la vie très privée de Mr Sim
Quatrième de couverture :
Maxwell Sim est un loser de quarante-huit ans. Voué à l'échec dès sa naissance (qui ne fut pas désirée), poursuivi par l'échec à l'âge adulte (sa femme le... quitte, sa fille rit doucement de lui), il s'accepte tel qu'il est et trouve même certaine satisfaction à son état. Mais voilà qu'une proposition inattendue lui fait traverser l'Angleterre au volant d'une Toyota hybride, nantie d'un GPS à la voix bouleversante dont, à force de solitude, il va tomber amoureux.
Son équipée de commis-voyageur, représentant en brosses à dents dernier cri, le ramène parmi les paysages et les visages de son enfance, notamment auprès de son père sur lequel il fait d'étranges découvertes : le roman est aussi un jeu de piste relancé par la réapparition de lettres, journaux, manuscrits qui introduisent autant d'éléments nouveaux à verser au dossier du passé. Et toujours Max pense à la femme chinoise et à sa fille, aperçues dans un restaurant en Australie, dont l'entente et le bonheur d'être ensemble l'ont tant fasciné.
J’ai trouvé qu’il y avait certaines longueurs au début de l’histoire mais j’ai fini par accrocher au fur et à mesure des pages. Pour moi, il y a deux fins dans ce livre. La première, à mon sens, un peu prévisible et comme si l’auteur s’en doutait, nous propose une autre fin complètement étrange, comme une pirouette.
Je classe ce livre en 44ème position et lui donne 2 étoiles.