Sociologie de l'école
Présentation de l’éditeur
Comment s'organise l'institution scolaire et comment a-t-elle évolué ? Qui sont celles et ceux qui la font vivre ? Celles et ceux qui la fréquentent ? De quelle façon les inégalités scolaires sont-elles produites ? Quel rôle les politiques publiques peuvent-elles alors jouer ? Traitant de la maternelle à l'enseignement supérieur, ce livre apporte un soin particulier à comprendre les inégalités sociales en train de se faire et à décrire les conséquences de la généralisation de l'école. L'école tient aujourd'hui dans la société française une place prépondérante, si bien que près du quart de la population du pays se trouve sur les bancs de l'école et que le nombre d'enseignants, tous niveaux confondus, a dépassé le million. Dans ce contexte, le fait scolaire constitue un fait social majeur. Comment s'organise l'institution scolaire et comment a-t-elle évolué ? Qui sont celles et ceux qui la font vivre ? Celles et ceux qui la fréquentent ? De quelle façon les inégalités scolaires sont-elles produites ? Quel rôle les politiques publiques peuvent-elles alors jouer ? L'objectif de cet ouvrage est de présenter les réponses de la sociologie à ces questions, en s'appuyant sur des travaux classiques, mais aussi sur les recherches les plus récentes. En intégrant des analyses traitant de la maternelle à l'enseignement supérieur, il apporte un soin particulier à comprendre les inégalités sociales en train de se faire et à décrire les conséquences de la généralisation de l'école.
Voici le troisième livre que j'ai lu dans le cadre du mémoire d’Antoine sur le déterminisme social.
Tout dans ce livre est intéressant. Il s’agit d’un résumé de tout ce qui a été écrit sur la sociologie de l’école et on parle donc énormément du déterminisme. J’ai apprécié l’effort de synthétisation et de vulgarisation de certaines notions qui parfois dans leur jus d’origine (écrites par les sociologues de renom) sont un peu complexes. Difficile de lui en faire un résumé (j’ai stabiloté beaucoup de paragraphes) mais je vais essayer. Les deux auteures, Marianne Blanchard et Joanie Cyouette-Remblière concluent, de façon assez pessimiste, que l’école participe plus que jamais aux inégalités sociales et à leur légitimation. Toutefois, l’école n’étant pas une institution figée et qu’il est toujours possible de faire bouger les choses.
Je classe ce livre en 191ème position et lui donne 2 étoiles.