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Le petit monde de So et de Fi
30 août 2016

Au commencement du septième jour

Voici donc le quatrième et dernier livre reçu dans le cadre des Explorateurs de la rentrée littéraire et commenté sur "lecteurs.com" :

Avis de la page 100

Camille, la femme de Thomas, devait rentrer à la maison vendredi soir après une semaine de travail loin de lui mais finalement elle l’appelle pour lui dire qu’elle ne reviendra que le samedi. Un coup de fil à 4 h du matin de la gendarmerie lui annonce que Camille vient d’avoir un grave accident de la route. Il se rend à l’hôpital, elle se trouve dans le coma. S’ensuit alors une recherche pour comprendre les circonstances, le lieu improbable, l’accident sur une route parfaitement droite, …

L’auteur, Luc Lang, nous communique l’incompréhension de Thomas et son stress latent. Il est ingénieur informaticien et donc extrêmement rationnel. Cet accident le déstabilise. Il a du mal à communiquer avec leurs enfants et va jusqu’à négliger certaines obligations professionnelles. On se retrouve à vouloir comprendre avec lui les raisons du drame et espérer comme lui le réveil de Camille.

Chronique :

L’histoire se poursuit sans que Thomas trouve la véritable explication de l’accident de sa femme alors que j’imaginais que ce serait l’objet principal du livre.

On perd quelque peu la trace de Camille car on retrouve Thomas en randonnée solitaire dans ses Pyrénées natales et on en comprend la raison plus tard (livre 2).

Viennent ensuite les retrouvailles avec sa sœur, médecin en mission humanitaire en Afrique où Thomas découvre les raisons de son exil et les racines d’un  secret de famille (livre 3).

J’ai bien aimé le fond de l’histoire mais beaucoup moins la forme. Les phrases sans fin sont amusantes au début mais deviennent rapidement agaçantes au fil des pages jusqu’à ternir la compréhension du lecteur, en tout cas la mienne. Cette prose au kilomètre est lourde, sans respiration aucune même lorsqu’il y a des dialogues, à tel point qu’on ne sait parfois plus qui parle.

L’auteur mélange régulièrement les souvenirs, les rêves, la réalité, les retours en arrière, ce qui entraîne une certaine confusion. Il aime poser une situation puis revenir en arrière pour expliquer le cheminement jusqu’à cette situation, ce qui fait que j’ai eu le sentiment à trois reprises d’avoir manqué une information ou d’avoir compris a posteriori mais c’est probablement volontaire (enfin j’espère !).

Je classe ce livre en 357ème position et lui donne un "moins".

 

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29 août 2016

Emménagement de notre étudiant...

 

Hier, Antoine a emménagé dans son appartement qu'il partage avec son ami Lucas à Strasbourg.

L'entrée, un peu particulière, dans les escaliers :

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Le petit salon :

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La cuisine :

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Sa chambre :

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Nous avons fait un petit tour jusqu'à la Faculté de STAPS :

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puis jusqu'au dojo du CREPS où les entraînements du Pôle France ont lieu :

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et tout de même un peu de tourisme jusqu'à la Cathédrale :

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Il n'y a plus qu'à !

26 août 2016

L'autre qu'on adorait

Concernant le troisième livre que j'ai reçu dans le cadre des explorateurs de la rentrée littéraire, il s'agit de "l'autre qu'on adorait" de Catherine Cusset.

Voici ma chronique publiée sur lecteurs.com :

Rendez-vous de la page 100

Le livre débute sur la vie de Thomas, à l’âge de 17 ans, puis ses deux échecs à Khâgne, son parcours universitaire, ses expériences sexuelles et amoureuses. Son histoire nous est racontée par Catherine, la sœur de son ex-meilleur ami Nicolas, qui deviendra tour à tour, sa maîtresse, sa meilleure amie et même son « entremetteuse » vers une histoire d’amour passionnelle chaotique avec Elisa.

Ce rapport entre la narratrice et le personnage principal est un peu surprenant, comme si elle voulait garder le fil, voire même un certain contrôle sur la vie de son ex-amant. Le style de l’auteure est clair, rapide, presque tranchant dans sa façon de décrire les protagonistes et les évènements. La fin va être tragique (puisque c’est l’objet du premier paragraphe) et l’envie monte de découvrir pourquoi.

Chronique

Thomas trouve enfin un premier poste d’enseignant, pas forcément dans l’université dont il aurait rêvé. Les postes et les lieux de vie se succèdent car il n’arrive pas à rendre sa thèse dans les délais puis les autres travaux ou les livres attendus. Les amours aussi ne durent qu’un temps car il est possessif et manque de compréhension pour l’être aimé. Après Elisa, voici Ana, puis Olga et encore Nora. Il alterne les périodes d’allégresse et les périodes de profond désespoir. Ses amis, inquiets, lui conseillent de consulter, ce qu’il finit par faire. Il s’avère qu’il est bipolaire. L’explication de son mal-être et le traitement le soulagent un temps mais il continuera à s’enfoncer petit à petit jusqu’à l’issue fatale.

La narratrice nous raconte cette descente aux enfers de manière précise et détaillée comme si elle comprenait par personne interposée chaque situation que vit son ami. Elle conserve ce regard extérieur mais ressent les choses comme si elle était Thomas. C’est une gymnastique particulière de se placer ainsi à côté du personnage principal et d’observer sa vie à la loupe à la manière d’un anthropologiste.

Il y a d’autre part énormément de références dans ce livre et de citations (livres, musiques, films, …) qui donnent envie de découvrir d’autres univers.

J'ai personnellement suivi le héros à travers ses différentes expériences et comme dans un film où l'on sent que la fin est tragique, on voudrait faire quelque chose pour que le personnage corrige ses travers, ne s'enfonce pas inexorablement dans  un chemin sans retour mais bien sûr c'est impossible. On s'en agace presque !

J'ai trouvé quelques longueurs et des répétitions mais cela s'explique par le fait que Thomas s'enferre dans une spirale infernale en reproduisant les mêmes erreurs et c'est ce que l'auteure veut probablement nous transmettre.

Note sur 20 : 12

Ce qui fait qu'il est classé 224ème dans mon tableau et je lui donne une étoile.

Pour le quatrième et dernier livre, il faudra attendre un peu car je ne l'ai reçu que lundi et chroniqué hier.  J'attends donc la validation avant de pouvoir en parler... Je vous donne juste le titre et l'auteur. Il s'agit de "Au commencement du 7ème jour" de Luc Lang.

A suivre...

26 août 2016

La suture

Le deuxième livre que j'ai lu pour les explorateurs de la rentrée littéraire c'est "la suture" de Sophie Daull.

Voici ma chronique publié sur lecteurs.com :

Rendez-vous de la page 100 :

L’auteure a perdu sa mère lorsqu’elle avait 19 ans, elle-même avait perdu la sienne à l’âge de 15 ans. Après avoir raconté dans un premier roman la disparition brutale de sa fille, morte à 16 ans, l’auteure décide de remonter dans le passé et de remplir les pages blanches laissées par sa mère, discrète et peu encline à raconter sa jeunesse. S’ensuit une recherche généalogique faite de rencontres lui permettant de retracer par morceaux la vie de sa mère et de sa grand-mère.

Entrée directement dans l’histoire par 3 phrases choc. On suit l’auteure dans une recherche difficile d’indices et de témoignages du passé. J’ai le sentiment que, comme un arbre, l’auteur a perdu ses branches à la mort de sa fille, du coup, elle ressent le besoin de rechercher ses racines pour se raccrocher à quelque chose et peut-être ne pas perdre pied.

Chronique :

L’auteure continue son enquête, déduit plutôt qu’elle n’apprend réellement les évènements qui ont jalonnés la vie de sa mère. Déduction et interprétation de par les photos retrouvées dans une boîte à chaussures et par les dates connues (anniversaires, mariage, naissance, …). Tour à tour, bâtarde, orpheline puis femme trompée, c’est ainsi qu’elle résume la vie de sa mère, dont on ne saura quasiment rien de sa mort, à 46 ans, sinon, sinon qu’il s’agit d’un meurtre à l’arme blanche.

Le texte est bien écrit, il y a beaucoup de pudeur et de justesse dans la façon de raconter les siens même si l’auteure rappelle à plusieurs reprises le côté romancé des situations qu’elle imagine faute de preuves et de témoignages certains. Elle évoque parfois la mort de sa fille et fait le parallèle avec celle de sa mère, déplore qu’elles ne se soient jamais connues  et ce livre justement fait « la suture » entre ces 2 êtres tant aimés. Elle écrit avoir ressenti en des temps différents être « la fille de sa fille » et « la mère de sa mère ».

Ce livre est un bel hommage, une ode à l’amour, une façon de retenir auprès de soi un peu plus longtemps des proches disparus si brutalement et bien trop tôt.

Note sur 20 : 14

Dans mon classement, ce livre prend la place n° 116 et je lui donne deux étoiles.

26 août 2016

Le zeppelin

Je vous ai parlé des Explorateurs de la rentrée littéraire dans un billet du 25/07/2016.

Alors, voilà, j'ai reçu 4 livres (dont un très récemment) et j'ai mis en ligne mes avis et chroniques sur le site de lecteurs.com.

Sur les 4 livres, j'en ai bien aimé 2, moyennement 1 et le quatrième pas du tout...

Ce qui est super intéressant, c'est de découvrir les avis des autres participants sur les mêmes livres lus.

J'ai bien aimé l'idée du commentaire à la page 100 avant celui de la chronique finale.

Voici donc ce que j'ai écrit pour le premier livre que j'ai lu : Le zeppelin de Fanny Chiarello :

Rendez-vous de la page 100

Difficile de parler d’un livre qui part un peu dans tous les sens. Grosse part est faite à l’absurde dans cette ville appelée La Maison. Chaque paragraphe voit l’arrivée de nouveaux personnages ayant des comportements loufoques ou incompréhensibles comme celui de tuer sa colocataire à coup de poêle, jeter ce que l’on a de plus cher dans le canal, se laisser malaxer le ventre par un chat, dessiner des arrosoirs sans fin, voir disparaitre régulièrement les réfrigérateurs, … C’est alors que survient un Zeppelin dans les airs au-dessus de la ville et les habitants se mettent à prier, à danser ou s’immobilisent… Sentiment partagé de la lectrice que je suis qui ne voit pas bien à ce moment du livre où l’auteure veut l’emmener.

Chronique :

Il ne se passe pas grand chose dans cette ville de La Maison, sauf quelques évènements étranges comme ce trouble du comportement décrit par le Docteur Saturnin Clupot de jeter dans le canal les biens (ou les êtres) les plus chers ou cette possibilité qu’à Sylvette Dix-Sept de se voir dans l’avenir. Les couples se font et se défont, les amis apparaissent et disparaissent quand soudain un Zeppelin survient dans le ciel et se trouve en difficulté, juste au-dessus de la ville.

C’est un truc de fou, je n’ai absolument rien compris. A un moment, j’ai cru que j’avais saisi la subtilité du livre qui s’annule de lui-même parce qu’un des personnages a le don de connaître l’avenir et de fait empêcher la catastrophe majeure du livre.

Pour expliquer le livre qui s’annule (dixit la narratrice trois paragraphes avant la fin du livre), c’est en fait que l’évènement majeur du livre où tous les habitants de la ville de La Maison se soulèvent les uns contre les autres et contre les passagers du Zeppelin, n’a a priori pas lieu car un des personnages (Sylvette Dix-Sept) qui se voit elle-même dans l’avenir et qui se raconte à elle-même (le moi du futur racontant au moi actuel) les évènements futurs, fait en sorte que cette guerre civile n’aie pas lieu. Donc l’auteure nous décrit cette sorte de guerre civile à l’arrivée du Zeppelin en détail mais ensuite nous raconte que cela ne se passe pas car le personnage fait en sorte que le carnage n’aie pas lieu.

Sauf que le livre ne s’arrête pas là, et c’est bien là mon problème. On retrouve à l’avant dernier chapitre (chapitre que j’ai lu deux fois pour essayer de comprendre) l’ensemble des personnages du livre (et certains autres que je n’avais pas réellement pris en compte) au même endroit (dans un bar) où une  jeune femme agressée dans un chapitre précédent par trois hommes retrouve ses agresseurs. J’ai déjà lu des romans ou des contes absurdes (comme « l’étranger » de Camus ou « l’écume des jours » de Boris Vian par exemple) mais je ne suis pas restée sur ma faim comme avec ce livre de Fanny Chiarello car il y avait une histoire qui suit son cours. Ici, c’est une succession de personnages et de situations que l’on a du mal à joindre entre eux. Une explication de texte me serait fort utile…

Note sur 20 : 3

Ce qui se traduit dans mon classement habituel à la place n° 378 et 2 "moins"...

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25 août 2016

Petit stress pour maman angoissée

Année du bac, année de l'apb (admission post bac).

Lorsque nous avons rempli les voeux d'orientation dans l'apb, nous ne savions pas encore si Antoine serait pris en Pôle France à Strasbourg.

Du coup, nous avons mis des choix sur l'académie du Nord (s'il n'était pas admis en Pôle France suite aux tests de sélection et où il aurait arrêté le judo à haut niveau), sur l'académie d'Alsace (pour le Pôle France de Strasbourg -son premier choix-),  sur l'académie du Centre (pour le Pôle France d'Orléans), sur l'académie de l'Aquitaine (pour le Pôle France de Bordeaux) et sur l'académie d'Aix-Marseille (pour le Pôle France de Marseille), le tout dans cet ordre là (12 voeux en tout).

Nous nous sommes aperçus dans cette première étape que toutes les académies ne proposent pas le même choix de formation (dans le Nord, il y a des licences proposées, comme la licence des Sciences de l'éducation, qui ne sont pas forcément proposées ailleurs) !

Sur chacune des académies, nous avions mis des choix sur la faculté de Droit, Sciences de l'Education (dans le Nord uniquement) et sur la faculté de STAPS.

Lorsque nous avons su qu'il était admis en Pôle France à Strasbourg, nous avons mis STAPS Strasbourg en 1er voeu (conseillé par le Pôle France) et Faculté de droit de Strasbourg en second.

Lors du 1er moulinage de l'apb et des premières acceptations des Universités, Antoine a été refusé en STAPS Strasbourg (!), en attente en faculté de Droit à Strasbourg et accepté en Faculté de Droit dans le Nord. Le fait qu'il soit pris en Pôle France n'est pas pris en compte par le système de l'apb (!). Il s'agit simplement d'un tirage au sort. Nous avions pourtant compris que les étudiants admis en Pôle France étaient prioritaires pour rentrer en STAPS de l'académie concernée mais a priori ce sont deux systèmes distincts et indépendants.

Il a donc fallu faire une demande de dérogation. Nous avons envoyé, dès les résultats du bac le 5 juillet, les éléments demandés à la personne référente au sein de la Faculté de Strasbourg (relevé de notes du bac, lettre de motivation et lettre d'acceptation du Pôle France). La demande a ensuite été transmise au rectorat de Strasbourg le 18 juillet.

Du fait des vacances scolaires, il a fallu attendre ensuite jusqu'à aujourd'hui -25 août (!!)- pour avoir une réponse (entre temps, Antoine avait perdu les droits pour les voeux initiaux sur notre académie et nous avions rempli 2 nouveaux voeux en procédure complémentaire sur Strasbourg : faculté d'histoire-archéologie et d'informatique-mathématiques) au cas où.

Nous sommes donc soulagés et très contents que la demande de dérogation ait été acceptée par le recteur (à 10 jours de la rentrée !), toutes les démarches pour l'appartement, le transport, etc... ayant été faites par ailleurs.

 

20 août 2016

Quand reviendront les cygnes

Présentation de l’éditeur

Gabriel aime le sport. Laure aime son travail. Mathis aime les femmes. Damien aime les voyages. Leurs routes se croisent, se mêlent, mais n’imaginez rien. Laissez-vous surprendre par une histoire d’amour inattendue qui joue avec les codes de la comédie romantique, du road movie et du thriller.

J’ai téléchargé ce livre sur la liseuse suite à des commentaires ravis et unanimes sur internet. Pourtant, je trouve ce roman de Paul Ivoire gentillet. L’histoire d’amour en chassé-croisé n’est pas très originale, le road movie manque de véritables étapes et de descriptions des pays traversés qui donneraient envie de s’y rendre et il n’y a pas de réelle intrigue pour un thriller où la conclusion miraculeuse est un peu aisée (heureusement que les deux français étaient là pour aider la police Slovène –très réactive police d’ailleurs- à faire son travail et il est a priori bien aisé de prouver son innocence et d’y sortir de prison illico presto).

Je classe ce livre en 298ème position et ne lui donne pas d’étoile.

18 août 2016

Epouse, mère et working girl

Présentation de l’éditeur

Découvrez le quotidien de Marie, une maman trentenaire qui travaille et qui court tout le temps... un peu comme toutes les femmes d'aujourd'hui d'ailleurs. Parfois heureuse, parfois déprimée, elle vous fera plonger dans son univers comme si vous y étiez. Elle pourrait être vous, votre sœur, votre collègue ou votre meilleure amie. Réaliste et sensible, c'est un livre qui rassure, qui détend, un feel good book dans lequel chacun, homme ou femme, de toute génération confondue, pourra s'y retrouver.

Ce n’est pas désagréable de découvrir le quotidien de Marie au fil des pages sous la plume de Sonia Dagotor. Il y a des passages assez drôles et je me suis reconnue dans les insomnies, les brushings et dans un certain nombre d’autres situations. Cela ressemble toutefois plus à un journal intime ou à un blog qu’à un roman.

Je classe ce livre en 181ème position et lui donne une étoile.

16 août 2016

passeport judo voyageur (suite, suite)

Je vous ai déjà raconté l'histoire du passeport de judo d'Antoine perdu (soit-disant à la maison) et retrouvé (à l'internat !).

Et bien, il a encore disparu. Il faut croire que c'est un passeport voyageur...

On a pu retracer le fait, qu'ayant fait un certificat médical pour l'aptitude à la compétition de judo le 22 juillet, et ayant le souvenir de l'avoir rangé dans le passeport à ce moment là, il ne restait qu'à le retracer entre le 22 et le 29, jour où nous sommes partis en vacances.

Antoine a fouillé dans ses 4 sacs de sport (lui une fois, moi deux fois), retourné toute sa chambre (lui une fois et moi aussi). Rien !

On a regardé deux fois chacun dans le tiroir du bureau où je range tous les documents importants. Rien !

Antoine a ensuite pensé l'avoir perdu au club en sortant son kimono de son sac (le passeport aurait été éjecté ?). Du coup, hier à l'entraînement, il a cherché dans les casiers du club. Rien !

On s'apprêtait donc à demander au club la possibilité d'en refaire un (sinon impossible de se présenter à la moindre compétition et petit problème pour expliquer cela au Pôle France...) avec la difficulté de retracer les points déjà gagnés en compétition pour l'obtention du 2ème dan.

Et puis tout à l'heure, j'ai recherché une troisième fois dans le fameux tiroir du bureau et je l'ai retrouvé (youpi tra la la !!). Le passeport avait glissé tout en dessous d'une pile...

Le passeport a réintégré le sac de sport d'Antoine, le vert et bleu. Ok ? Comme cela, tout le monde sait où il est... aujourd'hui... mais demain ???

13 août 2016

Vacances au Portugal

Cette année, nous sommes partis au Portugal. JP y était déjà allé il y a une vingtaine d'années pour des raisons professionnelles mais n'avait pas réellement visité. Quant à Antoine et moi, c'était une première.

vendredi 29 juillet :

Vol Beauvais/Lisbonne - arrivée à 12 h 10 - 35° C - navette jusqu'au loueur de voiture - arrivée à la location vers 17 h. 

Petite maison isolée comme on les aime, entourée d'arbres et au bord d'une petite rivière : 

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JP et Antoine ont rapidement trouvé l'espace détente :

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Petite ballade sur la plage de Nazaré à 15 km de la maison : 

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Samedi 30 juillet :

Météo nuageuse jusque 16 h. Tout de même 25°C.

Plage de Paradès pour l'entretien sportif d'Antoine (et un peu pour JP et moi) :

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Visite du Monastère d'Alcobaça l'après-midi : 

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Sa salle des rois :

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Son cloître :

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Dimanche 31 juillet :

Nuages jusque 11 h - 26° C.

Plage de Vale Furado et de Legua Praia pour notre fils sportif.

Après-midi à Porte de Mos. Visite de son château :

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Lundi 1er août :

Nuages jusque 10 h 30 - 28° C

Sport sur la plage de Polvoeira. 

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Après-midi à Tomar pour visiter le Couvent du Christ :

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La magnifique rotonde des templiers :

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et la vieille ville.

Petit détour à Fatima avant de rentrer.

Mardi 2 août :

Nuages jusque 10 h - 26° C

Séquence sportive matinale sur la Plage de San Pedro :

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Après-midi à la plage de San Pedro.

Mercredi 3 août :

Soleil dès 9 h - 28° C

Départ pour Lisbonne (à 1 h 30 de la location)

Tour de Belem :

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De la tour de Belem, vue sur le pont du 25 avril et le Cristo Rei (à droite) :

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Miradouro da Senhora do Monte (panorama sur Lisbonne) :

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Ascenseur de Santa Justa (file d'attente impressionnante). Décidons de ne pas monter :

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Château de Sao Jorge (fraicheur sous les arbres fortement appréciée) :

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Quartier Alcantara et légendaire tramway n° 28 (qui fait une boucle). Ce qui est surprenant c'est que les voitures circulent sur les voies des tramways (!) :

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Quartier Baixa et Place du Commerce :

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Maisons colorées sur le chemin du retour :

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Jeudi 4 août :

Rares éclaircies - 23°C

Sport en forêt puis sur la plage de Paradès

Monastère de Batahla (Antoine nous a abandonnés pour cette visite) :

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Le cloître :

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Vendredi 5 août :

Nuageux jusque 10 h 30 - 28°C

Plage Pedra de Ouro pour l'entraînement sportif quotidien.

Visite du village d'Obidos :

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Tour sur les remparts d'Obidos :

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Samedi 6 août :

Soleil dès 8 h - 39° C (pouf, pouf !)

Plage Agua de Meideros

Après-midi à la location (trop chaud) - trempette dans la petite rivière :

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Dimanche 7 août :

Soleil - 39° C

En forêt pour le sport (uniquement Antoine et JP)

Fin d'après-midi à la plage de Pedra de Ouro (drapeau rouge, trop de vagues pour pouvoir se baigner) :

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Lundi 8 août :

Soleil - 41° C (trop chaud !)

Couvent de Sainte Croix dans la forêt de Bassaco :

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Fontaine Fria dans la forêt :

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Visite de la ville de Coimbra :

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Tour de la vieille université de Coimbra :

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Mardi 9 août :

soleil - 29°C

Plage pour le sport (uniquement Antoine et JP)

Je reste à la location parmi les écureuils :

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Norpark (piscines et toboggans).

Plage de Nazaré vue d'en haut :

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Mercredi 10 août :

soleil - 31° C

Visite de Peniche - Presqu'île :

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Poursuite sur le Cabo Carvoeiro (cap) :

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Jeudi 11 août :

soleil 38° C

Tentative de visite de Sintra - demi-tour car trop de monde.

Retour sur Lisbonne

Palais d'Ajura :

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Jardin Botannique d'Ajura (vue en arrière plan sur le pont du 25 avril et Cristo Rei) :

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Pont du 25 avril :

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et Cristo Rei :

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Vendredi 12 août :

Direction aéroport - court dodo inconfortable dessiné par une jeune artiste en attente d'un avion également :

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Lisbonne/Beauvais - arrivée à 10 h 10 - nuageux - 20 °C (oups !) - retour à la maison à 13 h

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