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Le petit monde de So et de Fi

13 avril 2024

Nous, les Leroy

Synopsis : Sandrine Leroy annonce à son mari Christophe qu’elle veut divorcer. Leurs enfants ont bientôt l’âge de quitter la maison. Dans une opération de la dernière chance aussi audacieuse qu’invraisemblable, Christophe organise un week-end pour sauver son mariage : un voyage passant par les endroits clés de l’histoire de leur famille. Un voyage qui ne va pas être de tout repos…

Assez déçue par ce film de Florent Bernard. Le fait que Charlotte Gainsbourg soit à l’affiche m’avait donné envie de le découvrir. Je l’ai d’ailleurs trouvée belle et assez juste mais en contrepartie malheureusement José Garcia surjoue. En fait, tous les passages sympas sont dans la bande annonce…

Je classe ce film en 110ème position et lui met une étoile.

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30 mars 2024

Nouvelle version de canalblog...

Depuis quelque temps, la version de Canalblog a changé... en moins bien, que ce soit sur l'ordinateur ou sur l'application !

Déjà, le tableau de bord n'est plus le même. On accédait directement aux anciens billets, aux commentaires, aux statistiques, maintenant c'est un menu déroulant.

Quant aux statistiques, c'était beaucoup plus lisibles avant. Maintenant, on a accès aux consultations de la veille ou par mois entier. Les nouveaux graphiques sont incompréhensibles. On avait également l'origine des pays sur les 100 derniers articles consultés, on ne l'a plus. 

On pouvait voir facilement quels articles étaient le plus lus, maintenant on n'a que l'adresse de chaque. Il faut cliquer dessus pour savoir de quel article il s'agit.

J'ai essayé de changer l'apparence. J'y ai renoncé tellement c'est peu clair.

Non franchement, ce changement n'est pas une réussite, de là à penser que c'est pour que l'on opte pour la ou les versions payantes, il n'y a qu'un pas !

30 mars 2024

La librairie des rêves ensevelis

Présentation de l’éditeur :

Août 1939. La guerre gronde en Europe. Grace Bennett a toujours voulu s’installer à Londres, mais les portes closes et les lugubres bunkers qu’elle y découvre sont bien loin de ce dont elle rêvait. Et elle, qui n’a jamais été une grande lectrice, ne s'imaginait pas non plus trouver du travail dans la librairie de Primrose Hill. Quand le Blitz détruit une partie du centre-ville et que des milliers de livres se retrouvent brûlés et ensevelis sous les décombres, la librairie est miraculeusement épargnée. Au milieu des coupures d’électricité, du son strident des alarmes et du grondement sourd des raids aériens, la littérature sera une source d’espoir pour Grace et pour tous les gens du quartier, car le pouvoir des mots est plus fort que le bruit des bombes.

J’ai souvent aimé les livres qui parlent de livres et c’est le cas dans « la librairie des rêves ensevelis ». Le contexte de la guerre et du blitz est bien raconté, la possibilité de s’évader par la littérature aussi. J’ai noté les livres dont Grace parle que je ne connais pas pour pourquoi pas les découvrir.

Je classe ce livre en 199ème position et lui donne deux étoiles.

28 mars 2024

Les impatientes

Présentation de l’éditeur :

Trois femmes, trois histoires, trois destins liés. Ce roman polyphonique retrace le destin de la jeune Ramla, arrachée à son amour pour être mariée à l’époux de Safira, tandis qu’Hindou, sa demi-sœur, est contrainte d’épouser son cousin. Patience ! C’est le seul et unique conseil qui leur est donné par leur entourage, puisqu’il est impensable d’aller contre la volonté d’Allah. Comme le dit le proverbe peul : « Au bout de la patience, il y a le ciel. » Mais le ciel peut devenir un enfer. Comment ces trois femmes impatientes parviendront-elles à se libérer ? Mariage forcé, viol conjugal, consensus et polygamie : ce roman de Djaïli Amadou Amal brise les tabous en dénonçant la condition féminine au Sahel et nous livre un roman bouleversant sur la question universelle des violences faites aux femmes.

Le livre de Djaïli Amadou Amal raconte la supériorité des droits des hommes par rapport aux femmes au Cameroun, qui en fait, n’en ont aucun. En s’appuyant sur le Coran et sur les coutumes, les femmes doivent obéir toutes leurs vies et subir des mariages non choisis, des viols lors de la nuit de noces et après, d’être battues par leur mari (après leur père) et une cohabitation difficile avec la ou leurs coépouses. Les hommes ont tous les droits sur leurs filles puis leurs femmes. Les filles, pour la plupart, ne vont pas à l’école longtemps et c’est cette différence qui entretient ce système.

C’est assez terrifiant de lire ce genre de livre, de voir sur quoi repose cette façon d’exploiter les femmes, sans que personne ne souhaite faire évoluer les mentalités.

Je classe ce livre en 207ème position et lui donne deux étoiles.

26 mars 2024

Tant que le café est encore chaud

Présentation de l’éditeur :

Dans une petite ruelle de Tokyo se trouve Funiculi Funicula, un petit établissement au sujet duquel circulent mille légendes. On raconte notamment qu’en y dégustant un délicieux café, on peut retourner dans le passé. Mais ce voyage comporte des règles : il ne changera pas le présent et dure tant que le café est encore chaud. Quatre femmes vont vivre cette singulière expérience.

Ce livre de Toshigazu Kawaguchi est le premier tome d’une série de 3. J’ai trouvé cela intéressant mais pas au point de télécharger la suite. J’ai trouvé surprenant la façon de décrire les personnages par leur façon de s’habiller et la forme de leur visage plus que par leur personnalité. C’est pour cela que je ne lirai pas les autres tomes. Il m’a manqué l’aspect plus psychologique des choses, savoir ce que leur a apporté leur retour dans le passé, plutôt que l’aspect juste « technique », les conséquences de cette expérience.

J’ai trouvé que l’idée de départ était bonne mais un peu déçue au final du résultat. J’espérais aussi davantage de « dépaysement ».

Je classe ce livre en 488ème position et lui donne une étoile.

 

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22 mars 2024

Un chien à ma table

Présentation de l’éditeur :

C’est un roman dont Yes, une jeune chienne, est le personnage principal. Un soir, celle-ci, traînant une sale histoire avec sa chaîne brisée, surgit à la porte d’un vieux couple, Sophie une romancière et Grieg son compagnon. À partir de là, le destin de Yes va tenir à lui seul la narration. D’où vient-elle, qu’a-t-elle vécu ? Est-on à sa poursuite ? La chienne se révèlera la gardienne de ce qui caractérise l’humain. La gardienne du langage. Mais une gardienne menacée. On pourrait aussi voir dans ce roman l’histoire d’un duo féminin/animal. Il raconte en effet la grande affection qui lie Sophie, la narratrice, et Yes, la jeune chienne échappée de chez un zoophile. Chacune s’augmentant de l’autre. Chacune veillant aussi sur l’autre. Jusqu’au drame. Mais c’est également un roman d’amour entre deux êtres humains, interrogeant quelle sorte d’amour lie encore un vieux couple, Sophie qui aime les marches dans la forêt, et Grieg, déjà sorti du monde, dormant le jour et lisant la nuit, survivant grâce à la littérature. L’intrusion de Yes sera le révélateur de l’amour qui lie ce couple en passe de l’avoir oublié. Cependant, on peut aussi penser que le thème du roman, c’est la vieillesse. Celle du monde, celle d’un couple, celle d’une femme. Oui. Mais surtout le contraire de la vieillesse. Dans ce roman, on n’accepte pas encore la défaite. Grâce à l’irruption de Yes, il est une ode à la vie. On peut également penser qu’on se trouve dans un roman écoféministe dont l’enjeu est ce qui lie la nature menacée et le féminin révolté. Quoi qu’il en soit, on baigne dans des temps troublés. Bizarres. Inquiétants. Où va-t-on ? L’humanité, que deviendra-t-elle ? Que deviendront les bibliothèques, les librairies, les livres ? Mais comme il s’agit d’un livre qui prône l’extravagance, où les poètes de ces temps de détresse se sont réfugiés dans les champignons, merveilles d’un futur imprévisible, ce roman baigne dans un climat d’amour de la poésie. Son véritable enjeu climatique, c’est la poésie.

Le résumé de la quatrième de couverture avait tout pour me séduire : vivre de manière isolés dans la nature, accompagnés d’un chien qui s’est sauvé parce que maltraité, des marches en forêt, …

Sauf qu’on se rend compte rapidement qu’il n’y a pas vraiment d’histoires, que ce sont des notes mises bout à bout et où le chien n’apparaît même plus alors que c’est le titre du livre.

Alors, l’autrice, Claudie Hunzinger, est particulièrement cultivée, elle nous abreuve de références dont la plupart en anglais que je ne connais pas pour la plupart, j’ai découvert beaucoup de mots nouveaux dont je ne sais pas si je saurais les utiliser…

On a l’impression qu’elle a écrit ce livre parce qu’il fallait écrire un livre mais qu’en fait elle ne savait vraiment pas où elle allait et nous a perdu en cours de route. On espère qu’il va se passer quelque chose mais non, rien. Elle se décrit comme une écri-vaine mais on comprend finalement pourquoi.

Et puis et surtout ce pessimisme sur le monde. Oui, il y a le réchauffement climatique, oui, il y a des espèces qui disparaissent et d’autres qui sont en voie de disparition, oui, cela fait peur bien sûr, mais si vous n’avez pas le moral, ne lisez pas ce livre.

Je classe ce livre en 696ème position et ne lui donne pas d’étoile.

Quelques mots difficiles glanés au fil des pages :

Anachorète = ermite
Moraine = Amas de débris rocheux entraînés par le mouvement de glissement d'un glacier
Dystopie = contre-utopie (1984)
Incipit = premiers mots d’un livre, premières notes d’une partition
Parataxe = mode de juxtaposition de phrases sans mot de liaison expliquant leur relation
Vulnéraire = qui est propre à la guérison des plaies
Anthropocene = ère géologique actuelle dans laquelle l’homme modifie considérablement le milieu naturel
Potlach = Cérémonie amérindienne à caractère sacré qui consiste en un échange de dons.
Sicut palea = on s’en fout
Dosse = Première ou dernière planche sciée dans un tronc d'arbre, et dont la face non équarrie est recouverte d'écorce.
Déréliction = État de la personne qui se sent abandonnée, privée de tout secours.
Hiératique = Qui semble réglé, imposé par un rite, un cérémonial, une tradition.
Synesthésie = Trouble de la perception dans lequel une sensation supplémentaire est ressentie dans une autre région du corps que celle qui est perçue normalement.
Liber = Partie d'un arbre entre l'écorce et le bois.
Tissu végétal de cette partie, contenant des vaisseaux où circule la sève.
Cenitaphe = Tombeau élevé à la mémoire d'un mort et qui ne contient pas son corps.
Succube = Démon femelle qui vient la nuit s'unir à un homme.

 

Quelques extraits :
« J’avais un jour expliqué à un collégien sensible à la disparition des oiseaux et qui n’admettait pas qu’on lui fasse déchiffrer Lancelot du Lac de Chrétien de Troyes, ce qui l’embarrassait de mots oubliés qui ne lui serviraient à rien, je lui avais expliqué que les mots et les oiseaux, ou plus exactement le phrasé de nos mots et celui de leurs chants, étaient sans doute liés, invisiblement liés comme deux vases communicants abreuvés à la même nappe phréatique, issus du même fleuve Diversité, et soumis les uns et les autres à la même pression atmosphérique. Beaucoup d’espèces de mots, grande variété d’oiseaux. »

« Quand est-ce que tout avait commencé ? Sans doute bien avant qu’on s’en aperçoive. À quel moment tout s’était-il mis à foirer, visiblement ? Qu’est-ce qui s’était joué dans notre dos dont on avait ignoré les signaux lugubres ? »

« Souvent, la nuit, quand je me réveillais, je pensais à mon travail de sentinelle. Mets-toi une lampe sur le front, une frontale pour éclairer ce qui t’entoure, voilà ce que je me répétais. Éclairer ce que nous allons perdre. Éclairer la perte. Voilà le travail. Parce qu’il était incroyable, le défilé de la perte, et comme il était venu vite. Tout ce que la perte perdait, n’en finissait pas de perdre à toute allure, en accéléré. »

17 mars 2024

Avec la SNCF, c'est possible (3ème article)

Hier, Antoine est rentré dans le Nord pour pouvoir participer aux championnats départementaux du Pas de Calais (où il s'est d'ailleurs qualifié pour les championnats régionaux malgré une angine carabinée et une perte de 3 kilos en 15 jours).

Son club de judo d'Arras lui paie l'abonnement TGV Max à 80 euros par mois. Ce qui doit normalement lui permettre de trouver des trajets à 0 euros.

Je dis normalement, car c'est rarement le cas.

Hier par exemple, pour avoir à ne rien payer, il a dû prendre 3 trains différents pour faire le trajet Strasbourg/Lille, à savoir Strasbourg/TGV Lorraine (près de Metz/Nancy), où il a attendu 1 h 30, puis TGV Lorraine/Rungis puis Rungis/Lille. Sinon, il fallait payer, 69 euros, 130 euros, ... 

Le plus beau dans l'histoire, c'est qu'il a dû quitter le premier train qui était un direct pour Lille et cerise sur le gâteau celui-ci était quasiment vide !

En plus, il faut savoir que le prix des billets changent sans arrêt, d'une minute à l'autre. Ce qui oblige l'usager à rafraîchir l'application SNCF toutes les 5 minutes pour tenter de trouver la meilleure solution, la moins chère, et cela pendant des heures...

Tout ça, sans compter sur les contrôleurs, parfois très pointilleux voire méconnaissants de leurs propres règles. La semaine dernière, un contrôleur reprochait à Antoine de ne pas avoir valider son billet alors qu'il ne faut le faire que si vous avez réservé à l'avance, avant la veille à 17 h. Or, Antoine avait confirmé son billet la veille à 21 h (comme d'habitude en restant connecté à l'application pendant des heures pour trouver la meilleure solution !). Il ne s'est pas laissé faire et un autre contrôleur est venu lui confirmer qu'il avait raison. Un autre passager, moins sûr des règles, aurait peut-être payé une amende ! 

15 mars 2024

La baie des baleines

Présentation de l’éditeur :

Liza ne peut échapper à son passé. Heureusement, les plages sauvages de Silver Bay, en Australie, et la communauté soudée qui vit là-bas, lui permettent d'assouvir sa soif de liberté et de prendre un nouveau départ avec sa fille, Hannah. L'arrivée de Mike dans l'hôtel de sa tante va mettre la Baie des baleines en effervescence. Cet Anglais élégant aux yeux doux pourrait anéantir tous les efforts qu'elle a déployés pour préserver l'entreprise familiale et les baleines qui peuplent la baie - et venir à bout de ses dernières défenses. Liza jure qu'elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour, mais cet homme est peut-être celui qu'elle attendait depuis longtemps... 

J’ai beaucoup aimé ce livre de Jojo Moyes. On ne s’attend pas à la fin et c’est moins à l’eau de rose que pourrait le laisser supposer le résumé. Toutefois, il y a deux petites choses qui m’ont paru peu crédibles (ou que je n’ai pas comprises) :

  • A quoi aurait servi à Liza de retourner en Angleterre pour empêcher le projet immobilier ?
  • J’ai trouvé qu’il n’y avait pas beaucoup d’oppositions de l’ancien compagnon de Liza et que c’était un peu rapide et facile (je ne peux pas en dire plus sans risque de dévoiler la fin de l’histoire).

Je classe ce livre en 147ème position et lui donne 3 étoiles.

10 mars 2024

Fille en colère sur un banc de pierre

Présentation de l’éditeur :

« Elle aurait pu renoncer. Elle aurait dû renoncer. Elle se le répéta bien un million de fois toutes les années qui suivirent. Elle eut d'ailleurs une hésitation, peut-être valait-il mieux rester, se rallonger dans la chambrée, à écouter ses deux autres sœurs qui gesticulaient dans leur sommeil, pétaient et miaulaient sous leurs draps à cause de leurs rêves lascifs tout juste pubères. Peut-être valait-il mieux abdiquer, enrager, et se délecter de sa rage, puisqu'il y a un plaisir dans l'abdication, cela va sans dire, le plaisir tragique de la passivité et du dépit, le plaisir du drapage dans la dignité, on ne nous laisse jamais rien faire, on a juste le droit de se taire, on nous enferme, alors que les autres là-bas au loin s'amusent et se goinfrent, qu'est-ce que j'ai fait dans mes vies antérieures pour mériter ça, oh comme je suis malheureuse. Peut-être aussi que le jeu n'en valait pas la chandelle. Mais le jeu, n'est-ce pas, en vaut rarement la chandelle. Le jeu n'est désirable que parce qu'il est le jeu. »

Tout d’abord, dans la forme, ce roman de Véronique Ovaldé est un peu pénible à lire. Il n’y a pas d’espace entre les paragraphes, les dialogues sont tapés au kilomètre et comme les phrases s’enchaînent dans de nombreuses digressions, c’est lourd à lire.

Concernant le fond, ce n’est pas très réjouissant non plus. La famille Salvatore a connu un drame, la perte de leur quatrième fille. C’est raconté du point de vue de la troisième fille, celle à qui l’on a reproché le drame. La fin est surprenante et c’est le seul côté positif que je trouve à cette lecture.

Je classe ce livre en 682ème position et ne lui donne pas d’étoile.

8 mars 2024

Recherche gentleman fortuné

Présentation de l'éditeur :

Comté du Dorset, 1818. La jeune et téméraire Kitty Talbot, aînée d’une fratrie de cinq sœurs, est dans le pétrin. Depuis le décès soudain de ses parents, elle se retrouve à la tête de sa famille criblée de dettes. Si une solution miraculeuse ne se présente pas bientôt, les filles Talbot vont perdre leur charmant cottage et être dans un grand dénuement. Kitty n’a d’autre choix que de partir pour Londres afin d’intégrer la haute société et de se fiancer avec un homme fortuné avant que la saison s’achève. Son plan se déroule sans accroc jusqu’à ce qu’elle soit démasquée par le beau et hautain Lord Radcliffe. Dès lors, Kitty doit redoubler d’efforts pour tenir cet agaçant ennemi à distance, apprivoiser les codes de ce monde impitoyable et – qui sait ? –trouver l’amour.

La première moitié du livre de Sophie Irwin est un peu ennuyant, dans le sens où Kitty semble uniquement intéressée à "coincer" un homme riche pour sauver sa situation financière et celle de ses soeurs. Et puis, au fur et à mesure des pages, on s'aperçoit que c'est plus profond que cela et que l'on parle de la condition féminine au 19ème siècle et des codes de la haute société. Il y a un peu de féminisme derrière cette histoire et cela n'a pas été pour me déplaire. Après, il n'y a pas non plus de surprise quant à la façon dont se termine le roman.

Je classe ce livre en 362ème position et lui donne une étoile.

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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