Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
30 août 2014

Cours de dressage... 2ème cours collectif

Je suis allée aujourd’hui au deuxième cours collectif de dressage, toute seule, JP devant aller récupérer les livres d’Antoine au Lycée.

Il y avait deux autres chiens. Le jeune labrador de la semaine dernière et un dogue allemand.

1)      Comme on était peu nombreux, le premier exercice a consisté au rappel. Chacun notre tour, nous nous sommes positionnés au bout de l’allée alors que le chien restait près de l’éducateur et nous l’avons rappelé. Pour compliquer un peu, nous avons fait la même chose à travers les arbres dans la pâture. Enfin, nous avons fait le rappel avec un élément perturbateur en plus, le berger allemand de l’éducateur sur le chemin. Les deux premiers rappels dans l’allée, Jecko s’est parfaitement comporté, idem à travers la pâture. Par contre, lors du premier rappel avec le berger allemand, Jecko a voulu aller lui dire bonjour ( !). Le deuxième essai a été le bon.

2)      Ensuite, nous avons travaillé le travail au pied, le coucher et le pas bouger. Pour Jecko, pas de problème, sauf quand le berger allemand s’approche. Il faut le reprendre à deux fois pour qu’il ne bouge pas.

3)      On a tenté ensuite le rappel avec un « stop » au milieu. Jecko a eu un peu de mal.

4)      On a appris le « à ta place ». On laisse le chien un peu libre en laisse et on lui fait faire un tour autour de soi pour le ramener à la position au pied en lui disant « à ta place ».

5)      On a appris le « en arrière » ou plutôt le « recule », ordre que j’utilise déjà mais sans grand succès encore, en marchant à reculons le long du grillage.

6)      Le dernier exercice consiste à le faire attendre devant la voiture et ne le faire monter dans le coffre que lorsqu’on le décide. Il doit rester coucher sans bouger jusqu’à l’ordre « en voiture ». Ici maitrise totale !

Voilà. Une bonne heure d’apprentissage. Les exercices seront répétés pendant la semaine.

 

 

Publicité
Publicité
28 août 2014

Bon rétablissement

Quatrième de couverture

« Depuis que je suis là, le monde entier me souhaite bon rétablissement, par téléphone, mail, courrier, personnes interposées. Par pigeons voyageurs, ça ne saurait tarder. Bon rétablissement. Quelle formule à la con ! ». « Veuf, sans enfants ni chien », Jean-Pierre est un vieil ours bourru et solitaire, à la retraite depuis sept ans. Suite à un accident bien étrange, le voilà immobilisé pendant des semaines à l'hôpital. Il ne pouvait pas imaginer pire. Et pourtant, depuis son lit, il va faire des rencontres inattendues qui bousculeront son égoïsme…

J’ai ressenti le même plaisir à lire ce livre de Marie-Sabine Roger qu’avec « la tête en friche » ou « les tartines au ket-cheupe ». On y retrouve aussi certains points abordés dans « les encombrants » sur la vieillesse et le temps qui file. Le style est direct, rapide et les réflexions sur la vie pleines de bon sens et d’humour. Le héros est un vieux râleur qui va gagner en tolérance et en sensibilité grâce à des rencontres qu’il n’aurait jamais faites sans son accident et ce séjour à l’hôpital.

Je classe ce livre en 35ème position et lui donne 3 étoiles.

28 août 2014

des bétises, toujours des bétises...

Nouveau petit inventaire des dernières bétises de Jecko (après les cactus, les lunettes de JP, la carte bancaire, ...), voici ce qu'il fait des chaises en bois :

IMG_1150

du jouet donné par Flo & Pat (en même temps, cela prouve qu'il a bien joué avec !) :

IMG_1151

Le petit ballon de basket (il va moins bien rebondir du coup !) :

IMG_1148

La soucoupe de la balance me permettant de lui peser ses croquettes (surtout ne rien oublier à sa portée, pourtant je le sais !!) :

IMG_1147

Donc, lorsque nous sommes allés au cours collectif, l'éducateur nous a parlé d'un jouet que l'on peut remplir (ou pas) de croquettes et qui occupe les chiens lorsqu'ils sont seuls :

images[1]

Cela fait deux jours qu'on l'a reçu après l'avoir commandé sur internet et je pense que Jecko apprécie. Je lui donne juste avant de partir travailler. Cela ne supprimera pas toutes les bétises mais cela l'occupera un peu.

Voici la bête, auteur des bétises (un peu mouillé, forcément, vu le temps qu'il fait !) :

IMG_1152

Quand au collier dont j'ai parlé dans un précédent billet, c'est magique, Jecko ne tire plus du tout en laisse. Il faut le garder deux ou trois mois et normalement il aura perdu l'habitude de tirer en promenade.

 

27 août 2014

Ce qu'il advint du Sauvage blanc

Quatrième de couverture

Au milieu du XIXe siècle, Narcisse Pelletier, un jeune matelot français, est abandonné sur une plage d Australie. Dix-sept ans plus tard, un navire anglais le retrouve par hasard : il vit nu, tatoué, sait chasser et pêcher à la manière de la tribu qui l’a recueilli. Il a perdu l’usage de la langue française et oublié son nom. Que s’est-il passé pendant ces dix-sept années ? C’est l’énigme à laquelle se heurte Octave de Vallombrun, l’homme providentiel qui recueille à Sydney celui qu’on surnomme désormais le « sauvage blanc ».

J’ai eu peur de m’ennuyer au début du livre de François Garde car on découvre Narcisse PELLETIER au moment où il se perd sur une île à la recherche d’eau potable et que la goélette repart sans lui. S’en suivent alors plusieurs journées à la recherche de nourriture puis une rencontre avec une aborigène australienne. Sans dialogue, le livre aurait pu sembler long. Mais on alterne alors à chaque paragraphe, ce que vit Narcisse PELLETIER dans son île et le moment où on le retrouve 18 ans plus tard, raconté par Octave de Vallombrun.

J’ai suivi l’histoire avec plaisir mais (il y a un mais ou plutôt deux) :

-      on ignore ce que devient Narcisse à la toute fin de l’histoire et c’est un manque je trouve… surtout que le titre du livre est « ce qu’il advint du sauvage blanc » ( !). A moins que l’auteur ait souhaité que l’on tire chacun sa propre conclusion…

-      Octave de Vallambrun passe pour un original n’ayant plus toute sa tête alors qu’il a passé des années à tenter de comprendre l’histoire du « sauvage blanc ».

Je le classe en 116ème position et lui donne une étoile.

 

 

23 août 2014

Le coeur et la raison

Présentation de l’éditeur

Le livre procède, si l'on considère le titre, d'une opposition entre deux traits fondamentaux : le bon sens et la sensibilité, qui seraient incarnés par deux sœurs, Elinor et Marianne. Mais l'une et l'autre sont bien pourvues de ces deux qualités, si Elinor possède plus de jugement, et si Marianne, en adepte du romantisme, a tendance à cultiver les élans de sa sensibilité. Notamment lorsqu'elle tombe aveuglément amoureuse du héros de ses rêves, Willoughby, un homme superficiel, tourné vers l'argent, qui va la décevoir profondément. La sage, la raisonnable Elinor, qui l'avait mise en garde, avait-elle donc raison ? Et le secret du bonheur serait-il dans l'usage du jugement ? C'est l'être isolé affrontant la société, qu'analyse Jane Austen. La raison consiste à s'ajuster au monde, et non à le braver, à observer des règles qu'on ne peut changer, plutôt qu'à cultiver des rêves et des états d'âme condamnés à rester sans réponse.

Sense and Sensibility est le premier roman que publia Jane Austen (1811). Elle écrira ensuite entre autres « Orgueil et Préjugés » placé en 2ème position dans mon classement avec 3 étoiles et « Emma » en 33ème position et 3 étoiles également.

J’ai retrouvé le style des romans anglais du XIXème siècle que j'affectionne tout particulièrement. Par contre, j’ai trouvé qu’il y avait trop de détours et de contournements qui nuisent à la clarté et à la fluidité de l’ensemble.

J’ai trouvé beaucoup de similitudes entre ce livre et « Orgueils et Préjugés ». Dans celui-ci, il y a 3 sœurs à marier (mais on ne parle que des deux ainées), dans le second, il y en a 5. Dans les deux livres, des thèmes communs apparaissent : il faut se méfier des apparences, il faut faire la part entre ce que le cœur ressent et ce que la raison dicte, il faut toujours savoir raison garder, il est parfois difficile de savoir si les sentiments sont partagés, ….

J’ai bien aimé la fin car cela s’accélère un peu.

Je classe ce livre en 123ème position et lui donne une étoile.

Publicité
Publicité
23 août 2014

Cours de dressage... 1er cours collectif

Aujourd'hui, Jecko a suivi son premier cours de dressage collectif.

Il y avait 6 autres chiens (un berger blanc, un teckel, un berger allemand, un labrador, un bouvier bernois et un autre chien dont je ne connais pas la race).

1) Le premier exercice a consisté à faire marcher Jecko au pied en laissant un espace de 3 mètres entre chaque chien.

2) On a ensuite installé les chiens en ronde. L'éducateur a approché un parapluie ouvert auprès de chaque chien et le chien devait rester couché. Il a fait un second et un troisième passage en ouvrant le parapluie près du museau de chaque chien.

3) Lors de l'exercice suivant, les chiens devaient être couchés et de ne pas bouger pendant que les autres chiens faisaient un slalom entre eux (!).

4) De nouveau en rond, l'éducateur a agité une sorte de plumeau auprès des chiens couchés. Ils ne doivent pas bouger. Il va jusqu'à les toucher.

5) Tout en marchant, les maîtres devaient se rencontrer et se serrer la main sans que le chien ne réagisse à la présence de l'autre.

6) L'exercice de rappel : l'éducateur garde Jecko près de lui. On s'éloigne au bout de l'allée et on l'appelle.

7) Le dernier exercice a consisté à mettre les chiens couchés les uns derrière les autres avec un espacement de 3 mètres entre eux. Chaque maître devait faire un rebond avec un ballon et le lancer près du chien suivant sans que le chien ne bouge.

Jecko s'est particulièrement bien comporté. Très intéressé au début par ses congénères, il s'est peu à peu concentré sur les exercices et les a tous réussis (parfois au bout d'une ou deux répétitions).

L'éducateur nous a dit que Jecko avait un gros potentiel (!).

Ordre "stop" = se coucher - pas bouger jusqu'au retour du maître

 

19 août 2014

Il l'a fait aussi !!

JP avait aujourd'hui son quatrième cours contre l'aquaphobie.

J'ai demandé à Antoine s'il n'aimerait aller avec son père. Il sait nager en piscine mais n'est pas toujours très rassuré en rivière ou dans la mer.

Du coup, JP a appelé Philippe, le maître-nageur, pour savoir si Antoine pouvait prendre une leçon ou deux lui aussi.

Il a donné son accord.

Antoine a donc revu les bases des mouvements de la brasse. Il a sauté aussi là où la piscine a quatre mètres de profondeur et il fallait qu'il se laisse remonter tout seul. Il a réussi au bout de 5 fois.

JP progresse lui aussi. Il a sauté sans ceinture. Il a bu la tasse encore mais prend en assurance.

Je suis contente de mes hommes, l'un apprend à ne plus avoir peur et commence à savoir nager (encore un peu à la verticale), l'autre à se sentir plus à l'aise !! 

Re-youpi !!

16 août 2014

L'amour est un plaisir

Présentation de l’éditeur

Trois jeunes hommes et une jeune fille lancés, ivres d'amitié et de soleil, sur les routes provençales de juillet... et c'est l'éternel jeu de l'amour et du hasard qui renaît. Les trois garçons, Gilles, Jacques et Philippe, chacun à sa façon, sont amoureux de Bénédicte, riche, libre et belle. Elle ne tarde pas à savoir qui elle aime et, au cours d'une scène où l'eau, le sable et le soleil composent un tableau étincelant, se donne à l'un des trois amis. Mais on apprend vite que ces jeux font surgir une émotion plus poignante et plus vraie. Le bonheur de la jeunesse, c'est peut-être d'être heureux de souffrir. Chacun reviendra chez soi, se demandant si vraiment - à vingt ans - l'amour est un plaisir.

C’est le premier livre de Jean d’Ormesson et c’est la première fois que je lis un de ses ouvrages. J’ai bien aimé le changement d’un paragraphe à l’autre où il parle soit à la première personne en étant Philippe et soit comme un observateur extérieur qui parle des quatre personnages principaux.

Mais alors voilà, quand je regarde le nombre de pages total et que je fais régulièrement le calcul pour savoir combien il en reste d’ici la fin, ce n’est généralement pas bon signe. Je me suis effectivement un peu ennuyée. Quant à la fin, on pressent un peu trop à mon goût, le drame qui survient…

Cela dit, je pense que je retenterai l’expérience Jean d’Ormesson.

voici deux extraits :

page 81 : D’où viennent-ils, ces sourires, ces regards, ces idées qui jaillissent et don Dieu seul sait à quoi ils vont mener ? Quand on dit : Dieu seul, on veut dire que les choses ne s’expliquent qu’après coup, qu’on parlera après-demain de ce qui se passera demain, qu’on trouvera après-demain mille motifs plausibles à ce qui se sera passé demain, mais que personne, jamais, ne devinera aujourd’hui ce qui est pour demain. Et s’il n’y avait qu’un avenir et un passé, on serait au moins sûr de ce qui a déjà eu lieu. Mais le passé est un imparfait, hier n’a pas aujourd’hui le sens qu’il aura demain, et il ne s’expliquera que dans le futur. Il y a un temps terrible ; le futur antérieur.

page 110 : Il pensa que tout ce que chacun disait depuis une demi-heure avait un sens apparent, et puis un sens caché ; et que ce sens caché n’était que le sens apparent, mais dit par quelqu’un qui savait, écouté aussi par quelqu’un qui savait. Ce n’était pas un langage secret, et pourtant c’était un langage secret : c’étaient les langages du cœur, de l’amitié, de la déception, de l’espoir ou de la rancune, qui se servent des pauvres mots, du mot riz, du mot arbres, du mot soleil pour dire ce qui devait être dit.

Je le classe en 198ème position et ne lui donne pas d’étoile.

15 août 2014

Petits travaux d'été

Nous avons vidé une partie de la cave (où il y avait deux vieux vélos et du bois). Le reste de la cave est cimenté mais à cet endroit c'était de la terre (et des gravats). Je suppose que les propriétaires précédents faisaient pousser des endives...

A la place, nous avons mis du sable puis des pavés :

IMG_1098

JP en pleine action :

IMG_1106 

Voici ce que cela donne une fois le travail terminé :

IMG_1109

Nous allons pouvoir mettre des étagères ou rajouter des casiers à bouteilles...

13 août 2014

Dressage en cours (suite)

Nous sommes allés ce matin au cours de dressage.

Premier cours particulier.

1) Un nouvel ordre a été pratiqué : le "stop". A ce mot, Jecko doit s'immobiliser, se coucher et ne plus bouger jusqu'à ce qu'on vienne à lui. Cet ordre est utile en promenade pour l'empêcher de courir après un autre chien, un chat, un passant ou tout autre élément perturbateur.

Pour cela, on dit "stop", on pose le pied sur la laisse pour contraindre le chien à se coucher (se rapprocher petit à petit avec le pied du collier. Le chien se couche. On lâche alors la laisse et on s'éloigne. Le chien ne doit pas bouger jusqu'à notre retour auprès de lui et après les félicitations d'usage.

Jecko l'a fait correctement plusieurs fois avec JP et avec moi.

2) On a ensuite testé le rappel. Un éducateur garde le chien près de lui. JP ou moi nous éloignons. L'un de nous l'appelle, il arrive en courant et on lui dit stop au moment où il est arrive près de nous pour qu'il ne saute pas.

La aussi, Jecko a parfaitement réussi.

3) Dernier exercice. Jecko doit être couché près de JP ou de moi. Un des éducateurs lui propose un sucre. Uniquement par la voix en disant "non", le chien ne doit pas accepter.

Exercice réussi avec JP, un peu moins avec moi. L'éducateur dit que Jecko estime JP comme le mâle dominant (!). Du coup, il a tendance à davantage le respecter (alors que c'est moi qui l'éduque le plus...). C'est trop injuste ! :o(

Du coup, les éducateurs étaient très contents de Jecko. Il est prêt pour les cours collectifs (dans 10 jours).

Nous devons répéter les exercices d'ici là.

A suivre...

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 501
Publicité