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Le petit monde de So et de Fi

1 juin 2020

Balade dans la "vallée" de l'Ecaillon

Hier, nous sommes partis faire une balaide en vélo (annoncé 30,4 km).

Voici la carte :

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JP avait le téléphone sur son vélo pour tenter de suivre le parcours sur Wikiloc (j'ai bien dit tenter car à chaque carrefour quand on ne prenait pas la bonne route, il fallait revenir en arrière...).

A la décharge de JP, le support du téléphone n'arrêtait pas de se retourner, il avait le sac à dos qui le déséquilibrait (il est même tombé dans un champ, sans gravité heureusement !) et le téléphone était relié à un câble pour qu'il reste chargé, ledit câble relié au sac à dos.

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C'était une belle balaide, la plupart du temps dans des chemins de terre ou sur les pavés.

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On n'a pas vu grand monde (si deux poulains, des vaches et un renard).

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On a pique-niqué près du Menhir (autre balaide que l'on avait fait à pied).

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Au final, on a fait plutôt 35 kilomètres mais c'était vraiment bien.

A refaire !

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28 mai 2020

Rive-Reine

Présentation de l’éditeur :

Dans Rive-Reine, l'Helvétie d'après 1815, indépendante et neutre, devient terre d'asile des patriotes européens. Genève et Lausanne sont d'importants carrefours intellectuels. La Confédération entre dans l'ère moderne : premiers bateaux à vapeur, naissance de l'industrie alimentaire, amélioration du réseau routier, mécanisation de l'horlogerie, essor des banques, urbanisation, développement du tourisme. Ces années ne sont pas exemptes de conflits internes, politiques ou religieux. Sous le signe du progrès, hommes et femmes s'aiment, se fuient, se poursuivent avec passion, dans de nouveaux épisodes de la tendre guerre des sexes. Les lecteurs de Rive-Reine retrouveront Blaise de Fontsalte, fidèle à la dame de Belle Ombre ; Axel, partagé entre deux pères, dilettante aventureux, voyageur romantique, mais Vaudois fidèle à son lac et à ses vignes ; Chantenoz, philosophe-poète; Guillaume, prototype des Suisses qui firent fortune en Amérique; Flora, l'Italienne. Ils découvriront de nouveaux acteurs de l'humaine romance : un banquier genevois et sa famille, une ardente Tsigane, pasionaria présente dans toutes les révoltes. La Suisse apparaît alors, en dépit des risques de désunion, comme le modèle d'une confédération continentale possible. Un exemple à retenir, pour notre Europe livrée à de sanglants conflits.

J’ai beaucoup aimé suivre les aventures d’Axel Métaz. Le problème c’est qu’elles sont noyées parmi les références historiques intéressantes mais par trop nombreuses et font parfois ressembler ce livre à un livre d’histoire plutôt qu’à un roman. Il y a trop de dates, trop de personnages et de faits historiques, d’hommes politiques, trop de peintres, d’écrivains ou d’artistes cités pour qu’on puisse en retenir un minimum. Trop d’histoire tue l’histoire.

Un court extrait (page 742) :

"- contrairement à ce que croient les gens simples, les souvenirs ne comblent pas le vide créé par la disparition d'un être cher. Ils le creusent, car chaque réminiscence d'un passé commun rend plus évidente l'absence de l'autre, dit seulement le professeur, pour marquer sa compréhension."

Je classe ce livre de Maurice Denuzière en 320ème position et lui donne une étoile.

23 mai 2020

Balade au Bois Lévêque

Aujourd'hui, nous avons fait une balaide que nous n'avions encore jamais faite à 40 minutes de la maison.

C'est le sentier de Bois l'Evêque :

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Le chien était ravi (il préfère la marche que le jogging !) :

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Arrivée à la Chapelle Notre Dame de Bonsecours où on a pique-niqué sur un banc :

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Juste à côté il y avait la fontaire de l'Hermitage :

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On a continué par la route forestière du Flaquet Brifaux pour faire le tour de l'étang du Flaquet (où il y avait quelques pêcheurs) :

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Retour par la laie verte :

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et en fin de parcours on a longé le canal de la Sambre à l'Oise :

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Au final, on a fait 11 kilomètres 500 (annoncé au départ 10 kilomètres) en 2 h 30 (sans compter la pause déjeuner).

C'était une jolie balaide où on n'a entendu que le chant des oiseaux et le vent dans les arbres (ah et puis une moto tonitruante mais sinon c'était vraiment zen !).

A refaire !

19 mai 2020

Je me libère du sucre

Quatrième de couverture

Nous consommons trop de sucre, parfois sans même nous en apercevoir. De nombreuses études pointent du doigt cet ingrédient comme étant responsable de la fatigue métabolique, de la recrudescence des maladies chroniques et de l'obésité. Marion Thelliez, naturopathe, nous aide à débusquer les sucres cachés et à changer durablement nos habitudes alimentaires.

  • Distinguez les familles de sucres.
  • Choisissez votre cure détox en fonction de votre profil.
  • Adoptez le programme en 8 semaines "J'arrête le sucre !".
  • Concoctez des recettes 0% sucre, mais 100% plaisir !

Grâce à cet ouvrage, vous redevenez acteur de votre santé.

Vous libérer du sucre devient une réalité et votre corps vous dit merci !

J’avais lu, il y a quelque temps, « J’arrête le sucre » de Valérie Espinasse et je l’avais trouvée un peu trop radicale. Il fallait supprimer trop de choses et trop rapidement. Marion Thelliez est moins stricte, elle propose de limiter la consommation de sucre et de faire attention aux sucres cachés. J’ai bien aimé la description claire des différents sucres, la synthèse des index glycémiques, la liste de courses proposée (à adapter au fur et à mesure) et la synthèse des 8 semaines de cure à la fin.

Je classe ce livre en 201ème position et lui donne 2 étoiles.

18 mai 2020

Trouver un appartement pendant le confinement...

Nous avions donné le préavis de l'appartement d'Antoine à Strasbourg le 22 février. Son colocataire souhaitait revenir dans le Nord (je dis souhaitait car depuis il a décidé de rester à Strasbourg et de chercher un nouvel appartement avec sa copine).

Il était convenu avec l'agence actuelle qu'Antoine pourrait y rester jusque fin mai.

Trois mois pour trouver un appartement, c'est normalement super facile, sauf que c'était sans compter le confinement à partir de mi-mars et pour deux mois complets !

Très peu de propriétaires ont accepté de braver le confinement sur les 70 (!) contactés et ce malgré les gestes barrières proposés. De leur côté, les agences immobilières n'avaient pas le droit de faire visiter. Antoine a tout de même réussi à en visiter 5 (dont 1 via une agence).

Le premier était super, sauf qu'on ne pouvait pas y mettre de machine à laver. Et un judoka sans machine à laver, ce n'est pas possible : la laverie automatique tous les deux jours, ben non !

Pour le dernier appartement visité le 3 mai, un studio meublé pas très loin de son appartement actuel, j'ai eu quelques frayeurs. Ce n'était pas une agence mais un particulier et chaque fois que je demandais quelque chose cela m'était refusé. C'est là que j'ai découvert que le locataire doit montrer pattes blanches, fournir tout un tas de documents, prouver qu'il est solvable et le propriétaire n'a lui de son côté aucune obligation mais strictement aucune.

A ma décharge, on a vu pas mal d'arnaques sur le bon coin et cela nous a rendu un peu méfiants : des propriétaires qui demandent un mandat RIA avant de visiter l'appartement pour réserver la visite, ou bien un mois de garantie par virement toujours avant la visite, ou alors des propriétaires qui veulent ne se déplacer qu'une fois (habitant loin, handicapé, ayant trop fait d'allers-retours, ...) et signer le bail le jour même de la visite, ...

J'ai parfois transmis les documents demandés (bulletins de paie, justificatif de domicile, avis d'imposition) en le regrettant et en stressant ensuite (usurpation d'identité, prêt bancaire, ...). J'ai toujours refusé d'envoyer carte d'identité et RIB.

Donc, un peu plus prudente, j'ai demandé à la propriétaire de cet appartement meublé (très récent et avec un beau balcon) sa taxe foncière, pour m'assurer que c'était bien la propriétaire. Elle m'a dit de contacter le syndic. Renseignement pris auprès du syndic, cela nous a été confirmé (c'est un peu comme si je lui avais demandé d'appeler mon employeur pour savoir si j'étais bien salariée). Mon inquiétude persistait sur le fait de savoir si la personne rencontrée était bien la propriétaire.

Rencontre de Monsieur et Madame propriétaires le vendredi 15 mai (on a fait 500 kilomètres pour signer le bail et récupérer les clés). Au final, on a bien signé le bail mais pas eu les clés (nouveau stress). On n'a donc pas pu aider Antoine a déménager.

On a profité du fait d'être à Strasbourg pour en visiter un autre. Pour 20 euros mensuels de différence (en moins), on a trouvé un boui-boui vieillot et pas du tout attirant.

Le soir du 15 mai, la propriétaire m'a transmis son RIB par mail et Antoine a récupéré les clés le 16 (dommage à un jour près !).

Donc ce matin, Antoine nous a appelé de son nouvel appartement. Il emménagera ses affaires demain avec l'aide de son bientôt ex-colocataire et de sa copine qui a une voiture. Il a principalement des vêtements à déménager.

Je dors mieux depuis qu'il a les clés (c'est à dire depuis 2 nuits) mais quand même j'ai trouvé cette période assez compliquée, longue et stressante...

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12 mai 2020

maîtresse détresse

Quatrième de couverture :

Depuis quelques temps, les agents recruteurs font retentir leurs doux chants de sirène : « enseignez jeunesse ». Instit’, plus personne ne veut faire ça. Pourquoi ? Mais qu’est-ce qui leur passe dans la tête, aux instits ? Les voilà qui grognent, qui revendiquent, qui ont des états d’âme, qui refusent d’être balayé(e)s comme des pions sur des jeux d’échec scolaire. Je me rêvais « maitresse déesse », vingt ans après me voici « maitresse détresse ». Je me drape avec dignité dans ma panoplie d’enseignante zélée mais ça tiraille de tous côtés : les caprices de la hiérarchie, les tracasseries de l’administration, l’indifférence des autorités, l’incommunicabilité du rectorat, les exigences des parents, le vacarme des enfants, les mille et une anecdotes cocasses, émouvantes, ahurissantes qui tissent ma réalité scolaire. Je ravaude, je rapièce, je colmate, je rafistole, je retouche, mais au fil des ans, l’accroc s’agrandit, les illusions s’estompent, l’enthousiasme s’effiloche et tout craque ! Pour éviter cette catastrophe, il me reste l’humour – voici maitresse détresse.

Ce livre de Nancy Bosson date de 1990. C’est triste de voir que peu de choses ont changé au sein de l’école. De fait, pas de quoi rassurer nos maîtresses actuelles ! Bien sûr, c’est un peu daté au niveau du matériel dont on rêve en tant qu’enseignant à l’époque (magnétoscope, magnétophone, …) mais le manque de moyens reste le même, le nombre d’enfants par classe est toujours aussi important, le manque de considération est toujours présent, les difficultés rencontrées avec la hierarchie ou les parents également. Ce livre est écrit avec humour, des paragraphes très courts et agréables à lire, l’écriture est fluide.

Ce classe ce livre en 216ème position et lui donne 2 étoiles.

10 mai 2020

Souvenirs, souvenirs !

Alors que je fais du tri dans la chambre d'Antoine, je retrouve ceci :

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Ce sont quelques vêtements d'Antoine que j'ai conservés. L'ensemble bleu à droite avec le petit bonnet, c'est la tenue que j'avais mis à Antoine pour la sortie de la maternité et le pyjama à gauche, c'était celui que je lui avais mis lors de la venue de la photographe à la maternité (j'adorais ces deux pyjamas !) :

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Et puis, il y a ces vêtements précieux aussi, faits au tricot par maman :

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Je garde tout.

8 mai 2020

Le charme discret de l'intestin

Présentation de l’éditeur :

Giulia Enders, jeune doctorante et nouvelle star allemande de la médecine, rend ici compte des dernières découvertes sur un organe sous-estimé. Elle explique le rôle que jouent notre “deuxième cerveau” et son microbiote (l’ensemble des organismes l’habitant) dans des problèmes tels que le surpoids, la dépression, la maladie de Parkinson, les allergies... Illustré avec beaucoup d’humour par la sœur de l’auteur, cet essai fait l’éloge d’un organe relégué dans le coin tabou de notre conscience. Avec enthousiasme, Giulia Enders invite à changer de comportement alimentaire, à éviter certains médicaments et à appliquer quelques règles très concrètes pour faire du bien à son ventre.

J’ai bien aimé ce livre de Giulia Enders. Il m’a rappelé un peu « Mon corps au pays des merveilles » de Clara Naudi et de Pierre Rabischong, sauf les illustrations qui étaient beaucoup plus réalistes et claires dans le premier (là, elles sont presque enfantines). Giulia Enders arrive à vulgariser ses propos afin de les rendre accessibles au plus grand nombre en rajoutant, ce qui n’est pas désagréable, un peu d’humour. Elle m’a perdue toutefois à la fin du livre dans la description détaillée des bactéries que contiennent nos intestins, non seulement avec les noms compliqués que je n’ai pas retenus mais également ce pourquoi elles œuvrent. Globalement, ce livre permet d’apprendre plein de choses intéressantes et de reconnaître le travail fantastique de cet organe mal-aimé.

Je classe ce livre en 311ème position et lui donne une étoile.

5 mai 2020

Jardin tout propre

Il a arrêté de pleuvoir, JP en a profité pour tondre la pelouse aujourd'hui.

Le jardin est beau (enfin je trouve ;) ).

La première partie du jardin (il faut passer sous le bouleau pleureur et descendre 3 marches pour accéder à la deuxième partie) :

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L'allée entre l'érable et le saule (deuxième partie du jardin) :

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Le lilas japonais devant le saule et l'érable :

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Le chevrefeuille orangé :

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Le chevrefeuille rosé (entre la deuxième partie du jardin et la 3ème) :

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Le chevrefeuille orangé :

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Le noyer qui commence seulement à bourgeonner (il a toujours un mois de retard par rapport aux 3 autres noyers à proximité) avec l'abri de jardin et le poulailler (3ème partie du jardin) :

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La clématite sur la pergola :

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L'un des seringas (dans le massif que l'on voit à droite de la clématite photo précédente) :

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L'hortensia blanc à fleurs plates :

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Les pots superposés qui viennent de chez maman. On y a mis des dalhias en haut et des pétunias en bas (juste à côté de la porte d'entrée - 4ème partie du jardin, celle qui se trouve devant la maison) :

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4 mai 2020

Si aimée, si seule

Présentation de l’éditeur :

Star du cinéma et du théâtre, riche et adulée, Diva est une femme seule, qui se disperse en de multiples aventures amoureuses. Un seul homme lui inspire assez de passion pour qu'au fil des années leur couple se retrouve après chaque séparation, à la plus grande joie des gazettes à scandales. Mais quand il s'aperçoit qu'il aime encore plus la femme qu'il n'admire l'actrice, il est trop tard. Alcool, drogues, conflits familiaux : Diva descend déjà les degrés de la déchéance, alors même que son mythe grandit encore auprès du public.

Je n’ai pas apprécié ce livre de Madeleine Chapsal. J’ai trouvé qu’il y avait beaucoup trop de mots pour pas grand-chose. L’histoire de Diva est racontée par une personne anonyme qui explique ce que ressent Diva en faisant le parallèle avec ses propres expériences mais en fait ses extrapolations ne nous intéressent pas, c’est l’histoire de Diva que l’on a envie de connaître. Il y a des longueurs et alors que l’on sait dès le début comment cela va se terminer, elle n’en finit pas de mourir…

J’avais déjà lu roman de cette auteure : « les amoureux » actuellement classé en 427ème position sans étoile.

Je classe ce roman en 517ème position et lui donne un « moins ».

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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