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Le petit monde de So et de Fi
lecture
15 décembre 2021

La vie dont nous rêvions

Présentation de l’éditeur :

Aimée mène la vie dont elle a toujours rêvé : elle s’apprête à épouser son amour d’enfance, à fonder une famille et à reprendre les rênes du restaurant familial. Mais tout s’effondre lorsque son fiancé James disparaît brutalement dans un accident de bateau. Au lieu de marcher vers l’autel, Aimée suit le cercueil de celui qui aurait dû, ce jour-là, devenir son mari. Alors qu’elle se bat pour reconstruire sa vie, Aimée commence à s’interroger sur les circonstances de la disparition de James. Elle plonge alors dans un océan de secrets qui l’amène à remettre en question toute leur histoire commune. Faire remonter la vérité à la surface pourrait libérer Aimée… ou la briser à jamais.

C’était à peu près bien jusqu’au 70 % du livre de Kerry Lonsdale, après ça part en vrille et niveau crédibilité on tombe dans le néant. C’est n’importe quoi. Bref, l’auteure m’a complètement perdue. Je l’ai lue jusqu’au bout parce que je n’aime pas ne pas finir un livre mais franchement cela n’en valait pas la peine. Je ne peux pas dire ce qui n’est pas réaliste sans dévoiler l’histoire mais, entre autres, en 19 mois (qui lira saura), il se passe beaucoup trop de choses en si peu de temps.

Je classe ce livre en 623ème position et ne lui donne pas d’étoile. Je ne lui mets pas de « moins » car le début n’était pas si mal…

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8 décembre 2021

Un monde à portée de main

Présentation de l’éditeur

«Paula s’avance lentement vers les plaques de marbre, pose sa paume à plat sur la paroi, mais au lieu du froid glacial de la pierre, c’est le grain de la peinture qu’elle éprouve. Elle s’approche tout près, regarde : c’est bien une image. Étonnée, elle se tourne vers les boiseries et recommence, recule puis avance, touche, comme si elle jouait à faire disparaître puis à faire revenir l’illusion initiale, progresse le long du mur, de plus en plus troublée tandis qu’elle passe les colonnes de pierre, les arches sculptées, les chapiteaux et les moulures, les stucs, atteint la fenêtre, prête à se pencher au-dehors, certaine qu’un autre monde se tient là, juste derrière, à portée de main, et partout son tâtonnement lui renvoie de la peinture. Une fois parvenue devant la mésange arrêtée sur sa branche, elle s’immobilise, allonge le bras dans l’aube rose, glisse ses doigts entre les plumes de l’oiseau, et tend l’oreille dans le feuillage.»

Je me suis littéralement ennuyée avec ce livre de Maylis de Kerangal. Il y a des descriptions à n’en plus finir, des phrases interminables qui font souvent une vingtaine de lignes, voire davantage. Le tout pour une histoire qui se résume en quelques mots : on suit une jeune femme qui prend des cours dans une école d’art et qui une fois diplômée part sur des chantiers. Il y en a qui s’écoute parler, l’auteure se regarde écrire… J'ai mis 11 jours pour venir à bout des 326 pages que compte ce livre !

Next !

Je classe ce livre en 628ème position et lui donne un « moins ».

24 novembre 2021

La brodeuse de Winchester

Présentation de l’éditeur :

Winchester, 1932. Violet Speedwell, dactylo de trente-huit ans, fait partie de ces millions de femmes restées célibataires depuis que la guerre a décimé toute une génération de fiancés potentiels. "Femme excédentaire", voilà l'étiquette qu'elle ne se résigne pas à porter, à une époque où la vie des femmes est strictement régentée. En quittant une mère acariâtre, Violet espérait prendre son envol, mais son maigre salaire lui permet peu de plaisirs et son célibat lui attire plus de mépris que d'amis. Le jour où elle assiste à un curieux office à la cathédrale, elle est loin de se douter que c'est au sein d'un cercle de brodeuses en apparence austère - fondé par la véritable Louisa Pesel - qu'elle trouvera le soutien et la créativité qui lui manquent. En se liant d'amitié avec l'audacieuse Gilda, Violet découvre aussi que la cathédrale abrite un tout autre cercle, masculin cette fois, dont Arthur, sonneur de cloches, semble disposé à lui dévoiler les coulisses. A la radio, on annonce l'arrivée d'un certain Hitler à la tête de l'Allemagne.

J’ai adoré ce livre de Tracy Chevalier. Il retrace particulièrement bien la condition de la femme dans les années 1930 qui doit se cantonner à être derrière les fourneaux et élever les enfants. Quant aux "vieilles filles", elle doivent se sacrifier et s'occuper des parents vieillissant. C’est là que l’on voit tout de même le chemin parcouru même s’il y a encore des progrès à faire… Violet est attachante et sa volonté de s’affranchir de la vie qu’on voudrait lui imposer est tout à son honneur et avant-gardiste.

J’ai déjà lu des livres de Tracy Chevalier : « Une jeune fille à la perle » classé en 118ème position avec 3 étoiles, « La vierge en Bleu » classé en 288ème position avec 3 étoiles, « prodigieuses créatures » classé en 346ème position avec une étoile, « le récital des anges » classé en 459ème position avec une étoile.

Je classe ce livre en 52ème position et lui donne 3 étoiles.

20 novembre 2021

Une chance sur un milliard

Présentation de l’éditeur

Je venais d’avoir onze ans lorsque j’ai pris conscience de ce qu’était le destin. C’est drôle, en repensant à cette soirée et à tout ce qui m’est arrivé d’important depuis, je me dis que dans une vie, on ne voit jamais venir les événements qui vont vraiment compter. « Depuis ce jour, plus personne ne m’a pris dans ses bras. Enfin, jusqu’à la semaine dernière. C’était encore pour m’annoncer une nouvelle qui allait dynamiter mon existence. Il n’y a pas que les insectes qui se prennent des coups de pantoufle. Je ne sais pas qui les donne, mais si c’est un dieu, il chausse grand. » À travers une histoire aussi réjouissante qu’émouvante, Gilles Legardinier nous entraîne au moment où chacun doit décider de ce qui compte réellement dans sa vie. Plus de temps à perdre. Plus question de s’égarer. Se jeter sans filet. Remettre les pendules à l’heure, dire, faire, espérer. Aimer, libre comme jamais. Je classe ce livre en 461ème position et lui donne une étoile.

J’ai pris un petit risque en rachetant un livre de Gilles Legardinier car j’avais adoré les premiers livres que j’avais lu de lui entre 2012 et 2017 : « Complètement cramé » classé en 20ème position avec 3 étoiles, « Le premier miracle » classé en 27ème position avec 3 étoiles, « et soudain tout change » classé en 50ème position avec 3 étoiles, « quelqu’un pour qui trembler » classé en 51ème position avec 3 étoiles, « Ca peut pas rater » classé en 70ème position avec 3 étoiles, « Demain, j’arrête » classé en 77ème position avec 3 étoiles, mais aussi moins aimé les lectures suivantes entre 2017 et 2019 : « Comme une ombre » classé en 409ème position avec une étoile, « Une fois dans ma vie » classé en 406ème position avec une étoile et pas aimé du tout « Nous étions les hommes » classé en 533ème position sans étoile et donc j’avais peur d’être déçue par ce dernier roman.

Mais j’ai bien aimé celui-ci. Je trouve dommage de prendre conscience de la beauté des petites choses, de la valeur de l’amitié et de l’amour uniquement quand on se sent en danger mais c’est le thème du livre. Je me suis malgré tout attachée au personnage principal. La fin reste un peu dans le flou.

Je classe ce livre en 69ème position et lui donne 3 étoiles parce que j’ai au final passé un bon moment de lecture.

14 novembre 2021

Le voile noir

Présentation de l’éditeur

J'avais pensé, logiquement, dédier ces pages à la mémoire de mes parents - de mon père, surtout, l'auteur de la plupart des photos, qui sont la base et la raison d'être de ce livre. Curieusement, je n'en ai pas envie. Leur dédier ce livre me semble une coquetterie inutile et fausse. Je n'ai jamais déposé une fleur sur la tombe, ni même remis les pieds dans le cimetière où ils sont enterrés. Sans doute parce que obscurément je leur en veux d'avoir disparu si jeunes, si beaux, sans l'excuse de la maladie, sans même l'avoir voulu, quasiment par inadvertance. C'est impardonnable.

Je ne peux pas dire que je suis surprise ou déçue à la lecture de ce livre d’Anny Duperey. Forcément, en lisant la quatrième de couverture, je savais que son histoire ne serait pas réjouissante. Mais voilà, il y a ici, beaucoup de souffrance contenue. On sent qu’elle a énormément de mal à mettre des mots sur ce qu’elle ressent (ou ne ressent pas, ou n'a pas ressenti).

J’ai eu le sentiment pendant la lecture de son livre, d’être moi-même enveloppé de ce voile noir qu’elle décrit. Elle écrit bien et sa réflexion est sincère mais je ne me suis pas sentie très à l'aise par rapport à certains propos. J’ai même ressenti du soulagement lorsque j’ai terminé la lecture de la dernière page du livre.

Quelques extraits qui m’ont touchée quand elle parle du lien avec sa sœur :

« Le point de jonction entre elles était mort, et quels que soient les liens d’affection qui avait été tissés auparavant, la mort était là, présente, et les souvenirs douloureux ravivés à chaque rencontre. Or je ne crois pas que la douleur rapproche les gens, au contraire. Un premier temps on se réchauffe, puis très vite on souffre chacun pour soi, on évite d’en parler. Puis on s’évite, tout simplement. Les morts font bien des dégâts autour d’eux. »

« Et je suis frappée encore une fois, en regardant sur ces photos les vêtements que nous portons ma mère et moi, que tout, absolument tout, à part nos chaussures et les chapeaux de paille, était fait maison. Jusqu’aux maillots de bain. Que d’attention, que d’heures de travail pour me vêtir ainsi de la tête au pied. Que d’amour dans les mains qui prenaient mes mesures, tricotaient sans relâche. »

« On a des crises de tricot. (…) On s’habitue vite au confort d’être à la fois là et absent, protégé par la barrière infranchissable des aiguilles et du rideau de petits points qui pend entre soi et les autres. Avec l’alibi en or d’être « utile ». (…). « Attends je finis mon rang ». »

« Or ma mère tricotait. De préférence des choses compliquées. Et sans arrêt. Je ne sais quoi déduire de cette information, mais je sais qu’elle poussait ceux qui l’entouraient au bord de la crise de nerf à force de « attends, je finis mon rang ». »

Je classe ce livre en 461ème position et lui donne une étoile.

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9 novembre 2021

Les fabuleuses tribulations d'Arthur Pepper

Présentation de l’éditeur :

Sans être un conformiste forcené, Arthur Pepper est anglais. Il puise donc un certain réconfort dans l’idée que chaque chose est à sa place, et boit son thé à heure fixe. Quand il a rencontré Miriam, il a tout de suite su que c’était la bonne. Ils se sont mariés, ont eu deux enfants. Lorsque sa femme meurt après quarante ans d’une vie sans histoire, Arthur se calfeutre chez lui pour échapper aux visites de sa voisine, championne du monde de tourte, qui, faute de pouvoir le réconforter, s’est mis en tête de le nourrir. Le voilà condamné à vivre seul avec ses souvenirs et la plante verte dont sa femme a pris soin pendant des années. Ses proches lui conseillent d’aller de l’avant. Aller de l’avant ? Mais pour aller où, bon sang ? En entreprenant ce voyage sur les traces de sa femme, Arthur va au-devant de surprenantes révélations. Et contre toute attente, d’aventure en aventure, il va devenir un héros.

On suit les aventures d’Arthur Pepper mais cela reste pour moi assez gentillet. Il considère que quitter son environnement habituel et aller à une heure de route de chez lui est déjà une aventure, alors que dire quand il part à Londres, à plus de deux heures ! Par ailleurs, il est bien étonnant qu’il n’ait jamais entendu parler de ce que sa femme a pu faire avant de le connaître, sachant qu’elle n’avait pas vraiment coupé les liens avec sa mère ou d’autres personnes avec qui elle correspondait. Et par rapport au résumé de l’éditeur, je ne vois pas bien où il devient un héros…

Je classe ce livre en 448ème position et lui donne une étoile.

28 octobre 2021

Nos espérances

Présentation de l’éditeur            

Hannah, Cate et Lissa sont jeunes, impétueuses, inséparables. Dans le Londres des années 1990 en pleine mutation, elles vivent ensemble et partagent leurs points de vue sur l'art, l'activisme, l'amour et leur avenir, qu'elles envisagent avec gourmandise. Le vent de rébellion qui souffle sur le monde les inspire. Leur vie est électrique et pleine de promesses, leur amitié franche et généreuse. Les années passent, et à trente-cinq ans, entre des carrières plus ou moins épanouissantes et des mariages chancelants, toutes trois sont insatisfaites et chacune convoite ce que les deux autres semblent posséder. Qu'est-il arrivé aux femmes qu'elles étaient supposées devenir ? Dans ce roman tout en nuances sur les différentes facettes de l'amitié au fil du temps, Anna Hope tisse avec élégance et délicatesse la vie de ces trois héroïnes contemporaines. Elle sonde les différentes façons de trouver son identité de femme, mais aussi de mère, de fille, d'épouse ou d'éternelle rebelle, et explore cet interstice entre les espérances et la réalité, cet espace si singulier fait de rêves, de désirs et de douleurs où se joue toute vie.

Bon alors, j’ai téléchargé ce livre de Anna Hopes sur ma liseuse après avoir lu un commentaire élogieux sur facebook. J’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire et savoir qui avait vécu quoi car il y a des retours en arrière un peu anarchiques. Parfois, le passé permet de comprendre le présent mais là, je ne vois pas l’intérêt de ne pas raconter les événements dans l’ordre. La seule chose que j'ai aimée, c'est la justesse dans la description par l'auteure du désir d'enfant d'Hannah et le parcours difficile des FIV lors de l'absence de réussite dans cette quête. Sinon, il y a parfois des paroles un peu crues ou des détails qui me semblent également inutiles. Et à la fin, on se dit, en tout cas, je me suis dit, tout ça pour ça ?

Je classe ce livre en 393ème position et lui donne une étoile.

24 octobre 2021

Le bal des folles

Hier, nous avons cherché un film à regarder avec JP et Antoine et j’ai proposé dans la liste : « Le bal des folles » de Mélanie Laurent car j’avais lu le livre de Victoria Mas et je l’avais aimé. J’ai voulu aller voir mon classement et je me suis aperçue que je n’avais pas fait le résumé sur mon blog à ce moment-là, en février 2021.

Le voici donc à retardement (j’avais écrit quelques lignes sur mon ressenti à Valérie qui m’avait prêté ce livre) :

Présentation de l’éditeur

1885 : comme chaque année, à la Salpêtrière, se tient le très mondain « bal des folles ». Le temps d’une soirée, le Tout-Paris s’encanaille sur des airs de valse et de polka en compagnie de femmes déguisées en colombines, gitanes, zouaves et autres mousquetaires. Cette scène joyeuse cache une réalité sordide : ce bal « costumé et dansant » n’est rien d’autre qu’une des dernières expérimentations de Charcot, adepte de l’exposition des fous. Dans ce livre terrible et puissant, Victoria Mas choisit de suivre le destin de ces femmes victimes d’une société masculine qui leur interdit toute déviance et les emprisonne. Parmi elles, Geneviève, dévouée corps et âme au célèbre neurologue ; Louise, abusée par son oncle ; Thérèse, une prostituée au grand cœur qui a eu le tort de pousser son souteneur dans la Seine ; Eugénie enfin qui, parce qu’elle dialogue avec les morts, est envoyée par son propre père croupir entre les murs de ce qu’il faut bien appeler une prison.

C’est bien écrit, le sujet est très intéressant, la condition féminine de l’époque justement rapportée. On attribue un diagnostic d'hystérie à des maladies méconnues à l'époque que l'on essaie de soigner par des séances d'hypnose, des bains glacés, de l'isolement qui font souvent plus de mal que de bien. On rentre tout de suite dans l’histoire et les personnages sont attachants. Peut-être y aura-t-il une suite ?

Et c’est là que le film diffère du livre pour moi car s’il est relativement fidèle tout au long, concernant la fin, je pense que la réalisatrice est allée plus loin pour donner une perspective que l’on n’a pas forcément dans le livre (d’où la suite que j’attendais).

Je classe ce livre en 48ème position et lui donne 3 étoiles.

24 octobre 2021

Libre comme l'esprit

Présentation de l’éditeur

Que se passe-t-il lorsque nous mourons ? Peut-on aider les âmes passées dans l'au-delà ? Quel est le sens de l'existence ? Rosemary Altea répond à toutes ces questions et à bien d'autres. Médium depuis son enfance, elle entend et voit les personnes défuntes. Plus qu'un récit de son itinéraire spirituel, Libre comme l'esprit relate les passionnants dialogues de l'auteur avec son guide spirituel. On y découvre un enseignement chaleureux et bienveillant sur les lois de l'univers, la vie après la mort, la réincarnation, l'avortement, la guérison spirituelle, etc. Une histoire pleine de sagesse et d'amour.

J’ai failli arrêter la lecture de ce livre dès les premières pages. Mais je me suis dit qu’il y aurait peut-être des choses à prendre alors j’ai persévéré. Finalement, il y a trop de choses qui me laisse perplexe.

Tout d’abord, Rosemary Altea croit en Dieu, le répète sous une forme ou sous une autre quasiment toutes les pages, pense même avoir eu une apparition de Jésus-Christ et se prend limite pour Moïse. Ensuite, elle a un guide spirituel (ou un ange gardien), Aigle gris, avec lequel elle converse régulièrement. Elle voit et discute avec des esprits. Et enfin elle est guérisseuse, elle pratique la guérison (du corps ? de l'âme ? je n'ai pas bien compris) par l'apposition de ses mains.

Cela fait beaucoup pour une seule et même personne.

Autant je peux imaginer que certaines personnes ont un don pour communiquer avec l’au-delà, autant la façon d’en parler de Rosemary Altea m’a un peu dérangée. Elle considère que la vérité est sa vérité, même si elle nous dit le contraire.

Extrait :

« Lorsque l’enveloppe charnelle meurt, nous nous entendons déclarer : « il est mort, il n’existait pas de remède. ». Mais la mort n’est-elle pas une guérison ? Car l’âme n’est-elle pas alors libérée, capable de continuer à se développer… à vivre… à sentir… à exister ? Par conséquent, je vous le dis sincèrement du fond du cœur, la guérison que vous cherchez n’est peut-être pas celle que Dieu considère comme la meilleure pour l’âme… peut-être pas celle que l’âme considère la meilleure pour l’âme. Et nous admettons qu’avec votre vision limitée vous n’avez peut-être qu’un aperçu de la vérité de mes propos. »

Je classe ce livre en 636ème position et lui donne un « moins ».

19 octobre 2021

Les pétales de sang

Présentation de l’éditeur

Tami pensait avoir une famille parfaite. Jusqu'à ce soir tragique où la jeune femme, impuissante, voit son mari Scott se faire menotter sous les yeux de leurs deux fillettes terrifiées. Le choc est total : Scott est accusé d'un acte odieux, impensable. Et c'est sa meilleure amie Mirabelle qui a porté plainte. Qui croire ? L'homme qu'elle aime depuis toujours, le père de ses enfants ? Ou celle en qui elle plaçait une confiance aveugle, sa presque soeur ? Alors que Scott nie tout en bloc et que Mirabelle fuit les explications, Tami enquête. Et bientôt, le passé trouble de Mirabelle se dévoile… Mais aussi les nombreux secrets que Scott dissimule depuis tant d'années.

Alors je trouve qu’au début, ce livre, décrit comme un thriller psychologique, de Dorothy Koomson, est un peu long à démarrer (c'est peut-être pour cela qu'il fait 715 pages ?). On passe à chaque chapitre sur un personnage différent qui raconte son point de vue de l’histoire. J’ai trouvé qu’il y avait des longueurs et qu’il ne se passait pas grand-chose. Au milieu, j’ai commencé à aimer le personnage principal et avoir envie de connaître le dénouement en imaginant toute sorte de possibilités. A la fin, j’ai été déçue. On ne pouvait pas trouver la solution par nous-même. L’explication est par trop rapide et reste un peu confuse.

Je classe ce livre en 204ème position et lui donne 2 étoiles.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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