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Le petit monde de So et de Fi
24 août 2019

Changer l'eau des fleurs

Présentation de l’éditeur

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués passent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu'elle leur offre. Son quotidien est rythmé par les confidences des visiteurs et la joie des fossoyeurs. Un jour, parce qu'un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l'on croyait noires, se révèlent lumineuses. Changer l'eau des fleurs est un hymne au merveilleux des choses simples. Après le succès des Oubliés du dimanche, Valérie Perrin, virtuose dans l'art d'explorer les sentiments, nous livre un deuxième roman bouleversant où suspense, sensibilité et justesse éclatent à chaque page.

Quatrième de couverture

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ? Après le succès des « oubliés du dimanche », un nouvel hymne au merveilleux des choses simples.

Alors, j’ai mis les deux résumés car je trouve que la quatrième de couverture résume mieux l’histoire (et encore pas tellement bien) de ce livre.

J’avais lu également le premier livre de Valérie Perrin « les oubliés du dimanche ». Je l’avais bien aimé aussi puisqu’il est classé en 108ème position avec 3 étoiles.

J’ai adoré cette nouvelle histoire ou plutôt ces histoires car il ne s’agit pas que de l’histoire de Violette mais de celle de tout un tas d’autres personnages. Il y a beaucoup, beaucoup de monde dans ce livre et il y a aussi beaucoup d’aller et retour entre le passé et le présent. Il faut s’accrocher et bien suivre ! Mais le tout est super bien ficelé, même si on se dit que Violette n’a quand même pas eu beaucoup de chance dans sa vie (sa jeunesse, son mari, sa belle-famille, sa fille, …). Les personnages sont particulièrement bien décrits et chacun avec leur personnalité, leurs forces, leurs failles, leurs expériences, leur philosophie, leur sagesse pour certains, … J’ai dû relire certains passages après avoir fini le livre pour bien m’assurer de certaines choses, de la chronologie de certains faits. Par contre, comme il n’y a que des allers et retours passé-présent, j’ai parfois eu du mal à retrouver les passages que je cherchais. Un sommaire même succinct aurait été intéressant avec tout au moins le nom de la personne qui s’exprime dans le chapitre pour pas trop dévoiler la suite...

Je classe ce livre en 4ème position (sur 523 que compte mon classement à ce jour) et lui donne 3 étoiles. J’avais envie de connaître la fin et en même temps envie de ne pas terminer ce livre pour poursuivre le bonheur de sa lecture. Je recommande !

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18 août 2019

Comme une ombre

Présentation de l’éditeur

Alexandra, la ravissante fille du milliardaire Richard Dickinson, se cherche en parcourant le monde. D'un tempérament plutôt indépendant, elle ne veut plus de sa jeunesse dorée ni des gardes du corps qui la suivent partout. D'ailleurs, elle s'acharne à les faire craquer les uns après les autres... Cependant, avec le nouvel ange gardien dont son père l'affuble, les choses s'annoncent différemment: en bon militaire, Tom Drake semble bien décidé à remplir sa difficile mission et à résister aux affronts de celle qu'il considère comme une petite fille gâtée. De Rio aux mystérieux palais sahariens, Tom la suivra comme une ombre. Coûte que coûte. Pourtant, à Marrakech, lorsqu'Alexandra lui joue un mauvais tour en faisant croire qu'elle a été enlevée, Tom est à deux doigts de jeter l'éponge. Mais il résiste encore. Et quand Alexandra est réellement kidnappée, il est le premier à risquer sa vie pour sauver celle de la jeune femme...

J’aime beaucoup les livres de Gilles LEGARDINIER mais là, j’ai été fort déçue. Qu’il se soit essayé à écrire cette fois une histoire à l’eau de rose n’est pas le problème. Le souci c’est que les deux personnages principaux ne sont pas vraiment décrits, extérieurement oui mais pas vraiment intérieurement. Ils manquent de fond à mon sens. D’autre part, les cent dernières pages (sur 272 que compte l’histoire) ne sont absolument pas crédibles, enfin, pour moi. Ce que je ne comprends pas c’est son désir de le faire rééditer presque 20 ans après, comme si c'était une perle qui était passée inaperçue... Payer 11,90 euros pour cette histoire décevante me fait un peu mal. Je n’y vois qu’un but commercial et profiter du nom qu’il s’est fait ensuite pour gagner de l’argent sur un livre qui ne le mérite pas vraiment. La préface où il explique qu’il l’a coécrit avec son épouse nous laisse espérer le meilleur d’où la déception encore plus grande.

C’est le 9ème livre que je lis de cet auteur, voici le classement des précédents :

-      « complètement cramé » classé en 18ème position avec 3 étoiles

-      « Le premier miracle » classé en 23ème position avec 3 étoiles

-      « Et soudain tout change » classé en 39ème position avec 3 étoiles

-      « Quelqu’un pour qui trembler » classé en 40ème position avec 3 étoiles

-      « Ca peut pas rater » classé en 62ème position avec 3 étoiles

-      « Demain j’arrête » classé en 64ème position avec 3 étoiles

-      « Une fois dans ma vie » classé en 325ème position avec 1 étoile

-      « Nous étions les hommes » classé en 409ème position avec 0 étoile

Pour ce dernier livre que je viens de terminer, je le classe en 311ème position et lui donne gentiment une étoile.

 

12 août 2019

La cerise sur le gâteau

Présentation de l’éditeur

La vie est mal faite : à 35 ans, on n'a le temps de rien, à 65, on a du temps, mais encore faut-il savoir quoi en faire… Bernard et Brigitte, couple solide depuis 37 ans, en savent quelque chose. Depuis qu’elle a cessé de travailler, Brigitte profite de sa liberté retrouvée et de ses petits-enfants. Pour elle, ce n’est que du bonheur. Jusqu’au drame : la retraite de son mari ! Car, pour Bernard, troquer ses costumes contre des pantoufles, hors de question. Cet hyperactif bougon ne voit vraiment pas de quoi se réjouir. Prêt à tout pour trouver un nouveau sens à sa vie, il en fait voir de toutes les couleurs à son entourage ! Ajoutez à cela des enfants au bord de la crise de nerfs, des petits-enfants infatigables, et surtout des voisins insupportables qui leur polluent le quotidien… Et si la retraite n’était pas un long fleuve tranquille ? Un cocktail explosif pour une comédie irrésistible et inspirante.

C’est un livre que JP a choisi. Il m’a dit qu’il voulait lire pendant les vacances... Et je lui ai conseillé de choisir lui-même un livre à la FNAC plutôt que de prendre un des miens.

Personnellement, je trouve ce roman d’Aurélie Valogne gentillet. C’est le quatrième livre que je lis de cette auteure actuellement très prisée (!?) : « Nos adorables belles-filles » classé en 273ème position avec 1 étoile, « Mémé dans les orties » classé en 279ème position avec 1 étoile, « minute papillon » classé en 200ème position avec 2 étoiles.

Il y a des bonnes choses et parfois des choses drôles mais parfois aussi de l’humour un peu forcé, ce que je veux dire c’est qu’on sent que l’auteure a voulu être drôle mais que ce n’est pas toujours réussi. L’histoire est un peu longue et répétitive (surtout l’aspect sur le développement durable, intéressant mais un peu trop développé (c'est le cas de le dire) à mon goût, un peu trop extrême). Cela reste un moment de lecture sympathique, car j’ai reconnu mon mari dans certains traits du héros Bernard...

Je classe ce livre en 271ème position et lui donne 1 étoile.

22 juillet 2019

Hanna

Présentation de l’éditeur

La suite de La drôle de vie de Zelda Zonk, Prix Maison de la presse 2015.Suffirait-il de partir pour tout oublier ? En tout cas, c’est ce qu’a voulu croire Hanna. Pour effacer le souvenir de son amant, la jeune femme a quitté l’Irlande et a ouvert à New York une librairie, Pemberley, un endroit chaleureux où l’on vient piocher un bon livre et rester des heures à grignoter les meilleures pâtisseries de Manhattan. Au milieu de cette nouvelle vie il y a la petite Eleanor, 6 mois, qui, bien malgré elle, complique tout... et rend l’oubli impossible. Hanna l’ignore encore, mais elle n’est pas la seule à avoir enfoui un secret trop grand pour elle. Bientôt, elle va découvrir que ses proches ont tous quelque chose à lui cacher : son mari, sa sœur, et même la mystérieuse Zelda Zonk depuis l’au-delà ! Que se passera-t-il pour Hanna lorsqu’un tout petit événement, presque anodin, fera éclater la vérité ?

Je comprends mieux pourquoi je n’avais pas compris grand-chose au livre « La drôle de vie de Zelda Zonk » (lu en 2017, classé en 239ème position avec une étoile) du même auteur, Laurence Peyrin, c’est que l’histoire n’était pas terminée ! Comme si l’éditeur avait réclamé un texte à un moment précis, que l’auteur n’avait pas eu le temps d’aller jusqu’au bout et que le livre n’avait pas été édité dans son intégralité… Bref, ici, j’ai tout compris et donc j’ai aimé !

Je classe ce livre en 82ème position et lui donne 3 étoiles.

16 juillet 2019

La Camarguaise

Présentation de l'éditeur :

En plein cœur de la Camargue, une jeune femme se démène pour sauver de la ruine la bastide familiale. Eminemment courtisée, elle devra également questionner son cœur pour faire le bon choix amoureux. À la mort de François Valence, sa petite-fille Jordane a repris en main la destinée du Biloba, la bastide familiale en plein cœur des somptueux paysages de Camargue. Mais comment la seule exploitation des champs d'iris, des moutons mérinos et des chevaux andalous pourrait-elle sauver de la ruine un si lourd héritage ? Déchirée à l'idée de perdre son domaine guetté par les huissiers, mais trop fière pour accepter l'aide de Lionel, son mari dont elle est séparée, la jeune femme décide de transformer le Biloba en hôtel de luxe : un choix douloureux, violemment critiqué par son entourage. Au sein des dynasties arlésiennes, on n'aime guère les touristes... Tandis que des intrigues se nouent autour du devenir du Biloba, la beauté et la fougue de Jordane font tourner les têtes et chavirer les cœurs : celui de Lionel, qui n'a pas perdu espoir de la reconquérir, mais aussi celui de deux hommes, deux frères que tout sépare, et qui vont se disputer son amour...

J’ai beaucoup aimé ce livre de Françoise Bourdin. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un de ses livres. J’avais lu « le secret de Clara » en 2013 (classé en 253ème position et une étoile) et « nom de jeune fille » en 2014 (classé en 352ème position et une étoile). Pour en revenir à « la camarguaise », j’ai adoré l’héroïne et son fort tempérament. J’ai aimé les descriptions de la région et des traditions camarguaises. Par contre, cela reste de la littérature sentimentale mais de temps en temps cela fait du bien !

Je classe ce livre en 9ème position et lui donne 3 étoiles.

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11 juillet 2019

Envies de fraises

Présentation de l’éditeur

Une fois l'homme de sa vie ferré, épousé, une fois la lune de miel terminée, les vrais ennuis commencent avec l'arrivée du premier enfant...Chef dans un restaurant, Becky est très amoureuse de son mari, et ravie d'être enceinte. Tout irait bien si les médecins la lâchaient un peu avec ses problèmes de poids. Et si son infernale belle-mère la lâchait tout court. Kelly est overbookée, hyper-ordonnée et archi-ambitieuse. Elle s'investit dans sa grossesse comme dans tout, c'est-à-dire à fond. Seul point noir dans cette organisation parfaite : son mari, qui passe ses journées, vautré sur le canapé... Ça fait désordre. Ayinde est canon. Et intelligente. Et gentille, en plus. Et aussi mariée à un champion de basket dont elle attend un enfant. Bref, le genre de fille qu'on adorerait détester. Quand ces futures mamans font connaissance lors d'un cours de yoga prénatal, elles se disent qu'elles n'ont rien en commun. Mais la maternité leur promet bien des surprises...

J’ai adoré ce bouquin de Jennifer Weiner même si au début j’ai un peu douté car il est plus profond qu’il n’y paraît. La personnalité des futures mamans se dessinent et s’affinent au cours des pages et je me suis attachée à elles avec l’envie de ne pas les quitter, de ne pas finir ce livre. L’histoire, ou plutôt, les histoires sonnent juste, même si pour ma part, la maternité m’a parue globalement plus facile mais je me suis reconnue parfois dans des situations. C’est drôle, c’est émouvant, c’est presque réel même si c’est une fiction.

Je classe ce livre en 9ème position (c’est peut-être un peu surnoté mais j’ai quand même passé un super moment de lecture) et lui donne 3 étoiles.

3 juillet 2019

Un homme à tout faire

Présentation de l’éditeur

Patron abusif et concupiscent, emploi minable, otites à répétition de son petit garçon, qu'elle élève seule... Maggie Ivey a toutes sortes de raisons de sombrer dans la dépression lorsqu'elle débarque chez le célèbre Dr Golding, psychiatre en vogue, pour subir son fameux traitement, une " reprise en main en vingt et un jours ". La première séance se passe à merveille. Jason Golding est un homme affable, doué d'une capacité d'écoute remarquable, et Maggie se sent tout de suite mieux quand elle quitte le cabinet après avoir pris rendez-vous pour la semaine suivante. Le problème, c'est que le beau et séduisant jeune homme qui l'a si gentiment reçue n'est pas Jason Golding mais un certain Jake Cooper, entrepreneur venu remettre à neuf le cabinet du praticien, hospitalisé à la suite d'une crise cardiaque...

J’ai toujours un peu de mal avec les histoires qui débutent sur un mensonge dont celui-ci se poursuit jusqu’à la toute fin du roman. J’ai bien aimé les deux personnages principaux dont les personnalités sont bien décrites même si l'héroïne est tout de même fort naïve... J’ai moins aimé la fin attendue et un brin surréaliste (avec tous les protagonistes qui se retrouvent au même endroit en même temps comme par hasard).

Je classe ce livre de Linda Nichols en 230ème position et lui donne une étoile.

28 juin 2019

Ma première femme

Présentation de l’éditeur

Un homme revient sur son enfance - il est peut-être mon double, mon agent le plus secret, « J'ai peut-être essayé, avec l'exploration d'un souvenir défiguré par les années, mais aussi régénéré par le roman, de dessiner pour la première fois le visage de ma mère à qui je dois d'aimer autant la vie. Aime et fais ce que tu veux : tel était son credo sur la fin. Et jour après jour, je puise un certain réconfort dans la pensée d'être son fils et de l'avoir si bien connue. Si bien ? ... »

264 pages que j’ai eu hâte de terminer. Je n’ai probablement pas tout compris ( !). Des aller-retours dans le temps que je n’ai pas bien suivis non plus. Une façon de décrire, d’enrober et de complexifier n’importe quel propos ont fini par me lasser de cette folle famille : le père absent et piquant ou dans l'incompréhension totale quand il est là, la mère musicienne qui fait tout pour qu’on ignore sa maladie, ce qui arrange bien l’auteur, la sœur aveugle complètement barrée et le fils -l’auteur, donc- qui navigue à vue parmi tout ce petit monde.

Je classe ce livre en 498ème position et lui donne un « moins ».

Next !

23 juin 2019

Le café des petits miracles

Présentation de l’éditeur

Éléonore Delacourt a vingt-cinq ans et aime la dolce vita. Elle ne court pas, elle se promène. Elle n'est pas impulsive, mais réfléchie. Elle ne déclare pas sa flamme, elle préfère en rêver. Timide et romantique, elle adore s'évader dans les livres et croit aux présages, petits messagers du destin. Elle n'a pas hérité de l'intrépidité de sa grand-mère, qui l'a pourtant élevé et lui a légué l'objet qu'elle chérit le plus : une bague en grenats avec une gravure en latin Omnia vincit amor. Elle n'est a priori pas le genre de fille qui, de but en blanc, vide son compte en banque et, par une froide matinée de janvier, saute dans un train à destination de Venise ! Mais parfois la vie est imprévisible et une phrase énigmatique retrouvée dans un vieux livre peut avoir des conséquences inattendues...

C’est le deuxième livre que je lis de Nicolas Barreau et je pense que ce sera le dernier (!). Le premier c’était « Le sourire des femmes » et je l’avais classé en 356ème position et une étoile, ce qui n’était déjà pas folichon mais là avec « le café des petits miracles », on va chuter encore dans le classement.

C’est un roman classé comme littérature mais c'est carrément de la lecture sentimentale à l’eau de rose, sans grand intérêt hormis le fil rouge de la vie de la grand-mère de l’héroïne (et encore !). Il y a des événements carrément improbables (la rencontre de 4 des personnages de l’histoire qui se retrouvent au même endroit au même moment, par exemple).

On sent un auteur qui aime les livres (c’était déjà le cas dans « le sourire des femmes ») mais cela ne suffit pas à alimenter l’histoire.

Je classe ce livre en 418ème position et ne lui donne pas d’étoile.

Next !

14 juin 2019

Un jour, un arbre...

Présentation de l’éditeur

Du haut de mes trente-deux mètres,

je les regarde vivre sur la place du village.

Depuis cent trois ans, je partage leurs nuits et leurs jours,

j’effeuille leurs amours et parfois j’envie leurs cris de joie.
 

En ce matin de printemps, un avis d’abattage est cloué

sur le platane centenaire qui ombrage ce village de Provence.

Entraînés par un petit garçon effronté, sept habitants s’unissent

pour découvrir qui souhaite la mort du géant.

Ensemble, ils combattent cette sentence absurde,

tandis que l’arbre les observe et vibre avec humour et philosophie

au rythme de leurs émotions et de leurs conflits.

Qui l’emportera… le pouvoir ou la solidarité ?

Aux premiers jours de l’été, Clément, Suzanne, Fanny

et les autres ne seront plus les mêmes.

 

Bon, j’ai trouvé ce roman "gentillet". Dommage, car les personnages sont bien campés et bien décrits et on s’attache à leur personnalité. On sait ce qu’il advient de l’arbre mais on ignore ce qu’il advient des personnages, comme si l’on n’était témoin que d’une tranche de vie sans avoir la possibilité de connaître la suite, d’où un certain manque, à mon sens. 

J’avais déjà lu un livre de Karine Lambert « L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes » et il est classé actuellement en 306ème position avec une étoile. 

Je classe ce livre « Un arbre, un jour » en 228ème position et lui donne une étoile.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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