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Le petit monde de So et de Fi

29 février 2016

Petit tour à Nantes

Jeudi après-midi, avec une collègue, nous sommes parties en voiture, direction Nantes car il y avait un salon des Formations Artistiques où nous représentions l'école pour laquelle nous travaillons.

De ma chambre d'hôtel, j'avais vu sur la Loire et sur le Centre des Congrès (où avait lieu le salon) :

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Le vendredi matin, nous avons monté le stand et comme nous avions un peu de temps avant l'arrivée des visiteurs en début d'après-midi, nous sommes allées faire un tour dans le centre ville.

Amandine, qui connaît un peu Nantes car elle y a de la famille m'a emmenée sur l'ïle aux machines. S'y trouvait "le grand éléphant" articulé mais que l'on n'a pas vu se déplacer car il était en pleine séance de révision :

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Juste à côté, le café de la branche, très original également :

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Sur les quais, nous avons vu le célèbre trois-mats, le Belem :

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Puis, nous sommes allées voir le château de Nantes (partie extérieure) :

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Partie intérieure :

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Vue du rempart du château :

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Un peu de tourisme, juste avant la journée et demie de salon... le démontage du stand samedi soir et le retour dimanche matin.

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29 février 2016

Ever

Présentation de l’éditeur

Depuis quatre ans, la mystérieuse mort de Vincent a séparé Lillie et Lou. Quatre longues et douloureuses années sans se voir, sans se parler. Mais lorsque le hasard les réunit à nouveau, ils n'ont d'autre choix que de s'accrocher et de basculer ensemble vers un destin qu'ils n'avaient pas prévu... Leur histoire d'amour passionnée deviendra-t-elle possible? "

Cité dans le livre « A bientôt mes amours » (que j’ai adoré) au même titre que « le petit prince », « les aventures de Tom Sawyer » ou «  le portrait de Dorian Grey », je ne me suis pas méfiée en téléchargeant « Ever » de Kessilya. Les notations et les commentaires des internautes étaient de plus unanimement bons.

En fait, c’est tout simplement une « lecture sentimentale » à l’eau de rose avec tous les clichés habituels : coud de foudre, héros riches et beaux, attirance inconditionnelle, relations sexuelles topissimes, …

Sauf que le scénario est assez faible, que l’enquête policière n’est pas du tout convaincante et qu’il y a beaucoup de répétitions et d’invraisemblances… Tout ça !

Je classe donc ce livre en 290ème position et ne lui donne pas d’étoile.

23 février 2016

Le portrait de Dorian Gray

Résumé tiré en partie de wikipédia (je n'ai pas trouvé de résumé vraiment satisfaisant) :

Dorian fait la connaissance de Lord Henry, un ami de Basil Hallward, un peintre reconnu. Conscient de la fascination et de la perversion que Lord Henry pourrait avoir pour son idéal de beauté, Basil demande à Lord Henry de ne pas tenter de le corrompre. Mais Dorian se laisse séduire par les théories sur la jeunesse et le plaisir de ce nouvel ami qui le révèle à lui-même en le flattant. Il formule le souhait que le tableau vieillisse à sa place pour pouvoir garder lui-même sa beauté d'adolescent. Par la suite le jeune homme tombe amoureux d'une comédienne, Sibyl Vane, et lui promet le mariage. Mais son amour pour Dorian empêche Sibyl d'incarner ses personnages comme elle le faisait auparavant et son jeu devient très mauvais, Dorian répudie Sibyl et la quitte brutalement, la laissant effondrée. En rentrant il remarque sur le portrait une expression de cruauté qu'il ne lui connaissait pas. Il commence alors à soupçonner que son souhait insensé pourrait s'être réalisé. Le lendemain, il apprend par Harry le suicide de Sibyl. Étonnamment, il ne ressent qu'une peine superficielle à l'annonce de cette mort. Le portrait a commencé à changer : l'âme de Dorian n'est plus celle du jeune homme innocent qui pouvait éprouver de la compassion pour ses semblables. Le style de vie de Dorian change alors radicalement. Montrant toujours une façade policée devant ses pairs, il court les bouges les plus infâmes de Londres, à la recherche de plaisirs de plus en plus raffinés. Il s'entoure d'objets rares et précieux, pierreries, parfums, tapisseries… Le tableau petit à petit s'enlaidit, à cause des signes de l'âge mais surtout des marques physiques du péché.

Je livre d’Oscar Wilde m’a fait penser à « la peau de chagrin » d’Honoré de Balzac. On y retrouve :

-  l’aspect magique (la peau de chagrin réalise les vœux tout en réduisant la durée de la vie de son propriétaire et le portrait vieillit à la place de l’original qui garde toute sa beauté et sa jeunesse),

-  le regret au final d’avoir profité de certains plaisirs :

  • au détriment de la durée de sa vie pour l’un
  • au détriment de ses amitiés et sous couvert d’une très mauvaise conduite pour l’autre.  

Il y a des longueurs dans ce livre, notamment lorsque l’auteur nous décrit les objets rares et précieux dont le héros cherche à s’entourer (!).

J'ai bien aimé la morale de ce livre.

Je classe ce livre en 322ème position et ne lui donne pas d’étoile.

 

21 février 2016

1/2 finale Championnat de France

Hier, c'étaient les demi-finales du Championnat de France cadets. S'étaient qualifiés tous les judokas classés entre 1er et 7ème du championnat départemental (Antoine avait fini 1er du championnat départemental).

Il y a deux demi-finales dans 9 villes de France (une le 20 février et une le 12 mars). Le but est de finir 1er ou 2ème pour se qualifier directement au Championnat de France à Paris ou alors de faire 3ème aux deux demi-finales. Tous les autres judokas ne sont pas qualifiés.

Ils étaient 22 dans la catégorie d'Antoine des moins de 60 kilos (Antoine était au poids : 59 kg 900) :

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Je n'ai pas de photo du premier combat car j'avais pris la caméra et du coup, comme JP ne m'avait pas encore rejointe dans les gradins, je ne pouvais filmer et prendre des photos en même temps... JP a pris le relais sur les autres combats avec la caméra.

Antoine a gagné le premier combat grâce à deux waza aris avec la même prise, à savoir un makikomi.

Pour le deuxième combat, Antoine marque ippon également sur makikomi :

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Lors du 3ème combat, il utilise 3 fois sa prise fétiche, le sumi gaeshi et gagne par 3 yukos :

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Il arrive donc en demi-finale. Il perd contre un judoka de Pithiviers, également au Pôle France d'Orléans par 2 waza ari.

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Du coup, il est amené à faire un 4ème combat pour obtenir la 3ème place. Celui-ci se déroule en 10 secondes où Antoine gagne par ippon grâce à un sumi gaeshi :

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Le podium :

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Petite photo avec son coach, Jérémy et son papa :

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La suite se décidera donc à Amiens le 12 mars. Antoine doit faire un podium (au pire la place de 3) s'il veut se qualifier pour le Championnat de France.

21 février 2016

A bientôt mes amours

Présentation de l’éditeur

Ava, trentenaire paumée, est enfermée dans un hôpital psychiatrique. Elle ne sait plus où sont ses enfants, passe son temps droguée par les médicaments ou en isolement. Jusqu'au jour où un mystérieux inconnu entre dans sa vie. Grâce à lui, et à un humour décapant, elle va tenter de retrouver ses souvenirs et reprendre une vie normale. Au milieu de coups bas entre résidents, de séances d'électrochocs musclées, et de la douloureuse réalité, il lui faudra du courage pour continuer son chemin vers la guérison. Pourra-t-elle s'extirper de sa condition ? Sa volonté sera-t-elle suffisante pour la faire revivre ?

C’est un livre magnifique d'Albine Tangre, j’ai accroché dès les premières lignes. L’univers de l’hôpital psychiatrique nous y est décrit dans toute sa dureté. Au fil des souvenirs qui lui reviennent et qu’elle écrit dans son journal intime, on découvre petit à petit ce que fût l’existence d’Ava avant son internement. Pas gâtée par la vie, on apprend et on comprend pourquoi elle en est arrivée là.

Je classe ce livre en 52ème position et lui donne 3 étoiles.

 

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18 février 2016

Entre mes mains le bonheur se faufile

Présentation de l’éditeur

Depuis l’enfance, Iris a une passion pour la couture. Dessiner des modèles, leur donner vie par la magie du fil et de l’aiguille, voilà ce qui la rend heureuse. Mais ses parents n ont toujours vu dans ses ambitions qu’un caprice : les chiffons, ce n est pas « convenable ». Et Iris, la mort dans l âme, s est résignée. Aujourd’hui, la jeune femme étouffe dans son carcan de province, son mari la délaisse, sa vie semble s être arrêtée. Mais une révélation va pousser Iris à reprendre en main son destin. Dans le tourbillon de Paris, elle va courir le risque de s ouvrir au monde et faire la rencontre de Marthe, égérie et mentor, troublante et autoritaire...

J’ai bien aimé ce livre d’Agnès Martin-Lugand où on se plait à retrouver l’héroïne à chaque moment de lecture. Elle décrit parfaitement la passion d’Iris pour la couture et la création. Quant à la fin, j’aurais bien aimé qu’ils choisissent la deuxième option, la première étant un peu trop facile à mon goût…

Je classe ce livre en 150ème position et lui donne une étoile.

17 février 2016

L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes

Présentation de l’éditeur

Les hommes sont omniprésents dans cet immeuble de femmes... dans leurs nostalgies, leurs blessures, leurs colères et leurs désirs enfouis. Cinq femmes d'âges et d'univers différents unies par un point commun fort : elles ne veulent plus entendre parler d'amour et ont inventé une autre manière de vivre ... Jusqu'au jour où une nouvelle locataire vient bouleverser leur quotidien. Juliette est séduite par leur complicité, leur courage et leurs grains de folie. Mais elle, elle, n'a pas du tout renoncé ! Et elle le clame haut et fort. Va-t'elle faire vaciller les belles certitudes de ses voisines ?

Ce livre de Karine Lambert est agréable et se lit facilement. L’idée est amusante mais reste un peu « cliché ». Renonce-t’on à ce qui est susceptible de faire souffrir ? Si oui, il y a plein de choses dans la vie que l’on ne tenterait plus. Quant à la fin de l’histoire, je la trouve légèrement rapide, pas trop en phase avec le reste du livre et quelque peu irréaliste.

Je classe ce livre en 193ème position et lui donne une étoile.

immeuble

15 février 2016

Machine de guerre...

Alors voici la machine de guerre que je viens de recevoir :

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Nous sommes allés voir avec mon chéri chez Boulanger mais le seul exemplaire disponible en magasin était un peu cher : 80 euros !

Du coup, j'ai regardé sur Amazon et trois jours après (et moyennant seulement 20 euros), je l'avais !

Mais qu'est-ce, me direz-vous ?

C'est une lampe LED pour sécher les ongles (avec minuteur intégré) !!

En fait, j'avais commandé des vernis (toujours sur Amazon !) mais je n'avais pas fait attention au fait qu'il s'agissait de vernis en gel semi-permanent à sécher sous ce type de lampe... On en apprend tous les jours !

J'ai fait un premier essai et effectivement, ce n'est pas du tout la même texture et a priori ce vernis dure 15 jours à 3 semaines au lieu d'une semaine avec du vernis habituel.

Par contre, il faut avoir du temps devant soi car il faut :

- mettre la base et la sécher 4 minutes (2 minutes ce n'est pas assez),

- mettre la première couche de vernis et la sécher 4 minutes,

- mettre la deuxième couche et re 4 minutes de séchage

- et enfin appliquer le top et 4 minutes de sechage.

Le tout multiplié par deux mains, cela fait 32 minutes (sans compter le temps de pose du vernis) !!

J'ai pensé à ma marraine (que je n'ai pas vu depuis hyper longtemps !) mais qui passait (et passe toujours sûrement) une après-midi complète à s'occuper de ses ongles et du coup je comprends mieux... (Bon, je n'irai pas jusque là !).

De mon côté, c'est juste une lubie (lancée par ma nièce à Noël)... Je ne sais pas combien de temps je vais m'occuper de mes ongles mais pour l'instant cela m'amuse.

Par contre, j'ai vu qu'il faut retirer ce vernis avec de l'acétone et gratter avec un repousse cuticule (que j'ai reçu avec la lampe !). Cela sera sûrement pas très facile à enlever...

La suite au prochain épisode.

15 février 2016

Le bonheur de l'admission-post-bac !

Antoine est en Terminale et doit donc faire des choix pour l'année prochaine.

Il doit remplir des voeux sur un site internet, l'APB (admission post-bac).

Sur ce site, il a un compte personnel avec un dossier personnalisé (où figurent les renseignements le concernant et où les bulletins de première et de Terminale sont déjà enregistrés par le Lycée).

Il faut ensuite trouver les formations qui l'intéressent (le site est assez bien fait pour cela), les sélectionner et les ordonnancer par ordre de préférence.

La difficulté pour Antoine (et pour bien d'autres élèves de Terminale), c'est d'avoir une idée de ce qu'ils ont envie de faire comme métier. A 17 ans, on n'a pas forcément arrêté son choix.

Ces dernières années, Antoine a pensé à différents métiers comme vétérinaire (il y a déjà plusieurs années), puis magistrat ou avocat (il a fait son stage de découverte de 3ème dans un cabinet d'avocats), puis professeur de sports, puis inspecteur de police, ou bien les métiers dans l'informatique ou dans les ressources humaines (je lui ai pris un RV en décembre avec le RH de mon entreprise) et depuis peu il souhaite de devenir professeur des écoles.

Je connais bien mon fils (enfin je pense !) et je me dis qu'il aura peut-être du mal à faire 5 ans d'études, surtout si les études ne sont pas assez "concrètes". C'est ce qu'il reproche au lycée actuellement où il trouve que les cours sont trop généraux et pas intéressants.

Du coup, je lui ai suggéré de faire un DUT carrières sociales (qui mène aux métiers d'animateur dans les centres sociaux, les services municipaux, les foyers de jeunes, ...), puis de faire une licence "sciences de l'éducation" et ensuite le Master MEEF qui permet de préparer le concours de professeur des écoles.

Je me dis ainsi que s'il veut arrêter avant les 5 ans, il aura déjà un diplôme en deux ans qui lui permettra de trouver un travail.

Le problème, et il est de taille, c'est le taux de sélection du DUT. La pré-selection sur dossier garde un étudiant sur 4 (et son dossier scolaire n'est pas extraordinaire, certains commentaires de professeurs lui reprochant son manque d'engagement) et l'épreuve orale sélectionne ensuite 1 étudiant sur 3 !

Le deuxième problème, c'est que s'il va en Pôle France de judo (il n'y en a que 5 en France !), le DUT "carrières sociales" ou la licence "sciences de l'éducation" n'existent pas partout, loin de là !

Et enfin, le troisième problème, également lié à une éventuelle sélection en Pôle France, c'est que le DUT demande 35 h d'études par semaine (sans compter le travail personnel) et si l'on rajoute les 20 h de sport, cela paraît impossible à gérer même s'il obtient une dérogation de la commission du sport de haut niveau pour un aménagement de son temps d'études...

Alors, on regarde d'autres licences (mais là encore je me dis qu'Antoine sera moins livré à lui-même s'il choisit un BTS ou un DUT) et le problème d'une licence, c'est que cela reste une formation "généraliste" et que cela ne forme pas à un métier, la spécialisation arrivant généralement au moment du master.

Je stresse un peu mais je suis bien la seule à la maison car JP est sûr que son fils est capable de mener de front les études et le judo (!) et que 5 ans, ce n'est rien ! Antoine quant à lui, n'est pas inquiet. Je lui réclame depuis 3 jours la lettre de motivation pour le DUT et je n'ai toujours rien récupéré. Je pense que les 2 loustics comptent beaucoup sur moi pour tout ça... 

 

13 février 2016

Articles dans le journal...

 

Antoine est dans le journal !

Un bel article. Merci à son club !!

Et la photo, c'est moi qui l'est prise ;o)

20160213 Article Champion Département

Il y en avait eu un autre en janvier où Antoine était cité également (en deuxième partie de l'article) :

20160129 Article Tournoi de France

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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