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Le petit monde de So et de Fi
8 juin 2015

La nonne et le brigand

Présentation de l’éditeur

Comment une femme accomplie, épouse, mère, libertine et une nonne peuvent-elles se comprendre et se faire écho ? Peut-on se renier par amour ? Ou retrouver espoir dans le corps de l’autre ? Deux histoires de femmes qui s’abîment et se perdent dans leur passion. Chacune avance à rebours de l'autre, équilibristes fragiles mais déterminées. Sensibles, elles sont traversées par toutes les nuances du sentiment amoureux. Malmenées, adorées, les amantes vont déconstruire leur monde et renaître. Aux monologues de Lysange répond la lecture du cahier de soeur Madeleine ; les deux aventures tissent peu à peu une intrigue familiale qui prend ses racines au Brésil et emmène le récit à Paris puis au Cap Ferret où le mystérieux Tomas invite Lysange à venir résider dans sa cabane. Arrivées au bout d’elles-mêmes, ces deux femmes tenteront d’aimer totalement, malgré la souffrance de Pierre, en dépit de la sauvagerie d'Angel.

Que dire à part que je me suis ennuyée à lire ce livre de Frédérique Deghelt. J’avais pourtant un a priori positif puisque j’avais lu « la vie d’une autre » et que j’avais adoré (classé en 30ème position).

Ici, il y a deux histoires en parallèle (sachant que la nonne tarde à apparaître -vers la 90ème page d'un livre qui en contient 330-). Autant l’histoire de la nonne est intéressante, autant celle de Lysange est dépourvue d’intérêt. Cette dernière rencontre un homme dont elle tombe follement amoureuse mais il a parfois des « crises » où il lui reproche des choses injustifiées (mais en fait c’est parce qu’il souffre et se refuse à aimer alors elle peut l’excuser et le comprendre !!) mais elle continue de vouloir poursuivre leur aventure. Contrairement à ce que propose l’éditeur, je ne vois pas de similitude entre les deux femmes car pour moi, l’une décide et l’autre subit. Quant au lien entre les deux femmes, on le subodore très rapidement…

La façon de Lysange de parler de son amour (ou de son amant) en de longs monologues est agaçante, voire soporifique, à coup de grandes phrases qui tombent à plat (enfin pour moi !).

Le pire, je crois, ce sont les dialogues, présentés comme de la prose sans tiret ni retour à la ligne. Il y a des moments où l’on ne sait même plus qui parle !

Bref, je n’ai pas aimé.

Je classe ce livre en 240ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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3 juin 2015

L'empreinte de toute chose

Quatrième de couverture

Alma Whittaker naît avec le XIXe siècle, à Philadelphie, d’un père anglais dont le talent de botaniste et la roublardise lui ont permis de faire fortune dans le commerce du quinquina et d’une mère qui tient de sa famille de l’Hortus Botanicus d’Amsterdam une formidable érudition ainsi qu’une rigueur toute hollandaise. À leurs côtés et au contact des éminents chercheurs qui gravitent autour d’eux, Alma acquiert une intelligence éclectique et la passion de la botanique. En grandissant, elle se passionne pour les mousses puis pour Ambrose Pike, illustrateur de génie. Comme elle, il cherche à percer les secrets de l’univers mais, à la logique scientifique d’Alma, il préfère une pensée ésotérique ; un fossé qui les éloignera inexorablement et poussera enfin Alma à partir à la découverte du vaste monde. Alors que les terra incognita s’amenuisent de jour en jour, Alma explore les continents, la nature, la société dans laquelle elle vit et son propre corps – de l’infiniment grand à l’infiniment petit.

Des bas-fonds de Londres en passant par Philadelphie, Tahiti ou les cimes des Andes, Elizabeth Gilbert nous raconte le siècle kaléidoscopique qui voit jaillir l’esprit des Lumières. Sa plume est vive, insolente, savante et non dénuée de romantisme : à l’image de son héroïne.

Il y a vraiment beaucoup de choses dans ce livre d’Elisabeth Gilbert et c’est difficile de résumer ses impressions. L’héroïne a une soif perpétuelle d’apprendre et nous entraîne avec elle dans ses recherches tout en restant abordable et non rébarbative. Les personnages sont particulièrement bien décrits et la fiction rejoint la réalité, ce qui en fait quasiment un roman historique. Le livre fait 800 pages mais je ne me suis jamais ennuyée même si j’ai mis 11 jours à le lire.

Petit extrait (pages 204 et 205) :

Retta : "- et de quoi Alma et M. George Hawkes discutent-ils aujourd'hui ?

- des écornifles, répondit Alma

- Oh cela a l'air horrible. Sont-ce des animaux, Alma ?

- Non, ce n'en sont pas, ma chérie, répondit-elle. Ce sont des plantes.

- Peut-on les manger ?

- Seulement si l'on est un cerf, dit Alma en riant. Et un cerf affamé, qui plus est.

- Comme ce doit être délicieux d'être un cerf, dit pensivement Retta. A moins d'être un cerf sous la pluie, ce qui doit être désagréable et malheureux. Parlez-moi de ces cornifles, M. Georges Hawkes. Mais parlez-m'en de façon à ce qu'une petite personne à la tête vide comme moi puisse comprendre. (...)

- Et bien miss Snow, commença-t-il gauchement. Elles font partie des plantes les moins évoluées...

- Mais que voilà une remarque bien méchante, monsieur !

- ... et elle sont autotrophes.

- Comme leurs parents doivent-être fiers d'elles !

- Eh bien... euh... bafouilla George qui ne savait plus quoi dire.

Alma vint à son secours.

- Autotrophe, Retta, cela signifie qu'elles sont capables de fabriquer leurs propres aliments.

- Je ne pourrais jamais être une cornifle, je suppose, soupira tristement Retta".

Je classe ce livre en 167ème position et lui donne une étoile.

23 mai 2015

Le souffle de l'aurore

Présentation de l’éditeur

Ariège, 1882. Angélina et son mari Luigi reviennent à Saint- Lizier après un pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle. La jeune femme, enceinte de quatre mois, a hâte de retrouver son dispensaire et d’exercer à nouveau son métier de sage-femme. Elle ne mesure pas la haine aveugle que lui voue l’épouse de son ancien amant, Guilhem Lesage, qui ne s’est jamais véritablement dépris d’elle. Découvrant par hasard qu’Angélina a pratiqué un avortement sur sa servante Rosette, elle dénonce les deux jeunes femmes à un juge dont elle est la maîtresse. Angélina et Rosette sont arrêtées et emprisonnées sous la menace de la pire des sanctions : l’envoi au bagne…

J’ai adoré ce tome 3 « le souffle de l’aurore » comme j’ai adoré les 2 premiers tomes de la saga de Marie-Bernadette Dupuy. J’ai apprécié la justesse des personnages et la fidèle reconstitution des mentalités de l’époque sur des sujets aussi sensible que le viol, l’inceste, l’avortement et la situation de la femme lorsqu’elle subit ces actes (la virginité avant le mariage étant requise pour les jeunes filles, certaines attentent à leur jour ou cachent leur grossesse à leur famille pour éviter le déshonneur). La position, la fermeté et le poids de l’église est également bien décrite.

Je classe ce livre en 35ème (juste derrière les 2 précédents tomes) et lui donne 3 étoiles.

19 mai 2015

Le temps des délivrances, Angélina

Après des études à Toulouse, Angélina, la fille d’un cordonnier, s’est installée en tant que sage-femme dans la maison familiale, à Saint-Lizier, dans l’Ariège. L’exercice de son métier est difficile dans les campagnes en cette fin de XIXe siècle. Accaparée par son travail, elle peut compter sur sa protectrice, Gersande de Besnac, pour s’occuper de son fils Henri qu’elle élève seule. Grâce à ses compétences et à sa disponibilité, sa réputation ne cesse de grandir. Son bonheur serait complet si elle ne désespérait de revoir un jour Luigi, un bohémien dont elle s’est éprise et qui s’est réfugié en Espagne pour fuir de fausses accusations de meurtre. Au lieu du ténébreux gitan, dont la naissance s’entoure de mystère, c’est Guilhem, le premier amour d’Angélina et le père d’Henri, qui revient au pays. Il est accompagné de son épouse légitime, mais semble n’avoir rien oublié de ses sentiments pour la sage-femme…

J’ai adoré retrouver les personnages du tome 1 « Angélina, les mains de la vie » dans le tome 2 « le temps des délivrances, Angélina » de Marie-Bernadette Dupuy. Angélina est toujours aussi investie dans son travail de sage-femme et prend en maturité et en assurance. On a plaisir à suivre les aventures de Rosette, Luigi, Oncle Jean et tous les autres.

Je classe ce livre en 34ème position (juste après le tome 1) et lui donne 3 étoiles.

Je vais, de ce pas, télécharger le 3ème tome…

15 mai 2015

Angélina, les mains de la vie

Présentation de l’éditeur

1878, dans les Pyrénées. Angélina, la fille d’un cordonnier, n’a qu’une ambition depuis qu’elle est petite : devenir sage-femme comme sa mère, morte tragiquement. Abandonnée par son amant, la jeune fille se résigne à confier l’enfant qu’elle a eu de lui à une nourrice afin de pouvoir devenir élève sage-femme à l’hôtel-Dieu Saint-Jacques de Toulouse. Dans cet établissement réputé, elle rencontre un médecin obstétricien dont elle devient la fiancée. Mais sa belle-famille la regarde de haut et Angélina, malgré l’aisance matérielle dont elle jouit, comprend qu’elle n’est pas faite pour la vie mondaine. Elle décide de reprendre sa liberté et part s’installer dans sa région natale pour exercer enfin son métier…

Je n’avais encore jamais lu Marie-Bernadette Dupuy et je suis ravie de l’avoir découverte. L'écriture est très fluide et on rentre tout de suite dans l’histoire. Il arrive plein de choses à Angélina (807 pages tout de même !) et c’est très agréable de la suivre dans ses aventures. Les personnalités des personnages sont fines et bien décrites. Le métier de sage-femme est mis en relief et c’est l’occasion de découvrir les pratiques de l’époque (et les croyances !) qui évoluent, principalement les règles d’hygiène qui sauveront bien des nouveau-nés et leur mère (les sages-femmes remplacent peu à peu les matrones). En plus, et ce qui donne encore plus d’intérêt à ce livre, il y a des références historiques et relatives au terroir de l’Ariège. Région que nous avons visitée en 2011 et dont j’ai retrouvé avec plaisir l’histoire de certains lieux, comme le château Cathare de Montségur... La fin me laissait un peu sur ma faim mais je viens de découvrir qu’il y a un tome 2, puis 3, (voire 4 !)…

Je classe ce livre en 33ème position et lui donne 3 étoiles.

Je m’empresse de ce pas à télécharger le tome 2 sur ma liseuse… à suivre !

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9 mai 2015

La fourche à loup

Présentation de l’éditeur

Personne n'en est encore revenu. La petite Marie, neuf ans seulement, s'est battue avec un loup et a réussi à lui faire prendre la fuite ! À la ferme de la Colombière, la jeune bergère a ainsi gagné l'admiration de tous. Quel bouleversement pour cette fillette abandonnée là par son propre père. Un père trop lâche pour la protéger du mystère qui empoisonne leur famille... " Tu es gagée bergère dans une grosse métairie vers Vautebis : la Colombière. Le patron, Aimé Lhoumeau, a connu ton grand-père Jean Therville. C'est d'amitié et souvenir de lui qu'il te prend. Tu n'y seras pas malheureuse. - Mais, père, je ne veux pas vous quitter, je suis bien avec vous, je vous aime tant ! Et Louise, je ne veux pas non plus être loin d'elle ! - Va, ma pauvre enfant, je sais tout cela et tu peux croire que je t'aime aussi ! Tu es trop jeune pour que je t'explique mais regarde : est-ce que je peux accepter ? Elles te tueraient, un jour. "

6 jours pour lire ce bouquin de Michelle Clément-Mainard et j’avais l’impression que cela faisait 2 semaines… Des longueurs, des phrases alambiquées et en vieux français patoisant (un lexique à la fin du livre, pourquoi ne pas mettre la signification en bas de page, une fois sur deux je n’allais même plus voir !). Pourtant, je suis habituée aux romans français ou anglais du XIXè où les tournures de phrases ne me dérangent pas voire même que j'adore mais là, je ne sais pas, je n’ai pas accroché. Pourtant, il y a des personnages attachants et une histoire intéressante  mais beaucoup trop de détours pour y parvenir à mon goût.

Je le classe en 226ème position et ne lui donne pas d’étoile.

28 avril 2015

Mémoire d'une nuit d'orage

Présentation de l'editeur

 (...) un orage s'abat sur la petite ville de Rose, fougueux, dévastateur. Dans cette ambiance électrique, un drame va se nouer qui verra l'assassinat de Hugh-Jay Linder et la disparition de sa femme Laurie. seule survivante, leur fille Jody, trois ans. Pour le très soudé clan Linder, et pour toute la bourgade, le coupable ne fait aucun doute : Bill Crosby, mauvais garçon notoire. 23 ans plus tard, le meurtrier presumé sort de prison. Une libération anticipée due aux nombreuses failles du dossier. Pour Jody qui avait pris soin detenir son tragique passé à distance, c'est toute sa vie qui est de nouveau ébranlée. (...)

C'est un polar, et moi qui ne suis pas forcément une amatrice, j'ai trouvé que l'auteur Nancy Pickard, avait une grande facilité à nous embarquer dans son histoire. Elle a un style facile à lire, direct et agréable. Les personnages sont bien construits Et realistes. On aime à suivre le clan Linder dans ses aventures. L'intrigue et le suspense restent entiers jusqu'au bout.

Je classe ce livre en 52eme position et lui donne 3 étoiles.

21 avril 2015

Allons voir plus loin, veux-tu ?

Présentation de l’éditeur

Deux femmes, deux hommes qui n’ont aucun lien entre eux, sinon de brèves rencontres de hasard. Christine, la cinquantaine, s’est arrangée une vie aisée et tranquille. Dans sa maison du Berry, elle est tout à coup frappée au coeur par le néant de son existence. Paul est un paysan qui s’abrutit de travail, frémissant d’une sensibilité que lui-même ne comprend pas. Solange, une employée de la SNCF, va découvrir lors d’un voyage organisé une étrange clocharde qui la bouleversera. C’est aussi en voyage, en Hongrie, que Luc, conduit à une résignation désespérée par une femme destructrice, trouvera le courage de réagir. Leurs destins se croiseront alors que chacun croyait être arrivé au bout de sa route. Le bonheur viendra à eux, inattendu et pourtant inscrit dans leur histoire. On n’oublie plus les scènes émouvantes, cocasses, violentes, subtiles, au cours desquelles ces personnages singuliers se révèlent à eux mêmes et à nous.

C’est un livre magnifique. Les 4 personnalités sont finement décrites. Le style d’Annie Duperey est très beau, fluide et particulièrement agréable à lire. On a envie de connaître la suite mais on voudrait en même temps que cela ne s’arrête pas. De belles réflexions sur la vie, la mort, le hasard des rencontres, les coups durs et les joies intenses, tout y est !

Je classe ce livre en 20ème position et lui donne 3 étoiles.

Allons voir

19 avril 2015

La cité de la joie

Petit résumé de mon cru (pas de quatrième de couverture et pas de résumé intéressant sur internet) :

Parmi beaucoup de personnages dans ce livre, il y a Hasari Pal et sa famille qui vivent à Bankuli, à 400 km de Calcutta. Ils sont paysans mais petit à petit ils n’arrivent plus à subsister car les mauvaises saisons se succèdent et ils sont obligés peu à peu de vendre leurs terres. Il décide alors de partir avec femme et enfants à Calcutta pour trouver un travail et permettre à ce qui restent de recevoir leur aide. Ils vivront tout d’abord sur un bout de trottoir avant qu’il ne trouve un travail très physique de tireur de rickshaws qui leur permettra d’habiter dans un slum (bidonville au nom de « cité de la joie »). Paul Lambert est un prêtre français souhaitant vivre parmi les pauvres pour les aider. Il y découvrira beaucoup de souffrances : la malnutrition, la maladie (le choléra, le paludisme, la lèpre, la fièvre rouge, …), l’insalubrité (surtout en période de mousson), les rats et les cloportes... Un comité d’entraide se crée avec des hommes et des femmes qui vivent aussi dans le bidonville (Margareta –chrétienne-, Santa et Ashish –jeune ménage hindou-, Aristote John –Anglo-indien chrétien-, Salladin –ouvrier musulman- et Bandona –jeune assamaise-). Viendra en renfort pendant un an, Max Loeb, jeune interne en chirurgie américain, qui stoppe ses études momentanément. Paul et Max constateront que cette communauté très pauvre, composée de personnes de religions et de castes différentes, est animée d’un esprit de solidarité incroyable et ceux qui ont si peu partagent ce qu’ils ont avec les plus démunis qu’eux. Il leur faut faire face également à la mafia qui « protège » mais surtout rackette pour un bout d’abri, à une administration très lourde (récupérer un colis de médicaments nécessite parfois plusieurs jours), à une police habituée aux bakchiches et particulièrement soupçonneuse par rapport aux étrangers venus pour aider (ne sont-ils pas plutôt à la solde de la CIA ?) et aux trafics en tout genre (dons du sang contre argent, achat du squelette avant une mort proche, ...).

C’est un livre témoignage très fort sur la vie dans un bidonville de Calcutta où la souffrance est continuelle mais où la fraternité entre les hommes permet de garder l’espérance.

Comme je l’ai indiqué dans mon billet précédent, le livre et le film qui en a été tiré sont vraiment très différents. On retrouve certains personnages (et pas d’autres) et pas dans les mêmes circonstances. Paul Lambert n’est pas dans le film, par exemple, alors qu’il est le personnage central du livre (il est remplacé par une femme non religieuse qui s’occupe du dispensaire déjà crée dans le film à l’arrivée de Max).

J’avais adoré le film et même s’il est très différent, j’ai adoré le livre. Il faut le lire absolument !!!

Je le classe en 15ème position et lui donne 3 étoiles.

 

13 avril 2015

Catherine courage

Quatrième de couverture

Parce qu'un jour de printemps un enfant est mort dans ses bras, le destin de Catherine, la Fille de Maria Vandamme, a basculé : elle a décidé de devenir médecin. Mais dans le monde de 1891, un tel choix est folie pour une femme : toutes les portes, ou presque, sont closes. Catherine les ouvrira une à une, se lancera dans les aventures les plus risquées avec obstination, générosité et courage. Aimée et désirée d'abord par Paul, un jeune journaliste qui ne comprend guère son ambition, puis par Jérôme qui, lui, saura l'aider ; encouragée autant que détestée par son entourage, Catherine traverse, depuis le Nord jusqu'à Paris, les salons et les taudis, les salles de rédaction et celles des hôpitaux. Et trouve enfin le succès et l'amour. Autour d'elle, de superbes personnages, énigmatiques ou cocasses, puissants et misérables, animent cette vivante et brillante fresque de la France au tournant du siècle.

« Catherine Courage » de Jacques Duquesne est un livre comme je les aime. Il met en avant le tempérament et la volonté d’une femme qui ose se former à un métier jusqu’alors réservé aux hommes avec tous les obstacles que cela comporte alors en 1891. La fin est un peu abrupte et j’aurais aimé suivre Catherine plus longtemps dans ses aventures.

Je classe ce livre en 95ème position et lui donne 2 étoiles.

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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