Soixante secondes de bonheur
Quatrième de couverture :
Elena a tout sacrifié pour devenir tradeuse. À la suite de son divorce, son fils, Maxime, ne lui a jamais pardonné d'avoir déménagé à Londres. En choisissant de le rejoindre dans les Landes pour les fêtes, elle espère sauver ce qui peut l'être encore...Bûcheron, Sébastien vit seul avec sa fille Océane au milieu des pins et des souvenirs. Il a tellement cherché à la protéger qu'il ne l'a pas vue grandir. Et, à force d'être couvée, la voilà qui s'éloigne...Nous sommes le 27 décembre 1999, la tempête du siècle se dirige tout droit vers le massif landais. Au milieu du chaos, leurs vies vont être bouleversées. Et si d'un drame pouvait surgir l'espérance ?
Bof, bof. J’aurais dû regarder mon classement avant d’acheter ce livre de Bruno Combes car j’ai déjà lu deux livres de cet auteur : « Le secret de la Montagne noire » classé en 588ème position avec une étoile et « je ne cours plus qu’après mes rêves » classé en 668ème position sans étoile et ce n’était donc pas très convaincant.
Pour « le secret de la montagne noire », j’avais donné ce commentaire : « J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes un peu maladroit. L’histoire est gentillette et les dialogues sont parfois peu crédibles ». Et bien je pourrais dire exactement la même chose pour ce livre.
Et pour « je ne cours plus qu’après mes rêves », j’avais écrit : « J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes gentillet. On comprend le message, croire en ses rêves, oser s'affirmer et changer de vie si celle-ci ne nous rend pas vraiment heureux. On se doute un peu de ce qui va se passer, il n’y a pas vraiment de surprises dans ce roman. » Et bien, même chose pour celui-ci.
Je classe ce livre en 597ème position et lui donne une étoile. Une étoile parce qu’on parle de la tempête de 1999 et également de la maladie qu’est l’épilepsie et c’est assez rare pour être signalé.