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Le petit monde de So et de Fi

26 mai 2014

Un palace en enfer

Sexy et grande gueule, Rosie Maldonne est une jeune mère de trois enfants qui a pour seules ressources les versements du RSA. À quelques encablures de Cannes, elle vit dans une vieille caravane posée sur un terrain vague, à la lisière d’une petite ville. Ce matin-là, la voilà partie à la recherche de quelques sous  en mettant en pratique son système D habituel, quand le destin va frapper à sa porte : un gros paquet de fric lui tombe dessus sans prévenir ! Cette manne imprévue ne sera-t-elle pas finalement la source de tous ses ennuis? À qui étaient destinés ces milliers d’euros?  Pourra-t-elle les garder sans dommages collatéraux? Est-ce un piège? Comment va-t-elle se sortir de ce traquenard? Qui est ce flic trop mignon qu’elle croise partout? Pourquoi sa meilleure amie et son bébé ont-ils disparus? Est-ce vraiment la mafia russe qui la pourchasse? Rosie, toujours cœur d’artichaut, est-elle vraiment en train de tomber amoureuse?

C’est un livre divertissant. L’héroïne principale est haute en couleur (au sens propre et au sens figuré) et on s’y attache. Par contre, l’intrigue est peu crédible et les rencontres fortement improbables.

Je classe ce livre d’Alice Quinn en 106ème position et lui donne une étoile.

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25 mai 2014

Poursuite au Pôle Espoir de Judo et Stage arbitrage

Deux bonnes nouvelles concernant Antoine au Judo.

1) Nous avons eu le bilan sportif du deuxième semestre. Celui-ci reprend les points forts et les points faibles dans le judo d'Antoine (au niveau technique, physique, tactique et mental). Les points faibles sont accompagnés de conseils.

Ensuite, il y a un bilan sur les compétitions effectuées et les résultats obtenus.

Le commentaire général est très positif : "Encore de gros progrès pour Antoine, un cap a été franchi. Il y a encore du travail à effectuer, mais pour un cadet première année, c'est prometteur. Il faut continuer sur ce rythme."

Du coup, Antoine est maintenu au Pôle l'année prochaine. (Il ne reste plus qu'à souhaiter la validation du passage en 1ère ES par le conseil de classe du Lycée, ce qui devrait normalement être bon).

2) Hier, alors que je rentrais à la maison vers 23 h 30 (!), Antoine m'a dit qu'il pouvait effectuer le stage d'arbitrage aujourd'hui (alors qu'il le sait depuis 2 semaines).

Pour avoir sa ceinture noire, il faut :

- 100 points lors des compétitions officielles (points marqués à chaque ippon sur des adversaires de ceinture couleur marron -7 points- ou noire -10 points).

- passer et réussir le stage d'arbitrage (questions techniques + tenir la table face à un arbitre)

- passer et réussir les katas (sorte de chorégraphie et de suite de prises réalisées avec un partenaire)

Du coup, nous avons passé la matinée à Lallaing où se déroulaient des Shiais (les judokas combattent pour gagner des points pour obtenir la ceinture noire ou des dans supplémentaires) et Antoine a passé et obtenu son stage d'arbitrage.

Il lui reste donc, pour obtenir sa ceinture noire, gagner les 10 points restants en compétition (il en a 90) et passer les katas. Il les travaille actuellement avec Pierrick au Pôle Espoir.

 

24 mai 2014

Love at first sight

À peine sortie d'une dépression, trainant de lourds bagages, elle ne rêve que d'une chose, quitter Londres et partir plusieurs mois loin de chez elle, en compagnie de ses deux acolytes, Jude et Vin, histoire de se changer les idées. Depuis plusieurs mois, elle correspond avec le mystérieux propriétaire de la maison californienne où ils séjourneront. L’américain l'intrigue, leur relation aussi. Pourquoi Skyler se sent si proche d'un inconnu qu'elle n'a jamais rencontré ? Elle, qui ne veut pas s'attacher. Pourtant, le destin en a décidé autrement, et ni l’un, ni l’autre n’est préparé à ce qui va leur arriver. Et si leur rencontre était le moyen de repartir à zéro ?

Bof, bof, bof. Les deux héros portent un fardeau un peu similaire et on tarde un peu à savoir ce qui leur est arrivé. Quant à certaines scènes, elles sont un peu trop crues et détaillées à mon goût à la limite du roman pornographique, j’ai donc passé certaines pages… C’est comme au cinéma, je préfère ce que l’on me suggère à ce que l’on me montre…

Et puis, surtout, ce livre est bourré de fautes d’orthographe et d'accords… à tel point qu’à certains moments on ne sait plus qui parle !!

Je classe ce livre d’Amhellie en 155ème  position et lui donne une étoile.

18 mai 2014

Demain

Quatrième de couverture

Emma vit à New York. À 32 ans, elle continue de chercher l homme de sa vie. Matthew habite à Boston. Il a perdu sa femme dans un terrible accident et élève seul sa fille de quatre ans. Ils font connaissance grâce à Internet et bientôt, leurs échanges de mails les laissent penser qu ils ont enfin droit au bonheur. Désireux de se rencontrer, ils se donnent rendez-vous dans un petit restaurant italien de Manhattan. Le même jour à la même heure, ils poussent chacun à leur tour la porte du restaurant. Ils sont conduits à la même table et pourtant... ils ne se croiseront jamais.

C’est un bon roman, un peu alambiqué mais qui donne envie de connaître le dénouement. J’ai imaginé une fin différente et j’ai préféré que cela se déroule autrement (ce n’est jamais bon de deviner la fin avant qu’on nous la dévoile). Il me reste une interrogation quant à un fait bizarre pendant le dénouement que je n’explique pas (l’histoire du GPS) mais cela n’a pas nui à ma compréhension générale.

C'est le sixième roman que je lis de Guillaume MUSSO. J'avais classé "Central Park" en 35ème position, "l'appel de l'ange" en 76ème position, "la fille de papier" en 92ème position, "Je reviens te chercher" en 159ème position, "Que ferais-je sans toi" en 160ème position,

"Demain" s'en sort plutôt bien puisque je le classe en 56ème position et lui donne deux étoiles.

18 mai 2014

Chiot grandit vite...

Quelques nouvelles de Jecko.

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Il vient d'avoir 4 mois.

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Il pèse 17 kilos et demi (il en faisait 8 à son arrivée lorsqu'il avait deux mois et demi).

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Son poil est devenu plus foncé sur le dos (l'aspect duvet est parti) et sur le dessus de la tête. Les oreilles restent pour l'instant plus claires.

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Il est en pleine forme.

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13 mai 2014

Croisière sur la Meuse

Pendant le pont du mois de mai, JP a organisé une petite croisière de 4 jours et demi sur la Meuse. Maman, Jean et Antoine sont là aussi.

Départ de Pont-à-Bar (1ère nuit à quelques centaines de mêtres du lieu du démarrage) : 

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Le lendemain, passage de la première écluse (il y en aura 15 dans un sens et 15 dans l'autre...) :

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Première rencontre animalière, il y en aura plein d'autres par la suite :

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Au fond d'une écluse, JP aux commandes :

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Ouvertures des portes :

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Antoine quitte sa tablette un moment pour naviguer un peu :

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Arrivée à Monthermé :

 

 

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Nous quittons le bateau pour prendre un peu de hauteur :

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On voit donc Monthermé et la boucle que fait la Meuse autour du village (on voit également le bateau pour ceux qui ont de bons yeux) :

 

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Le lendemain, on quitte Monthermé :

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Monthermé (à nouveau) !

 

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Monthermé (et oui encore !, il faut croire que j'ai aimé...) :

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Passage dans le canal longeant la Meuse, très verdoyant :

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Le canal :

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Une maman cygne et ses petits :

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Passage sous le tunnel : enfin à vrai dire troisième passage, l'écluse suivant le tunnel étant en panne, nous avons attendu 2 heures et demi pour pouvoir passer en faisant des demi-tours et en tentant d'accoster en vain en attendant que les voies navigables de France que nous avions appelées débloquent la situation :

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JP s'est fait un nouvel ami :

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Arrivée à Fumay :

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Nouvelle panne, cette fois-ci dans une écluse. La porte refuse de se fermer. Les voies navigables de France interviendront cette fois au bout de 3/4 d'heures. On a lu dans le livret du capitaine que par temps de pluie, les écluses sont davantage sujettes aux pannes et il a plu pas mal pendant ces 4 jours...

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Pendant la panne, j'ai eu le temps de prendre quelques photos (ici le barrage de l'autre côté de l'écluse) :

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Le samedi, JP et Antoine sont partis pour une compétition (pas prévue au moment de la réservation de la croisière). Ils devront donc faire la route deux fois...

Nous ne sommes plus que trois dans le bateau en attendant leur retour.

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Nous sommes donc 3 pour le passage des écluses et du fameux tunnel. On s'en sort plutôt pas mal. 

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Petite rencontre avec une famille oie :

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Jean aux commandes du bateau :

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Tout se passe bien jusqu'à notre ville d'arrivée (Joigny sur Meuse).

Sauf que sur le livre de navigation, il y avait noté deux points d'accostage. On voit le premier à gauche et après une île on s'aperçoit que le deuxième point n'est pas vraiment idéal (il n'y a même pas de bollarts pour amarrer le bateau). Du coup, on décide de faire demi-tour pour rejoindre le premier point. C'est là que le problème arrive : on s'embourbe au milieu de la Meuse à 15 mètres de l'île :

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Du coup, malgré des manoeuvres avant et arrière pour tenter de bouger le bateau, malgré le fait que Jean soit descendu dans l'eau pour voir s'il pouvait faire quelque chose (!), nous n'avons pas réussi à sortir de là.

J'ai donc appelé les pompiers ainsi que l'entreprise propriétaire du bateau (qui a appelé de son côté les voies navigables de France et son salarié pour qu'il vienne nous aider). La personne des voies navigables est passée et quand je lui ai dit que les pompiers arrivaient elle est repartie aussi vite (merci beaucoup pour son aide précieuse ! En même temps, c'était samedi soir vers 17 h 15).

Les pompiers sont arrivés avec 3 plongeurs et un petit bateau.

Entre temps, j'expliquais à JP les derniers rebondissements par sms (Antoine était pendant ce temps là en finale de la Coupe départementale où il y avait 25 combattants dans sa catégorie).

Les plongeurs ont regardé s'ils pouvaient bouger le bateau mais on était bien accroché sur une grande longueur sous le bateau. Le salarié du propriétaire est arrivé et a réussi a décoincer l'arrière du bateau. Avec l'aide des pompiers qui ont soulevé l'avant du bateau on a pu réaccoster... Tout cela a bien pris deux heures et demie et pas mal de stress... Les pompiers nous ayant dit qu'on risquait de se retrouver sur la rive avec nos bagages si le bateau n'était pas déplaçable...

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JP et Antoine sont revenus samedi soir. Antoine a fini 2ème et est qualifié pour aller à Clermont-Ferrand.

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Dernier jour de navigation, entre deux averses :

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7 mai 2014

Le journal d'une femme de chambre

Quatrième de couverture :

La bourgeoisie vue par le petit trou de la serrure et l'œil de ses domestiques, qui ne valent pas mieux qu'elle. Si les maîtres sont des pantins, Célestine, la femme de chambre, est une catin, d'ailleurs assez gentille, et Joseph, le jardinier cocher, une fripouille antisémite. Ajoutez à cela quelques épices 1900, les étreintes passionnées de Célestine avec un jeune tuberculeux, un viol, un vieillard fétichiste (la fameuse scène des bottines si bien enlevée dans le film de Buñuel), et vous avez le chef-d'œuvre de notre terrible Octave, «un personnage extraordinaire, disait Léautaud, d'une fougue, d'une hardiesse, d'un anarchisme littéraire et artistique unique à cette époque.»

Ce livre d'Octave Mirbeau publié en 1900 nous livre une description assez précise et concrête des moeurs de la bourgeoisie de la belle époque. Les maîtres sont disséqués dans leurs petites manies et dans la façon dont ils déconsidèrent complètement leurs domestiques (l'exemple d'une comtesse qui a 3 enfants mais qui interdit à son couple de gardiens d'en avoir... parce que cela fait du bruit !). La description du bureau de placement (situation retrouvée à chaque changement de place) est aussi très intéressante ou encore les bonnes soeurs qui exploitent les servantes en attendant de leur trouver un travail qu'elles mettent du temps à trouver... La femme de chambre non plus n'est pas épargnée dans ses petits travers, ce qui rend le livre  d'une grande justesse. 

J'ai beaucoup aimé ce livre et le classe en 61ème position et lui donne 2 étoiles.

1 mai 2014

Au voleur !

Nous avions deux grands pots en inox peints en noir de chaque côté du porche de la maison avec un hibiscus dans chaque pot.

Je dis, nous avions, car comme vous le supposez bien de par le titre de mon billet, un voleur (ou plutôt deux vu le poids des pots) sont passés par là ce matin.

Il y a aujourd’hui la brocante de notre village et donc beaucoup de passages et de voitures qui se garent devant la maison (quand ce n'est pas carrément devant l'entrée de l'allée du garage)…

Malgré le fait que le portail et le portillon étaient fermés (pas à clé mais fermés quand même, ce qui n’est pas toujours le cas du portail qui reste souvent ouvert), malgré le fait qu’il y a bien 15 mètres entre le portillon et l’entrée du porche où étaient les pots, et malgré le fait qu’il y avait nos deux voitures garées sur l’allée du garage qui indiquaient bien que nous étions présents, cela n’a pas empêché le vol.

Je ne sais pas ce qui m’a agacé le plus, si c’est le vol en lui-même (et le fait qu'on ait pénétré dans le jardin par deux fois) ou la réflexion de JP « maintenant tu vas vouloir fermer à clé le portail et le portillon ! » alors que je n’y songe même pas parce que c’est déjà dur de vouloir maintenir la porte d’entrée fermée à clé…

28 avril 2014

Première fois en Corse, mais sûrement pas la dernière...

Pour la première fois pour JP et moi, nous sommes allés en Corse. Antoine, lui, y allait pour la seconde fois puisque l'année dernière, il a fait un Camp Ado de 15 jours sur l'Île de Beauté.

Jour 1 :

Après une heure et demie d'avion, arrivée à Ajaccio (un bonheur ! Antoine était parti en train puis en bateau et avait mis une journée et une nuit pour arriver). Nous récupérons la voiture de location que JP avait réservé et décidons, vu l'heure encore matinale de partir directement voir les Calanques de Piana :

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Les Calanques avec vue sur la mer :

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Les Calanques toujours, avec le "chateau fort" (bloc carré que l'on voit en partie au milieu de la photo au deuxième plan) : 

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Nous prenons la route pour retrouver le mobilhomme à Porto-Vecchio au Sud-Est de l'île (deux heures et demie pour 147 kilomètres, les durées sont plus longues que chez nous car cela tourne beaucoup...) :

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Jour 2 :

Passage à Porto-Vecchio :

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Avant de prendre la route de Bonifacio à l'extrême Sud de l'ïle :

1ère étape, descente des 187 marches creusées dans la falaise de l'escalier du Roy :

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Arrivée à une très jolie crique devant une mer turquoise :

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Le passage creusé dans la roche (nous voyez-vous JP et moi ?) :

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La remontée s'avère un peu plus difficile que la descente (les marches sont hautes) ! Vous apercevez JP tout en bas, (si, si !) : 

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Vue sur les falaises et le "grain de sable", le rocher qui sort de l'eau au milieu de la photo :

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La ville de Bonifacio (la ville haute) perchée sur ses falaises :

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Bonifacio, vue de l'autre côté, avec ses maisons au bord de la falaise. On voit également le "grain de sable" sous un autre angle  :

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Le cimetière marin de Bonifacio :

 

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Jour 3 :

Ballade jusqu'au monastère de Bethléem :

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Voici le monastère :

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Jour 4 :

Petit bout du GR20 (l'extrème partie Sud - à Conca). On a fait 4 km dans un sens et 4 km dans l'autre :

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Cela monte et cela descend. Voyez-vous JP et Antoine parmi la végétation ?

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Le sentier GR 20 dans la montagne :

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Petite récompense au bout des 4 kms, une jolie cascade :

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Jour 5 :

Météo annoncée : Grand beau soleil donc départ pour les Aiguilles de Bavella.

Juste avant le lac de l'Ospédale (retenue d'eau par un barrage) :

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Une partie des aiguilles, les plus impressionnantes ne seront pas visibles car sous la brume (malgré la météo annoncée...) :

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On a découvert ces étranges constructions sur les pins. En fait il s'agit, après recherches, de la chenille processionnaire du pin (un papillon de nuit). C'est un insecte nuisible qui envahit petit à petit de plus en plus de régions en France. Les poils des chenilles sont urticantes et font des dégâts chez les animaux ou les hommes qui s'en approchent de trop près. Elles empêchent également les pins de se développer normalement :

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Vue sur les aiguilles :

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Rencontre avec un cochon faisant sa sieste :

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Petite halte pique-nique au bord d'une rivière translucide :

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Autre vue sur la montagne :

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Après 3/4 de marche, cette fois complètement sous la pluie (vraiment bien la météo !!), nous arrivons à la cascade de Piscia di Gallo :

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Jour 5 :

En route pour Corte (Centre de l'île) et Bastia (Nord-Est). Petite photo des sommets enneigés :

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Arrivée à Corte :

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Vue de la Citadelle de Corte et du village en contre-bas :

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Visite de Bastia (ici le vieux-port vu de la jetée du Dragon) :

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Jour 6 :

Plage de Palombaggia :

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Jour 7 :

Retour à la maison.

Espérons pouvoir y retourner et visiter le Nord-Est de l'île et le cap Corse...

18 avril 2014

Central Park

Présentation de l'éditeur

Alice et Gabriel n’ont aucun souvenir de la nuit dernière… pourtant, ils ne sont pas près de l’oublier.New York, huit heures du matin. Alice, jeune flic parisienne, et Gabriel, pianiste de jazz américain, se réveillent menottés l’un à l’autre sur un banc de Central Park. Ils ne se connaissent pas et n’ont aucun souvenir de leur rencontre. La veille au soir, Alice faisait la fête avec ses copines sur les Champs-Élysées tandis que Gabriel jouait du piano dans un club de Dublin. Impossible ? Et pourtant… Les questions succèdent à la stupéfaction. Comment se sont-ils retrouvés dans une situation aussi périlleuse ? D’où provient le sang qui tache le chemisier d’Alice ? Pourquoi manque-t-il une balle dans son arme ? Pour comprendre ce qui leur arrive et renouer les fils de leurs vies, Alice et Gabriel n’ont pas d’autre choix que de faire équipe. La vérité qu’ils vont découvrir va bouleverser leur existence…

C’est précis, fluide, prenant et surprenant, bref, c’est du Guillaume Musso. On rentre complètement dans l’histoire, on a envie de découvrir ce qui va advenir des personnages et surtout, on ne s’attend pas au dénouement final. J’ai beaucoup aimé.

Je classe ce livre en 35ème position et lui donne 3 étoiles.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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