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Le petit monde de So et de Fi
21 juillet 2016

Celui que je rêvais d'être

Présentation de l’éditeur

Quel a été le chemin parcouru par Laurent Ournac avant de devenir l’une des personnalités préférées des français ?Dès son plus jeune âge, il se découvre une passion : la comédie. Son but ? Faire rire les gens. C’est donc avec humour et sincérité que la star de Camping Paradis nous dévoile les joies, les déboires et les rencontres qui ont ponctué sa vie professionnelle et personnelle. Sans complexe, il partage avec nous ses difficultés pour perdre du poids jusqu’à cette prise de conscience où maigrir était devenu une question de survie. La sleeve gastrectomie, opération chirurgicale encore peu connue en France, lui permettra d’atteindre cet objectif. Un témoignage qui nous entraîne dans l’intimité de l’acteur, depuis son enfance à aujourd’hui.

Laurent Ournac raconte sa jeunesse, son accession à la notoriété grâce à sa volonté farouche de devenir acteur. Il explique la prise de poids progressive, les régimes qui ne fonctionnent pas jusqu’à arriver à peser 146 kilos pour 1m77. Il découvre sur internet la possibilité de se faire opérer. Il prend RV avec un spécialiste qui lui explique les 3 possibilités (anneau gastrique, by-pass ou sleeve gastrectomie). S’ensuit un parcours médical aidé d’une psychologue et d’une diététicienne. L’opération fonctionne et il perd même davantage qu’il n’espèrait puisqu’il atteint 84 kilos.

C’est écrit dans des mots simples. Il souhaite se montrer tel qu’il est et montrer qu’il est le même avec ou sans les kilos mais que sans c’est mieux car il peut faire de nouveau plein de choses qui posaient problème en tant qu’obèse.

Tout s’est super bien passé pour lui. Parfois, c’est beaucoup plus compliqué, comme pour notre amie Flo mais à présent tout est rentré dans l’ordre et c’est très bien ainsi !

Je classe ce livre en 208ème position et lui donne une étoile.

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16 juillet 2016

Le début des haricots

Présentation de l’éditeur

Anna, trentenaire au régime alimentaire aléatoire et à la vie sentimentale en dents de scie, exerce brillamment le métier de médecin urgentiste dans un hôpital parisien. Comme chaque année, son père, cardiologue autoritaire et réputé mais phobique de l'avion, envoie sa fille à San Francisco afin de présenter ses derniers travaux dans un congrès prestigieux. Au lendemain d'une garde particulièrement mouvementée, Anna s'envole sans grande conviction vers les États-Unis, par crainte des foudres paternelles plus que par réelle motivation scientifique.  Alors lorsqu'elle remarque à l'aéroport le panneau indicatif d'un stage de thérapie sur le thème du courage, elle se dit qu'il est peut-être temps de faire quelque chose...

Ce livre de Fanny Nodet-Gayral est très plaisant à lire (malgré les termes médicaux et certains mots compliqués : c'est là que l'on apprécie le dictionnaire intégré de la liseuse !). L’héroïne doit apprendre à dire « non » à son père despotique et cela passe par un stage de thérapie et de méditation. Il y a beaucoup d’humour et d’auto-dérision. Les personnages et les situations sont réalistes et le ton plein de justesse. Bref, un très bon moment de lecture.

Je classe ce livre en 138ème position et lui donne deux étoiles.

16 juillet 2016

La solitude du gilet jaune

Présentation de l’éditeur

En se rendant à son travail chez Poplait, géant du yaourt, une jeune femme dynamique est obligée de faire une pause dans sa vie tourmentée car un pneu de sa voiture a crevé. En retard pour une réunion capitale, elle est condamnée à attendre sur un bord de route en portant le gilet jaune réglementaire. Pourtant, rien ne se passe comme prévu : le dépanneur tarde, les rencontres improbables s'enchaînent et ne se ressemblent pas. Un clochard-philosophe, une mamie fan de vodka, un neurochirurgien croisent son chemin pour le meilleur... ou pour le pire. Pendant que son ami Marc fait tout pour empêcher la terrible Agnès de lui voler son travail et Gladys sa patronne cyclothymique de la renvoyer, elle est témoin d'un étrange événement qui pourrait bien renverser l'avenir de Poplait et peut-être même le sien. Une panne et un gilet jaune peuvent-ils vraiment changer votre vie ?

L’idée de départ de Zoé Brisby est bonne. Le personnage principal tombe en panne, revêt son gilet jaune et attend la dépanneuse. Sauf que s’ensuit toutes une série de rencontres, plus improbables les unes que les autres : Le gamin de 10 ans en vélo qui lui cite Aristote ou Churchill, le professeur de philo qui a décidé de devenir SDF, la mamie qui se trimbale avec son thermos de vodka, les gendarmes qui font tout sauf l’aider, le détective privé, son ex, …

Et puis, si vous crevez en voiture, quel est votre premier réflexe ? Changer la roue non ? Et bien, elle, non. Elle appelle la dépanneuse. Il faut attendre qu’un homme s’arrête pour vérifier qu’elle a une roue de secours…

Et puis encore, le papa qui surgit de sa boîte après 25 ans de disparition et la fusion des deux entreprises réglée en une heure, c’est encore plus improbable…

Il y a pourtant de bonnes trouvailles et de l'humour mais le tout est un peu trop simpliste.

Je classe ce livre en 259ème position et lui donne une étoile

13 juillet 2016

N'oublier jamais

"Vous croisez au bord d'une falaise une jolie fille ? Ne lui tendez pas la main ! On pourrait croire que vous l'avez poussée." Il court vite, Jamal, très vite. A cause de sa prothèse à la jambe et autres coups du sort, il a un destin à rattraper. A Yport, parti s'entraîner sur la plus haute falaise d'Europe, il a d'abord remarqué l'écharpe, rouge, accrochée à une clôture, puis la femme brune, incroyablement belle, la robe déchirée, le dos face au vide, les yeux rivés aux siens. Ils sont seuls au monde ; Jamal lui tend l'écharpe comme on lance une bouée. Quelques secondes plus tard, sur les galets glacés de la plage déserte, gît sous les yeux effarés de Jamal le corps inerte de l'inconnue. A son cou, l'écharpe rouge. C'est la version de Jamal. Le croyez-vous ?

Comme le précédent livre de Michel Bussi, j’ai eu les 200 premières pages difficiles (sur les 543 que compte l’ouvrage). L’intrigue est un peu longue à se mettre en place mais après c’est assez génial et particulièrement bien construit. On ne découvre la vérité qu’à la toute fin car l’auteur sait nous lancer sur de fausses pistes. Et cette fois pas d’interrogations en suspens, tout est clair et bien ficelé.

Je classe ce livre en 54ème position et lui donne 3 étoiles.

3 juillet 2016

Le réveil du coeur

Présentation de l’éditeur

Depuis la naissance de son petit-fils, Malo, le Vieux n'est pas franchement en odeur de sainteté dans la famille. Nanti d'un caractère de cochon et d'une allergie totale à la modernité, bloqué à jamais dans les Trente Glorieuses, il désapprouve à peu près tout ce qui constitue la vie de Jean, son fils, y compris le choix de sa compagne, avec laquelle le Vieux est incapable d'échanger trois mots. Jusqu'à ce mois d'août où, en désespoir de cause, on lui confie la garde de Malo... Entre le petit garçon de 6 ans et le vieillard irascible, le réveil du cœur a sonné.

Le livre est divisé en trois parties. La première, c’est Jean qui raconte. Son histoire avec Leila, les rapports avec son père, la naissance de son fils Malo. La seconde, c’est le Vieux, le grand-père de Malo, qui prend le relais. Il détaille la vraie découverte de son petit fils alors âgé de 6 ans quand il vient un mois chez lui à Lacanau. La troisième partie, plus courte, raconte la poursuite de la relation du grand-père et de son petit-fils grâce aux technologies modernes que le Vieux décriait jusqu’alors…

J’ai préféré la deuxième et la troisième partie, parce que dans la première, je sentais comme un décalage entre le personnage et les idées que l’auteur voulait faire passer comme s’il cochait des cases à chaque point abordé (quand il parle de facebook, du respect de la langue française, …)alors que dans la deuxième partie, elles correspondent aux idées du Vieux (la société de consommation qui amène à acheter plutôt qu’à réparer, les hommes qui épuisent la terre et la détériore petit à petit, …),  et du coup c’est plus « naturel ». Et puis surtout, l’intérêt du livre, c’est cette relation qui se noue entre le Vieux et son petit-fils et qui n’intervient réellement que dans cette deuxième partie.

Bref, j’ai réellement accroché une fois les 100 premières pages passées.

Je classe ce livre en 95ème position et lui donne 2 étoiles.

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26 juin 2016

Maman a tort

Présentation de l’éditeur

Rien n'est plus éphémère que la mémoire d'un enfant de trois ans et demi...  Mais quand Malone raconte avec ses mots d'enfant que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, le psychologue scolaire le croit.  Il est le seul... Il doit agir vite. Trouver de l'aide. Découvrir la vérité cachée.  Car déjà, les souvenirs de Malone s'effacent...

L’histoire est un peu longue à démarrer, sans réel rebondissement dans les 150 premières pages (sur 542 au total). Il y a ensuite quelques invraisemblances dans le roman de Michel Bussi (le MP3 qui ne se décharge jamais, l’enfant de 3 ans qui se rappelle de bien trop de choses, l’anticipation incroyable, quasi impossible, du stratège qui tire les ficelles, …). Et puis, la fin n’a pas été si surprenante, on la pressent bien avant la fin du livre. Cela reste un livre très agréable à lire, une intrigue intéressante et des personnages bien campés et bien décrits. C’est le quatrième livre de Michel Bussi que je lis (« un avion sans elle » classé actuellement en 35ème position, « les nymphéas noirs » classé en 216ème position et « ne lâche pas ma main » en 222ème position)

Je classe ce livre en 197ème position et lui donne une étoile.

20 juin 2016

Tu comprendras quand tu seras plus grande

Présentation de l’éditeur

Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme. Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ? C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.

C’est une histoire agréable à lire. L’héroïne se prend d’amitié pour les résidents de la maison de retraite où elle est psychologue et elle apprend beaucoup de leur expérience. Il y a de jolies réflexions sur la vie et sur la mort, sur la vieillesse et l’expérience. Le « rebondissement » du 103ème chapitre est pour moi presque superflu (comme si l’auteure, Virginie Grimaldi, devait absolument nous surprendre pour que son livre soit apprécié), ou alors pas très bien amené (l’auteure est amenée à livrer une sorte de mensonge pour que son rebondissement puisse être possible) ou alors d’un mécanisme un peu compliqué (rien n’empêchait Julia de mettre sa mère dans la confidence, tout ça pour ça !).

Je classe ce livre en 116ème position et lui donne 2 étoiles.

 

11 juin 2016

Alors voilà, les 1001 vies des urgences

Présentation de l’éditeur

Un jeune couple arrive aux urgences. Elle a des douleurs au bas-ventre. L’interne s’interroge sur la possibilité d’une grossesse. Elle ne prend pas sa pilule de manière très sérieuse. « Du coup, quand elle l’oublie, c’est moi qui la prends », dit son compagnon. Baptiste Beaulieu est un jeune interne en médecine de vingt-sept ans, en stage dans le sud-ouest de la France. En novembre 2012, il crée le blog « Alors voilà ». Son but : réconcilier les soignants et les soignés en racontant, avec humour et sensibilité, l’incroyable réalité de l’hôpital. Le succès est immédiat et le blog compte, à ce jour, 2 millions de lecteurs. Ce blog est devenu un livre, riche en anecdotes inédites. Voilà le récit au quotidien d’un interne en médecine. Il fait des allers-retours entre son poste aux urgences et les soins palliatifs. Là, pendant sept jours, il décrit à une patiente en stade terminal (dans la Chambre 7), ce qui se passe sous les blouses et dans les couloirs. Pour la garder en vie le temps que son fils, bloqué dans un aéroport, puisse la rejoindre. Se nourrissant de situations vécues par lui ou par ses collègues, chirurgiens ou aides-soignants, Baptiste Beaulieu passe l’hôpital au scanner. Il peint les chefs autoritaires, les infirmières au grand cœur, les internes gaffeurs, les consultations qui s’enchaînent... Par ses histoires drolatiques, poignantes et tragiques, il restitue tout le petit théâtre de la Comédie humaine.

J’ai beaucoup aimé ce livre du Docteur Baptiste Beaulieu. Il y a beaucoup d’humanité et de réflexions sur la vie (et sur la mort). Chaque histoire est surtout l’occasion une rencontre avec l’autre, qui vient se faire soigner, mais qui est avant tout un humain avec sa propre expérience et son passé. L’auteur explique bien les différentes situations rencontrées pour que des lecteurs non initiés aux termes médicaux puissent comprendre. Il décrit le milieu hospitalier avec ses joies et ses difficultés.

Je classe ce livre en 108ème position et lui donne deux étoiles.

6 juin 2016

Juste après dresseuse d'ours

Présentation de l'éditeur

Petite, je voulais faire dresseuse d'ours. Et puis ça m'a passé et j'ai fait docteur. Généraliste remplaçante. Mais quand même, depuis douze ans (entre la fac, l'hôpital et le cabinet), j'ai eu le temps de voir un paquet de choses absurdes, terrifiantes, émouvantes, révoltantes, rigolotes. J'ai eu le temps de dire un paquet de conneries, et d'en faire quelques-unes. J'ai eu le temps de mettre de côté un paquet d'histoires à raconter.  J'ai eu envie de les écrire, d'abord pour ne pas oublier ce qui me scandalisait à l'époque de l'hôpital, pour ne pas me laisser aller à m'habituer. Puis pour vomir ma frousse de me voir parfois si impuissante. Puis pour partager les rencontres, les fragments de victoires, les bouts de vie savourés. Ces histoires, je les livre brutes, dans le désordre, comme je les ai vécues et comme elles me reviennent.

Tout le monde en prend pour son grade dans ce livre (issu d’un blog) du Docteur Jaddo : les patients, l’hôpital, les chefs de service, les collègues, les infirmières, l’URSSAF, l’administration, la faculté, …  J’ai bien aimé l’humour, l’humilité et l’auto-dérision. Cela permet de voir les choses du côté de l’apprenti médecin puis du médecin généraliste. Elle nous fait partager les difficultés qu’elle rencontre mais aussi et surtout l’amour de son métier.

Je classe ce livre en 104ème position et lui donne 2 étoiles.

1 juin 2016

Nos adorables belles-filles

Présentation de l’éditeur

POUR UNE COMEDIE FAMILIALE IRRESISTIBLE, IL VOUS FAUT :
- Un père, despotique et égocentrique, Jacques.
- Une mère, en rébellion après 40 ans de mariage, Martine.
- Leurs fils : Matthieu éternel adolescent mais bientôt papa de 3 enfants. Nicolas, chef cuisinier le jour et castrateur tout le temps. Alexandre, rêveur mou du genou.
- Et surtout… 3 belles-filles !
Stéphanie, mère poule angoissée. Laura, végétarienne angoissante. Jeanne, nouvelle pièce rapportée, féministe et déboussolée, dont l’arrivée va déstabiliser l’équilibre de la tribu. Mettez tout le monde dans une grande maison en Bretagne. Ajoutez-y Antoinette, une grand-mère d’une sagesse (bien à elle) à faire pâlir le Dalai Lama, et un chien qui s’invite dans la famille et dont personne ne veut. Mélangez, laissez mijoter… et savourez !

J’ai eu du mal avec les dialogues sur la première moitié du livre d’Aurélie Valognes. Je les trouvais simplistes et parfois peu crédibles. Cela m’a empêché de rentrer pleinement dans l’histoire. Ensuite, il y a aussi des évènements également peu vraisemblables (l’étouffement –sans intervention immédiate, peu de chance de survie-, l’incendie –s’il y avait des pompiers sur place, ils auraient vérifier que tout était en sécurité avant de quitter les lieux-, …). Enfin bref, j’ai mieux apprécié la fin que le début mais le tout reste « gentil » et un peu en décalage avec la réalité je trouve. J’avais déjà lu « mémé dans les orties » du même auteur (classé en 183ème position actuellement). J’y avais trouvé quelques facilités et un côté « gentils/méchants » trop prononcé. En fait, les livres d'Aurélie Valognes sont agréables à lire mais je les trouve un peu naïfs.

Je classe ce livre en 178ème position et lui donne une étoile.

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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