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Le petit monde de So et de Fi
26 janvier 2024

Soixante secondes de bonheur

Quatrième de couverture :

Elena a tout sacrifié pour devenir tradeuse. À la suite de son divorce, son fils, Maxime, ne lui a jamais pardonné d'avoir déménagé à Londres. En choisissant de le rejoindre dans les Landes pour les fêtes, elle espère sauver ce qui peut l'être encore...Bûcheron, Sébastien vit seul avec sa fille Océane au milieu des pins et des souvenirs. Il a tellement cherché à la protéger qu'il ne l'a pas vue grandir. Et, à force d'être couvée, la voilà qui s'éloigne...Nous sommes le 27 décembre 1999, la tempête du siècle se dirige tout droit vers le massif landais. Au milieu du chaos, leurs vies vont être bouleversées. Et si d'un drame pouvait surgir l'espérance ?

Bof, bof. J’aurais dû regarder mon classement avant d’acheter ce livre de Bruno Combes car j’ai déjà lu deux livres de cet auteur : « Le secret de la Montagne noire » classé en 588ème position avec une étoile et « je ne cours plus qu’après mes rêves » classé en 668ème position sans étoile et ce n’était donc pas très convaincant.

Pour « le secret de la montagne noire », j’avais donné ce commentaire : « J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes un peu maladroit. L’histoire est gentillette et les dialogues sont parfois peu crédibles ». Et bien je pourrais dire exactement la même chose pour ce livre.

Et pour « je ne cours plus qu’après mes rêves », j’avais écrit : « J’ai trouvé ce livre de Bruno Combes gentillet. On comprend le message, croire en ses rêves, oser s'affirmer et changer de vie si celle-ci ne nous rend pas vraiment heureux. On se doute un peu de ce qui va se passer, il n’y a pas vraiment de surprises dans ce roman. » Et bien, même chose pour celui-ci.

Je classe ce livre en 597ème position et lui donne une étoile. Une étoile parce qu’on parle de la tempête de 1999 et également de la maladie qu’est l’épilepsie et c’est assez rare pour être signalé.

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21 janvier 2024

Ne t'arrête pas de courir

Présentation de l’éditeur :

"Je voulais qu'il change. Qu'il s'en sorte. Qu'il arrête de voler et qu'il devienne champion olympique. Je rêvais. Je refusais de voir une réalité que pourtant il ne me cachait pas. " De chaque côté du parloir de la prison, deux hommes se dévoilent. L'un, Mathieu Palain, est devenu journaliste et écrivain alors qu'il se rêvait footballeur. L'autre, Toumany Coulibaly, cinquième d'une famille de dix-huit enfants, est un athlète hors normes et un braqueur de pharmacies. Champion le jour, voyou la nuit : il y a une " énigme Coulibaly " que Mathieu Palain tente d'éclaircir autant qu'il s'interroge sur lui-même. " L'enfermement, l'amitié et la délinquance, pourquoi certains s'en sortent et d'autres pas. J'ai longtemps tourné autour de ces obsessions. Et puis j'ai rencontré Toumany. "

Alors que ce livre de Mathieu Palain a reçu plusieurs prix littéraires, j’ai envie de dire « tout ça pour ça ? ». D’accord, il raconte l’histoire vraie d’un athlète cambrioleur mais j’ai eu l’impression que l’histoire se répétait à l’infini. Quant à savoir s’il y avait quelque chose à comprendre dans le choix de l’auteur, journaliste et enquêteur principalement dans l’univers carcéral, et ce choix, probablement lié au fait qu'une de ses connaissances, Lorentxa Beyrie, incarcérée parce qu’accusée d’appartenir à l’ETA, je suis sûrement passée à côté aussi.

Je classe ce livre en 644ème position et ne lui donne pas d’étoile.

12 janvier 2024

Les grandes oubliées

Présentation de l’éditeur

De tout temps, les femmes ont agi. Elles ont régné, écrit, milité, créé, combattu, crié parfois. Et pourtant elles sont pour la plupart absentes des manuels d'histoire. " C'est maintenant, à l'âge adulte, que je réalise la tromperie dont j'ai été victime sur les bancs de l'école. La relégation de mes ancêtres femmes me met en colère. Elles méritent mieux. Notre histoire commune est beaucoup plus vaste que celle que l'on nous a apprise. " Pourquoi ce grand oubli ? De l'âge des cavernes jusqu'à nos jours, Titiou Lecoq s'appuie sur les découvertes les plus récentes pour analyser les mécanismes de cette vision biaisée de l'Histoire. Elle redonne vie à des visages effacés, raconte ces invisibles, si nombreuses, qui ont modifié le monde. Pédagogue, mordante, irrésistible, avec elle tout s'éclaire. Les femmes ne se sont jamais tues. Ce livre leur redonne leurs voix. " Femme libre et engagée, esprit avide et curieux, écrivaine confirmée, Titiou Lecoq livre un grand récit, passionnant et vrai. " Michelle Perrot

Alors franchement bravo ! Ce livre de Titiou Lecoq est édifiant ! Elle revisite l’histoire depuis le temps des cavernes, en passant par l’Antiquité, le Moyen-âge, la renaissance, le siècle des lumières, la Révolution, le XIXè et le XXè siècles en détaillant ce que les femmes y ont fait, écrit, milité. On s’aperçoit que les périodes dites civilisées ne sont pas celles qui laissent plus de place aux femmes. C’est incroyable comme la domination masculine apparaît comme « normale » du fait de ce qui viendrait de l’instinct naturel alors qu’en fait, pas du tout. Toutes les femmes devraient lire cet ouvrage documenté, le tout avec beaucoup d’humour. Il est très abordable. Par moment, j’ai trouvé « l’autrice » un peu trop militante mais je comprends mieux le pourquoi après toutes ses luttes acharnées pour faire reconnaître nos droits et tout simplement l’égalité avec les hommes. A lire absolument !

Quelques extraits :

« Parce que pour les grecs, y compris les médecins, une femme, c’était avant tout un homme raté. On pensait que la naissance d’une femme était liée à un problème de température (ou parfois de sperme de mauvaise qualité). A la bonne température, vous obteniez un beau gâteau, sec et chaud, un homme. A la mauvaise température (pas assez chaud), vous obteniez un gâteau humide et mou, un gâteau raté, une femme. A l’époque, et pendant très longtemps comme on le verra, on imaginait qu’hommes et femmes venaient du même moule. Par exemple, le clitoris était un zizi mal formé. Les ovaires étaient des testicules qui n’étaient pas bien descendus. Une femme, c’était une suite de dysfonctionnements. Et la perfection ne pouvait donc être que masculine. »

« Dans le rapport au corps, les femmes ont un seul rôle à jouer : celui de malade. On assiste à une médicalisation de la féminité. C’est toute la vie corporelle des femmes qui est envisagée comme une suite de maladies et de déséquilibres : la grossesse, les règles, la ménopose. La femme est maladie. »

« Quand j’ai travaillé sur le sujet des tâches ménagères, j’ai découvert qu’on ne faisait que répéter ce que ces femmes avaient déjà écrit justement dans « le torchon brûle ». La charge mentale, l’épuisement des femmes, le ras-le-bol de tenir la maison, la solitude. Dès 1970, beaucoup était déjà dit et analysé. Mais chaque génération de féministes semble condamnée à la répétition, à cause de l’effacement, de l’oubli du travail de celles qui l’ont précédée.

Je classe ce livre en 35ème position et lui donne 3 étoiles.

 

4 janvier 2024

La ferme du bout du monde

Présentation de l’éditeur :

Cornouailles, une ferme isolée au sommet d’une falaise. Battus par les vents de la lande et les embruns, ses murs abritent depuis trois générations une famille… et ses secrets. 1939. Will et Alice trouvent refuge auprès de Maggie, la fille du fermier. Ils vivent une enfance protégée des ravages de la guerre. Jusqu’à cet été 1943 qui bouleverse leur destin. Été 2014. La jeune Lucy, trompée par son mari, rejoint la ferme de sa grand-mère Maggie. Mais rien ne l’a préparée à ce qu’elle y découvrira. Deux étés, séparés par un drame inavouable. Peut-on tout réparer soixante-dix ans plus tard ? Destinées prises dans les tourments de la Seconde Guerre mondiale, enfant disparu, paysages envoûtants de la Cornouailles.

J’ai bien aimé ce livre de Sarah Vaughan même si les évènements sont un peu trop prévisibles. La description de la ferme isolée dans le Cornouailles au bord de la falaise en plein vent donne envie de la découvrir, nous (petit mari et moi), qui adorons les coins isolés… L’histoire de Maggie et de sa famille est faite de joies et de peines, de secrets aussi. Les chapitres alternent entre la vie de Maggie et celle de sa petite-fille Lucy.

Je classe ce livre en 216ème position et lui donne 2 étoiles.

29 décembre 2023

Une belle vie

Présentation de l’éditeur :

Après cinq ans d'un silence inexpliqué, Emma donne rendez-vous à Agathe sa sœur dans la maison de vacances : Mima, leur grand-mère adorée, n'est plus, il faut vider les lieux et faire le tri dans les souvenirs. Les sœurs Delorme ont une semaine pour tout se dire et rattraper le manque de l'autre. Parviendront-elles à réparer le passé ? Entre rires et larmes, un roman bouleversant et irrésistible.

Ce livre m'a été acheté par Antoine pour Noël.

Bon alors, les sœurs Delorme, elles cumulent les difficultés. Elles perdent leur papa très jeunes, puis la maman qui les élève seule, est alcoolique et les bat. Et ça, ce n’est que le début… Il y a de jolies choses dans ce livre de Virginie Grimaldi, surtout les souvenirs partagés à deux et avec leurs grands-parents. Il y a des dialogues assez drôles et des passages tristes aussi.

J’ai déjà lu 3 livres de cette auteure : « Tu comprendras quand tu seras plus grande » classé en 259ème position avec 2 étoiles, « le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie » classé en 285ème position avec 2 étoiles et « Il est grand temps de rallumer les étoiles » classé en 331ème position avec 2 étoiles.

Je classe ce livre en 185ème position et lui donne 2 étoiles.

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26 décembre 2023

Le craquant de la nougatine

Présentation de l’éditeur :

" Voilà, je me présente : Romain Piveteau, 42 ans, Niçois d'origine qui-a-gardé-des-O-un-peu-ouverts, restaurateur sympa, père solo qui-fait-ce-qu'il-peut, ex drôle. Ça tient en peu de mots. Il n'y a pas de quoi charmer une comédienne aux allures de déesse romaine. Quand j'y pense... Alba, déesse romaine... ça aurait pu être un signe pour un Romain comme moi... Il paraît que les couples se fondent toujours sur une espèce de légende originelle... "Le cœur a ses raisons qu'on aimerait parfois ignorer. " Dans un bus, Romain rencontre Alba. Transporté par le charme éclatant de cette inconnue, il ne résiste pas à l'irrépressible envie de la revoir. Mais osera-t-il faire le premier pas ? Et surtout : a-t-il seulement droit à cette histoire ?

C’est une jolie histoire qui pose certaines questions face à une situation difficile. J’ai bien aimé ce roman à deux voix. On s’attache aux personnages et l’on comprend vite que tout n’est pas dit, que la rencontre et le début de l’histoire qui en découle part sur des bases inégales. J'ai bien aimé également la description du milieu professionnel dans lequel évolue Alba. Elle fait des voix pour des publicité, des dessins animés, des films ou des séries en plus de faire du théâtre.

J’ai déjà lu 5 livres de Laure Manel : « la délicatesse du homard » classé en 46ème position avec 3 étoiles, « la mélancolie du kangourou » classé en 380ème position avec 1 étoile, « les dominos de la vie » classé en 538ème position avec 1 étoiles, « l’embarras du choix » classé en 594ème position avec 1 étoile et « le sourire des fées » classé en 610ème position avec une étoile.

Je classe ce livre en 194ème position et lui donne 2 étoiles.

25 décembre 2023

Class book nouvelle version modifiée

Dans un billet du 18/06/23, j'ai parlé d'une application que je trouvais super pour répertorier mes lectures. Il s'agit de ClassBook.

Ensuite, dans un billet du 03/12/23, je tempérais mon enthousiasme parce qu'ils proposaient une nouvelle version que je trouvais moins agréable et surtout moins facile d'utilisation. 

Je reviens ici car ils ont appliqué des changements à la nouvelle version qui me réconcilient avec celle-ci :

- Je trouvais que l'apparence était moins sympathique, je m'y suis habituée,

- il y avait des icônes dont je ne comprenais pas l'utilité car ils ne sont pas explicites, à tel point que je n'osais plus cliquer sur certains, pour le coup, c'est toujours vrai.

- par contre, je n'arrivais plus à voir le nombre d'étoiles attribué à mes lectures quand la bibliothèque est affichée en liste, cela a été rajouté 👍

- je n'avais plus les statistiques sur l'ensemble des années précédentes, je ne trouvais plus que sur les 12 derniers mois, cela a été modifié on peut à nouveau voir les années précédentes 👍👍

- il était plus difficile de retrouver un livre, avant il fallait juste choisir en haut de l'appli auteur, titre, classement, ... et mettre le nom d'auteur, un mot du titre. Maintenant, il faut trier, choisir la loupe, puis dans une liste choisir titre, auteur, ... et de nouveau dans un deuxième champ choisir titre ou auteur (pourquoi deux fois ?). Cela a été modifié. On a retrouvé la possibilité de mettre tout en haut un mot ou un nom d'auteur pour retrouver facilement un livre 👍👍👍

Je voulais faire ce billet car c'est facile de critiquer, mais il faut aussi reconnaître quand il y a des améliorations et c'est le cas pour Classbook. Je pense qu'ils ont tenu compte des retours utilisateurs. Je la re-aime à nouveau !

21 décembre 2023

Au pays de vermeilles

Présentation de l'éditeur :

L'entrée dans la grand-maternité, encore une métamorphose dans une vie de femme. Mais quelle est donc la relation d'amour si particulière qui unit une grand-mère et l'enfant de l'enfant ? Un récit sur le temps et la transmission. Une manière surtout de retrouver le jardin perdu de sa propre enfance, les souvenirs d'avant les souvenirs. Une traversée du miroir à la manière d'une certaine Alice.

J’avais lu « la dernière leçon » où l’auteure parlait du choix de sa mère de vouloir mourir. J’avais écrit le commentaire suivant : Je suis assez partagée sur ce livre de Noëlle Chatelet (j'avais adoré le précédent "la femme coquelicot" ! J'ai d'ailleurs acheté celui-ci sans avoir lu le précédent et sans faire attention qu'il s'agissait du même auteur...). Une part de moi ne comprend pas que l’on puisse décider de mourir à 92 ans parce que « fatiguée » et non pas souffrante ni malade. Une autre se dit que peut-être que je comprendrais si j’arrive à cet âge-là… L’auteure est la fille de cette dame qui programme la date de sa mort. Elle a 3 frères ou sœurs mais ils ne sont pas du tout présents dans le livre (!?) car il est question exclusivement de cette relation mère-fille très (trop ?) fusionnelle. On a le sentiment que le cordon n’a pas été coupé (même si je suis très proche de ma maman, j’ai du mal à comprendre cette dépendance si forte). Depuis l’enfance, elle a cette peur irraisonnée de perdre sa mère. C’est donc un cataclysme quand celle-ci lui annonce qu’elle veut mourir. Je trouve qu’il y a beaucoup de répétitions et d’atermoiements sur son propre sort : elle va devenir orpheline à 59 ans ! Qui va la protéger ? Je suis donc un peu déçue de ce livre. J’attendais moi aussi de recevoir cette « dernière leçon ».

Cette fois, dans « au pays des vermeilles » elle parle de sa petite-fille et du rapport qu’elles nouent peu à peu. (Si elle manque de sujet, elle pourrait parler du père, du fils ou de la nièce dans le prochain livre). Elle reparle parfois d’ailleurs de sa mère dans ce livre aussi.

Alors que dire ? Bien sûr, il y a de jolies choses. Comment choisir le nom par lequel être appelé par ses petits-enfants ? L’apprentissage des gestes et la peur de ne pas être reconnue à la prochaine rencontre. Le décryptage des mots et les premières expériences.

Mais bon, je me suis surtout ennuyée.

Je classe ce livre en 616ème position et ne lui mets pas d’étoile (j’avais donné une étoile à « la dernière leçon »).

19 décembre 2023

Le vol des cigognes

Un ornithologue suisse est trouvé mort d’une crise cardiaque… dans un nid de cigognes. Louis, l’étudiant qu’il venait d’engager, décide d’assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu’en Afrique, afin de découvrir pourquoi nombre d’entre elles ont disparu la saison précédente… Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoires occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d’énigme en énigme et d’horreur en horreur : observateurs d’oiseaux massacrés, cadavres d’enfants mutilés dans un laboratoire… Les souvenirs confus de son propre passé –ses mains portent des cicatrices de brûlures depuis un mystérieux accident– se mêlent bientôt à l’enquête…

J’ai bien aimé ce livre de Jean-Christophe Grangé. J’ai quand même dû noter le nom des différents personnages et des pays pour pouvoir suivre et comprendre le périple du héros. Il y a des petites choses qui paraissent quand même peu vraisemblables et j’ai vu arrivé la fin « gros comme une maison »… J’ai sauté quelques passages, un peu trop « hard » pour mon petit cœur. Je le mets quand même dans le haut du classement car il y a de bonnes trouvailles.

Je classe ce livre en 132ème position et lui donne 3 étoiles.

14 décembre 2023

L'orpheline des neiges

Présentation de l’éditeur :

Janvier 1916. Dans le village de Val-Jalbert sur les bords du lac Saint-Jean au cœur de la forêt québécoise, une religieuse découvre un bébé abandonné dans un ballot de fourrures, sur le perron enneigé du couvent-école. D'où vient ce poupon aux yeux si bleus, qui porte le nom de Marie-Hermine, comme en témoigne une courte lettre cachée dans ses vêtements ? L'enfant sera élevée et instruite par les sœurs du Bon-Conseil et souvent confiée à une jeune mère des environs, Élisabeth Marois. Dotée d'une voix exceptionnelle, au fil des années, l'orpheline gagnera le surnom de « rossignol des neiges »... Marie-Bernadette Dupuy nous offre ici une très belle histoire d'amour documentée et puissante, empreinte du souffle glacé des longs hivers québécois, qui se déroule dans une région où rien ne doit mourir, rien ne doit changer...

J’avais beaucoup aimé les 3 tomes relatant l’histoire d’Angelina (« Angélina, les mains de la vie » classé en 93ème position avec 3 étoiles, « le temps des délivrances » classé en 94ème position avec 3 étoiles et « la force de l’aurore » classé en 95ème position avec 3 étoiles) de la même auteure, Marie-Bernadette Dupuy.

Ici, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de longueurs (et le livre fait 688 pages…), j'ai mis 11 jours pour en venir à bout. Cela s’emballe un peu à la moitié du livre. Pour la féministe que je suis, la place de la femme laisse à désirer dans ce Canada des années 1915 à 1932.

Je classe ce livre en 476ème position et lui donne une étoiles.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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