Chambre à part
Quatrième de couverture
Les années 1970 furent celles de la libération sexuelle. Que devinrent les couples qui se formèrent durant cette période agitée ? On a souvent dit que leur amour n'avait pas duré. Après trente années passées avec celui qu'elle a élu " homme de sa vie ", Maryse Wolinski prouve que, en dépit d'un ciel parfois changeant, " amour " peut rimer avec " toujours ". C'est une invention de chaque instant, une adaptation de l'un à l'autre qui, peu à peu, s'amplifient jusqu'à prendre la force de l'évidence et de l'inéluctable. Si l'on veut bien s'en donner la peine, aimer devient alors un éternel recommencement, un enchaînement de désirs toujours neufs et de passions inédites. Une aventure des intensités du cœur.
Bof ! La couverture était rigolote, le titre me plaisait bien mais le contenu m’a un peu déçue. Le récit autobiographique sur le couple Wolinski, Georges, le dessinateur satyrique et Maryse, journaliste et écrivain, m’a laissée sur ma faim. L’auteure dresse un portrait d’elle, surtout au début, que je trouve peu flatteur : elle est belle, un peu potiche car elle manque de culture par rapport aux relations de l’homme qui va devenir son mari. On l’imagine aussi un peu intéressée par ce que peut apporter cette relation, à tort surement au vu de la perénnité de leur couple... Quant à son mari, il paraît conforme à l’idée que l’on peut se faire de lui, quand on connaît un peu son histoire.
Bon bref, j’ai peu aimé.
Je classe ce livre en 194ème position et ne lui donne pas d’étoile.