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Le petit monde de So et de Fi
lecture
7 août 2014

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

Quatrième de couverture :

A 13 ans, Momo se retrouve livré à lui même. Il a un ami, un seul, Monsieur Ibrahim, l'épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : la rue Bleue n'est pas bleue, l'Arabe n'est pas arabe, et la vie n'est peut-être pas forcément triste...

Ce roman (ou plutôt cette nouvelle ? ce conte ?) d'Eric-Emmanuel SCHMITT est plein de justesse, de sensibilité et d'humour.

Monsieur Ibrahim, humble et généreux, transmet à Momo sa sagesse, sa tolérance et son amour, lui qui en était tant privé. Il lui apprend à sourire aux autres et par conséquent à la vie ainsi qu'à regarder la beauté du monde qui nous entoure.

Je classe ce livre en 82ème position et lui donne deux étoiles.

P.S. :

C'est mon premier livre emprunté à la Médiathèque (je l'avais vu sur internet quand j'avais fait une recherche sur l'auteur). D'ailleurs, il faudra que je m'organise pour avoir une liste de livres avant d'y passer. J'ai l'impression que les livres récents sont empruntés dès qu'ils sont proposés (j'ai remarqué cela lorsque j'ai consulté la liste des livres disponibles ou réservés) donc il faudra étendre mes choix pour être sure de trouver mon bonheur. En même temps, ce sera l'occasion de me pencher sur d'autres lectures possibles...

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7 août 2014

J'ai ma carte !!

Hier, je suis allée m'inscrire à la Médiathèque. Il y en a une à 5 km de la maison.

Cela faisait un moment que j'y pensais pour plusieurs raisons :

- la place que commence à prendre les livres à la maison, même si une fois sur deux maintenant je les télécharge,

- le coût que cela représente (entre 5 et 15 euros à chaque fois).

Ce qui me retenait, pour être franche, c'est que le livre passe par d'autres mains inconnues...

Mais bon, pour 15 euros par an, je peux emprunter 8 livres, CD ou DVD pour 28 jours maximum.

Avec JP, nous sommes revenus avec 4 livres (2 chacuns) et 4 DVD.

A suivre...

 

 

6 août 2014

Les joyeux guérissent toujours

Quatrième de couverture :

« Les joyeux guérissent toujours » a dit François Rabelais. Cette phrase, Patrick Sébastien en a fait sa maxime, sa leçon de vie, son étendard ; pour faire face aux chagrins, aux blessures, aux deuils, aux défaites et aux trahisons que nous inflige la vie, une seule solution : la Joie. C’est cette philosophie qu’applique chaque jour Patrick Sébastien que la vie n’a pas toujours épargné. Au fil des anecdotes de ce journal intime, il nous confie ses éclats de rire, lui qui s’amuse de tout, parce que « le quotidien est tant imprévisible et irréversible qu’en sourire est bien plus jouissif que d’en pleurer ».
Quand Patricia a ramené ce livre de Patrick Sébastien à JP, je n'avais pas vraiment envie de le lire. Je ne suis pas fan de l'humoriste et animateur pour plusieurs raisons : je lui trouve un côté égocentrique, je n'aime pas vraiment son humour et les petites piques genre règlements de compte qu'il distille à chaque émission. JP l'a lu pendant nos vacances en Avignon et je viens à mon tour de le terminer.
L'objectif principal de son livre est de transmettre des "astuces" pour voir la vie du bon côté et partir du principe que tout va mieux avec un peu d'humour, malgré les coups durs de la vie. De cela, je suis parfaitement d'accord. Maintenant, les plaisanteries qu'il relate sont parfois un peu rudes, voire parfois un peu déplacées à mon sens. On n'a pas forcément les mêmes outils ou recettes pour parvenir à positiver.
Je ne l'apprécierai, je pense, pas davantage mais je reconnais en lui un vrai généreux.
Je classe ce livre en 151ème position et lui donne une étoile.
5 août 2014

La femme au miroir

 

Présentation de l'éditeur

Anne vit à Bruges au temps de la Renaissance, Hanna dans la Vienne impériale de Sigmund Freud, Anny à Hollywood de nos jours. Toutes trois se sentent différentes de leurs contemporaines ; refusant le rôle que leur imposent les hommes, elles cherchent à se rendre maîtresses de leur destin. Trois époques, trois femmes : et si c'était la même ?

C'est le deuxième livre que je lis d'Eric-Emmanuel SCHMITT (voir mon billet "Les dix enfants que Madame Ming n'a jamais eus" du 27/10/2013).

Chaque chapitre est consacré à une héroïne différente. On passe de la vie d'Anne (Béguine à Bruges), à celle d'Hanna (Aristocrate viennoise, première disciple de Freud) puis à celle d'Anny (Excellente actrice Hollywoodienne, malgré ses dépendances à l'alcool et aux drogues) et ainsi de suite. Elles ont chacune à leur manière des personnalités fortes et feront des choix radicaux malgré l'avis souvent contraire de leurs proches. Malgré les époques différentes, un lien se tissera entre elles.

C'est bien écrit, bien pensé.

Je classe ce livre en 31ème position et lui donne 3 étoiles.

 

29 juillet 2014

Boomerang

Présentation de l'éditeur 

Sa sœur était sur le point de lui révéler un secret... et c'est l'accident. Elle est grièvement blessée. Seul, l'angoisse au ventre, alors qu'il attend qu'elle sorte du bloc opératoire, Antoine fait le bilan de son existence: sa femme l'a quitté, ses ados lui échappent, son métier l'ennuie et son vieux père le tyrannise. Comment en est-il arrivé là? Et surtout, quelle terrible confidence sa cadette s'apprêtait-elle à lui faire? Rattrapé par le passé, Antoine Rey vacille. Angèle, une affriolante embaumeuse, lui apportera une aide inattendue dans sa recherche de la vérité.

C'est bien écrit, c'est fluide, c'est direct. J'aime !! 

Tatiana de Rosnay aborde dans ce roman plein de thèmes actuels, traités avec beaucoup de justesse : l'amour, la maladie, la mort, le divorce, l'adolescence, la communication parfois difficile avec ses parents ou ses enfants, les secrets de famille, ...

J'ai adoré et ce livre me donne envie d'en lire d'autres du même auteur.

Je le classe en 30eme position et lui donne trois étoiles.

 

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28 juillet 2014

Élise ou la vraie vie

Extrait de Wikipedia (à défaut de quatrième de couverture) :

L'histoire se passe en France pendant la décennie de la guerre d'Algérie : Élise, jeune Bordelaise rêvant de « vraie vie », monte à Paris, trouve un travail dans une usine et y rencontre Arezki, un Algérien, dont elle s'éprend.

Dans ce résumé, manque l'importance du frère d'Elise et de la grand-mère chez qui ils vivotent à bordeaux. Lucien, ne travaille pas (ou très peu, quelques heures de surveillance dans un collège) car il ne veut s'abaisser à travailler à l'usine (encouragé en cela par sa sœur et sa grand-mère). Il se marie très jeune avec Marie-Louise et ils ont un enfant. Il milite contre la guerre d'Indochine. Il rencontre Anna et quitte sa femme et déménage sur Paris ou il militera contre la guerre d'Algérie.
Il demande à Elise de le rejoindre (malgré la grand-mère et Marie-Louise malades).

Lucien travaille à la chaîne (!) et conseille Elise de faire de même. Pendant 9 mois, elle connaîtra "la vraie vie" avec ce travail difficile. Elle y rencontrera son amant algérien dans le contexte de la guerre d'Algérie et du fort racisme ambiant...

La seule chose que j'ai aimée dans ce livre est la juste description des difficiles conditions de travail et de la déconsidération dont sont victimes les étrangers dans l'usine...

Il y a fort peu d'actions (je me suis ennuyée) et Élise est peu maître de son destin... Elle doit demander à son frère de l'aider à trouver une chambre pour loger avec son amant et ne le fait pas, elle doit écrire à sa grand-mère de les héberger et ne le fait jamais non plus...

Je le classe en 224eme position et lui donne un "moins".

26 juillet 2014

Sous le ciel de Novgorod

Quatrième de couverture

Il était une fois une princesse russe nommée Anne, elle épousa un roi de France, Henri. C'était il y a fort longtemps : en 1051...

Il y avait fort longtemps aussi que je n'avais lu un roman de Régine Deforges et j'y ai pris beaucoup de plaisir.

Outre le contexte historique qui est très intéressant, la forte personnalité de la Reine Anne en fait un roman passionnant.

Je classe ce livre en 38eme position et lui donne trois étoiles.

image

24 juillet 2014

Notre Dame d'Alice Batthi

Quatrième de couverture

Au coeur de Karachi, ville tentaculaire et vénéneuse, Alice Bhatti s'enrôle comme infirmière à l'hôpital du Sacré-Coeur. Catholique pauvre mais pugnace, elle s'efforce de prodiguer ses remèdes aux milliers de patients délaissés. Contre le système des castes et des religions, contre les préjugés de son mari, gorille à tout faire de la police locale, et contre la corruption, Alice est prête à payer le prix fort pour survivre et répandre le salut...

J'ai eu beaucoup de difficultés à rentrer dans l'histoire. Je trouve le commencement particulièrement confus. 

L'intérêt du livre revient à cette description de la vie difficile au cœur de Karachi, au Pakistan, surtout quand on est une femme, qui plus est de religion catholique au sein d'une majorité musulmane. L'héroïne se débat comme elle peut dans cette jungle oú tous les coups sont permis (corruption, meurtres, viols, ...).

Je classe ce livre en 185eme position et ne lui donne pas d'étoile.

 

 

 

23 juillet 2014

On peut se dire au revoir plusieurs fois

Quatrième de couverture

" Tôt ou tard, il allait revenir. Je connaissais les pronostics de mon cancer. Je pouvais retarder l'échéance, gagner des années, presque l'oublier, mais cette fois c'était "the Big One", comme disent les Californiens qui redoutent un tremblement de terre dévastateur.Cette rechute m'a amené à me poser les questions les plus graves, peut-être les plus importantes, de ma vie : si je suis rattrapé par la maladie alors que je pense, mange, bouge, respire et vis anticancer, alors que reste-t-il d'Anticancer ?C'est pour répondre à cette question que j'écris aujourd'hui. Ce livre est aussi l'occasion, pour moi, de dire au revoir à tous ceux qui ont apprécié mes livres précédents ou qui sont venus m'écouter. Quoiqu'il arrive, j'ai le ferme espoir que cet au revoir ne sera pas le dernier. On peut se dire au revoir plusieurs fois.

Alors forcément, quand on lit ce livre, on pense à toutes les personnes atteintes d'une maladie grave, notamment du cancer, et plus particulièrement à un proche touché par cette foutue maladie.

Personnellement, j'ai beaucoup pensé à mon biquet (ma maman), qui lutte vaillamment depuis près de 30 ans et qui a récemment subi deux opérations (la seconde étant consécutive à un problème survenu lors de la première -voir mon billet du ).

Ce livre (conseillé par mon amie Patricia) reste plein d'espoir, écrit par un médecin, David SERVAN-SCHREIBER, atteint lui-même d'un cancer au cerveau, dont il aura plusieurs récidives, la troisième lui sera fatale...

Il donne des "recettes" pour conserver le moral et la force pour lutter. Il dit l'importance des proches et du fait de pouvoir parler avec eux de la maladie, voire de la mort... Je sais pour en avoir discuté avec biquet que l'entourage a du mal à évoquer la maladie. Cela reste toujours un peu tabou.

Je classe ce livre en 88ème position et lui donne deux étoiles.

 

20 juillet 2014

Le fil des souvenirs

Présentation de l’éditeur

Thessalonique, 1917. Le jour de la naissance de Dimitri Komninos, un terrible incendie ravage la cité, où chrétiens, juifs et musulmans vivaient jusque-là en harmonie. Cinq ans plus tard, à Smyrne, la petite Katerina est arrachée à sa mère en fuyant l’invasion turque et embarque seule sur le bateau qui la mène vers une destination inconnue. Dès lors, les destins de Dimitri et Katerina vont être liés à jamais, tandis que les guerres, les révolutions et la haine déchirent les habitants de leur ville, Thessalonique… De quels trésors et secrets du passé sont-ils les gardiens ? Comment les transmettre avant qu’il ne soit trop tard ? Katerina et Dimitri vont devoir trouver la force de dérouler le fil des souvenirs…

Alors, Victoria Hislop, c’est l’auteur de mon livre préféré « l’île des oubliés ».

J’ai retrouvé avec plaisir son style et son univers. Elle nous transporte à nouveau en Grèce, cette fois-ci à Thessalonique entre 1917 et 2007. Les personnages sont complets et criants de vérité. On suit l’histoire familiale avec grand plaisir. Le fond historique, entre exodes, guerre et résistance, contribue à en faire un roman particulièrement passionnant. Quant au titre, il est lié au métier de couturière du personnage principal, Katerina.

Je classe ce livre en 29ème position et lui donne 3 étoiles.

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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