La ballade de Lila K.
Une jeune femme, Lila K., fragile et volontaire, raconte son histoire. Un jour, des hommes en noir l'ont brutalement arrachée à sa mère, et conduite dans un centre, mi-pensionnat, mi-prison, où on l'a prise en charge. Surdouée, asociale, Lila a tout oublié de sa vie antérieure. Son obsession : retrouver sa mère, recouvrer sa mémoire perdue. Commence alors pour elle un chaotique apprentissage, au sein d'un univers étrange dans lequel les livres n'ont plus droit de cité.
Bon, que dire, je suis rentrée dans l’histoire, même si j’ai eu un peu peur au début car l’histoire de passe dans les années 2190 et je ne raffole pas forcément des romans futuristes ou de science-fiction… Bien sûr, on pense à « 1984 » de Georges Orwel avec son célèbre « big brother » et ses différentes castes. Dans ce roman aussi, les gens sont pistés, filmés, scannés et il y a deux catégories, ceux qui vivent « intra-muros » et ceux de la « zone ».
Mais j’ai suivi avec un certain intérêt les tribulations de l’héroïne, un peu déçue toutefois par la fin de l’histoire et c’est pourquoi je classe ce livre en 90ème position et lui donne une étoile.
PS1 : Dans ce livre, j'ai appris deux mots que j'aurais probablement du mal à replacer :
- Apophtegme : précepte, une sentence, une parole mémorable ayant valeur de maxime.
- Idiosyncrasie : comportement particulier, propre à celui-ci, d'un individu face aux influences de divers agents extérieurs.
PS2 : De l'auteure, j'avais davantage apprécié "Une pièce montée". Un livre polyphonique qui se déroule le jour d'un mariage...