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Le petit monde de So et de Fi

19 mars 2017

1:54

Hier, JP a voulu aller voir 1:54 au cinéma. Il pensait que c'était en rapport avec le sport et je lui avais dit que c'était plutôt en rapport avec le harcèlement à l'école.

Voici le synopsis : "À 16 ans, Tim est un jeune homme timide, brillant, et doté d’un talent sportif naturel. Mais la pression qu’il subit le poussera jusque dans ses derniers retranchements, là où les limites humaines atteignent le point de non-retour."

C'est un film assez sombre mais superbement joué. C'est très réaliste et le rôle des réseaux sociaux est bien décrit. Il y a parfois des sous-titrages car les acteurs sont canadiens.

Je le classe en 5ème position et lui donne 3 étoiles.

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18 mars 2017

Simplissime, et un de plus !

Après avoir acheté ce livre de cuisine :

1

Que nous avons trouvé sympa et facile (d'où le titre !), nous avons acheté celui-ci :

 

2

et puis celui là :

3

et aujourd'hui, nous venons de faire l'acquisition de ce dernier :

4

A l'intérieur, des produits picard (avec les photos) et les recettes qui vont avec !

Toujours le même principe, entre 3 et 5 ingrédients (en photo), une préparation facile (maxi 3 paragraphes) et hop !

5

Et en plus, c'est bon !

Ce midi, une recette avec de la raie, des tomates, des capres, des feuilles d'épinard et de la moutarde...

Il y en a plein d'autres dans la collection ! (desserts, autocuiseurs, végétarien, pizzas, soupes, terrines, ...)

16 mars 2017

Le voile de Téhéran

Présentation de l’éditeur

"Quand j'ai repris mes esprits, je me trouvais chez cet homme, dans la chambre à coucher. Debout dans un coin de la pièce, je serrais étroitement contre moi le tchador blanc dont on m'avait affublée avant de me conduire dans cette maison. J'essayais de ne faire aucun bruit, espérant qu'il ne remarquerait pas ma présence. Dans ce silence absolu, les larmes coulaient jusque sur ma poitrine. Mon Dieu, comment comprendre ces moeurs ? Un jour, ma famille voulait me tuer sous prétexte que j'avais échangé quelques mots avec un homme que je connaissais depuis deux ans, sur lequel je savais beaucoup de choses, que j'aimais et que j'étais prête à suivre au bout du monde, et le lendemain elle prétendait m'obliger à coucher dans le même lit qu'un étranger dont j'ignorais tout et qui ne m'inspirait que de la terreur. " Massoumeh, seize ans, n'a qu'un désir : poursuivre ses études. Un rêve accessible aux filles depuis que le shah a modernisé l'Iran. Mais quand ses frères découvrent qu'elle vit une histoire d'amour, très innocente, avec un voisin, ils la marient à un homme qu'elle ne connaît pas et n'a même jamais vu. D'abord désespérée, Massoumeh se rebelle et prend son existence en main.

Il y a des choses assez incroyables dans cette biographie pour nous européens (même si les femmes n'ont pas toujours eu les droits qu'elles ont actuellement et qu'il y a encore des inégalités). Les différences entre hommes et femmes dans les pays musulmans, notamment en Iran dans les années 1970, sont très marquées et profondément ancrées dans les mentalités. Les mères élèvent leurs filles dans le respect de ce qu’elles ont elles-mêmes vécu et l’évolution se fait très lentement. En fonction des gouvernements, il y a même parfois des régressions dans la liberté des femmes. Ce qui m’a paru étrange également, c’est que le livre que j’ai lu juste avant « la coquille et la perle » se situait plus récemment chronologiquement (dans les années 2007 en Afghanistan) et que même s’il y avait des similitudes (mariage arrangé, liberté restreinte pour les femmes, rôle social inexistant, …) j’ai trouvé que l’héroïne du livre « le voile de Téhéran » avait tout de même pu avoir accès à des études, à conduire une voiture, à sortir seule, à ne pas porter le voile, … toutes choses impossibles dans l’autre livre. Ce qui est incroyable aussi c’est la réaction de ses enfants à la fin du livre quand elle leur expose qu’elle souhaite se remarier, ce qui montre le poids des traditions et de l’honneur.

Je classe ce livre en 81ème position et lui donne 3 étoiles.

 

12 mars 2017

Changement de balade

Nous sommes partis faire notre promenade dominicale avec Jecko, mais comme je ne voulais pas faire le parcours habituel, on a sorti la carte IGN du coin et on a varié un peu.

C'était bien surtout qu'il faisait super bon aujourd'hui.

IMG_0721

Les pavés du Nord :

IMG_0724

Belle ballade de 7 km.

A refaire ! ou d'autres, il y a plein de chemins ainsi dans les champs...

12 mars 2017

Il repassera par là

 

Vous connaissez la chanson du furet ? Celle qui dit :

"Il court, il court, le furet
Le furet du bois, mesdames,
Il court, il court, le furet,
Le furet du bois joli.

Il est passé par ici,
Il repassera par là."

Et bien, c'est l'histoire de Jecko. Pourtant c'est un chien, pas un furet...

J'avais écrit un billet le 12 mars 2016 "Il ne passera plus par là" car Jecko s'était sauvé en faisant un trou et en passant sous la clôture dans le fond du jardin.

En décembre, en partant travailler, j'ai retrouvé Jecko devant la porte d'entrée alors que je venais de lui donner à manger derrière la maison (et qu'il ne peut passer sur les côtés). J'ai envoyé un texto à JP qui m'a dit que j'avais dû le laisser passer sans le voir !! J'ai tout de suite pensé qu'il avait retrouvé un passage sous la clôture.

Depuis nous avions réduit son espace à la première partie du jardin.

Aujourd'hui, comme il faisait beau, j'ai passé au moins une demi-heure à 4 pattes (!) sous les arbres de la haie pour trouver le passage.

Et là, il me semble difficile de penser qu'il a pu faire cela tout seul :

IMG_0730

3 fils du grillage coupés à la même hauteur, les fils dans le prolongement toujours enterrés. Il a de bonnes dents mais cela me paraît improbable qu'il s'attaque à du fer. Non ? Qui cela peut bien être... sachant que la clôture donne dans le jardin d'à-coté...

Bref, j'ai bloqué le passage avec planche et parpaings. On maintient la restriction à la première partie du jardin pour le moment.

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12 mars 2017

Les figures de l'ombre

Hier, nous sommes retournés au cinéma voir « Les figures de l’ombre ». Il s’agit d’un biopic.

Synopsis : Le destin extraordinaire des trois scientifiques afro-américaines qui ont permis aux États-Unis de prendre la tête de la conquête spatiale, grâce à la mise en orbite de l’astronaute John Glenn. Maintenues dans l’ombre de leurs collègues masculins et dans celle d’un pays en proie à de profondes inégalités, leur histoire longtemps restée méconnue est enfin portée à l’écran.

Focus sur les années de ségrégation aux Etats-Unis. Trois femmes aux compétences intellectuelle hors-normes se battent pour être reconnues et avoir le droit de bénéficier des mêmes formations universitaires, des mêmes postes que les hommes, ce qui est d’autant plus difficiles qu’elles sont noires et que les fonctions et les bâtiments au sein même de la Nasa (et pas seulement bien sûr) sont déjà différents de par leur couleur de peau.

Je classe ce film en 7ème position et lui donne 2 étoiles.

10 mars 2017

De plus belle

Nous sommes retournés au cinéma ce soir pour découvrir "de plus belle" avec Florence Foresti, Matthieu Kassovitz et Nicole Garcia.

Le synopsis est : "Lucie est guérie, sa maladie est presque un lointain souvenir. Sa famille la pousse à aller de l’avant, vivre, voir du monde… C’est ainsi qu’elle fait la connaissance de Clovis, charmant… charmeur… et terriblement arrogant. Intrigué par sa franchise et sa répartie, Clovis va tout faire pour séduire Lucie, qui n’a pourtant aucune envie de se laisser faire. Au contact de Dalila, prof de danse haute en couleur, Lucie va réapprendre à aimer, à s’aimer, pour devenir enfin la femme qu’elle n’a jamais su être. Pour sa mère, pour sa fille, pour Clovis…"

JP a adoré (oh miracle !) et moi j'ai bien aimé. C'est une belle histoire de reconstruction avec les difficultés que cela comporte, le regard des autres sur soi et le regard de soi sur soi-même.

Je classe ce film en 6ème position et lui donne 2 étoiles.

10 mars 2017

La soirée des passionnés

Hier soir, nous sommes allés au cinéma à la soirée des passionnés. C'est une projection réservée aux titulaires des cartes pass. C'était une première pour nous.

Il y avait tout d'abord une boisson (sans alcool) et quelques petites sucreries (macarons, ...).

Ensuite, direction la salle de projection où on nous donne des lunettes 3D. Environ 200 personnes étaient présentes.

Nous avons vu un certains nombres d'extraits de film (dont deux en 3 D : "La belle et la bête" et "ghost in the shell") à sortir prochainement (beaucoup d'extraits, à tel point que je me suis demandé s'il y allait avoir un film au final). J'ai eu peur un moment que le film ne soit "Ghost in the shell" avec Scarlett Johansson, car si j'aime beaucoup cette actrice, JP et moi, ne sommes pas du tout fan de films de science-fiction très bruyants avec beaucoup d'armes et de combats...

En fait, un film a commencé (je m'attendais à ce qu'il s'arrête à tout moment comme les précédents extraits). Il s'agissait de "Sage femme" avec Catherine Frot et Catherine Deneuve. La sortie est prévue le 22 mars. Je l'avais vu dans le magazine des cinémas gaumont et il me tentait bien... et on l'a vu en intégralité... en avant première !

J'ai personnellement bien aimé, JP un peu moins (mais vous connaissez son côté difficile à présent).

Voici le synopsis :

Claire est la droiture même. Sage-femme, elle a voué sa vie aux autres. Déjà préoccupée par la fermeture prochaine de sa maternité, elle voit sa vie bouleversée par le retour de Béatrice, ancienne maîtresse de son père disparu, femme fantasque et égoïste, son exacte opposée.

Les actrices sont formidables. Catherine Frot dans son rôle de sage-femme qui adore son métier et Catherine Deneuve dans celui d'une femme qui a toujours croqué la vie à pleines dents et qui aime les bonnes choses. Un homme joue un conducteur Poids Lourds et m'a fait pensé à quelqu'un qui s'est reconnu lui aussi dans la philosophie de ce personnage qui roule à la recherche d'une certaine liberté et qui ramène des produits de toutes les contrées où il passe.

Je classe ce film en 6ème position et lui donne deux étoiles.

9 mars 2017

Bacha posh

C'est amusant, hier, je suis tombée sur un reportage à la télé sur les "Bacha posh".

Dans le dernier livre que j'ai lu "La coquille et la perle", il en est justement question. Rahima, l'héroîne est une Bacha posh (prononcer pouche, je le sais maintenant grâce au reportage car je n'ai pas arrêté de lire bacha posh !) et son arrière arrière grand-mère Shekiba deviendra à un moment de sa vie un garde du harem royal (uniquement des femmes habillées en homme pour ne pas tomber sous le charme des concubines du roi !).

C'est une pratique dans certaines familles de l'Afghanistan ou du Pakistan, ou quand il n'y a pas de garçon, on élève une (ou plusieurs) des filles comme un garçon. On leur coupe les cheveux, on leur met des pantalons et les personnes de l'extérieur de la famille pensent qu'il s'agit effectivement des garçons.

Du coup, elles vont plus facilement à l'école, peuvent aller faire des courses seules, aider leur père dans leur métier, jouer au foot avec leurs copains... et ne font pas les corvées comme les autres filles à la maison. Cela dure jusqu'au moment où on ne peut plus cacher que ce sont effectivement des filles et on cherche alors à les marier.

Je pense que ce reportage était diffusé dans le cadre de la journée de la femme. La famille dont il était question avait 9 filles (et pas un seul garçon). Les filles allaient tout de même à l'école et ce sont les bacha posh qui n'y allaient pas pour aider leur père à l'atelier. La plus âgée, allait arrêter d'aller aider son père, redevenir une fille et de fait retourner à l'école. Elle en était contente même si elle était consciente que cela allait limiter ses droits (faire du cerf-volant avec son père, aller voir des matches de sport, sortir de la maison, ...).

 

8 mars 2017

La perle et la coquille

Présentation de l'éditeur :

Kaboul, 2007 : les Talibans font la loi dans les rues. Avec un père toxicomane et sans frère, Rahima et ses sœurs ne peuvent quitter la maison. Leur seul espoir réside dans la tradition des bacha posh, qui permettra à la jeune Rahima de se travestir jusqu’à ce qu’elle soit en âge de se marier. Elle jouit alors d’une liberté qui va la transformer à jamais, comme le fit, un siècle plus tôt, son ancêtre Shekiba. Les destinées de ces deux femmes se font écho, et permettent une exploration captivante de la condition féminine en Afghanistan.

Ce livre de Nadia Hashimi est magnifique. 560 pages Terribles mais magnifiques. L’auteur sait raconter avec précision la vie des femmes en Afghanistan sous le joug de leur père, ou frères, puis de leur mari. On croit ce roman dater du siècle dernier mais non, ce sont les conditions de vie contemporaine puisque le livre démarre en 2007 pour ce qui concerne Rahima ! On s’attache aux deux femmes, l’une arrière-arrière grand-mère de l’autre, dont les vies nous sont dévoilées en parallèle.

Je classe ce livre en 17ème position et lui donne 3 étoiles. A lire absolument !

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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