Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
lecture
8 avril 2020

Famille parfaite

Présentation de l’éditeur

Les Denbe semblaient sortir des pages des magazines glamours : un mariage modèle, une belle situation, une ravissante fille de quinze ans, une demeure somptueuse dans la banlieue chic de Boston… Une vie de rêve. Jusqu’au jour où ils disparaissent tous les trois. Pas d’effraction, pas de témoin, pas de motifs, pas de demande de rançon. Juste quelques traces de pas et des débris de cartouches de Taser sur le sol de leur maison. Pour la détective privée Tessa Leoni, l’enlèvement ne fait aucun doute. Mais que pouvait donc bien cacher une existence en apparence aussi lisse ? Numéro un sur la liste des best-sellers du New York Times pendant plusieurs mois, ce thriller inquiétant de Lisa Gardner nous plonge dans l’intimité troublante d’une famille au-dessus de tout soupçon.

J’ai bien aimé ce livre de Lisa Gardner, prêté par Maryline. C’est bien ficelé, il y a des rebondissements intéressants. Les personnages sont attachants et chacun a son  petit secret qu'on découvre au fur et à mesure. On voit facilement arriver la fin de l’histoire mais c’est parce que l’auteure le veut bien, je trouve. J’ai passé un bon moment de lecture, c’est agréable et facile à lire.

Je classe ce livre en 239ème position et lui donne 2 étoiles.

Publicité
Publicité
3 avril 2020

Les gardiennes du silence

Présentation de l’éditeur

Chloé doit fuir Fécamp. Elle se réfugie sur Heldenskøn, petite île isolée entre la Manche et la mer du Nord. Ce n'est pas un hasard si la jeune femme a choisi cette destination sauvage et mystérieuse. Dans les archives familiales, elle a découvert un étrange manuscrit recouvert de plusieurs encres invisibles... Quel est le lien entre ce document et le monastère qu'elle aperçoit, perdu dans la lande ? Traquée et menacée, Chloé est-elle prête à aller au bout de la vérité ?

Mon sentiment sur ce livre de Sophie Endelys est en demi-teinte. Le livre se lit bien. Le premier passage où l’on retourne vers le passé est un peu abrupt. Après on suit les allers-retours assez facilement. Je trouve qu’il y a pas mal de répétitions sur la Société secrète, sur le désir de rassembler tous les livres depuis les débuts de l’impression par Gutenberg et la connaissance en un même lieu (mais la finalité me laisse perplexe, surtout avec l’ère d’internet ?). Après cela part un peu dans tous les sens, la dérive eugéniste, le fait d’utiliser la science sans aucune limitation de la morale ou l'éthique, le rêve d’immortalité et le fait de rendre muette les gardiennes du savoir (plutôt que du silence) me semble inutile car elles pourraient de toute manière communiquer autrement. Cela finit par noyer l’intrigue qui devient par trop complexe et qui tourne en rond. Quant à la fin, elle aurait mérité mieux, un peu bâclée à mon sens. J’ai dû relire certains passages après avoir lu l’intégralité du livre pour vérifier que je n’avais pas manqué quelque chose…

J’ai eu également un peu de mal à m’attacher aux personnages alors que c’est normalement le plus facile. Il y a pourtant pas mal de bonnes idées dans ce roman mais je les trouve mal exploitées, trop brouillonnes.

Je classe ce livre en 342ème position et lui donne une étoile.

22 mars 2020

Juste une mauvaise action

Présentation de l’éditeur

Le serge Barbara Havers est catastrophée : Hadiyyah, la fille de son ami Taymullah Azhar a été enlevée par sa mère. Azhar ne s'étant jamais marié avec Angelina et son nom ne figurant pas sur le certificat de naissance de leur fille, il n'a aucun droit juridique. Il n'a pas d'autre possibilité que de faire appel à un détective privé. Mais alors qu'ils retrouvent la trace d'Haddiyyah en Toscane, la petite se fait enlever. Cette dernière étant britannique, Scotland Yard et la police italienne vont devoir collaborer, non sans heurts. Et lorsque la presse s'en mêle, l'incident diplomatique n'est guère loin. C'est là que Lynley intervient...

J’ai bien aimé l’histoire et les différents rebondissements de ce roman policier d’Elisabeth George même si j'ai trouvé le début un peu laborieux (j'ai mis quasiment un mois pour livre ce livre de 698 pages !!). J’ai beaucoup moins aimé les façons de procéder, à la limite de la légalité, voire même au-delà, de Barbara Havers pour aider son ami Taymullah. Elle est sur le fil du rasoir tout au long de l’histoire et j’ai trouvé cela fatiguant, usant, … J’ai cependant adoré le personnage de l’inspecteur Lynley.

Une chose qui m’a également beaucoup, mais beaucoup agacé, ce sont tous les passages en italien et en italique. Parfois, on comprend juste après parce c’est redit d’une autre manière en français et parfois non. J’ai trouvé cela inutile. Certains protagonistes étant italiens, on se doute bien qu’ils parlent italien !

Il y a apparemment beaucoup d’autres livres du même auteur racontant des épisodes précédents (18 enquêtes précédentes !) et notamment sur ce qui est arrivé à la femme de l’inspecteur Linley, je vais voir si je peux en trouver quelques-uns (je ne suis pas forcément fan de romans policiers mais pourquoi pas...). Cet exemplaire est un livre que j'ai récupéré de chez maman.

Je classe ce livre en 240ème position (sur 544 dans mon classement) et lui donne une étoile.

24 février 2020

Steve Jobs

Présentation de l'éditeur

À partir d'une quarantaine d'interviews exclusives et de multiples rencontres avec sa famille, ses proches, ses collaborateurs, ses amis comme ses adversaires, Walter Isaacson a reconstitué d'une façon magistrale et passionnée la vie, l'œuvre et la pensée du fondateur d’Apple, l’un des plus grands innovateurs et visionnaires de notre époque.

Cette biographie de Walter Isaacson est très intéressante. J'ai appris beaucoup de choses; On découvre Steve Jobs dans ce qu'il a créé de meilleur ainsi que sa personnalité forte et souvent difficile pour ses proches et ses collaborateurs. La difficulté que j'ai eue c'est le grand nombre de personnes dont il est question. Il est parfois nécessaire de se reporter "aux personnages" pour comprendre qui est qui quand on n'a pas parlé d'une personne depuis un petit moment. A la fin, je ne faisais plus cet "effort" et je ne pense pas que cela a nui à ma compréhension de la biographie.

Ce livre comporte plus de 900 pages et il est donc très très détaillé... Etait-ce indispensable ?

J'ai trouvé particulier aussi le fait de ne pas y aller de façon toujours chronologique mais parfois par sujet : famille, invention, Apple, maladie, ...

Je classe ce livre en 265ème position et lui donne une étoile.

6 février 2020

Le diamant de Saint-Pétersbourg

Quatrième de couverture

Valentina Ivanova, fille aînée du ministre des Finances du Tsar, dont tout Saint-Pétersbourg admire la beauté et le talent de pianiste, n'aurait jamais cru devoir un jour faire une telle promesse à sa soeur. N'étaient-elles pas destinées à une vie de plaisirs et d'oisiveté au sein d'une des cours les plus fastueuses du monde ? Et pourtant, en cet hiver 1910, la révolution gronde et le danger se fait chaque jour plus menaçant pour les aristocrates russes. Alors que son univers vacille, Valentina se battra pour défendre le plus important : sa famille, mais aussi son indépendance et son amour pour un homme qui n'est pas celui qu'on lui destine…

J’ai bien aimé ce livre, offert par ma grande soeur à Noël, car on suit les pas d’une héroïne de caractère qui souhaite devenir infirmière alors que dans son milieu aisé les femmes ne travaillent pas.

J’ai moins apprécié :

-          un moment pas très crédible du livre où Jens se retrouve à cheval en plein milieu d’une manifestation sanglante et qu’il rencontre, comme par hasard, deux autres protagonistes de l’histoire parmi des milliers de personnes

-          la suite qui découle de cette rencontre et qui aurait pu être évitée si Valentina avait fait un choix plus judicieux à un moment donné.

J’ai aimé, malgré ces deux points, ce roman de Kate Furnivall sur fond de documentation historique. Je ne serai pas surprise qu’il y ait une suite vu la fin de l’histoire qui n’en est pas tout à fait une.

Je classe ce livre en 206ème position et lui donne 2 étoiles.

Publicité
Publicité
31 janvier 2020

Chagrin d'école

Présentation de l'éditeur

Un livre de plus sur l'école, alors ? - Non, pas sur l'école ! Sur le cancre. Sur la douleur de ne pas comprendre et ses effets collatéraux sur les parents et les professeurs.

Quatrième de couverture

Chagrin d’école, dans la lignée de Comme un roman, aborde la question de l’école du point de vue de l’élève, et en l’occurrence du mauvais élève. Daniel Pennac, ancien cancre lui-même, étudie cette figure du folklore populaire en lui donnant ses lettres de noblesse, en lui restituant aussi son poids d’angoisse et de douleur.

J’ai bien aimé ce livre de Daniel Pennac, prêté par ma sœur Marie, qui parle des élèves en difficulté sur les bancs de l’école. On a tous connu des bons et des mauvais profs, ceux qui vous tire vers le haut et ceux qui ont perdu la foi.

J’ai bien aimé le dialogue que l’auteur de nos jours installe avec le cancre qu’il était jadis. J’ai bien aimé la description qu’il fait des professeurs qui ont changé sa vie et l’ont fait évoluer, un prof d’histoire, un prof de mathématiques, un prof de philosophie.

J’ai déjà lu deux livres de Daniel Pennac, « au bonheur des ogres », classé en 372ème position avec une étoile et « la fée carabine » classé en 373ème position avec une étoile.

Quelques extraits de « chagrin d’école » :

Page 283 : « Non, la différence fondamentale entre les élèves d’aujourd’hui et ceux d’hier est ailleurs : ils ne portent plus les vieux pulls de leurs grands frères. La voilà la vraie différence ! Ma mère tricotait un pull à Bernard qui, ayant grandi, me le refilait. Même chose pour Doumé et Jean-Louis, nos aînés. (…) Aujourd’hui, non, c’est Mère-Grand Marketing qui habille grands et petits. C’est elle qui habille, nourrit, désaltère, chausse, coiffe, équipe tout un chacun, elle qui barde l’élève d’électronique, le monte sur rollers, vélo, scooter, moto, trottinette, c’est elle qui le distrait, l’informe, le branche, le place sous transfusion musicale permanente et le disperse aux quatre coins de l’univers consommable, c’est elle qui l’endort, c’est elle qui le réveille et, quand il s’assied en classe, c’est elle qui vibre au fond de sa poche pour le rassurer : Je suis là, n’aie pas peur, je suis là, dans ton téléphone, tu n’es pas l’otage du ghetto scolaire ! »

Page 286 : « Il existe cinq sortes d’enfants sur notre planète aujourd’hui : l’enfant client chez nous, l’enfant producteur sous d’autres cieux, ailleurs l’enfant soldat, l’enfant prostitué et sur les panneaux incurvés d métro, l’enfant mourant dont l’image, périodiquement, penché sur notre lassitude le regard de la faim et de l’abandon. »

Page 287 : « Parmi les enfants clients, il y a ceux qui disposent des moyens de leurs parents et ceux qui n’en disposent pas : ceux qui achètent et ceux qui se débrouillent. Dans les deux cas de figure, l’argent étant rarement le produit d’un travail personnel, le jeune acquéreur accède à la propriété sans contrepartie. »

Je classe ce livre en 235ème position et lui donne deux étoiles.

27 janvier 2020

Une autre vie

Présentation de l’éditeur

Tout les sépare : une profession absorbante, une famille exigeante et, enfin, les milliers de kilomètres qui vont de New York, où Mélanie présente le journal télévisé, à Los Angeles, dont Peter dirige le principal hôpital. Du temps, ils en ont si peu pour leur vie privée ! Peter, spécialiste international de la greffe du coeur, est à la disposition de ses opérés. Dans le cadre de son propre travail, Mélanie est obligée de vivre au jour le jour, sans faire de projets. Dérober quelques heures à de telles contraintes représente un tour de force. Alors, pourront-ils se satisfaire de cet amour à la sauvette ? La jeune femme prend le risque de tout sacrifier à Peter. Mais quel déchirement ! Et elle va devoir affronter l'ombre d'une morte, la haine d'une belle-fille, les traquenards d'un confrère... Ces obstacles qui menacent de détruire un grand amour, Danielle Steel les évoque par touches légères et précises, où l'on retrouve cette chaleur humaine et cette finesse d'observation qui ont déjà conquis plus de cinquante millions de lecteurs dans le monde entier.

Franchement bof ce livre de Danielle Steel ! C’est cousu de fil blanc dès le départ entre les deux protagonistes à tel point qu'on se demande ce qu'elle va encore pouvoir nous raconter par la suite. Leurs professions sont très mal décrites et fort loin de la réalité. Les dialogues sont parfois complètement à l’ouest, surtout entre parents et enfants. Bref, je n’ai pas aimé. J’ai trouvé ça long et j’étais bien contente d’en venir à bout…

J’avais lu un autre livre du même auteur « traversées » classé en 75ème position avec 3 étoiles.

Je classe ce livre en 412ème position (sur 520) et ne lui donne pas d’étoile.

19 janvier 2020

Par accident

Présentation de l’éditeur

Il y a quinze ans, la vie de Nap Dumas a basculé : dernière année de lycée, son frère jumeau et la petite amie de celui-ci ont été retrouvés morts sur la voie ferrée. Double suicide d'amoureux ? Nap n'y a jamais cru. Désormais flic, Nap voit ressurgir le passé : Rex, leur ami d'enfance, vient d'être sauvagement assassiné. Sur les lieux du crime, les empreintes d'une femme que Nap pensait disparue : Maura, son amour de jeunesse, dont il était sans nouvelles depuis quinze ans. Le choc est total pour le policier. Celle qu'il aimait serait-elle une dangereuse psychopathe ? Où est Maura ? Et s'il était le prochain sur sa liste ? La vérité est proche. Si proche. Bien plus terrible et dangereuse que tout ce que Nap imagine...

Je lis peu souvent de roman policier. J’ai toutefois bien aimé ce livre, sauf la fin (dommage !) que je trouve un peu rapide, un peu alambiquée et peu probable. Harlan Coben a l’art de vous emmener dans son univers, les personnages sont intéressants et vous cherchez avec le protagoniste principal la solution possible de l’enquête.

Je classe ce livre en 243ème position et lui donne une étoile.

 

15 janvier 2020

Les fantômes du vieux pays

Présentation de l’éditeur

Scandale aux États-Unis : le gouverneur Packer, candidat à la présidentielle, a été agressé en public. Son assaillante est une femme d'âge mûr : Faye Andresen-Anderson. Les médias s’emparent de son histoire et la surnomment Calamity Packer. Seul Samuel Anderson, professeur d’anglais à l’Université de Chicago, passe à côté du fait divers, tout occupé qu’il est à jouer en ligne au Monde d'Elfscape. Pourtant, Calamity Packer n’est autre que sa mère, qui l’a abandonné à l’âge de onze ans. Et voilà que l’éditeur de Samuel, qui lui avait versé une avance rondelette pour un roman qu’il n’a jamais écrit, menace de le poursuivre en justice. En désespoir de cause, le jeune homme lui propose un nouveau projet : un livre révélation sur sa mère qui la réduira en miettes. Samuel ne sait presque rien d’elle ; il se lance donc dans la reconstitution minutieuse de sa vie, qui dévoilera bien des surprises et réveillera son lot de fantômes. Des émeutes de Chicago en 1968 au New York post-11-Septembre en passant par la Norvège des années quarante et le Midwest des années soixante, Nathan Hill s’empare de l’Amérique d’aujourd’hui et de ses démons et compose avec beaucoup d’humour une fresque aussi ambitieuse que captivante.

C’est un gros pavé de 954 pages et on comprend vite pourquoi, l’auteur bifurque continuellement de l’histoire principale pour parler d’un nouveau personnage avec moult détails. Je n’ai pas compris non plus pourquoi on part dans le passé et on revient dans le présent sans arrêt. Il aurait dû commencer l’histoire dans le présent, puis repartir dans le passé une fois jusqu’à ce qu’on revienne dans le présent, ceci expliquant cela. Ici, cela en devient pénible.

Je pense que l’histoire aurait mérité d’être « élaguée » de tout le superflu et aurait gagné en compréhension et en intérêt. J’ai bien aimé la fin de l’histoire où on comprend les tenants et les aboutissants sans trop de fioritures inutiles. Il m'a fallu deux mois pour venir à bout de ce livre de Nathan Hill.

J’ai bien aimé certains passages :

Page 593 : «  La seule chose moins populaire que la guerre dans ces années-là, c’était le mouvement contre la guerre. »

Page 907 : « Mais le truc, continue Periwinkle, l’œil animé, c’est que même les choses qu’on fait pour casser la routine deviennent la routine. Les choses qu’on fait pour échapper à la tristesse de la vie sont elles-mêmes devenues tristes. Ce que cette publicité pointe du doigt, c’est que malgré tous les encas ingurgités, la tristesse résiste, malgré toutes les émissions regardées, la solitude persiste, malgré toutes les informations déversées, le monde n’a toujours aucun sens, malgré toutes les heures passées à jouer, la mélancolie est de plus en plus profonde. Comment y échapper ? »

Page 948 : « Et c’est la vérité. Il a fait de son mieux. Il était un homme bon. Le meilleur père qu’il pouvait être. Même si Faye ne s’en était jamais rendu compte. Il arrive qu’on soit tellement enfermé dans sa propre histoire qu’on ne voit pas le second rôle qu’on occupe dans celle des autres. »

Page 949 : « Mais d’après Faye, parfois une crise n’est pas vraiment une crise – c’est juste un nouveau départ. Si elle a appris une chose de toute cette histoire, c’est que lorsqu’un nouveau départ est vraiment nouveau, il ressemble à une crise. Tous les vrais changements commencent par faire peur. Si vous n’avez pas peur, c’est que ce n’est pas un vrai changement. »

Je classe ce livre en 408ème position et lui donne une étoile (pour la fin).

9 novembre 2019

Dans le murmure des feuilles qui dansent

Présentation de l’éditeur :

Anaëlle, une jeune femme dont la vie a été bouleversée par un accident, se reconstruit doucement, entre son travail et sa passion pour l'écriture. Thomas raconte des histoires merveilleuses d'arbres et de forêt pour mettre un peu de couleur dans la chambre d'hôpital de Simon, un garçon lumineux et tendre. Chacun se bat à sa manière contre la fatalité. Mais estce vraiment le hasard qui va sceller leur destin ? Dans ce nouveau roman, Agnès Ledig noue une histoire simple et poignante où des âmes blessées donnent le meilleur d'elles-mêmes et nous rappellent, dans une nature à la fois poétique et puissante, que la vie est plus forte que tout.

J’ai beaucoup aimé ce livre comme j’aime souvent les histoires épistolaires. Je trouve que lorsque l’on écrit, on fait plus attention aux mots que l’on emploie et au sens qu’on leur donne. J’aime bien le titre également. Ce livre est une jolie réflexion aussi sur les choses importantes de la vie, sur la nature qui nous entoure et sur les relations que l’on entretient avec les autres. On s’attache à l’héroïne mais également aux autres personnages, et même à la greffière, c’est pour dire ! C’est un livre qui donne envie d’écrire !

C’est le cinquième livre que je lis de cette auteure : « Pars avec lui » classé en 12ème position avec 3 étoiles, « Marie d’en-haut » classé en 34ème position avec 3 étoiles, « On regrettera plus tard » classé en 189ème position avec 2 étoiles, « Juste avant le bonheur » classé en 320ème position avec une étoile. Ce qui est amusant c'est qu'il y avait un bandeau promotionnel sur le livre dans le magasin "de l'auteur de "juste avant le bonheur" " et que c'est celui que j'ai le moins aimé.

Je classe ce livre en 103ème position (sur 537 que compte mon classement à ce jour) et lui donne 3 étoiles.

Publicité
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 919
Publicité