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Le petit monde de So et de Fi

15 janvier 2016

17 ans ! (avec les photos)

Il y a 17 ans, on "m'opérait" d'un bébé. Une césarienne car les médecins prévoyaient un petit garçon de 5 kilos et craignaient un passage difficile suite à la radio de mon bassin trop étroit...

Finalement, Antoine ne pesait "que" 3 kg 900 mais il était déjà en pleine forme !

17 ans, cela passe finalement très vite. Trop vite ?

J'ai discuté ce soir, à l'occasion des voeux et de la galette des rois à mon travail, avec mes collègues. Certains ont des grands enfants comme moi, voire un peu plus, d'autres ont des enfants en bas âge. On a beaucoup ri en partageant nos expériences et le plus marquant, c'est a priori le passage de l'adolescence, pour ceux qui connaissent... Les plus jeunes parents s'en inquiètent déjà en nous entendant ! Personne n'y échappe. Cela commence à peu près en quatrième et cela perdure jusqu'à la fin du lycée, parfois plus pour certains...

Antoine, actuellement en Terminale, en sort à peine.. Je commence à pouvoir rediscuter avec lui. Avec son papa, c'est un peu plus compliqué je trouve, mais cela va revenir. J'ai confiance. C'est un jeune homme sain, bien dans son corps et dans sa tête, qui a la chance d'avoir deux parents totalement différents et de pouvoir faire une moyenne entre mon côté sérieux et inquiet et le côté drôle et insouscient de son père...

Ce soir, il a donc eu son cadeau : la montre qu'il a choisie la semaine dernière et qu'il aurait bien aimé emporter cette semaine...

Bon, photos du jeune en question :

DSC_0033

et du cadeau vu d'un peu plus près :

DSC_0028

Je la trouve un peu grosse par rapport à son poignet mais le bijoutier n'a pas tranché et m'a dit que chacun aime les montres plus ou moins volumineuses. Sinon, parmi toutes les montres qu'Antoine a essayées, c'est celle que je trouvais la plus jolie.

 

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13 janvier 2016

Une dernière danse

Derrière les tours majestueuses de l Alhambra, les ruelles de Grenade résonnent de musique et de secrets. Venue de Londres pour prendre des cours de danse, Sonia ignore tout du passé de la ville quand elle arrive. Mais une simple conversation au café El Barril va la plonger dans la tragique histoire de la cité de Garcia Lorca et de la famille qui tenait les lieux. Soixante-dix ans plus tôt, le café abrite les Ramirez : trois frères qui n ont rien d autre en commun que leur amour pour leur s ur, Mercedes. Passionnée de danse, la jeune fille tombe bientôt sous le charme d un gitan guitariste hors pair. Mais tandis que l Espagne sombre dans la guerre civile, chacun doit choisir un camp. Et la fratrie va se déchirer entre résistance, soumission au pouvoir montant, ou fuite.

Mon attente était grande sur ce livre «Encore une danse » de Victoria Hislop car le précédent livre que j’ai lu d’elle, « l’ile des oubliés » est classé en première position dans mes livres préférés !!

Du coup, je suis un peu déçue pour plusieurs raisons :

Il y a tout d’abord beaucoup trop de similitudes entre les deux histoires : une femme mène une enquête sur une famille, dans un pays qui n’est pas le sien (l’une en Crête, l’autre en Espagne) et qui s’avère être leur propre famille.

Ensuite, il y a des hasards extraordinaires dans cette histoire qui font que l’héroïne va en Espagne dans la ville dont est originaire sa mère (alors qu’elle ignorait qu’elle venait de Grenade !), qu’elle rentre dans un café, LE café où l’homme qui le tient lui raconte une histoire, et cette histoire s’avère être celle de sa famille !!! Le « secret » est à mon avis éventé en page 535 alors qu’on n'est probablement sensé le comprendre que page 581… sachant qu’on subodore  tout cela bien avant…

Le fait qu'il y est deux périodes dans l'histoire (années 2000 et années 1930) est peut-être superflu. L'histoire de Sonia apporte peu, on aurait pu se contenter des évènements touchant la famille Ramirez pendant la guerre civile.

Côtés positifs car il y en a :

- C’est très bien raconté (même si je trouve qu’il y a des longueurs et des répétitions inutiles, j’ai mis 10 jours à le lire à cause de cela),

-  J’ai appris beaucoup de choses sur la guerre civile espagnole, ce livre est bien documenté et en fait presque un roman historique,

- On s’attache aux personnages, particulièrement bien décrits.

- La danse du Flamenco est expliquée et mise en avant,

- J’ai passé un bon moment de lecture (merci Bédi !)

Je classe ce livre en 148ème position et lui donne une étoile

10 janvier 2016

Un peu de shopping

Vendredi soir, puisque c'était la réunion parents professeurs -et que j'avais compris que JP ne pourrait pas venir-, j'ai d'abord décidé de prendre mon après-midi (pour être là dès le démarrage compte tenu du temps de route), puis la journée complète en récupération.

Du coup, après qu'Antoine ait essayé de négocier -sans succès- pour ne pas assister à ces échanges afin de rentrer plus tôt, je lui ai proposé de manger ensemble le midi.

Je l'ai pris vers 11 h 30 au Lycée avant d'aller manger... au Mac Do ! Cela a été l'occasion de discuter un peu.

Ensuite, avant qu'il ne reprenne les cours, nous avons acheté son cadeau d'anniversaire. Il souhaitait une jolie montre.

Pendant le temps de son cours de l'après midi, j'ai fait les boutiques dont mon magasin de chaussures préféré.

J'ai acheté deux paires (pour le prix d'une, merci les soldes !).

Voici la première (super confortable) :

IMG_1988

et la seconde que j'aime beaucoup aussi :

IMG_1989

Je me suis trouvé également deux pantalons (rarement aussi bien adaptés à ma morphologie, ils ne baillent pas à la taille (oh joie !!), ils sont de la bonne longueur (si, si !) et d'une texture très agréable) et un chemisier.

Après les cours (et avant la réunion parents professeurs), nous avons acheté deux jolies chemises à Antoine. Un peu cintrées dans le dos, elle lui donne une belle silhouette et mettent ses proportions (pour ne pas dire muscles ;o) !) en valeur.

9 janvier 2016

Rencontre Parents Professeurs

Hier, c'était la réunoin Parents Professeurs au Lycée.

Normalement, la dernière (si tout se passe bien pour le bac !). Youpi tralala !! Bon, à ma décharge, il faut savoir que dans ce genre de rencontre, on passe plus de temps à attendre dans un couloir rempli de courants d'air qu'à voir les professeurs...

Nous en avons vu 5.

Nous avons commencé par l'histoire. Les notes du 1er trimestre ne sont pas terribles mais la première note du 2ème trimestre et la note du bac blanc sont bonnes. Donc une progression que la professeure espère durable... Elle dit qu'Antoine dort en cours (encore !) et qu'il manque de volonté pour travailler dans sa matière (Tiens donc !?). On a parlé du programme un peu rébarbatif (les Etats-Unis, la Chine, ...). Elle le conçoit et trouve que l'année de terminale est la plus compliquée en Histoire-Géographie parce que transversale et que les élèves manquent de maturité pour cela.

Nous avons ensuite rencontré la professeure d'espagnol. Très dynamique. Elle a relevé un manque de travail et de participation d'Antoine. Elle était très agréablement surprise du 14 à l'écrit du bac blanc. Il faut qu'Antoine prenne davantage de notes (encore !) et qu'il participe davantage.

La troisième professeure était la professeure principale et de mathématiques. Elle nous a fait un point sur le bac blanc. Sur 35 étudiants de la classe d'Antoine, seuls 6 auraient leur bac (!!), dont Antoine (Youpi !), 6 seraient au rattrapage, 23 de l'auraient pas (!!). Ce qui laisse une idée du niveau de la classe... Pour sa matière, Antoine n'a pas de problème. Elle lui conseille de travailler les Sciences Economiques. Elle lui a posé des questions quant à son choix d'orientation après la terminale. C'est encore assez vague et elle comprend la diffculté des jeunes de cet âge à se positionner et à trouver leur voie.

Nous avons vu la professeure de philosophie. Le premier trimestre est bon et le bac blanc excellent.

Nous avons terminé par la professeure de Sciences Economiques qui a très bien cerné Antoine. Elle pense que la filière lui convient mais malheureusement il est parfois "endormi" en cours. Elle dit qu'il a le potentiel pour être un très bon élève et qu'il est capable de bien faire mais qu'il a du mal avec l'aspect méthodologique.

Globalement, même sentiment que d'habitude. Antoine dort parfois en cours (les professeurs comprennent que les entraînements intensifs de judo le fatigue mais insistent sur le fait qu'il a choisi de cumuler les deux), qu'il a des capacités qu'il n'exploite pas suffisamment à cause d'un manque de volonté et de travail (l'histoire de la vie scolaire d'Antoine !!). Antoine promet (comme à chaque fois) de faire des efforts...

 

3 janvier 2016

le liseur du 6h27

Présentation de l’éditeur

Peu importait le fond pour Guylain. Seul l’acte de lire revêtait de l’importance à ses yeux. Il débitait les textes avec une même application acharnée. Et à chaque fois, la magie opérait. Les mots en quittant ses lèvres emportaient avec eux un peu de cet écœurement qui l'étouffait à l’approche de l’usine.» Employé discret, Guylain Vignolles travaille au pilon, au service d’une redoutable broyeuse de livres invendus, la Zerstor 500. Il mène une existence maussade, mais chaque matin en allant travailler, il lit aux passagers du RER de 6 h 27 les feuillets sauvés la veille des dents de fer de la machine…

Jolie pépite que ce livre de Jean-Paul Didierlaurent qui me donne envie de découvrir d’autres oeuvres de cet auteur. Le début est un peu sombre peut-être et on craint une triste issue pour ce héros auquel on s’attache, mais au fil des pages (pas assez nombreuses d’ailleurs !), de jolies rencontres viennent égayer son quotidien et donner un sens à sa vie. L’histoire commence réellement à la fin du livre et on aimerait bien connaître la suite… mais cela laisse place à notre imagination.

Je classe ce livre en 16ème position (j’ai du mal à détrôner les 15 premiers et le côté un peu sombre du début m’en empêche) et lui donne 3 étoiles.

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1 janvier 2016

Petit bilan sur mes lectures

Lorsque j'ai participé à la bourse aux livres (voir mon billet du 14/03/15), une des personnes que j'ai rencontrée m'a demandé combien de livres je lis par an. Je n'ai pas su lui répondre car je ne m'étais jamais vraiment posé la question. Suite de cette question, je me suis dit qu'un jour je ferai le calcul, assez facilement, puisque je consigne et classe tout...

Du coup, aujourd'hui, au moment où tout le monde fait le point sur tout ce qui s'est passé l'année dernière, j'ai fait le bilan sur les 4 dernières années de lecture :

- en 2012, j'ai lu 61 livres,

- en 2013, 58,

- en 2014, 71,

- cette année 2015, 65,

Assez régulière en fait...

Et là, je vais attaquer "le liseur du 6h27" de Jean-Paul Didierlaurent.

 

31 décembre 2015

Cuisine terminée !

Il restait deux petites choses à finaliser dans la cuisine.

Le plan de travail sur la partie de gauche selon le même motif (chêne boréal !) que celui de droite (commandé sur mesure et reçu il y a 3 jours) qu'Eddy a posé hier :

IMG_1984

Le luminaire pour remplacer la suspension de l'ancienne couleur (que JP avait posé dans le mauvais sens et dont le branchement ne fonctionnait pas. Eddy l'a remis comme il faut et il s'allume maintenant) :

IMG_1985

Voili, voilou. La cuisine est terminée...

Au programme pour le prochain passage d'Eddy : remettre la lumière dans le bureau. Il y a deux appliques que l'interrupteur n'alimente plus... depuis près de deux ans... Mais je n'en veux pas à mon chéri, on ne peut pas être doué pour tout !

29 décembre 2015

La dernière leçon

Présentation de l’éditeur

Madeleine, 92 ans, décide de fixer la date et les conditions de sa disparition. En l'annonçant à sa fille Diane, et à son fils Pierre, elle veut les préparer aussi doucement que possible à sa future absence. Mais pour ses enfants, c'est le choc, et les conflits commencent. Jusqu'à la fin Madeleine gardera comme ligne de conduite la dignité, l'humour et la passion de la vie, pour leur donner à tous, et en particulier à Diane, une émouvante "dernière leçon".

Je suis assez partagée sur ce livre de Noëlle Chatelet (j'avais adoré le précédent "la femme coquelicot" ! J'ai d'ailleurs acheté celui-ci sans avoir lu le précédent et sans faire attention qu'il s'agissait du même auteur...). Une part de moi ne comprend pas que l’on puisse décider de mourir à 92 ans parce que « fatiguée » et non pas souffrante ni malade. Une autre se dit que peut-être que je comprendrais si j’arrive à cet âge là… L’auteure est la fille de cette dame qui programme la date de sa mort. Elle a 3 frères ou sœurs mais ils ne sont pas du tout présents dans le livre (!?) car il est question exclusivement de cette relation mère-fille très (trop ?) fusionnelle. On a le sentiment que le cordon n’a pas été coupé (même si je suis très proche de ma maman, j’ai du mal à comprendre cette dépendance si forte). Depuis l’enfance, elle a cette peur irraisonnée de perdre sa mère. C’est donc un cataclysme quand celle-ci lui annonce qu’elle veut mourir. Je trouve qu’il y a beaucoup de répétitions et d’atermoiements sur son propre sort : elle va devenir orpheline à 59 ans ! Qui va la protéger ? Je suis donc un peu déçue de ce livre. J’attendais moi aussi de recevoir cette « dernière leçon ».

Je le classe en 201ème position et lui donne une étoile.

26 décembre 2015

La femme coquelicot

Quatrième de couverture

Marthe a soixante-dix ans. On pourrait croire que ce n'est plus l'âge de la passion. Pourtant, elle va s'autoriser à la vivre avec Félix, l'homme aux écharpes multicolores, son aîné de dix ans... Une passion faite de l'émerveillement des âmes et aussi celui des corps. Tout ce qu'une longue vie d'épouse et de mère ne lui a pas donné. Enfants et petits-enfants, qui l'avaient assez vite rangée à la rubrique « troisième âge » et « grand-mère gâteau », devront assister à la métamorphose de Marthe en cette femme coquelicot, éclatante et fragile, toute au bonheur d'aimer et d'être aimée.C'est un sujet tabou sur lequel la romancière de La Femme en bleu lève ici le voile, dans une époque où la vieillesse se voit intimer l'ordre d'être honteuse ou vaincue. Elle le traite avec une grâce, une émotion, un humour aussi, qui lui ont valu un accueil enthousiaste de la critique et du public.

Ce livre de Noëlle Chatelet est un véritable sucre d’orge. Il raconte avec douceur et délicatesse la rencontre et l’amour naissant de deux personnes de plus de soixante-dix ans. Les personnages sont particulièrement bien décrits et attachants. La couleur coquelicot donne tout son sens à la passion entre ces deux êtres. L'humour est présent aussi, surtout quand les rôles s'inversent et que les enfants deviennent ceux qui interrogent et s'inquiètent. C’est beau et touchant. J’ai adoré !

Je classe ce livre en 15ème position et lui donne 3 étoiles.

25 décembre 2015

Merci Père Noël !

Pour Noël, avec mon chéri, nous nous sommes offert un "cookeo". C'est un multicuiseur connecté avec des recettes intégrées auquel il est possible d'en rajouter d'autres via une application sur tablette ou smartphone.

Du coup, à peine rentrés, JP s'est lancé dans une première préparation. Il a choisi une recette avec des champignons et des pommes de terre en suivant les indications de la machine intelligente.

Au final, c'était très bon (validé par Antoine !) et ça donne envie de tester tout plein d'autres recettes !!

Il y a une option intéressante, à savoir d'obtenir sur le smartphone la liste des ingrédients à acheter quand on choisit une recette (que l'on soit prêt de l'appareil ou dans un supermarché !).

A suivre...

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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