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Le petit monde de So et de Fi
lecture
10 mars 2013

L'armoire des robes oubliées

Alors que sa grand-mère Elsa se meurt d’un cancer foudroyant et que tous ses proches se rassemblent pour adoucir ses derniers jours, Anna découvre que, derrière le mariage apparemment heureux de ses grands-parents, se cache un drame qui a marqué à jamais tous les membres de sa famille. Une vieille robe trouvée par hasard, et dont elle apprend qu’elle aurait appartenu à une certaine Eeva, va réveiller le passé. Cette Eeva, dont on ne lui a jamais parlé, aurait été, dans les années 60, la nourrice de sa mère. Mais Anna ne tarde pas à comprendre qu’elle a été beaucoup plus qu’une employée et que son grand-père, peintre célèbre, l’a profondément aimée…

Dieu que je me suis ennuyée en lisant ce livre de Riikka Pulkkinen  ! Et dire qu’il était recommandé pour les lecteurs qui ont aimé « l’île des oubliés ». A mon avis le seul point commun est le mot « oublié » dans le titre…

Il y a des retours en arrière, des changements de narrateur, des longueurs... Pourtant il y a une bonne idée de départ sur la similitude de ce que vivent, à des époques différentes, Eeva et Anna, -même si la fin n’est pas aussi dramatique pour la seconde-, à savoir leur amour pour une enfant qui n’est pas la leur et qu’elles ne peuvent continuer à voir car séparées du père qu’elles ont aimé.

Je me demande comment les avis sur un livre peuvent être si différents. Je vois sur internet que des tas de lecteurs ont adoré ce livre (d’autres se sont ennuyés comme moi). Je sais qu’il faut de tout pour faire un monde et que ces différences sont une richesse mais comment peut-on être d’un avis si opposé ?

Je le classe en 143ème position et lui donne un « moins ».

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2 mars 2013

Cinquantes nuances plus claires

Il s'agit du troisième volet de la trilogie Cinquante nuances…

La rencontre d’Ana Steele et de Christian Grey, chef d’entreprise ambitieux mais tourmenté, les a précipités dans une histoire d’amour torride qui a irrémédiablement bouleversé leurs existences. Ana a toujours su que ses amours avec son Cinquante Nuances seraient orageuses : leur vie commune pose des défis que ni l’un ni l’autre n’avaient envisagés. Ana doit apprendre à partager le style de vie opulent de Grey sans sacrifier sa propre intégrité ou son indépendance ; Grey doit surmonter son obsession de tout contrôler, et exorciser les horreurs qui le hantent. Enfin réunis, ils ont tout : l’amour, la passion, l’intimité, la richesse et une infinité de possibles. Mais alors même que la vie les comble, le malheur et le destin conspirent pour plonger Ana dans le pire des cauchemars…

J'étais en train de lire un autre livre (recommandé si on avait aimé l'ile des oubliés mais dans lequel je m'ennuie un peu) en attendant que celui-là sorte en livre numérique, comme cela tardait un peu, je l'ai acheté en livre papier.

Je l'ai préféré aux deux autres tomes (dans l'ordre de préférence 3 - 1 - 2). J'ai aimé retrouvé l'héroïne principale, son humour et celui de sa déesse intérieure.

Je le classe en 43ème position et lui donne 2 étoiles.

11 février 2013

Un début prometteur

Mot de l'éditeur et extrait du livre :

" Un jour, tu comprendras. Le frigo des filles et tout ça. Celles qui accumulent les Diet Coke, celles qui collectionnent les jus d'orange survitaminés. Tu comprendras les crèmes épilatoires, les salles de bains avec ou sans baignoire, le sérum physiologique pour les lentilles de contact, le petit fil blanc ou bleu qui dépasse quelques jours par mois. Et le frigo des filles, la façon dont elles rangent et cartonnent au jeu des sept familles, jamais, jamais tu m'entends, en six ans de vie commune, je n'ai vu une plaquette de beurre à côté d'une bière ouverte ou d'une confiture périmée dans un frigo. Je vais te dire Henry, dans un frigo de fille, la nonchalance n'existe pas. "

Bon, lire deux livres de Nicolas Ray à la suite n'était pas une bonne idée. Je suis certainement partie du mauvais pied avec "un début prometteur". L'extrait qui sert de quatrième de couverture est plutôt très drôle par rapport au ton du reste du livre... Ils l'ont bien choisi !

Je n'ai pas aimé et dès le début, j'avais hâte d'en finir.

Il (Henry) nous raconte son premier amour, ses premières désillusions et celles de son père et de son frère (pas beaucoup de chance dans la famille), l'alcool et la drogue (encore !), enfin bref, un roman bien sombre...

Je le classe en 115ème position et ne lui donne aucune étoile.

6 février 2013

L'amour est déclaré

Quatrième de couverture :

(…) Après le léger passage à vide et l’héroïque victoire de notre héros sur les addictions liquides, chimiques et médicamenteuses, l’amour, qui semblait avoir enfin déserté sa vie, a pourtant frappé par surprise en la personne de Maud. Mais l’amour n’est-il pas la plus dangereuse des addictions et le plus périlleux des chemins ?  (…)

Ce récit me fait davantage penser à la rédaction d’un blog ou d’un journal intime plutôt qu’un roman. L’auteur raconte les évènements de sa vie, parfois sans rapport d’un chapitre à l’autre. En plus, on a l’impression qu’on devrait ne connaître que lui, alors que j’ai découvert Nicolas REY pour la première fois avec ce livre et n’en n’avais jamais entendu parler avant. Il est suffisant et prétentieux et m’a fait pensé à Frédéric BEGBEDER… et pas seulement pour le côté cocaïne…(et dire que j’ai acheté un deuxième livre de Nicolas REY !).

Seuls deux points positifs dans ce livre : le titre que j’aime beaucoup et l’épaisseur (on peut rapidement passer à autre chose !)

Je classe ce livre en 113ème position et ne lui donne pas d’étoile.

2 février 2013

Cyanure

Quatrième de couverture :

Martin Molin accompagne sa petite amie Lisette sur l’île de Valö pour une réunion de famille juste avant Noël. Mais au cours du premier repas, le grand-père, un magnat industriel, meurt étouffé, juste après avoir annoncé à ses enfants qu’il les a déshérités. Martin se rend vite compte qu’il a été assassiné au cyanure. Une tempête de neige fait rage, l’île est isolée du monde et Martin décide de mener l’enquête.

L’idéal dans les romans policiers, c’est de ne pas deviner qui est le coupable trop rapidement. Et là, dans ce livre de Camilla Lackberg, j’ai eu des doutes assez rapidement. Il y a bien eu des pistes pour noyer le poisson mais la fin était pour moi un peu attendue.

Je classe ce livre en 100ème position et lui donne une étoile.

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29 janvier 2013

Les bouts de ficelle

Dans Paris. Des regards échangés, des vies qui se croisent, qui s'entremêlent. Emma et ses jolies chevilles ; Jean, le beau et patient attaché de presse d'Irwing, écrivain génial, indiscipliné et sur la touche ; Paulo, amoureux de sa mère comme tous les enfants ; Monsieur Daniel, le vendeur de Kleenex. Mille destins suspendus les uns autres par un lien ténu et imprévisible, l'amour.

Bon, alors ça, c’est ce qui figure sur la quatrième de couverture…

Quant à moi, je suis complètement passée à côté de ce livre de Grégoire Polet, même si l’écriture en est fluide et agréable.

Trop de personnages qui se croisent pour pouvoir en aborder même un seul suffisamment de près. Bien sûr, on sait que les rencontres ne tiennent qu’à un fil et que l’on croise des vies tous les jours sur lesquelles on ne saura jamais rien. Mais voilà, en dehors de cela, j’ai juste eu le sentiment de survoler l’histoire de ces trop nombreux personnages…

Je classe ce livre en 134ème position et ne lui donne pas d’étoile.

28 janvier 2013

Un homme à distance

Kay est libraire à Fécamp. Pendant son absence, un homme, amateur de beaux livres, demande la livraison d’un ouvrage à sa vendeuse. Kay lui transmet après recherche et c’est le début d’une correspondance entre eux. Au travers de leurs lectures, ils se dévoilent peu à peu l’un à l’autre.

Ce roman épistolaire de Katherine PANCOL m’a fait penser à celui de Hélène Hanff « 84 Charing cross road », sauf que là le libraire c’est l’homme. Je la soupçonne de s'en être inspirée...

J’ai lu ce roman en une journée et reste un peu déçue par cette non-fin. J’aurais aimé en savoir plus également sur celle qui raconte le début et la fin de l’histoire. Une bizarrerie aussi que j’ai relevée : Kay confie les lettres du mystérieux inconnu à son amie restauratrice (celle-là même dont j’aurais aimé en apprendre davantage) mais comment cette amie peut éditer les lettres que Kay a écrite puisqu’elle sont en possession de l’amateur de livres ???

Je classe ce livre en 108ème position et ne lui donne pas d’étoile.

27 janvier 2013

La lumière s'éteint

Quatrième de couverture :

Maltraités par l'acariâtre Mme Jenkins, deux orphelins, Dick et Maisie, n'ont guère que leur tendresse comme lueur d'espoir et un rêve commun : devenir peintres. Dick y parviendra, rendu célèbre par ses croquis de bataille lors de la guerre du Soudan. Le hasard le fait retrouver Maisie et, au nom de leur amour d'enfance, il lui demande de devenir sa  femme. Maisie se dérobe, mais ce qui ne serait que marivaudage tourne au drame : Dick devient brusquement aveugle, conséquence d'un violent coup de sabre à la tête jadis reçu à Khartoum. Après une ultime rencontre, dramatique, avec Maisie qui le fuit, Dick, muré dans sa nuit, part à sa recherche dans le désert égyptien, alors que les combats font rage. Il sait que son destin l'y attend, mais ne se dérobera pas à cet ultime rendez-vous, qui seul pourra apaiser ses souffrances...

Dieu que je me suis ennuyée dans cette histoire… mais quand je commence un livre… je vais au bout.

Le héros de ce roman va passer par toute la palette des sentiments (de l’amour au désespoir) et des situations (de la misère à la gloire). Et quand il reprend goût à la vie à la fin du livre, c’est pour en mourir…

Rudyard Kipling est l’auteur du livre de la jungle et je ne m’attendais pas du tout à ce roman si sombre.

Je le classe en 142ème position et lui donne deux « moins » (l’opposé de mes étoiles).

23 janvier 2013

Cinquante nuances plus sombres

Quatrième de couverture :

Dépassée par les sombres secrets de Christian Grey, Ana Steele a mis un terme à leur relation pour se consacrer à sa carrière d’éditrice. Mais son désir pour Grey occupe toujours toutes ses pensées et lorsqu’il lui propose un nouvel accord, elle ne peut y résister. Peu à peu, elle en apprend davantage sur le douloureux passé de son ténébreux M. Cinquante Nuances, toujours aussi passionné. Tandis que Christian lutte contre ses démons intérieurs, Ana doit prendre la décision la plus importante de sa vie.

Lors de mon dernier billet concernant mes lectures, je me posais la question de savoir si j’allais lire la suite de « cinquante nuances de Grey », vous constaterez donc que la réponse est oui.

J’ai un peu la même chose à en dire, à savoir que j’ai toujours autant aimé le rapport entre les deux héros du livre et un peu moins le côté « érotique », mais en même temps j’en connaissais la teneur avant de m’engager dans cette trilogie. Ah oui, autre chose, je suis stupéfaite par leur capacité de récupération (ils peuvent faire l’amour 3 fois de suite sans temps mort, chapeau !)

Que dire donc de plus sur ce deuxième tome ? Il y a parfois un peu de répétitions, mais j’ai eu beaucoup de plaisir à suivre les aventures (assez trépidantes et intenses) d’Anastasia et de Christian.

Pour le 3ème et dernier tome ("cinquante nuances plus claires"), il faudra attendre apparemment le 6 février… date de sortie en magasin.

Je le classe juste après le premier tome, à savoir en 67ème position et lui donne une étoile.

14 janvier 2013

Cinquante nuances de grey

Lorsqu’Anastasia Steele, étudiante en littérature, interviewe le richissime jeune chef d’entreprise Christian Grey, elle le trouve très séduisant mais profondément intimidant. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l’oublier  jusqu’à ce qu’il débarque dans le magasin où elle travaille.  Naïve et innocente, Ana ne se reconnait pas dans son désir pour cet homme. Quand il la prévient de garder ses distances, cela ne fait que raviver son trouble. Mais Grey est tourmenté par des démons intérieurs, et consumé par le besoin de tout contrôler. Lorsqu’ils entament une liaison passionnée, Ana découvre ses propres désirs, ainsi que les secrets obscurs que Grey tient à dissimuler aux regards indiscrets.

C’est la curiosité qui m’a poussée à acheter ce livre de EL James dont tout le monde parle. C’est vrai qu’il a un côté prenant car on veut savoir ce qu’il advient de la jeune Anastasia… (tout en sachant que ce livre est le premier d’une trilogie, on se doute que l’on va un peu rester sur sa faim).

Je l’ai déjà écrit sur mon blog, je ne suis pas très fan des lectures à « l’eau-de-rose » et un livre érotique comme celui-là a forcément des points communs avec ce type de livres, notamment dans le détail des relations sexuelles (ça me gêne dans mes lectures comme cela peut me gêner au cinéma) ainsi que le côté « ça marche d’enfer dès la première fois ». J’ai pourtant aimé les rapports de force entre les personnages. Quant au milieu sado-masochiste, dominant/soumise, j’ai mis des mots sur certaines pratiques et en ai découvrir d’autres. Certaines font d’ailleurs un peu peur…

Petite mention pour le titre, j'ai adoré son triple sens, grey faisant à la fois référence au nom du héros, à la couleur de sa cravate et de ses yeux aussi...

Je classe ce livre en 66ème position et lui donne une étoile.

A voir si je vais acheter la suite...

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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