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Le petit monde de So et de Fi
2 décembre 2018

La femme de chambre du Titanic

Présentation de l’éditeur

" Voilà l'histoire d'un amour si étrange, dit l'auteur, que je n'étais pas sûr d'oser jamais l'écrire. Mais l'envie de raconter aura été plus forte que mes pudeurs. Raconter la passion qui, durant l'année 1912 – l'année du Titanic –, a entraîné un docker de cinquante-deux ans, Horty, et Marie Diotret, une très jeune femme de chambre du transatlantique, dans un monde qui n'était pas fait pour eux. " Dans le sillage d'Horthy et de Marie, de la taverne de la Tête d'Écaille aux quais mouillés de Southampton, des terrains vagues de New York aux lacs rêvés de l'État du Maine, des lumières du Grand Théâtre à la nuit des docks où rodent amants et assassins, cette " extrême histoire d'amour " met en image Zoé, la petite épouse rouquine et patiente qui attend qu'Horty rentre enfin à la maison ; Zeppe, le garçon de cirque qui croit pouvoir tirer fortune de l'amour d'Horty pour Marie ; la trop fragile Aïcha à qui le destin ne laissera même pas le temps d'apprendre à compter jusqu'à onze ; Sciarfoni, le lamaneur qui gîte comme une bête sauvage sous une grand barque renversée ; Maureen, la voleuse de bijoux qui opère dans les théâtres de Drury Lane ; et tout le peuple du port – dockers, soutiers, filles de joies, riches voyageurs, émigrants misérables... Le roman à la fois le plus imaginaire et le plus vrai de l'auteur d'Abraham de Brooklyn et de John l'Enfer.

A l’image de la présentation de l’éditeur, j’ai trouvé l’histoire confuse, répétitive, longue et sans grand intérêt. Une seule hâte, celle d’arriver à la fin de ce livre de Didier Decoin. Voilà qui est fait.

Je classe ce livre en 464ème position et lui donne un « moins ».

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17 novembre 2018

Traversées

Présentation de l’éditeur :

Liane a épousé très jeune Armand de Villiers, ambassadeur de France aux Etats-Unis. Mère de deux petites filles, épouse heureuse, Liane accompagne son mari à bord du Normandie ; Armand est en effet rappelé d’urgence à Paris, car nous sommes en 1939. Lors de cette traversée de rêve, dernière splendeur d’une époque qui va s’éteindre, la jeune femme fait la connaissance de Nick Burnham. Nick est marié, et mal marié ; mais il a un fils qu’il adore, tout comme Liane est attachée à son mari et à ses enfants. Et, avec une même loyauté, tous deux refusent l’amour qui naît entre eux. Pourtant, le destin les guette. Ironie du sort, ils se retrouveront plus tard, en plein océan, cette fois en direction de l’Amérique. Et seuls. Dangereux voyage où s’affrontent l’amour et la raison, la passion et la tendresse, jusqu’au jour où Liane devra faire un choix dramatique.

J’ai mis un peu de temps à rentrer dans l’histoire mais j’ai globalement bien aimé ce roman de Danielle Steel (c’est le premier que je lis de cette auteure) sur fond historique de la seconde guerre mondiale. On suit avec intérêt les aventures de Liane. J’ai trouvé la fin un peu trop rapide et c’est dommage par rapport à l'ensemble du livre. L’histoire s’arrête également avant la fin de la guerre et je suis restée un peu sur ma faim pour cela aussi.

Je classe ce livre en 68ème position et lui donne 3 étoiles.

10 novembre 2018

La maison aux volets rouges

Présentation de l’éditeur

L’amour peut-il être celui qui aidera à tout affronter ? À tout accepter ? Pour Julie la vie n’a pas toujours été un long fleuve tranquille. Depuis son plus jeune âge elle affronte les difficultés, les embûches, les traumatismes qui ont été mis sur son chemin. Ce qu’elle sait ? Les rencontres peuvent tout bouleverser et aider à avancer. Ce qu’elle ne sait pas ? C’est qu’une rencontre en particulier, qu’elle n’attendait pas va venir tout chambouler sur son passage. Marcus un jeune homme mystérieux, attirant, persévérant qui la fera sortir de sa zone de confort. À vingt ans, c’est au travers de la restauration de la maison aux volets rouges, qu’elle tentera de guérir son cœur et son corps.  Pour y arriver elle devra affronter ses peurs les plus profondes, ses craintes et les secrets imprimés dans la pierre.

J’ai trouvé ce livre de Marie Sorel très naïf. Les 4 personnages principaux n’ont vraiment pas eu beaucoup de chance dans la vie (!). Chaque situation peut évidemment exister mais c’est un concentré de malheurs. J’y ai trouvé des maladresses, de la mièvrerie, des raccourcis, des longueurs aussi. A la fin, on a l’impression que l’on s’égare complètement (!) pour ensuite comprendre pourquoi, quoique, tout ça pour ça, tant d’années de secret et pour quelles raisons ? Le style aussi était un peu naïf, l’utilisation du passé simple un peu trop désuète à mon goût. Enfin, bref, je suis contente de l’avoir terminé pour pouvoir passer à autre chose. Seul le titre était prometteur, mais grosse déception parce qu’il y avait de bonnes idées mal exploitées.

Je classe ce livre en 378ème position et ne lui donne pas d’étoiles.

30 octobre 2018

Question de standing

Présentation de l’éditeur

Caroline n’a jamais eu de problèmes avec l’argent. Elle a même toujours été assez douée pour le dépenser ! À 43 ans, Caroline d’Adhémar de Gransac a tout ce dont une femme peut rêver : la beauté, l’argent, l’amour de ses enfants et l’admiration de ses amis. Sa vie ressemble à une pub de magazine, elle est aussi réussie que son brushing. Marc, son ex-mari et avocat d’affaires, pourvoit à son standing. Jusqu’au couac, le congé parental de Marc, qu’elle n’a pas vu venir et qui la laisse du jour au lendemain sans revenus. Caroline, qui n’a jamais travaillé, va devoir mettre les mains dans le cambouis et sa manucure va prendre cher. Son ego aussi. Acculée, elle fait un choix terrible, que la morale et sa bonne éducation réprouvent. Ses proches pourront-ils lui pardonner ?

Ce livre était conseillé dans un magazine féminin. Au final, je n'en ai réellement aimé qu'un seul sur les trois achetés suite aux critiques de ce magazine, un moyennement et le troisième pas du tout. Bilan mitigé donc... Cela ne m'encourage pas à acheter les autres.

J’ai eu beaucoup de mal à terminer ce livre de Sophie de Villenoisy. C’est pour moi une sorte de descente aux enfers, une anti-héroïne qui se fourvoie de plus en plus et qui trouve des solutions de plus en plus critiques pour se maintenir à flot alors que la solution était plus concrètement dans la recherche d’un travail mais sinon, il n’y aurait pas d’histoire… Quant à la fin, elle est beaucoup trop rapide, comme si l’auteure en avait marre de son personnage principal et voulait en finir (tout comme moi).

Je classe ce livre en 464ème position et lui donne un « moins ».

21 octobre 2018

Si tu crois un jour que tu m'aimes

Présentation de l’éditeur

Ce matin-là, après une soirée trop arrosée, Manon se réveille passagère clandestine sur le King of the Seas. Mais que fait-elle sur le plus grand paquebot du monde qui entame sa croisière inaugurale, direction New York ?  Tout a commencé il y a quinze jours. Deux toutes petites semaines. Une éternité... Et si l’amour était plus fort que tout ?

J’ai adoré ce livre de Charlie Wat. Elle alterne un chapitre sur le présent, un chapitre sur le passé. On découvre petit à petit les raisons pour lesquelles l’héroïne se retrouve sur le paquebot à destination de New-York et où elle y fait de jolies rencontres. C’est un petit bijou, agréable et facile à lire (281 pages en 3 jours).

C’est le premier livre que je lis de cette auteure. Cela me donne envie d’en découvrir d’autres.

Je classe ce livre en 38ème position et lui donne 3 étoiles.

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18 octobre 2018

Rêver n'est pas un vilain défaut

Présentation de l’éditeur

À bientôt trente ans, Elisabeth a des rêves plein la tête. Elle aimerait être écrivain, voudrait être un peu moins enrobée et ne plus être l’éternelle célibataire que l’on regarde avec pitié. Mais voilà, elle fait partie des femmes qui passent inaperçues. Trop c’est trop ! Invitée à la soirée de gala des anciens étudiants (qu’elle n’a pas revu depuis dix ans), elle décide qu’elle n’ira pas toute seule pour ne pas subir les moqueries de ses anciennes camarades. Il lui faut un petit ami, et vite. La seule solution ? Engager un acteur ! Mauvaise idée… L’homme est bien trop séduisant, charismatique et arrogant pour que leur couple soit crédible. Pour une fois, le destin n’aurait-il pas pu lui donner un petit coup de pouce ? Mais Elisabeth doit faire avec. D’ailleurs, qu’est-ce qui pourrait bien déraper ?

Alors, ce livre de Carole Cerruti était classé dans la catégorie « Littérature » ainsi que dans « Comédie »  et les commentaires sur internet était tous positifs alors je ne me suis pas trop méfiée. Sauf que c’est de la pure romance, de la lecture sentimentale, voire à l’eau de rose. On se doute de la fin dès les premières pages et il m’a manqué l’humour que j’attendais. Il y a des situations à la limite du burlesque mais donc pas vraiment drôles.

J’ai trouvé aussi que l’auteur s’inspirait un peu trop de trouvailles d’autres auteurs comme « la voix » qui m’a fait penser à « la déesse » de « 50 nuances de gris » et des situations ressemblant étrangement à celles de « Bridget Jones ».

Je classe ce livre en 300ème position et lui donne une étoile.

 

 

12 octobre 2018

Les pleureuses

Présentation de l’éditeur :

« Christopher avait tous les droits de disparaître sans que je le pourchasse. Mais partir si longtemps sans laisser de mot ?  N’y avait-il pas quelque chose d’étrange ? ». La narratrice est séparée de son mari, Christopher, depuis six mois mais personne ne le sait. Quand sa belle-mère l’appelle pour lui dire qu’il a disparu, elle accepte de partir à sa recherche dans le Péloponnèse. Elle s’installe dans l’hôtel où il a été vu pour la dernière fois, et les jours passent sans que Christopher réapparaisse... Dans cette campagne grecque ravagée par les incendies, la jeune femme retrace l’histoire de leur relation et interroge sa propre responsabilité dans l’échec de leur mariage.

Si vous souhaitez un livre plein de questions sans réponse et finalement sans fin, il faut choisir « Les pleureuses » de Katia Katimura.

Le titre fait référence aux pleureuses, ses femmes payées aux enterrements pour pleurer les défunts et exprimer la tristesse que la famille n’expose pas forcément. Faut-il y voir un lien ensuite entre ce que ressent l’héroïne à la mort de son mari (malgré leur séparation qu’elle tait à sa belle-famille), cela fait partie des questions qui subsistent.

Parce que des suppositions, des hypothèses et présomptions, c’est ce que l’héroïne nous livre du début à la fin. Elle dissèque tout, les personnes qu’elles rencontrent, les situations qu’elle imagine avoir eu lieu, son mariage (ou ce qu’il en reste), les paysages de l’arrière-pays grec dévasté par les incendies, les raisons possibles de la mort de son mari, … Elle se dédouble presque entre la veuve qu’elle paraît (pour sa belle-famille) et son moi réel (épouse cocufiée et en instance de divorce).

Si ma curiosité a été éveillée, si j’ai apprécié le choix des mots, j’ai malgré tout fini par m’ennuyer de toutes ses interrogations sans réponse, de cette introspection sans fin.

Je classe ce livre en 411ème position et ne lui donne pas d’étoile.

8 octobre 2018

Good morning, Mr Président

Présentation de l’éditeur

En 2012, Rebecca Dorey-Stein répond à une petite annonce pour un job à Washington. Quand elle apprend que c'est pour travailler à la Maison Blanche, dans l'équipe de transcripteurs d'Obama, c'est l'euphorie ! Pendant cinq ans, de 2012 à 2017, elle accompagne le Président partout où il va, enregistreur et micro à la main. Elle se lie d'amitié avec les équipes de campagne, des jeunes hommes et jeunes femmes qui, comme elle, font le choix de laisser leur vie derrière eux pour monter à bord de l'Air Force One au service du Président le plus séduisant depuis Kennedy. Entre deux points presse à la Maison Blanche et un voyage au bout du monde, Beck apprend les ficelles du protocole, se frotte à la concurrence entre les services, fête son anniversaire avec le président, et tombe amoureuse de celui qu'il ne fallait pas approcher.... Un univers fascinant, des intrigues à tous les étages, beaucoup de joie et quelques désillusions : ce récit trépidant et drôle se lit comme un roman.

C’est un livre qui se lit très facilement. J’ai bien aimé tout ce qui concerne la Maison-Blanche en général, l’organisation, l’administration, les voyages et Obama en particulier. J’ai apprécié la description des personnes et des fonctions et les histoires d’amitiés. J’ai moins aimé les tergiversations amoureuses de l’auteure, ses aller-retours redondants.  

Je classe ce livre en 153ème position et lui donne 2 étoiles.

29 septembre 2018

100 jours pour être heureux

Présentation de l’éditeur :

Vous reprendrez bien une dose d'optimisme ?

Lorsque deux jeunes femmes que tout oppose se rencontrent, le destin pourrait bien basculer. Annie mène une existence vide de sens et de joie depuis qu'un drame a brisé sa vie deux ans plus tôt. Polly est condamnée, il lui reste trois mois à vivre. Mais Polly, aussi rayonnante et excentrique qu'Annie est terne et renfermée, a décidé de relever le défi des " cent jours pour être heureux ". Elle entraîne sa nouvelle amie dans cette aventure : trouver chaque jour une source de joie, un petit bonheur. Réenchanter le quotidien pour retrouver le goût de vivre et la force d'accepter l'inéluctable. Autour d'elles, une galerie de personnages hauts en couleur devront suivre la fantasque Polly et ses idées farfelues... jusqu'à son ultime pied de nez à la mort et au désespoir.

À l'encontre des clichés, 100 jours pour être heureux livre un véritable hymne à la vie sans jamais tomber dans la mièvrerie de la pensée positive. Avec beaucoup d'intelligence et d'impertinence, l'auteur nous entraîne dans la course folle de Polly à la poursuite du bonheur. Passant du fou rire aux larmes, le lecteur traverse à vive allure la palette des émotions de ces deux héroïnes : on se révolte, on se résigne, on hésite, on plonge... Mais on vit, coûte que coûte !

J’ai beaucoup aimé ce livre d’Eva WOODS. Un livre qui nous rappelle de profiter des petites choses, des petits bonheurs au quotidien que la vie nous offre même quand on traverse des périodes plus difficiles. 560 pages qui se lisent vraiment facilement (en 4 jours !) et avec beaucoup de plaisir. Je recommande !

Et surtout, à tenter (le défi de Polly) !

Je classe ce livre en 95ème position et lui donne 3 étoiles.

25 septembre 2018

Faux départ

Présentation de l’éditeur

Ma foi, qu’est-ce donc que la vie, la vie qu’on vit ? D’expérience, elle a la douceur d’un airbag en béton et la suavité d’un démaquillant à la soude, la vie ne serait-elle qu’une épaisse couche d’amertume sur le rassis d’une tartine de déception ? Pas moins, pas plus ? C’est en tout cas la démonstration que nous livre Marion Messina, l’Emmanuel Bove de ces temps, dans Faux départ, son premier roman. À ma gauche, Aurélie, à ma droite Alejandro ! Entre la Grenobloise de toute petite extraction qui crève la bulle d’ennui dans une fac facultative, souffre-douleur d’un corps en plein malaise, et le Colombien expatrié, ça s’aime un temps mais ça casse vite. D’aller de Paris en banlieue et de banlieue à Paris, d’œuvrer comme hôtesse d’accueil, de manger triste, coucher cheap et vivre en rase-motte, rencontrer Franck puis Benjamin ne change que peu de choses à l’affaire. Renouer avec Alejandro ne modifie guère la donne : l’amour fou, la vie inimitable, le frisson nouveau sont toujours à portée de corps, mais jamais atteints. Toujours en phase d’approche, jamais d’alunissage. Marion Messina décrit cette frustration au quotidien avec une rigueur d’entomologiste. Que voulez-vous, la vie fait un drôle de bruit au démarrage. Jamais on ne passe la seconde. Faux départ, telle est la règle.

Vous lisez la présentation de l’éditeur et vous avez un résumé parfait du ton du livre. C’est sombre, c’est noir, c’est triste, c’est pessimiste, c’est long, … Je me suis ennuyée, pas une seule lueur d’espoir dans ce livre de Marion Messina. C’est pourtant un livre qui était recommandé dans le Biba de septembre (pas que ce soit une référence mais c’est ce qui a suscité mon achat). Je n’ai eu qu’une envie : arriver à la fin du livre pour passer à autre chose !

Je classe ce livre en 388ème position et ne lui donne pas d’étoile (et j'aurais peut-être même dû mettre un moins).

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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