Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le petit monde de So et de Fi

8 décembre 2013

Comment perdre son dimanche ?

Aujourd'hui, tournoi de Label A à Harnes.

Du beau monde car en dehors des français de toutes régions, il y a aussi des belges, des hollandais, des anglais, des allemands, des russes, des gabonais (!), des américains (!), ...

Pesée des garçons à 10 h, nous sommes là à 9 h 40, trouvons difficilement une place dans les gradins car énormément de monde (et énormément 10 tapis.

La compétition des filles se terminera à 13 h !!

Antoine sera appelé à 13 h 30 au tapis n° 5. On était face aux tapis 1, 2 et 3. On change donc de place dans les tribunes (c'est le cas quasiment à chaque fois). Ils sont 64 dans sa catégorie (au passage, il n'a pas réussi à rester en moins de 50 kilos, du coup il est en moins de 55 !!). Vu le nombre de combattants, ils sont divisés en 2 poules, Antoine est dans la A.

Sur le même tapis où les 54 moins de 55 sont appelés il y a aussi les moins de 50 ! Du coup, on informe les moins de 55 de revenir dans une heure et demie, soit vers 15 h ! Antoine remonte dans les tribunes et mange un bout de sandwich.

Finalement on appelle sa catégorie sur le tapis n° 9 (dans une autre salle !) et l'autre poule sur le tapis 10. Dans cette salle, pas de gradin mais des chaises d'où on ne voit rien quand on est assis puisqu'il y a des ballustrades avec de la publicité dessus. Les plus de 70 kilos n'ont d'ailleurs pas terminé leur compétition sur les tapis 9 et 10, il faut donc attendre encore.

Antoine commencera sa compétition à 16 h (!). Le combat durera 30 secondes pendant lequel il marquera un wazaari mais perdra sur ippon. Antoine est cadet 1, il a encore deux saisons en cadet pour progresser mais bon sang qu'est-ce qu'on aura passé comme temps, mal assis sur des bancs (à cette compétition et à toutes les autres !) et sous une chaleur étouffante 

Aujourd'hui, on aura donc passé 6 h 45 sur des bancs en bois où on aura eu mal aux fesses pour 30 secondes de combat...

Pourquoi faire une pesée à 10 h alors que les cadets ne commencent réellement qu'à 13 h 30 ? Je ne comprendrais jamais !

Publicité
Publicité
27 novembre 2013

Cohabitation interdite

Présentation de l’éditeur

Ils sont jeunes, beaux, et ils s'aiment. Tout devrait donc être pour le mieux dans le meilleur des mondes... Mais il y a un "mais", et de dimension. Alice est la porte-parole adjointe du parti dont le leader occupe l'Elysée. Guillaume est un député en pleine ascension dans l'opposition. Provincial, né dans une famille où on a toujours voté à gauche, il n'a a priori aucun point commun avec cette grande bourgeoise parisienne dont la famille est solidement ancrée à droite. Pourtant, l'amour les a surpris un soir, sans crier gare. Depuis, ils doivent vivre leur passion en clandestins, à l'insu de tous. Adultes, libres de toute attache sentimentale, ils en sont réduits à se cacher comme des enfants ou des adolescents. Si, dans leurs partis respectifs, leurs "amis" apprenaient leur liaison, ce serait la catastrophe et un coup de frein, peut-être fatal, à leurs carrières en plein essor. Alors, comment vont-ils se sortir de cette situation ?

« Cohabitation interdite » de Patrick Philippart est un livre agréable à lire. On connaît la fin dès le début puisque l’auteur revient sur les évènements après avoir évoqué la situation finale, ce qui enlève un peu de suspens. On y évoque le milieu politique dans lequel on se doute que tous les coups sont permis.

Je classe ce livre en 123ème position et lui donne 1 étoile.

24 novembre 2013

Danses de salon

Nous avons repris depuis septembre des cours de danse en Belgique. Nous avions suivi des cours il y a une dizaine d’années (voire même un peu plus) pendant 5 ou 6 ans. Le problème, c’est que l’on oublie si l’on ne pratique pas. Du coup, maintenant que JP a un peu plus de temps, on s’y est remis.

On a repris au niveau débutant et petit à petit les souvenirs reviennent. Pour l’instant, on a étudié en cours les pas de base du rock à 4 temps, du cha-cha, du tango, du quick step et une danse en ligne.

Hier, le club de danse organisait un repas dansant. On a pu mettre en pratique nos nouvelles connaissances. Même si nous étions estampillé « débutants » car tous les débutants avaient un badge avec leur prénom, les gens de notre cours ont pu constater qu’il nous restait des brides de souvenir de nos cours précédents. Nous avons même tenté une valse lente !

Il y a 6 niveaux de cours, je pense que nous pourrons envisager le niveau 2 l’année prochaine. Certains restent plusieurs années sur le même niveau. JP trouve que cela ne va pas assez vite mais bon il faut bien reprendre les bases !

Le jeudi, nous allons dans un autre club, français celui-là, ami du club belge, pour des entraînements. En fait, JP allant au théâtre le lundi soir, nous ne pouvions aller aux cours de ce club français dispensé par le même professeur ce jour là.

24 novembre 2013

Coupe du Hainaut

Aujourd’hui, compétition de judo dans le cadre de la Coupe du Hainaut.

Arrivée à 9 h 30 pour la pesée. Le problème, c’est que les benjamins et les minimes doivent passer avant que les cadets ne prennent la place. Résultat, Antoine ne débutera son premier combat qu’à 12 h 43, soit plus de 3 heures après notre arrivée.

Ils sont 5 dans sa catégorie. 5 ceintures marron.

Premier combat contre son ami Valentin. Il est d’un autre club mais Valentin et Antoine ont sympathisé depuis longtemps et s’affrontent régulièrement. Le combat est très accroché. Pas de cadeau entre eux. Antoine mène d’un yoko et réussira à garder cet avantage jusqu’à la fin du temps règlementaire de 4 minutes.

Deuxième combat plus facile contre un adversaire du même club que Valentin. Le combat dure 25 secondes, Antoine le gagne par ippon grâce à un étranglement (il a serré ses jambes autour du cou de son adversaire qui a été obligé de taper au sol pour signifier la fin du combat !!). Très impressionnant à voir.

Troisième combat où Antoine gagne également par ippon après 1 minute 15 de combat suite à un tomoe nage (planchette japonaise).

Le quatrième adversaire a l’air costaud, il est également du même club que Valentin (il a battu les 3 autres comme Antoine). Le combat est très physique. Antoine contracte ses bras car il a vu son adversaire faire des clés de bras lors de ses combats précédents. Antoine mène toutefois d’un yoko. A un moment, l’arbitre demande à son adversaire de se rhabiller. Celui-ci prend tout son temps pour remettre son kimono et ses deux ceintures et récuperer ainsi un peu d'énergie (il aurait mérité un shido !!). Le combat reprend et Antoine gagne à la fin du temps règlementaire (il a failli se faire surprendre car il pensait que le combat était terminé lorsque l’autre remettait ses ceintures car ils n’avaient pas la vue sur le temps écoulé).

Antoine finit donc 1er. Pour une compétition locale, le niveau était particulièrement élevé. C’est une bonne chose qu’Antoine y ait participé car il sera amené à les rencontrer à nouveau dans les compétitions officielles.

22 novembre 2013

Orchidée, Orchidée, que de fleurs !!

Je suis ravie car mes orchidées refont des fleurs.

Depuis que je les nourris à l'eau de pluie elles me font de jolies fleurs et les deux pieds en même temps !!

J'espérais que les boutons s'ouvriraient quand mon biquet est venu mais cela n'a pas été le cas, tant pis, les voici en photo :

IMG_0721

Publicité
Publicité
22 novembre 2013

Gâteau souvenir d'enfance

Il y a peu de temps, j'ai reparlé à mon biquet (ma maman) d'un gâteau qu'elle nous faisait quand nous étions enfants et plus particulièrement lors de nos anniversaires.

Il s'agit d'un gâteau aux noix et au chocolat.

Biquet a donc retrouvé la recette et Antoine la semaine dernière a essayé de faire le gâteau (avec des noix du jardin). Je dis bien essayer car il a fini à la poubelle. Il n'a pas dû réussir à épaissir la crème anglaise non sucrée.

Du coup, hier, j'ai retenté la recette (toujours avec les noix du jardin).

Je ne sais pas s'il est bon (on le goûtera ce soir) mais en tout cas il est beau :

IMG_0718

Voici la recette (recopié par biquet et envoyé par skype) :

Gateau d'anniversaire aux noix : 170 g de beurre fin, 130 g de sucre glace, 125 g de chocolat à cuire, 80 g de noix hachées, 10 1/2 noix non brisées, 1 verre de lait, 2 jaunes d'oeeufs, 150 g. de biscuits à la cuillère, un sirop fait de 1/2 verre d'eau, 1/4 verrre de Kirsch ou de Cognac, 1 cuillerée de sucre.

Mélanger et travailler énergiquement le beurre et le sucre pendant 10 minutes. Incorporer les noix hachées. Dans un bol, sur les jaunes d'oeufs, verser le lait bouillant et battre énergiquement. Verser dans une petite casserole et faire épaissir à feu doux en remuant sans cesse. Ne pas atteindre l'ébullition. Refroidir rapidement au bain-marie. Mélanger cette crème anglaise, non sucrée, au mélange précédent de beurre, de sucre et de noix.

Aucune inquiétude pour le démoulage du gateau si, avant toute chose, on a placé sur le fond du moule un rond de papier sulfurisé.

Garnir le fond et les parois d'un moule à quatre-quarts avec des biscuits à la cuillère coupés et retaillés. Imbiber, à l'aide d'une petite cuilllère les biscuits placés autour du moule, mais à peine à moitié.

Verser la crème aux noix. Egaliser. Achever de remplir avec le reste des biscuits retaillés. Asperger de sirop. Tasser légèrement. Poser une assiette plate dessus et mettre au freezer au moins 3 heures ou du soir au lendemain. Le délai écoulé démouler sur un plat plat, à tarte par exemple. Recouvrir de chocolat, ramolli au bain marie, avec deux cuillerées d'eau et une noix de beurre. Décorer avec les 1/2 noix. Planter les bougies d'anniversaire et remettre au réfrigérateur jusqu'au moment de servir.

Pour 8 personnes, 1 h. 10 de préparation. Pas de cuisson.

 

19 novembre 2013

La fleur sur la falaise

Présentation de l’éditeur

Enzo, solide gaillard, ne peut pas être considéré comme un solitaire, c'est simplement un homme qui cherche un coin tranquille, à l'abri des regards, pour finir tranquillement ses jours. Pourtant, même dans ce bout du monde, perdu dans les montagnes, son passé le rattrapera. Ce printemps 1959 pourrait bien être sa dernière saison sur cette terre qui s'éveille après un hiver rigoureux. Les hommes et les femmes de ces contrées sont rudes comme les montagnes qui les entourent et les isolent, cela n'empêche pas les rencontres amicales, voire amoureuses, mais également meurtrières. Il y a aussi cette mystérieuse petite fille, Flora, qui semble avoir pris ses habitudes dans la nouvelle demeure d’Enzo.
Elle possède quelques dons surprenants qui pourraient bien venir en aide à Enzo, ne dit-on pas : "On a toujours besoin d’un plus petit que soi…."

Ayant bien aimé les deux précédents livres de Patrice Vilette que j'ai lus, j'ai acheté "La fleur sur la falaise".

J’ai adoré les trois quarts du livre. A partir du moment où cela devient surnaturel je peux dire que j’ai décroché. Je veux bien admettre que certaines personnes ont des dons, qu’elles sentent des choses que les autres ne perçoivent pas et jusque là j’ai aimé l’histoire, les personnages et les situations. Par contre, mon esprit cartésien a refusé le passage où l'auteur nous emmène dans un monde fait d’esprits ayant des pouvoirs de téléportations, de parler sans qu’on les voit ou autres bizarreries de ce genre.

Je classe donc ce livre en 176ème position et ne lui donne pas d’étoile.

17 novembre 2013

Watsy Spawn, la dernière sirène

Présentation de l’éditeur :

Watsy Spawn sévit du 33ème étage de la tour Montparnasse. Elle y anime une émission de radio pour une poignée de fidèles noctambules en mal de conseils au vitriol.  Lorsqu’en direct, un auditeur lui annonce qu’il est en train de mourir, elle voit ressurgir les démons qu’elle avait cru enterrer, il y a longtemps, à des milliers de kilomètres. Ce soir, le sang coulera à nouveau dans la vie de Watsy Spawn. Plus que jamais déterminée à découvrir la vérité sur le suicide suspect de son assistante et sur l’identité de l’auditeur agonisant, elle entre dans une symphonie macabre qui la mènera jusqu’aux secrets de ses origines. Armée de son seul aplomb et de ses talons aiguille, elle tentera, soutenue par son amie, l’exubérante Baronne Éliane de Carantec, d’affronter ceux qui ont décidé de la supprimer.

Je ne suis pas une adepte des romans policiers et j’ai téléchargé « Watsy Spawn, la dernière sirène » de Jérémy Réynolds parce qu’il y avait de nombreux commentaires enthousiastes sur Amazon.

J’ai apprécié la façon d’écrire de l’auteur et les dialogues qui claquent. La personnalité  de l’héroïne est forte et on aime sa répartie, sa fougue et son humour. Elle arrive toujours à se tirer des mauvais pas (et il y en a un certain nombre tout au long du livre !). Par contre, j’ai trouvé l’intrigue assez tordue, voire irréaliste par moment. On attend des nouvelles d’un personnage qui ne viennent pas et c’est certainement pour cela que les commentaires sur amazon espèrent une suite…

Je classe ce livre en 102ème position et lui donne une étoile.

5 novembre 2013

La coupe Saint-Martin

Présentation de l’éditeur

Deux ans se sont écoulés et le château de Fraisac accueille désormais Célina, Hélène ainsi que Mamie Jeanne. Joseph, Le Doleur, a également accepté de vivre à Fraisac entre deux coupes de bois. Pour cette morte-saison il est embauché pour une coupe près d’Issoire. La proximité avec Fraisac lui permettra de revenir au château de temps en temps pour retrouver sa fille, Hélène, qui s’en réjouit.  À Saint-Martin, le Doleur croisera Gaëlle Sénéchal, la fille du propriétaire de la coupe. Peu de temps après cette première rencontre, celle-ci disparaitra dans des conditions particulièrement sordides. Cette coupe de bois, qui paraissait si monotone à Joseph, va le conduire dans des endroits où jamais il n’aurait imaginé se rendre, surtout contre son gré. 

J’ai aimé retrouver les personnages du « château de Fraisac » mais j’ai trouvé ce tome « La coupe Saint-Martin » de Patrice Vilette plus rapide et parfois moins crédible. Le personnage principal n’a tout de même pas de chance, dans le premier tome on lui enlève sa pupille, dans le second tome, il se trouve accusé d’un crime qu’il n’a pas commis, le bateau qui l’emmène au bagne coule, il se retrouve naufragé sur une île et sa pupille se fait attaquer par l’homme qui a commis le crime dont on l’accuse… un peu trop  de coïncidences à mon goût.

Il n’empêche que j’ai lu ce livre avec plaisir et attends le troisième (et dernier ?) tome avec impatience.

Je le classe donc en 44ème position et lui donne 2 étoiles.

4 novembre 2013

Le Château de Fraisac

Présentation de l’éditeur :

Septembre 1855, au village de Saint-Anthème, c’est la foire qui rassemble tout ce que le Forez compte comme scieurs de long et doleurs. C’est l’époque des embauches pour la morte-saison. Tous les hommes partiront pour neuf mois sur des coupes de bois à travers la France entière. Joseph Matheron, doleur de son état, vient lui aussi chercher de l’embauche. L’homme qui vient lui faire une proposition, ce jour-là, à l’air honnête, pourtant le salaire qui lui est proposé, dépasse de loin tout ce qui pourrait lui être offert pour ce même travail. Intrigué, mais ne pouvant refuser une telle opportunité, Le Doleur, comme tout le monde le surnomme, va rencontrer des hommes et une femme qui vont radicalement changer sa propre vie. Lui, le loup solitaire, qui ne croit en rien et ne compte sur personne, va s’attacher à une petite fille et vivre, pour elle, la plus belle des aventures, celle du partage, de l’abandon de soi. Dans toutes aventures il y a les mauvais coups, les lâchetés, l’innommable, mais surtout la puissance et le désintéressement de l’amour qui permet de tout surmonter.

J’ai a-do-ré !!

Je le classe en 12ème position et lui donne 3 étoiles car je n’ai pas réussi à le caser plus haut dans mon classement mais franchement j’ai eu le coup de cœur pour ce livre "Le château de Fraisac" de Patrice Vilette.

Il n’est apparemment disponible que sous format Kindle (liseuse de la fnac) et c’est bien dommage, j’aurais bien voulu pouvoir l’offrir !

Je suis rentrée dans l’histoire dès le premier chapitre, ce qui est assez rare pour être souligné. J’ai aimé le personnage principal et les liens qu’il tisse petit à petit avec les autres. On découvre des choses sur le métier de doleur que personnellement je ne connaissais pas.

C’est ce genre de livre dont on a envie de connaître la fin et qu’en même temps on ne voudrait pas vouloir terminer. Bon, c’est un peu le cas puisqu’il y a un tome II et que je me suis empressée de le télécharger à son tour…

 

Publicité
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 659
Publicité