Tu comprendras quand tu seras plus grande
Présentation de l’éditeur
Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme. Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ? C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.
C’est une histoire agréable à lire. L’héroïne se prend d’amitié pour les résidents de la maison de retraite où elle est psychologue et elle apprend beaucoup de leur expérience. Il y a de jolies réflexions sur la vie et sur la mort, sur la vieillesse et l’expérience. Le « rebondissement » du 103ème chapitre est pour moi presque superflu (comme si l’auteure, Virginie Grimaldi, devait absolument nous surprendre pour que son livre soit apprécié), ou alors pas très bien amené (l’auteure est amenée à livrer une sorte de mensonge pour que son rebondissement puisse être possible) ou alors d’un mécanisme un peu compliqué (rien n’empêchait Julia de mettre sa mère dans la confidence, tout ça pour ça !).
Je classe ce livre en 116ème position et lui donne 2 étoiles.