartiers de l'orange

Présentation de l'éditeur : 

Lorsque Framboise Simon revient dans le village de son enfance sur les rives de la Loire, personne ne reconnaît la fille de la scandaleuse Mirabelle Dartigen, tenue pour responsable de l'exécution de onze villageois pendant l'occupation allemande, cinquante ans auparavant. Framboise ouvre une auberge qui, grâce aux délicieuses recettes de sa mère, retient l'attention des critiques, mais suscite les jalousies de sa famille. Le carnet de recettes de Mirabelle recèle des secrets qui donneront à Framboise la clé de ces années sombres. Peu à peu, elle découvrira la véritable personnalité de sa mère, parfois si tendre, maternelle et sensuelle, subitement cruelle et tourmentée. En temps de guerre, les jeux d'enfants et les histoires d'amour ne sont pas toujours innocents. Leurs conséquences peuvent même être tragiques. 

Cette mère a beaucoup de difficulté à transmettre de l'amour ou de la tendresse à ses enfants même si beaucoup de ses attentions passent par la cuisine et les pâtisseries qu'elle leur prépare. Il y a également beaucoup de non-dits entre les personnages et cela pollue fatalement leur relation. Les secrets sont gardés longtemps, trop longtemps, tout comme les mensonges et/ou la transformation de la vérité. On alterne entre le présent, Framboise a 65 ans et le passé, lorsqu'elle a 9 ans et que se déroule la seconde guerre mondiale. C'est la première fois également que je lis quelque chose sur la participation des enfants au marché noir en échange de renseignements plus ou moins intéressants aux allemands. Certainement que cela a eu lieu aussi. 

Je classe ce livre en 456ème position et lui donne une étoile. 

 

14 juin 2022

Les suprêmes

Présentation de l'éditeur :

Elles se sont rencontrées à la fin des années 1960 et ne se sont plus quittées : tout le monde les appelle "les Suprêmes", en référence au célèbre groupe de chanteuses des seventies. L'intrépide Odette converse avec les fantômes et soigne son cancer à la marijuana sur les conseils avisés de sa défunte mère, tandis que la sage Cari ce endure les frasques de son volage époux pour gagner sa part de ciel. Toutes deux ont pris sous leur aile Barbara Jean, éternelle bombe sexuelle que l'existence n'a cessé de meurtrir. Complices dans le bonheur comme dans l'adversité, ces trois irrésistibles quinquas afro-américaines se retrouvent tous les dimanches dans l'un des restaurants de leur petite ville de l'Indiana : entre commérages et confidences, rire et larmes, elles se gavent de poulet frit en élaborant leurs stratégies de survie. 

J'ai bien aimé ce livre, conseillé par Emeline, d'Edward Kelsey Moore.

Les 3 héroïnes sont attachantes, notamment Odette qui a la particularité, tout comme sa mère avant elle, d'entendre et de pouvoir discuter avec les défunts.

C'est une belle histoire d'amitié sur fond de ségrégation raciale à une époque où constituer un couple mixte était encore inconcevable. Il est aussi question de résilience, du fait que l'on peut rebondir même si on n'a pas eu de chance dès le démarrage de sa vie.

Je classe ce livre en 174ème position (sur les 700 que compte aujourd'hui mon classement) et lui donne 2 étoiles.

 

 

5 juin 2022

Pause-Café

Résumé :

En banlieue parisienne, le quotidien d'un lycée et la cohabitation riche mais souvent tendue entre un proviseur d'un autre temps, des élèves chahuteurs, des professeurs débordés et une assistante sociale particulièrement zélée... Jeune assistante sociale, Joëlle Mazart trouve son tout premier poste dans un lycée. Elle a de l'énergie à revendre, une cause à défendre et un enthousiasme à toute épreuve. Autour d'un café - d'où son surnom de Pause-Café -, elle écoute avec cœur et empathie les déboires et dérives des lycéens qui se heurtent à l'incompréhension des adultes. Pause-Café est la peinture grandeur nature de notre époque vue à travers le quotidien d'un établissement scolaire, avec son système, ses injustices, sa routine. Contre l'indifférence, une femme se bat avec la foi inébranlable de la jeunesse ; c'est une héroïne des temps modernes, engagée dans la vie, dans son métier, au service des autres.

J’ai acheté ce livre de Georges Coulonges dans une bourse aux livres. J’avais regardé la série avec Véronique Jeannot dans le rôle principal à la télévision pendant mon adolescence. De ce fait, je me souvenais de pas mal de situations décrites dans le livre. Il date donc mais il y a encore tellement de choses d’actualité : l’avenir incertain des jeunes, surtout s’ils sont de milieu modeste, les galères que peuvent rencontrer les lycéens, les amours de jeunesse, …

Concernant le style de l’auteur, j’avoue que j’ai eu un peu de mal avec ses phrases courtes qui coupent sans arrêt l’élan du moment. Il m’a parfois un peu perdue dans certaines évocations de sujets.

Je classe ce livre en 312ème et lui donne deux étoiles (une étoile de plus que prévu pour les bons souvenirs que j’ai gardés de la série).

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27 mai 2022

Manuella

Quatrième de couverture :

"Je n'écris que cela, des banalités. En fait, je suis nulle. Toutes mes amies me disent que je suis géniale et belle et sympa et positive, et mes parents disent la même chose et tout le monde me croit formidablement sûre de moi, si seulement ils savaient à quel point je me trouve nulle. J'ai tout faux. Je suis encore vierge, 9/10 (ou plutôt 10/10) de mes amies ne le sont plus depuis longtemps, elles ont toutes plus ou moins un garçon dans leur vie, et moi rien. Plaignez, plaignez la pauvre petite poule sans amour, la gentille fille de bon aloi qui ignore ce que l'amour physique veut dire, le bébé à l'enveloppe de femme qui a les chevilles trop épaisses, les hanches trop larges, un nez trop épaté, une oreille qui dit bonjour à l'autre, des fossettes trop hautes et un menton trop pointu, et qui marche en faisant des mouvements comme les bateaux qui tanguent dans le port lorsqu'il y a de la houle."

J’ai bien aimé ce livre de Philippe Labro. On se reconnaît probablement un peu toutes dans Manuella et ce passage un peu compliqué à l’âge adulte où on ne sait pas encore qui on est et qui l’on souhaite devenir.

Je classe ce livre en 292ème position et lui donne 2 étoiles.

En le classant dans mon tableau, je me suis aperçue que je l’avais déjà lu… Aucun souvenir et je l’avais moins bien classé…

19 mai 2022

Le second couplet

Présentation de l’éditeur :

Est-ce la vie dont vous rêviez ? Avez-vous réalisé vos rêves d'enfant ?Lorsque HIPPOLYTE, cadre bancaire un peu paumé, reçoit l'ordre de licencier cinq de ses collègues, sa vie rangée bascule. Dès lors, chaque solution envisagée promet de bouleverser son existence. Sans compter que tout le monde s'est ligué contre lui : sa mère, sa petite amie, son patron, ses quelques amis…L'étrange paquet, reçu le même jour par la Poste, pourrait-il le mettre sur la voie ? Qui est donc son mystérieux expéditeur ? Lancé malgré lui dans une quête, sur les traces d'une histoire familiale ignorée, Hippolyte devra trouver des réponses aux questions qu'il ne s'était jamais posées. Et assumer ses choix, en homme libre, quelles qu'en soient les conséquences. LE SECOND COUPLET est un roman feel good mêlant amour, introspection et découverte de soi. Plusieurs thèmes sont abordés avec légèreté, sans "prise de tête" : le passage à l'âge adulte, la crise de la quarantaine, le sens au travail, le burn out, le rapport à l'argent, l'influence des parents, les déterminismes, les injonctions de la société, les stratégies d'évitement, l'auto-sabotage, la communication dans le couple, comment choisir, comment orienter sa vie…

C’est un livre de Guillaume-Loup Bergé, agréable à lire, sans prise de tête. Le personnage principal est bien décrit mais on se doute de tout ce qui va arriver, à la fois dans le cadre de son travail mais également de la rencontre avec Judith. Rien donc de très surprenant et le mantra un peu facile de pouvoir changer de vie si on le souhaite… L’idée de mêler des extraits musicaux au fil des chapitres est bonne, encore faut-il toujours avoir son téléphone à portée de main pour scanner le QR-Code…

Je classe ce livre en 467ème position et lui donne une étoile.

EXTRAIT
— Qu’est-ce que tu vas faire, alors ? demanda Martial.
— Rien, je vais attendre que ça passe.
Martial tendit le bras et prit une poignée de sable. Puis, lentement, il la laissa couler entre ses doigts.
— J’espère que tu ne le regretteras pas, dit-il. Parfois, les regrets te poursuivent. Et tu n’oses plus rien faire, de peur que ça empire…
Il se leva et nettoya le sable de ses vêtements :
— Tu sais, beaucoup de gens ont peur. Alors ils s’inventent des alibis ou des maladies. Pour s’empêcher de réaliser leur rêve, leur grand projet. Et ils finissent par crever de ne pas avoir tenté leur chance… Ils réalisent ainsi le crime parfait, le plus répandu : le crime contre soi-même.

15 mai 2022

Sociologie de l'école

Présentation de l’éditeur

Comment s'organise l'institution scolaire et comment a-t-elle évolué ? Qui sont celles et ceux qui la font vivre ? Celles et ceux qui la fréquentent ? De quelle façon les inégalités scolaires sont-elles produites ? Quel rôle les politiques publiques peuvent-elles alors jouer ? Traitant de la maternelle à l'enseignement supérieur, ce livre apporte un soin particulier à comprendre les inégalités sociales en train de se faire et à décrire les conséquences de la généralisation de l'école. L'école tient aujourd'hui dans la société française une place prépondérante, si bien que près du quart de la population du pays se trouve sur les bancs de l'école et que le nombre d'enseignants, tous niveaux confondus, a dépassé le million. Dans ce contexte, le fait scolaire constitue un fait social majeur. Comment s'organise l'institution scolaire et comment a-t-elle évolué ? Qui sont celles et ceux qui la font vivre ? Celles et ceux qui la fréquentent ? De quelle façon les inégalités scolaires sont-elles produites ? Quel rôle les politiques publiques peuvent-elles alors jouer ? L'objectif de cet ouvrage est de présenter les réponses de la sociologie à ces questions, en s'appuyant sur des travaux classiques, mais aussi sur les recherches les plus récentes. En intégrant des analyses traitant de la maternelle à l'enseignement supérieur, il apporte un soin particulier à comprendre les inégalités sociales en train de se faire et à décrire les conséquences de la généralisation de l'école.

Voici le troisième livre que j'ai lu dans le cadre du mémoire d’Antoine sur le déterminisme social.

Tout dans ce livre est intéressant. Il s’agit d’un résumé de tout ce qui a été écrit sur la sociologie de l’école et on parle donc énormément du déterminisme. J’ai apprécié l’effort de synthétisation et de vulgarisation de certaines notions qui parfois dans leur jus d’origine (écrites par les sociologues de renom) sont un peu complexes. Difficile de lui en faire un résumé (j’ai stabiloté beaucoup de paragraphes) mais je vais essayer. Les deux auteures, Marianne Blanchard et Joanie Cyouette-Remblière concluent, de façon assez pessimiste, que l’école participe plus que jamais aux inégalités sociales et à leur légitimation. Toutefois, l’école n’étant pas une institution figée et qu’il est toujours possible de faire bouger les choses.

Je classe ce livre en 191ème position et lui donne 2 étoiles.

12 mai 2022

Et je suis devenue le vent

Présentation de l’éditeur :

À 42 ans, divorcée, Marlène partage son quotidien entre un travail qui ne l'épanouit plus et sa voix intérieure qui la critique sans arrêt. Elle trouve l'essentiel de son réconfort auprès de sa grand-mère que la maladie d'Alzheimer grignote jour après jour, et Francis. Son chat. Décidée à s’extraire de son cagibi sentimental, elle s’inscrit sur un site de rencontre. Entre déconvenues et espoirs, cette initiative pourrait bien lui apporter autre chose que ce qu’elle espérait et l'obliger à affronter son histoire familiale… Et je suis devenue le vent, c'est l'histoire d'un nouveau départ, d'une reconstruction de soi. Une tranche de vie entre rires, larmes, drame qui parle d'amitié, d'Amour avec un grand a, de secrets de famille et du poids de l'enfance.

Ce livre de Jeanne Yliss est un roman « feelgood », où l’héroïne apprend petit à petit à s’aimer elle-même, à ne plus se dévaloriser et où la relation à soi-même tend à modifier sa relation avec les autres. Le vécu dans l’enfance prend également une place prépondérante pour Marlène et il lui faut savoir faire la part des choses pour se détacher des paroles parentales blessantes. C’est facile à lire, il y a quelques conseils à piocher et à tenter d’appliquer.

Je classe ce livre en 320ème position et lui donne une étoile.

8 mai 2022

Les héritiers, les étudiants et la culture

Présentation de l’éditeur            

Si l'école aime à proclamer sa fonction d'instrument démocratique de la mobilité sociale, elle a aussi pour fonction de légitimer - et donc, dans une certaine mesure, de perpétuer - les inégalités de chances devant la culture en transmuant par les critères de jugement qu'elle emploie, les privilèges socialement conditionnés en mérites ou en « dons » personnels. À partir des statistiques qui mesurent l'inégalité des chances d'accès à l'enseignement supérieur selon l'origine sociale et le sexe et en s'appuyant sur l'étude empirique des attitudes des étudiants et de professeurs ainsi que sur l'analyse des règles - souvent non écrites - du jeu universitaire, on peut mettre en évidence, par-delà l'influence des inégalités économiques, le rôle de l'héritage culturel, capital subtil fait de savoirs, de savoir-faire et de savoir-dire, que les enfants des classes favorisées doivent à leur milieu familial et qui constitue un patrimoine d'autant plus rentable que professeurs et étudiants répugnent à le percevoir comme un produit social. La première édition de cet ouvrage est parue en 1964.

J’ai lu ce livre de Pierre Bourdieu, toujours dans le cadre du mémoire d’Antoine, sur le déterminisme social, à savoir le fait que le cursus scolaire, la poursuite d’études et même la profession d’un jeune est plus ou moins conditionnée ou induite par le niveau de la catégorie socio-professionnelle de ses parents. Les étudiants qui poursuivent leurs études après le bac sont plus nombreux parmi les classes sociales les plus favorisées.

De ce fait, ce livre parle davantage du déterminisme social que le livre précédent qui l’évoquait mais dans le champ de l’art.

J’ai trouvé que c’était beaucoup plus facile à lire que le précédent même si parfois une même phrase peut faire une page complète.... Pareillement, heureusement que c’était avec ma liseuse car cela m’a permis d’avoir la définition des mots compliqués même s’il y en avait beaucoup moins que dans le précédent.

Les statistiques ne datent pas d’hier car elles sont de 1964 mais cela reste malheureusement d’actualité. Le livre dénonce l'accès inégal à la culture dans les familles, ce qui se répercute dans le niveau scolaire des élèves de la maternelle à l’université. L’auteur déclare même que le système scolaire entretient le déterminisme social contre lequel il dit pourtant vouloir lutter.

Je classe ce livre en 476ème position et ne lui donne une étoile.

Comme pour le précédent, j’en ai fait un résumé de 10 pages pour Antoine.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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