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Le petit monde de So et de Fi
livres
3 décembre 2023

J'irai là où tu iras

Présentation de l’éditeur :

Isabelle a 32 ans, un chihuahua nain prénommé Woody-Allen et une carrière d’actrice comparable à celle du Titanic : catastrophique. Le jour où elle refuse d’épouser l’homme qu’elle aime, sous prétexte qu’elle ne veut pas d’enfant, elle se retrouve à la rue. Elle accepte alors le seul rôle qu’on lui propose : se faire passer pour l’irréprochable nanny du petit Nicolas, qui n’a pas prononcé un mot depuis la mort de sa mère, afin d’infiltrer sa famille et d’y exécuter une étrange mission. Elle part donc pour l’Italie, dans la maison de vacances familiale, loin d’imaginer à quel point la rencontre avec ce petit garçon blessé par la vie va bouleverser sa vision du monde.

C’est le 4ème livre de Marie Vareille que je lis et c’est celui que j’ai le moins aimé. Le début est plutôt pas mal, il y a de bonnes choses, surtout la relation d’Isabelle avec les 3 enfants dont elle doit s’occuper pendant 3 semaines et principalement avec Nicolas. Par contre, je trouve que cela devient de moins en moins crédibles sur la fin. Autant j’ai apprécié que cela ne se termine pas « à l’eau de rose », autant il m’a sembler que c’était un peu bâclé et un peu trop « gentillet ».

Je classe ce livre en 347ème position et lui donne une étoile.

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29 novembre 2023

La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour Eiffel

Présentation de l’éditeur :

« Chaque seconde qui passait était une seconde de vie perdue pour Zahera. Car la maladie progressait à pas d’ogre et l’hôpital, là-bas, n’avait pas les moyens techniques de s’en occuper. La petite fille ne devait donc son salut qu'à sa volonté de fer, et à l’espoir, maintenant, que sa maman vienne la chercher au plus vite. » R. P. Alors que la jeune et jolie factrice parisienne Providence Dupois s’apprête à partir en Afrique chercher la petite fille qu’elle aime le plus au monde, un volcan islandais se réveille, paralysant l’ensemble du trafic aérien européen. D’aéroport en monastère tibétain, commence alors pour elle le plus haletant et le plus prodigieux des voyages. L’amour donne des ailes. Êtes-vous prêt à vous envoler ?

C’est trop loufoque pour moi. J’avais pourtant bien aimé de même auteur « L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea » auquel j’avais mis 2 étoiles. La aussi, il y avait un côté loufoque et absurde et des situations toujours à la limite du possible, mais dans « la petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour Eiffel », ce n’est pas à la limite du possible, c’est carrément impossible et donc l’auteur me perd complètement (même si on apprend la vérité -plus crédible- plus tard). Et puis, on vous met plusieurs fins, histoires de choisir celle que l’on veut pour pas être trop triste quand on connaît ce qui s’est passé. Donc bof.

Je classe ce livre en 623ème position et ne lui donne pas d’étoile.

21 novembre 2023

Désanchantées

Présentation de l’éditeur :

La disparition de Sarah Leroy, quinze ans, a bouleversé la petite bourgade de Bouville-sur-Mer et ému la France entière. Dans chaque foyer, chaque bistrot, on élaborait des hypothèses, mais ce qui est vraiment arrivé, personne ne l’a jamais su. Vingt ans plus tard, Fanny revient sur les lieux de ce drame qui a marqué sa jeunesse. Et c’est tout un passé qu’elle avait préféré oublier qui resurgit... Car l’histoire de Sarah Leroy, c’est aussi un peu la sienne, et celle d’une bande de filles qui se faisaient appeler les « Désenchantées ». Une histoire qui a l’odeur des premières cigarettes et du chlore de la piscine municipale, des serments d’amitié et surtout, des plus lourds secrets.

J’ai eu l’impression tout au long de ce roman de l’avoir déjà lu ce livre mais il est trop récent pour cela. Peut-être me rappelle-t-il un autre livre mais je n’arrive pas à mettre "le souvenir dessus"… En tout cas, j’ai bien aimé, je l’ai même terminé d’une traite, d’une part parce que je n’arrivais pas à dormir mais également d’autre part, car j’avais envie de connaître la fin. Les personnages sont attachants, les allers-retours dans le passé ne sont pas gênants (comme parfois), l’histoire est bien ficelée et la fin surprenante.

J’ai déjà lu deux livres de Marie Vareille : « Ainsi gèlent les bulles de savon » classé en 13ème position et « la vie rêvée des chaussettes orphelines » classé en 196ème position.

Je classe ce livre en 99ème position et lui donne 3 étoiles.

16 novembre 2023

Ainsi gèlent les bulles de savon

Présentation de l’éditeur :

« Certains choix nous définissent à tout jamais, celui-ci en fait partie. À partir d’aujourd’hui, je peux bien écrire la neuvième symphonie, sauver le monde d’une troisième guerre mondiale ou inventer le vaccin contre le sida, on ne retiendra de moi que cet acte innommable : j’ai abandonné mon bébé, toi, mon minuscule amour aux joues si douces. Puisses-tu un jour me pardonner. » Trois pays, de vibrants portraits de femmes aux destins entrecroisés. Quel est le lien qui les unit ? Quelle est leur véritable histoire ?

J’ai adoré ce livre de Marie Vareille. C’est la première fois que je lis un livre si juste sur la maternité et le fait que l’instinct maternel ne soit pas quelque chose de si évident. De mon côté, j’ai eu une grossesse parfaite et un bébé magique qui a fait ses nuits au bout de 3 semaines mais je comprends que ce ne soit pas si facile pour toutes. L’auteure parle aussi du rôle du père et de ce qui pèse sur la mère, du baby blues et même de la dépression post-partum. On attend de la nouvelle maman qu’elle pourvoit à tout et le congé maternité doit lui permettre de tout concilier : le bébé, la maison, les courses, … et le papa dans tout ça ? le bébé n’a-t-il pas été conçu à deux ? Pourquoi le papa ne changerait-il pas les couches, ne ferait pas prendre le bain, ne e lèverait pas la nuit pour relayer la maman, … De plus en plus d’hommes le font, mais pourquoi cela reste-t-il encore trop le rôle de la maman uniquement ? L’auteure démystifie les clichés débiles sur l’idéalisation de la maternité que véhicule la société, et ça fait du bien.

Et puis elle parle aussi très bien de l'hypersensibilité "Tout ressentir plus fort, c'est aussi s'émouvoir de la couleur d'une feuille d'automne, de son parfait d'un mot ou des reflets d'une bulle de savon, c'est pleurer en écoutant de la musique, goûter une joie authentique dans une bouchée d'un gâteau, partir en voyage chaque fois qu'on ouvre un livre. C'est savoir reconnaître les bonheurs immenses dissimulés dans toutes les petites choses".

J'avais déjà lu un livre de cette auteure " La vie rêvée des chaussettes orphelines" classé en 195ème position avec 2 étoiles.

Je classe ce livre en13ème position et lui donne 3 étoiles. Je recommande !

12 novembre 2023

Les plus belles choses se vivent à l'intérieur

Présentation de l’éditeur :

Et si un simple retard pouvait tout changer ? Et si, pour trouver le chemin du bonheur, il fallait simplement regarder à l’intérieur en osant affronter ses propres vérités et celles des autres ?Hugo, la trentaine, est prêt à tout pour plaire à sa femme Anastasia, même à sacrifier ses rêves et ses valeurs profondes. De fil en aiguille, il s’est glissé dans la peau d’un autre et endosse un costume de jeune cadre dynamique plein d’ambition et assoiffé de reconnaissance sociale. Complètement dans son rôle, il ne se doute pas que le retard de son collègue Gary va tout bouleverser. Obligé de lâcher prise et de prendre du recul sur sa vie citadine, Hugo se lance dans un étonnant voyage qui l’amènera à la découverte de lui-même et de ses proches. De Lyon à Annecy, en passant par les hauts sommets alpins jusqu’à la trépidante Barcelone, plongez avec lui dans une tranche de vie qui ne le laissera pas indemne...et où il devra affronter toutes ses vérités.

Déçue par ce livre de Céline Fuentès, par ailleurs très bien noté par les lecteurs sur amazon… J’ai trouvé cela un peu simpliste, parfois même peu crédible :

-          Comme par hasard, la femme et le fils de son meilleur ami, la fille d’Antoine ainsi que la sœur de Gary se retrouvent dans la même ville.

-          Il suffit qu’Hugo vienne un week-end pour que son frère et sa petite amie décident de reprendre l’envie de tout ranger,

-          la famille de son collègue Gary l’accueille à bras ouverts alors qu’il s’est mal comporté avec lui, ...

Les dialogues sont parfois mal construits, j’ai eu du mal à ne pas garder un regard extérieur à tout ça.

Quand j’ai cherché dans mon tableau excel, l’endroit où positionner ce livre dans mon classement, je suis arrivée vers les livres classés dans les 600ème positions. Et j’ai vu alors, le précédent livre que j’ai lu de cette auteure.

Je classe donc ce livre, juste après celui-là « la vie en plus joli », en 616ème position et sans étoile.

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8 novembre 2023

Cerise au soleil

Présentation de l’éditeur :

Il n’est jamais trop tard !Esperanza est une animatrice radio proche de la retraite. Un soir de réveillon, sa vie bascule : son homme la quitte. À soixante ans, elle est anéantie. Esperanza pense que sa vie est terminée. Ses nouveaux voisins l’invitent à partager un verre dans leur appartement qu’elle trouve quelconque… Et pourtant c’est dans ce lieu sans âme que sa vie va radicalement changer. 

J’ai apprécié me plonger à chaque moment de lecture dans ce roman de Marie-Laure Voisard. On tombe dans l’illusion d’un roman autobiographique alors que ce n’est pas le cas. L’auteure nous parle de son livre comme du dernier qu’elle écrirait alors que c’est le tout premier.

J’ai bien aimé sa façon de nous dire que la vie peut apporter son lot de surprises à n’importe quel âge et que c’est à nous de décider de la façon de tenter de nouvelles choses.

Je classe ce livre en 278ème position et lui donne 2 étoiles.

6 novembre 2023

Philosophie de la vie quotidienne

Présentation de l’éditeur :

FAUT-IL À TOUT PRIX « PROFITER » DE LA VIE ? SOMMES-NOUS CAPABLES DE PARDONNER ? POURQUOI L'ATTENTE DURE-T-ELLE TOUJOURS TROP LONGTEMPS ? COMMENT SAVOIR SI L'ON EST FOU ? Ce qui occupe la plus grande partie de nos vies, ce sont des expériences en apparence banales, auxquelles nous ne voulons pas accorder trop d'impor­tance : les aliments que nous mangeons, les odeurs que nous sentons, les discussions que nous avons. Nous préférons nous intéresser à l'extraordi­naire, à ce qui est unique. Or, pourquoi l'ordinaire aurait-il moins de valeur que ce qui n'arrive qu'une seule fois ? N'est-ce pas justement parce que des préoccupations sont ordinaires que nous devrions les étudier ? Ne pourrions-nous pas analyser nos plaisirs, nos angoisses et nos hésitations à l'aide de la philosophie ? Cet ouvrage est l'occasion de partir de nos expériences quotidiennes pour nous étonner et ne pas passer nos vies à tourner autour des mêmes pensées. Au fil de cette promenade philosophique, nous rencontrerons des objets et des lieux de tous les jours qui interrogent notre rapport au monde, aux autres et à nous-mêmes. Pour tous ceux qui souhaitent une dose de philosophie quotidienne. 

Il y a des choses intéressantes dans ce livre, notamment pour moi les paragraphes sur les réseaux sociaux et sur la vieillesse. C'est une bonne idée de relier la philosophie au travail, à nos relations avec les autres, à nos actions de tous les jours. 

Je classe ce livre en 303ème position et lui donne 2 étoiles.

24 octobre 2023

La maison poussière

Présentation de l'éditeur :

"Elle a allumé un feu dans le foyer. Ça nous a un peu emboucanées, le temps qu'il se réchauffe. Lui non plus, il n'avait pas joué depuis tellement longtemps. Elle est allée chercher sa tasse préférée et la vieille théière, qu'elle a posées sur le coin du poêle, puis elle s'est emmitouflée dans une grosse douillette descendue de sa chambre et elle est partie à ma découverte. "Lorsqu'une inconnue pousse la porte de la maison Poussière, nichée sur l'île de Montréal, la vieille bâtisse bleue s'interroge : qui vient ainsi perturber ses années d'abandon et de solitude ? La nouvelle venue gratte, ponce, repeint, s'affaire sans relâche à nettoyer les souvenirs d'autres vies que la sienne, comme si elle cherchait à oublier un douloureux passé. Alors que le silence s'épaissit sous la neige d'un hiver sans fin, les murs commencent à livrer leur histoire : celle de Dumontine et d'Émerencienne, deux sœurs ayant habité là autrefois et dont les vies enfouies pourraient réparer le cœur de la jeune femme, si tant est qu'elle tende l'oreille aux murmures de la maison...

J’ai trouvé que cette maison qui parle et qui a des sentiments pour ses habitants est une jolie idée pleine de tendresse et de délicatesse. Les chapitres alternent entre la voix de la maison et la voix de son occupante, c’est vraiment original. J’ai beaucoup aimé ce livre et en même temps, je ne suis pas sûre d’avoir tout compris. Il y a beaucoup de décès dans cette histoire et on n’en connaît pas la raison, ou alors, j’ai manqué des trucs. Il y a pas mal de mots canadiens, il faut souvent regarder la signification.

Je classe ce livre en 282ème position et lui donne 2 étoiles.

21 octobre 2023

Des diables et des saints

Présentation de l’éditeur :

Qui prête attention à Joe ? Ses doigts agiles courent sur le clavier des pianos publics dans les gares. Il joue divinement Beethoven. Les voyageurs passent. Lui reste. Il attend quelqu'un, qui descendra d'un train, un jour peut-être. C'est une longue histoire. Elle a commencé il y a cinquante ans dans un orphelinat lugubre. On y croise des diables et des saints. Et une rose.

J’ai l’impression d’avoir été un peu flouée par rapport à la quatrième de couverture. Je ne pensais pas que la quasi-intégralité du roman se déroulerait dans cet orphelinat. On découvre au début du livre un homme de 69 ans qui joue du piano dans une gare et il ne raconte au final qu’une année de sa vie entre sa 15ème et sa 16ème année. Et puis, bien sûr, un orphelinat, dans les années 70, on se doute que ce n’est pas rose… J’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire, comme si j’avais gardé un regard extérieur. Je doute aussi du fait qu'il ait pu, sans entraînement pendant des années, gardé cette dextérité au piano. Et puis, je trouve que la fin n’en est pas une…

Je classe ce livre en 607ème position et ne lui met pas d’étoile. Je ne mets pas d’étoile, pas parce que c’est triste mais parce que je m’attendais à autre chose et que je n’ai pas vu « la beauté et le livre merveilleux » vanté par Agnès Ledig.

13 octobre 2023

Intuitio

Présentation de l’éditeur :

Timothy Fisher, jeune auteur de polar, mène une vie tranquille dans une rue du Queens à New York, avec son chat Al Capone. Quand deux agents du FBI se présentent à sa porte pour lui demander de les aider à arrêter l’homme le plus recherché du pays, il croit d’abord à une plaisanterie. Mais après un moment de rejet, il finit par accepter leur étrange proposition : rejoindre un programme secret visant à former des intuitifs, des personnes capables d’accéder à volonté à leurs intuitions. D’abord sceptique, Timothy, qui croyait avoir une existence banale, découvre que le monde cache des possibilités insoupçonnées. Il se retrouve embarqué dans une course contre la montre qui le conduit à apprivoiser ce pouvoir méconnu mais accessible à tous, un pouvoir qui nous montre la vie telle qu’elle est véritablement : extraordinaire.

J’ai déjà lu 5 livres auparavant de Laurent Gounelle : « Le jour où j’ai appris à vivre » classé en 71ème position avec 3 étoiles, « les dieux voyagent toujours incognito » classé en 86ème position avec 3 étoiles, « Et tu trouveras le trésor qui dort en toi » classé en 196ème position avec 2 étoiles, « Le philosophe qui n’était pas sage » classé en 519ème position avec 1 étoile et « l’homme qui voulait être heureux » classé en 718ème position sans étoile.

Pour ce dernier livre, j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire mais j’ai dévoré la fin. L’anti-héros devient héros petit à petit en se faisant confiance ainsi qu’à son intuition. Quant aux techniques utilisées pour développer son intuition, cela me laisse un peu perplexe et sujet à interprétation mais selon l’auteur, cela fonctionne…

Je classe ce livre en 145ème position et lui donne 3 étoiles.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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